C horrible !! Nikolune tu as le chic de me ficher la trouille !!

Nikolune a écrit:

Sorry Liliana cette réalité-là n'est pas belle à voir ...

Cette drogue-là est un véritable fléau (en particulier aux USA),
certains individus cultivent même leurs pavots sous serres (j'ai vu ça dans une série) ...

Tu as raison !! Mais bon je me dis y a des gens qui ont de très sérieux problèmes et d'autres qui innovent de gros problèmes pour eux même volontairement ils doivent être drôlement maso !! Ne me dites pas que c un besoin chez eux !!

La deuxième m 'a choqué particulièrement..Ces mamans n'avaient pas à concevoir des bébés puisque elle connaissent leur situation et savent ce qu'elle font c totalement égoïste et irresponsable .. elles font souffrir des innocents puis elles les impliquent dans ce fléau même plus tard !! À propos de ses mamans pour moi ( horrible) pardon la je ne veux pas être tolérante j ai visionne Aujourd'hui une vidéo d une maman qui tabassait son bébé très très chou parce qu elle a fait ses besoins sur elle!!!! Elle a frappé sans cœur jusqu'à la mettre par terre .. à la vu de cette vidéo j ai chialé comme une gamine j ai eu un malaise ou va le monde ??

Je n à' arrive pas à insérer la vidéo ni les smileys !! Si tu veux voir la vidéo niko écris sur Google maman frappe son bébé c une asiatique !!

NIKO a écrit :"Jackleen, attention : vidéo choquante diffusée par la Police américaine le mois dernier

Je ne peux voir les vidéos (trop bas débit) mais ce genre de chose me rend malade...!
Aujourd'hui, une salle de shoot ouverte à Paris!

Bonjour à tous

Je ne peux pas affirmer qu’il y ai un lien entre Neptune, le poisson, la maison XII et l’usage de drogue. Cependant, j’ai tout de même remarqué qu’il y a un dénominateur commun avec un besoin d’évasion, quitte à ce qu’il soit artificiel. Je l’ai remarqué à la fois chez moi et chez des potes essentiellement.

Moi : Taureau asc Capricorne, Neptune en Capricorne en XII, maitre de la II, Venus en Poisson en II
Un ami (comme un frère) : Bélier asc Capricorne, Neptune en Capricorne en XII, maître de la II, Venus en poisson en I, Mercure en poisson en II
Un pote : Poisson asc Taureau, Soleil sur la cuspide de la XII, Neptune en Capricorne dans la IX et maître de la XII, Mercure en poisson en XI.
Un cousin : Poisson, pas plus d’info car plus de nouvelles depuis quelques années mais à l’époque il fumait ce que je considérais à l’époque comme des doses de cheval, j’arrivais pas à le suivre alors qu’il était plus jeune que moi….

A voir… j’ai le sentiment que les signes d’eau ont globalement un lien ainsi que le signe du Sagittaire, impression que ce dernier aime repousser les limites, juste pour voir…

Cigarette / Cannabis / Alcool. Pas besoin du reste. Je ne cherche pas à mourir. Quand je souffre, je me révolte, j’enrage et je veux lutter.

Pour ma part, la « fum’ » m’aide à calmer une haine de soi, une rage qui déchire les tripes quand j’arrive pas à comprendre pourquoi les choses vont dans un sens et pas un autre. Je peux enfin arraché ce masque de bonne humeur inébranlable que j’affiche toute la journée. Il y a évidemment une forme de détente et de plaisir dans les bons moments, mais j’ai bien compris que je donnais une viande avariée à mes démons qui, sans cela, me poursuivraient sans relâche. Quand je visualise cela, je ne me vois pas moi, je vois un loup enragé, cerné, qui lutte contre et avec lui-même.

C’est comme un refuge, à défaut d’en trouver un autre. Il pue, il est sale, on y respire mal, mais c’est toujours mieux que dehors. Au moins je peux y dormir, dehors je trouve pas le sommeil (vous allez rire, j’avais commencé par écrire « soleil » sans le vouloir). Pourquoi respecter sa santé quand on a souvent du mal à apprécier la vie telle qu’elle est ? C'est ce que je me dis dans ces moments.

Quand j’ai fumé, j’ai calmé ce démon, il me laisse en paix. De toute façon je suis devenue inatteignable à ce moment-là. Je peux refaire le monde, ma vie et changer mes choix, me projeter dans cet imaginaire dans lequel j’arrive à me respecter et à me valoriser. Et puis surtout, à la fin, je peux dormir.

La révolution attendra un jour de plus.

Mes excuses pour ce commentaire un peu long, mais je trouve le sujet « astrologiquement » intéressant. Je partage pas beaucoup avec les gens ce que j’ai écrit plus haut, mais j’ai appris à le faire ces dernières années. Ça m’aide un peu.

un bisous a tous et toutes :)

Merci zouzou7! Pas mal les Red Hot , une amie m'avait fait écouté au lycée et ça a ete le début de mon ouverture pour tout ce qui touche au rock, au metal et ce qui y est associé. Mais j'admet que je m'etais jamais interessé aux paroles d'under the bridge. Lithium de Nirvana est sympa aussi dans le genre.
Après je suis plutot Rap, les parole ci-dessous me touchent, et puis ça tombait bien il y a la référence a Neptune. Moi j'adore, mais pas de clip a partager sur le net pour celle ci et puis je vais t'épargner le restes des lyrics. Je colle la partie qui me touche et me parle le plus:

"En fait le truc c'est que j'suis plus fuck le monde
J'fais des cauchemars, ouais mama, les anges sont loin d'mon sommeil
En fait le truc c'est qu'j'dois tuer mon monstre
Ouais j'suis là, j'me balade dans ce décor de merde
Chacal, joue pas le gentil on se connait, chh
Waza, tous les jours on court après l'oseille, hein
Haza, t'aimerais bien nous taper la recette
Wallah, nous on a jamais été malhonnêtes, quoi ?
Ça va ? Ouais ça va, hamdullah, déterminé
J'vois tous ces fils de pute qui voudraient m'exterminer
Rah, à la vie, à la mort, à la ligne verte, oh
T'es au sol, nique ta mère, nique ta civière
Tu montes on te suce, tu te crashes, on dit nique ta ma-man
J'suis sur Neptune avec ma plume, et j'fume, rien qu'ça pla-ne"

PNL - Humain

Nikolune a écrit:

---> Astrologie et drogues les anti-éléments <---

Résumé synthétique très bien construit. Merci pour le lien.

Quant aux appellations de drogues "douces" ou "dures", elles m'ont toujours paru pitoyables. Je leur préfère des critères plus objectifs accoutumance importante ou faible, toxicité plus ou moins grande.
Et puis le sujet, par le seul prisme de la doxa actuelle, ne sera jamais cerné. Exemple type : la motivation du plaisir. Le plaisir étant la recherche d'un état physiologique, le plus édifiant réside dans la causalité définitive - la transformation de la perception - alors les raisons ethnologiques de cette quête deviennent prégnantes. Chamanisme (pas seulement dans l'acception sociétale), fuite de la réalité, diminution de la douleur, résistance accrue à l'effort... Alors, le plaisir... un alibi ?

Je ne connais personne qui, savourant un vieux Pauillac, ne cherche pas aussi une modification, fut-elle légère, de la perception. Mais le revendiquer est manifestement "tabou"
Et puis quoi ? Certains se penseraient épicuriens, et les autres d'esprits faibles ?

Avec les drogues dans nos sociétés modernes, les problématiques s'avèrent nombreuses MAIS distinctes. Leurs résolutions, ipso facto, devenant diverses. Santé publique, protection de l'enfance, délinquance générée, tout cela, j'en conviens, nécessite des mesures préventives et/ou coercitives. Mais quid d'une consommation relevant du strict domaine privé ?

Face à ce sujet - aussi ancien que l'homme lui-même - aussi longtemps que nos sociétés jetteront l’opprobre (ou l'hypocrite compassion) sur le consommateur, nous n'aurons aucune maîtrise.

Mais enfin, quelle serait la cible ? L'alcoolisme ou l'alcool ?

La seule limite juste, là encore, réside dans le comportement vis à vis d'autrui (deal, prosélytisme, conduite sous influence...). Cela relève de la sphère privée, comme le suicide, d'ailleurs...

J'ai tout faux ?

Skarabe : Je ne connais personne qui, savourant un vieux Pauillac, ne cherche pas aussi une modification, fut-elle légère, de la perception. Tu as tout à fait raison, c'est avant tout une recherche de modification de perception la prise de drogue, et je sais de quoi je parle (soleil en 12 conjoint Neptune carré lune poisson).

Les hommes ont consommé des drogues de tout temps, et bien souvent dans les société religieuses pour se connecter à Dieu. Le chamanisme est un bon exemple, il y a aussi les derviches tourneurs...
D'une façon générale, la drogue la plus ancienne sont les opiacées dont les premières mentions sont attestées sur des plaquettes sumériennes. Il est considéré que les premiers usages remonteraient à 3000 av JC dans les plaines de Mésopotamie.
Dans les textes de Virgile, Homère etc... les mentions au pavot sont légions. Déméter, déesse des blés était d'ailleurs déesse du Pavot. La capsule de Pavot est une matrice analogue à la terre, un utérus comparable à celui de la Mère. Les innombrables semences qu’elle contient sont des signes de fertilité dans la culture de l'Antiquité.

D'une façon symbolique, le pavot représentait le cycle de la vie :
"Le pavot symbolise le repos éternel. On le rencontre souvent, accompagné du lierre et du laurier, comme motif ornemental dans l’architecture funéraire. Il est aussi une image du cycle de la vie avec ses phases successives : la naissance (germination des graines) ; la maturité (fleur) ; la décrépitude et la mort (mort de la fleur qui annonce par les nombreuses graines de la capsule une résurrection assurée.)

C’est à partir de son suc, un latex blanc laiteux, que l’on obtient l’opium dont on extrait la morphine et l’héroïne. Le suc suinte des petites incisions faites à la surface de la capsule encore verte. Cette capsule est un attribut de Morphée, dieu des Songes dans la mythologie grecque, et fils d’Hypnos, dieu du Sommeil. Hypnos, Thanatos (dieu de la Mort), et Nyx (déesse de la Nuit) portaient des couronnes de pavots". (Cf : Dictionnaire des symboles).

Le problème de nos jours est que la prise de substance devient un comportement sociétal détaché de toute "connexion divine" (je ne parle pas de religion, mais bien d'une manière de se connecter au cosmos, à ce qui nous dépasse, ce qui est plus grand que nous, au cycle de la vie).

Réfléchir aussi au rapport entre drogues et création littéraires et artistiques : Verlaine et les romantiques, les écrivains américains, Hemingway, Bukowski etc...

... Malraux... et insidieusement on en vient à l'éternel dilemme : qui de l’œuf ou la poule... La fragilité, la sensibilité de l'artiste le prédisposent-elles à l'usage ? Ou l'usage le rend-il génial ?
Je crois qu'à l'instar de l'auberge espagnole, on ne trouve dans les drogues que ce qu'on y apporte.
Quant à la connexion au divin (en soi & hors de soi), c'est effectivement un désastre sanitaire que cette "banalisation" festive. Non que je sois un parangon de vertu en la matière mais je revendique ici encore la liberté individuelle pour peu qu'elle ne nuise pas au groupe.

"Malraux... et insidieusement on en vient à l'éternel dilemme : qui de l’œuf ou la poule... La fragilité, la sensibilité de l'artiste le prédisposent-elles à l'usage ? Ou l'usage le rend-il génial ?"

Ah non, je ne crois pas que ce soit la drogue qui rende génial et créatif, ça se saurait !! On aurait des cohortes de génies plein les rues !

Oui, je pense que la grande sensibilité de l'artiste (ou du non artiste d'ailleurs) prédispose à l'usage, on se drogue parce qu'on a l'impression que ça va nous aider à supporter quelque chose de trop lourd, cette part de vie insupportable, même si c'est illusoire... Mais la drogue n'est pas le seul vecteur pour contacter ce "divin" ou pour fuir une réalité trop douloureuse...Certains méditent par exemple, ce qui est tout de même moins dangereux.

Je cherche l'abécédaire de Deleuze sur le net où il parle bien de tout ça à la lettre B sur Boisson, mais ça a été retiré du net, satané de droit d'auteurs....

En tous cas je vois à ton thème Skarabe que tu es aussi un bon Neptunien....