Merci tite Cévennes, il est important de savoir que l'on peut en guérir....
Le nombre de guéris est beaucoup plus grand que les 7100 annoncés. Ceux dépistés devaient avoir des symptômes importants pour être testés. Tous ceux avec peut de signes et donc non dépistés ne sont pas comptabilisés. Professeur Deray
Merci tite Cévennes, il est important de savoir que l'on peut en guérir....
Le nombre de guéris est beaucoup plus grand que les 7100 annoncés. Ceux dépistés devaient avoir des symptômes importants pour être testés. Tous ceux avec peut de signes et donc non dépistés ne sont pas comptabilisés. Professeur Deray
Sujet: Re: Coronavirus: l'effondrement économique Mar 31 Mar 2020 - 1:33
Allez, c'est le moment, ouvrons nos chakras et respirons un bon coup.
Immergeons nous dans la "pleine conscience".
Cobra
Sujet: Re: Coronavirus: l'effondrement économique Mar 31 Mar 2020 - 7:43
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Sujet: Re: Coronavirus: l'effondrement économique Mar 31 Mar 2020 - 8:13
Avec mon amoureux, on se masse les chakras mutuellement...pour l'instant ça marche, pas le moindre petit rhume
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Sujet: Re: Coronavirus: l'effondrement économique Mar 31 Mar 2020 - 11:02
Pernaud avait semble-t-il anticipé le manque de préparation de l'Etat : https://www.dailymotion.com/video/x7t06vg#tab_embed
Cette épidémie met à plat certaines choses : - Solidarité internationale versus solidarité de l'UE - Journalisme à peu près intelligent versus faux-cul - Organisme d'experts versus vrais chercheurs - Impréparation criminelle versus anticipation et sens des responsabilités. - écologie efficace versus écologie inefficace.
Whisky-Tango
Sujet: Re: Coronavirus: l'effondrement économique Mar 31 Mar 2020 - 18:38
Bonjour à Tous,
Désolé de mes absences, mais je suis submergé par de gros soucis informatiques, sans manquer à mes devoirs personnels.
Les infos sur le Covid-19, un virus comme un autre, qui a sa place dans la vie. Ce que j'ai appris et comprend, c'est que tout ce qui vit, possède sa propre fréquence, dans la fourchette en rapport avec sa personnalité, variable et évolutive. Les fréquences les plus élevées surpassent les autres. Un sujet malade ou inférieur, est atteint par les sujets de fréquences supérieures, en bien comme en mal. Il me fut facile de comprendre pourquoi des personnes sont plus atteintes que d'autres, par les maladies, les cancers, et tout ce qui trouble la santé. Provenant de Chine, et particulièrement de Wuhan, lieu de naissance de la 5G, Le coronavirus et la 5G ICI
Maintenant, je vous propose d'écouter cette information, et au moins les deux autres qui suivent, surtout celle du professeur JOYEUX. Après quoi, je retourne à d'autres occupations.
W-T
Cobra
Sujet: Re: Coronavirus: l'effondrement économique Mar 31 Mar 2020 - 18:45
Comment les masques stoppent les virus
Cévennes
Sujet: Re: Coronavirus: l'effondrement économique Mar 31 Mar 2020 - 20:19
«9 444 personnes sont sorties guéries de l’hôpital», indique Jérôme Salomon, directeur général de la Santé
Cévennes
Sujet: Re: Coronavirus: l'effondrement économique Mar 31 Mar 2020 - 20:27
“Aucun virus infectieux n’a pu être récupéré sur du papier d’imprimante après une incubation de 3 heures”, expliquent les chercheurs dans l’étude. Ensuite, pour le bois, le virus disparaît au bout de 48h et avec le verre et les billets de banque, il faut environ 5 jours. Enfin, pour l’acier inoxydable et le plastique, il faut compter une semaine pour voir se dissiper les risques d’infections.
Mais l’objet qui a le plus surpris les chercheurs, c’est le masque chirurgical. Ils détaillent: “Le virus infectieux peut encore être détecté sur la couche extérieure d’un masque chirurgical le 7ème jour”. Les masques usagés constituent donc un risque d’exposition potentiel à la maladie.
d'après les dires d'un médecin italien, le virus resterait 9 jours sur du goudron (dixit ma meilleure amie soignante qui a travaillé dans un service infectieux). Quittez bien vos chaussures avant de rentrer chez vous (devant la porte), tout le linge lavé à 60°... pour l'instant.
linge à 60°c !!! et tu fais comment pour le synthétique ? ; faut arrêter la psychose ; dans le doute j'ai pris de la poudre à laver Sanytol ça tue 99,9 % bactérie ( il mentionne le virus H1 ) et mais pas encore utiliser .
Sinon pour les légumes, j'ai opté pour le trempage dans du bicarbonate de soude/sodium, en plus d'enlever une bonne partie des résidus de pesticides quand c'est pas bio, ça tue les bactéries et ça doit aider pour les virus aussi je pense
Quittez bien vos chaussures avant de rentrer chez vous (devant la porte), tout le linge lavé à 60°... pour l'instant.
je m'habille dans mon garage où je laisse mes vêtements-toujours les mêmes- qui me servent à aller faire mes courses.... (en fait, leur trouver un endroit quand cela est possible...)
Je viens de me connecter, et te lire Elheya m'a fait éclater de rire... Tu as dû m'entendre jusque chez toi. Y'a des rires plein sous le noyer, va voir. J'espère seulement ne pas avoir effrayé les petits écureuils que je remercie au passage
Pour moi c'est une belle embrouille, probablement internationale. Voir la carte de la prochaine Pleine Avec la conjonction /, guider pour transformer, sur l', déjà une méga méditation le 4/5 avril, je ne sais pas si les peuples vont vivre encore ça longtemps.
Natacha POLONY:
Natacha Polony C'est la guerre, malheur à celui qui se pose des questions ! Publié le 30/03/2020 Natacha Polony ICI.
Aujourd’hui, nombre de commentateurs déploient des trésors de rhétorique pour démontrer que non, les méchants "souverainistes" n’avaient pas raison de plaider pour le maintien de capacités de production en France. Admettre qu’on s’est planté, c’est visiblement douloureux.
« Union nationale ». Ça sonnerait presque comme une injonction. Malheur à qui viendrait rompre cette belle union. C’est vrai, on est en guerre, il ne faudrait pas commencer à poser des questions ou détourner l’effort des combattants. Contentez-vous d’applaudir les soignants, et, quand on vous le demande, de revenir travailler. D’ailleurs, effort de guerre oblige, on en profitera pour vous rogner quelques droits et quelques libertés. Mais on est en guerre, n’est-ce pas... La posture du chef de guerre, hélas, a des ratés. L’air martial et le ton grave, la mobilisation générale, demandent un minimum de crédibilité. Et ce qui semble s’imposer dans une part de l’opinion, c’est que le Président fait ce qu’il peut (pour ceux qui lui accordent au moins ce crédit), mais qu’il ne peut pas grand-chose. L'état d’esprit des Français Qui se promène sur les réseaux sociaux (seul lieu de « promenade » autorisé en ce moment) y voit, non pas un condensé mais un concentré de l’état d’esprit des Français. Des états d’âmes et des opinions amplifiés, exacerbés, poussés à l’extrême. Bien sûr, il y a les élans de solidarité. Tous ces gens, de quelque milieu que ce soit, qui se mobilisent, parfois en toute discrétion, pour agir, pour faire leur part. Et puis il y a le reste. Le débat, tout à fait justifié, mais aussi les assauts de haines, de jalousie, de soupçon. Les mots-dièse accusateurs, les délires complotistes, les obsessions revanchardes. Les fractures béantes qui se manifestaient depuis des mois ne disparaissent pas. Une crise comme celle que nous vivons est au contraire une centrifugeuse. Et c’est la Nation qui se disloque un peu plus. Emmanuel Macron est en train de comprendre ce à quoi est réduit un président français. Appuyer sur des boutons, seul dans le cockpit, et constater que rien ne se passe. La grandiloquence présidentielle n’y fera rien. Elle agit plutôt comme un révélateur de l’impuissance. Personne n’ira soupçonner le Président de ne pas faire tout ce qu’il peut pour limiter les effets de cette pandémie. Il faudra bien évidemment discuter les choix, enquêter sur les procédures, une fois l’urgence passée, mais la volonté, elle, est indéniable. Le problème est autre. Emmanuel Macron est en train de comprendre ce à quoi est réduit un président français. Appuyer sur des boutons, seul dans le cockpit, et constater que rien ne se passe.
« - Faites livrer des masques, des tests, qu’on sache tout de suite qui est malade. - Monsieur le Président, on n’en a même pas assez pour les soignants. - Mais il faut en fabriquer ! Faites tourner les usines. - Mais Monsieur le Président, il n’y a plus d’usine en France depuis longtemps. Souvenez-vous, on trouvait ça génial, une société de services. L’industrie, les usines, c’était ringard. Il fallait que tout le monde devienne autoentrepreneur... - Alors on fait quoi? - On fait une intervention télé, vous leur dites que les masques, ça sert à rien, mais qu’on est en guerre et qu’on va gagner. »
Il est des éléments que nul ne pouvait prévoir. La Chine a sous-estimé l’épidémie dans une proportion effarante. Les 45.000 urnes funéraires remises à des familles chinoises de Wuhan, alors que le chiffre officiel des morts chinois est de 3.298, laissent imaginer l’ampleur du mensonge. Et des médecins, supposés spécialistes, ont expliqué durant tout le mois de février que les médias en faisaient trop avec cette épidémie. L’humilité est donc de mise, et les « ils savaient et n’ont rien fait » sont stupides. gouverner, c’est prévoir En revanche, il est un principe face à l’incertitude : gouverner, c’est prévoir. Et prévoir même l’imprévisible. C’est-à-dire préparer les instruments pour lutter contre une menace qu’on n’identifie pas encore. « Si tu veux la paix, prépare la guerre ». Et ce qui scandalise nombre de citoyens est l’impression que nous abordons cette supposée guerre totalement désarmés. Pas de respirateurs, pas de masques, pas de réactifs pour les tests. Et la seule usine de production de bouteilles d’oxygène fermée en 2019. La fatalité ? C’est ce qu’essaient de nous faire croire certains commentateurs. Alors que tout cela résulte des politiques mises en œuvres depuis vingt ou trente ans, avec l’assentiment de tout un système politico-médiatique. Emmanuel Macron ne fait qu’hériter d’une situation dont il est loin d’être le principal responsable - mais responsable tout de même, puisqu’il n’a eu de cesse de sanctifier et perpétuer ce système, d’abord en tant que conseiller puis ministre de l’Economie de François Hollande, ensuite comme candidat et président.
La « projection des fantasmes », c’est l’argument ultime.
Seulement voilà, depuis vingt ans, on explique au peuple français que ceux qui alertent sur la folie de la désindustrialisation, ceux qui parlent de filières stratégiques à protéger, sont d’affreux nationalistes, des nostalgiques ringards à l’idéologie nauséabonde, des suppôts de l’extrême droite. Et visiblement, certains ont comme des aigreurs à reconnaître qu’ils se sont plantés. Alors, il faut à tout prix démontrer que ça n’a rien à voir. Sur France Inter, le 20 mars, on entendait Léa Salamé regretter que « chacun projette ses fantasmes sur cette crise. Les souverainistes, les décroissants, les anti-mondialistes... » Dans Libération, Laurent Joffrin tient à peu près le même genre de discours, quitte à caricaturer la pensée de Marcel Gauchet.
La « projection des fantasmes », c’est l’argument ultime. Le même qu’on avait vu apparaître avec la crise des gilets jaunes. Vous pensez que les gilets jaunes sont le résultat de trente ans d’abandon des territoires, de recul des services publics, de destruction du tissu de PME dans les villes moyennes ? Voyons, vous projetez vos fantasmes ! D’ailleurs, il n’y a rien à comprendre de cette crise, et surtout pas que les défenseurs du système actuel se sont vautrés dans les grandes largeurs. "reprendre le contrôle" Aujourd’hui, même chose. Puisqu’on vous dit qu’on n’aurait pas pu faire mieux ! Et puis, ce n’est pas le moment, on parlera de ça plus tard, pour l’instant, il faut être solidaires et lutter tous ensemble. Et plus tard, quand ce sera fini, on vous dira qu’il n’est plus temps de revenir sur cette crise, qu’elle est derrière nous, qu’il ne faut pas vivre en permanence tourné vers le passé. Ceux qui ont alerté, ceux qui alerteront, sont d’insupportables idéologues. Quand on appartient au cercle de la raison, aux gens propres sur eux qui pensent comme il faut, on s’interdit d’analyser... enfin, surtout quand une analyse honnête obligerait à remettre en cause les dogmes dudit cercle.
Les défenseurs de la souveraineté, donc de la capacité à ne pas dépendre d’autre pays pour la production de biens essentiels, sont depuis longtemps qualifiés de « souverainistes », ce qui, en langage médiatique, signifie « d’extrême droite », accusés de vouloir fermer les frontières, assimilés aux identitaires de tous poils. Et bien sûr, quand Emmanuel Macron constate qu’on « a abandonné trop de choses au marché » et qu’il est temps de « reprendre le contrôle », ça n’a rien à voir. Lui, il n’est pas souverainiste, il dresse un constat raisonnable. Et comme il prônait l’inverse il y a quelques semaines encore, il n’est pas soupçonnable d’être dans le mauvais camp... Temps de guerre ? D’ailleurs, fort de cette idée que l’idéologue, c’est toujours l’autre, on peut, dans un journal raisonnable, titrer un article, en dehors de toute idéologie : « Les droites accros à la chloroquine ». Les droites, dont l’extrême droite, mais aussi les mélenchonistes, ce qui prouve bien, n’est-ce pas... Mais en dehors de toute idéologie, bien sûr... On peut ne pas goûter les capacités d’autopromotion du professeur Raoult et pour autant se demander si l’allergie légitime du milieu médical aux figures médiatiques ne serait pas, cette fois, un frein dommageable Entendons-nous bien. Il est actuellement impossible pour un non-spécialiste d’avoir un avis éclairé sur l’efficacité ou non de la chloroquine. Les discours scientifiques sont éminemment contradictoires et devraient inciter chacun à cultiver l’art de la nuance. En revanche, il est possible de s’interroger sur la façon dont les différents pays s’organisent pour avancer dans les recherches, sur les délais administratifs. Il est permis de se demander si, dans une crise d’une telle ampleur, il ne faut pas prendre davantage de risques qu’en temps normal. On peut ne pas goûter les capacités d’autopromotion du professeur Raoult et pour autant se demander si l’allergie légitime du milieu médical aux figures médiatiques ne serait pas, cette fois, un frein dommageable. De même, on peut avoir conscience de ses limites en matière de recherche biologique et comprendre que la pesanteur administrative explique, bien mieux que la prudence scientifique, le temps qu’il faut à la France pour mettre en route la production de tests efficaces. Quatre laboratoires vétérinaires départementaux se sont ainsi vu refuser l’offre qu’ils faisaient de produire plus de mille tests par jour, au motif qu’on ne mélange pas la santé animale et la santé humaine. Étrange façon de mener une guerre... Le virus le plus fréquent en France Pointer tout cela relève-t-il du complotisme ou de la déviance idéologique ? A chaque crise, les esprits éclairés nous expliquent que les Cassandre, qui avaient alerté dans l’indifférence générale, sont un peu responsables du malheur qui survient. Qu’ils se taisent, les oiseaux de mauvaise augure, et que la fête reprenne de plus belle ! Le virus le plus fréquent en France, celui qui consiste à renvoyer à l’extrême droite quiconque a le mauvais goût de ne pas applaudir à ce système dont les incuries apparaissent de plus en plus au grand jour, n’a pas encore trouvé de vaccin. ===================================================
linge à 60°c !!! et tu fais comment pour le synthétique ? ; faut arrêter la psychose ; dans le doute j'ai pris de la poudre à laver Sanytol ça tue 99,9 % bactérie ( il mentionne le virus H1 ) et mais pas encore utiliser .
coucou cobra j"ai utilise sanytol ne suportant pas l'odeur trop forte j'ai repris skip (relaver avec ma poudre habituelle)
40° c'est bien pour préserver la planète et les tissus fragiles... synthétiques entre autres. Mais en service de chirurgie, j'avais appris il y a 20 ans que c'est à partir de 55° que les microbes disparaissent. Après chacun choisit.
Après j'aime bien les araignées, les petites bêtes qui sont peut-être des œufs de coccinelles... les gros chats et même les hommes Il y a même des ânes qu'on entend de ma fenêtre, dans le pré en face il y en a quatre (des fois quand ils braient)
les pucerons et les mouche(ron)s c'est plus dur. Les agents infectieux j'ai du mal. je les côtoie au boulot mais j'aime bien qu'il y reste...