Rappel du premier message :Je suis désolé par avance de shooter dans la choucroute mais voilà, je n'ai pas choisi ce sobriquet de "Maldoror" par hasard.
Voilà, comme encore une des ces innombrables fois dans ma vie, je me retrouve à la croisée des chemins. Je me permets ce petit "soliloque".
l
Les
Aurous et compagnie et tous les médecins de l'âme (sorry
) mettront ça sur le rapport aux noeuds nords, à la lune noire au karma (de possession bien entendu qu'il faut travailler etc.)
Je n'en ai cure.
Personnellement, j'encule à sec et sans vaseline les astres qui ont décidé de me faire "évoluer" dans la souffrance, le "lâcher prise" ou que sais-je (j'ai entendu tellement de conneries de ce type...)
En plus, les puristes pourront toujours y trouver matière à moudre puisque ma réaction excessive est sans doute déjà indiquée dans mes astres. Comme quoi. "Ils" ne devraient pas m'en vouloir puisqu' "ils" m'ont façonné tel quel.
Comme l
'homme révolté de Camus, je m'insurge. Ça ne sert sans doute à rien sinon à se sentir vivant. Et c''est déjà pas mal.
Bref, si à ma naissance, en fonction de dysfonctions antérieures (une autre vie par exemple), je suis "puni" et redevable dans cette vie, j'ai envie d'enviander le colonel de réserve (qu'il s'appelle Dieu ou Romuald, c'est le même tabac) qui a mis ce plan pour mezigue à exécution.
J'emmerde les astres si ils ont réellement de près ou de loin ce pouvoir de nous faire sentir si petits et déterminés.
C'est bien le moins que je puisse faire.
Si tout est le fait du hasard, ce "pamphlet" sera nul et non avenu.
Ça me soulage et c'est pas si mal!