Sujet: Louis-Ferdinand CELINE Dim 18 Fév 2018 - 14:36
Je regardais dernièrement le thème de cet écrivain considéré autant comme maudit (pour ses pamphlets antisémites d'avant la guerre) que totalement génial. Pour beaucoup le plus grand écrivain français du 20ème siècle avec Marcel PROUST.
Une chose de sûre, ce type a changé la prose de la langue française définitivement ("cassé" la phrase, la ponctuation et mêlé la langue populaire et parlée à la langue écrite)comme Rimbaud l'a fait en poésie.
Content de constater que ce très grand écrivain (j'ai lu beaucoup de Celine -je dois avoir tout- y compris ses pamphlets douteux dont j'ai hérité de ma grand-mère, "bagatelles pour un massacre" notamment en version originale qui doivent valoir une fortune aujourd'hui) possède un axe intercepté 3/9 en / avec la maison 3 etc. qui me fait dire que pour moi ces axes interceptés ne collent pas réellement à ce qu'on voudrait en faire.
C'est encore l'exemple d'un code qui a été inventé on ne sait comment par on ne sait qui mais qui n'existait pas en astrologie traditionnelle (inventé par les "maîtres" adeptes de PLACIDUS qui y ont lié encore une fois des indices de karma, en plus des planètes rétros et de la maison 12, points fictifs etc.)
Y a plein d'autres exemples célèbres qui peuvent prouver que les pseudos planètes "prisonnières" de l'axe intercepté en réalité sont extrêmement actives dans la vie du sujet. Dominent même carrément.
Et je suis certain que dans une domification zodiacale, par exemple, j'ai vaguement regardé, un signe une maison (en partant de la donc), ce thème serait tout aussi parlant en regard de sa vie.
Bref...
Elargissons le sujet...
Que pensez-vous de ce thème?
( Pour la petite histoire, Céline était très vénusien. il adorait la musique et surtout la danse et les danseuses, la légèreté... Sa femme était d'ailleurs danseuse et elle vit toujours. (Lucie Almansor dite Lucette Destouches)
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Sujet: Re: Louis-Ferdinand CELINE Dim 18 Fév 2018 - 15:18
Bien bel article que tu nous livres ici. Si je fus pendant l'enfance et jusqu'à 25 ans un "gros lecteur", je confesse que je ne lis plus guère hors polars à vocation de somnifère. Néanmoins, pour avoir lu l'énigmatique "Voyage au bout de la nuit", je partage entièrement ton avis sur l'écrivain. Effectivement, ce que ta grand-mère t'a laissé est inestimable. Quant aux opinions bêlantes de ce monde-ci, je les trouve navrantes. Nous nous inventons plus de tabous aujourd'hui, au XXIème siècle, que nous y consentions au XXème. Quelle ânerie que de vouloir juger un individu, ses propos ou ses points de vue, alors que le contexte sociétal d'alors était autre. Plus de clope pour Lucky Luke. Tati qui a eu chaud avec sa pipe dans le métro. Balance ton porc. Jalousie tous azimuts d'une classe sociale à l'autre privant de tout espoir de lutte sociale. Des Princes qui nous "causent" en "gazouillant". L'est ben délétère l'époque, je trouve...
Pour le thème de Céline, je ne me hasarderai pas à une quelconque analyse. Il faut encore que je mange beaucoup de soupe astrologique afin de grandir. (sourires)
Maldoror
Sujet: Re: Louis-Ferdinand CELINE Dim 18 Fév 2018 - 15:31
Sujet: Re: Louis-Ferdinand CELINE Dim 18 Fév 2018 - 15:42
Excellent le lien. Me fais fichtrement du bien le sieur Teulé. Expansion quand le monde respire, contraction (avant implosion ?) quand il exsude la peur la plus vulgaire. Contrairement à lui, je ne suis pas inquiet de ce que les gamins vont vivre, je suis terrorisé de penser qu'ils le supporteront pendant des décennies, voire des siècles (Le Talon de Fer de J. London à l’œuvre). Décidément en vieillissant je vire glauque et nauséabond. PTDR
Maldoror
Sujet: Re: Louis-Ferdinand CELINE Dim 18 Fév 2018 - 17:08
" La lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil"
Quelle ânerie que de vouloir juger un individu, ses propos ou ses points de vue, alors que le contexte sociétal d'alors était autre.
Il y a quand même une prétention à l'explication universelle de type "complotisme" dans "bagatelles pour un massacre" qui ne se réduit pas au contexte de l'époque.
Celine a dit par écrit ce que toute une bonne partie de la France profonde pensait tout bas. Et pas qu'en France. Le propre des hypocrites c'est toujours de jouer les chevaliers blancs à posteriori, après avoir bien senti la direction du vent.
Il a dit certes beaucoup de conneries et des saloperies, certes mais ça faisait partie du style du bonhomme. D'ailleurs je pense qu'il n'avait rien à faire de paraître pour un salaud ou non. Je pense aussi qu'il n'a pas anticipé réellement la tournure funeste des événements futurs (les rafles et les camps de la mort). Je ne pense pas. Qui d'ailleurs aurait pu imaginer ça franchement chez des "civilisés" et "lettrés" qui plus est. Mis à part chez les vrais salopards.
Mais dans le fond, j'en sais rien. Oui, c'était peut-être une franche crapule. L'homme étant dual. Tout est possible.
Ce que je sais c'est que pour motiver sa fièvre stylistique, il devait avoir un bouc émissaire perpétuel. Comme ça, pour y sublimer son fiel naturel, ses excès de sébum littéraire et le "juif" relié (pour lui comme pour la plupart des antisémites convaincus)par atavisme à sa communauté et indirectement à la finance (qui, ce n'est pas un mythe, en comptait tout de même pas mal en son sein international----> normal vu que depuis le moyen âge quasi, les "juifs"ne pouvaient être qu'usuriers selon "nos" lois en vigueur. Et de familles en familles, certains tenaient clairement les rennes de certains pouvoirs. Complotisme? Non l'Histoire mais tous les juifs n'étaient évidemment pas à mettre dans le même sac bien entendu. Comme les chrétiens ou les protestants qui devaient se compter parmi les nazis. Tous les chrétiens étaient-ils nazis? Non heureusement. Enfin presque pas tous. Rien à voir).
Et bien sûr cette même finance internationale (les gros pontes du capitalisme, quoi) avait déjà le sang de quelques guerres sur les mains, la première guerre mondiale notamment de laquelle Céline était sorti rapidement à demi invalide... Tout ça joue. Et là, le prochain casse pipe (milieu des années 30) se flairait à plein nez...
Bon, c'est une hypothèse selon mes lectures mais ça n'excuse rien.
Moi, c'est l'écrivain qui me branche avant tout évidemment. Mais sans cette vie, il n'y aurait sans doute pas eu l'écrivain non plus. Tout est lié.
Le TN de Louis-Ferdinand CÉLINE : https://www.astrotheme.fr/astrologie/Louis-Ferdinand_C%C3%A9line
L'amplification de ( ) sur l'amas en VIII qui lui donne un côté "scorpionesque" ( ), surtout avec dans l'amas, mais en à en V (la créativité). Le rapport aux "autres" (maison VII , maîtrisé par ) et à l'altérité (les étrangers, les juifs...) : Signification du degré symbolique 12° "Un soldat est prêt à tirer sur rien de précis avec son arc alors qu'une femme dérive le long de la rivière dans une barque sans rame." (version Janduz)
Caractère vantard, lâche et égoïste enclin à l'exagération. Sauf si la carte natale indique clairement qu'on a du courage, des idéaux élevés et de la volonté, on montre sa force seulement quand il n'y a aucun danger et on se cache dès que la situation requiert une réelle bravoure.
-------------------------------------------------------------------------------------- Citations de Louis-Ferdinand CÉLINE : L'école des cadavres
"Encore un truculent spectacle à ne louper à aucun prix. Le départ du " Normandie " de New-York. " Normandie " ! triomphe de nos contributions, le plus crâneur de nos déficits. Sur trois mille passagers au moins 2500 Juifs. A nous Aryens " assujettis " du génie français tout le déficit ! On est des gaillards prestigieux, des vicieux de la folle ceinture. Aux rats juifs du monde entier les prélassements inédits, les vogues les plus exorbitantes, le caviar à la louche de nos centimes additionnels. C'est plus de la passion c'est de la vraie furie youtrisme pour grimper, grouiller sur ce bord ..." p 70
" Ce sont les pervers qui rendent la vie insupportable. Ils trouvent des intentions partout. Moi, je me sens devenir si pervers que ça me tourne en folie raciste. Et pas qu'un petit peu ! Raciste 100 pour 100 ! autant que communiste, sans les Juifs !"
même page : " Je ressens, tellement je suis drôle, des choses encore bien plus perverses. Des véritables sadismes. Je me sens très ami d'Hitler, très ami de tous les Allemands, je trouve que ce sont des frères, qu'ils ont bien raison d'être racistes. Ca me ferait énormément de peine si jamais ils étaient battus. Je trouve que nos véritables ennemis c'est les Juifs et les francs-maçons. ..." p 198.
Je plussoie avec Maldoror - sans en avoir la culture littéraire (respect). Mais je vais essayer d'illustrer mon propos par un autre exemple.
Croire en l'infériorité d'une race par rapport à une autre me paraît non seulement immonde (ça, c'est un jugement moral) mais surtout d'un crétinisme absolu. Pourtant, vois-tu, je pèche déjà, employant le terme de "race", désormais lui aussi tabou récemment établi. Ainsi l'infâme vocable pour désigner l'africain, consistant à utiliser le mot "nègre" lors des "Grandes Découvertes" n'était absolument pas connoté avec la même virulence qu'il le serait aujourd'hui. Le "perruqué" lambda d'alors ne lui attribuant pas même une âme, il pensait faire un constat. Terrifiante ignorance qui lui permit d'instaurer esclavage & commerce triangulaire. Puis on fit appel à un autre terme : "noir". Là encore - et je le conçois aisément - on y appliqua un jugement moral. Désormais le bon citoyen, pauvret imbibé de la nuée de tabous de notre siècle, voulant bien faire, utilise "black" (???). Tout cela me tirerait des larmes de joie cynique, si la vraie problématique n'était pas franchement ailleurs. Ce sont les monstruosités générées par l'ignorance d'abord, la peur souvent, l'effet d'hystérie collective ensuite (là, interviennent les contextes historiques) qu'il faut nommer, démystifier sans croire qu'on pourra les éradiquer à force de tabous. Je sais tant de braves gens (sans connotation !) adhérant à des idées pourtant effroyables et tant de parfaites ordures qui vouent à l'angliche "black" une propreté que n'aurait point le mot dans notre langue.
Encore une fois je me montre disert, voire pire mais à mon sens, on peut s'être appelé Louis-Ferdinand, avoir eu des pensées qui nous semblent nauséabondes et demeurer un brave homme, sensible, désespéré et cultivé.
Moi, je me sens devenir si pervers que ça me tourne en folie raciste.
Se sentir devenir raciste. Déplorer une folie raciste. Cela n'engage que moi, mais j'y renifle une fragilité de cristal brisée par l'hystérie d'une époque. Et puis zut ! Même les plus grands de nos congénères ont eu leurs failles ! L'autodafé sur tous nos ronds-points ? C'est plus fort que moi. Promis, je ne réagirai plus sur le sujet.
Merci Neven , Electrode et Skarabe pour vos contributions
Oh mais je sais pour en avoir lu pas mal qu'il y a clairement pire que tes extraits dans ses pamphlets.
Et ça n'excuse rien. Cependant la rythmique des phrases, ce délire logomachique si on veut, inspiré de Rabelais à pas mal d'endroits et de Villon aussi, ça ne fait pas un pli, on le retrouve dans "casse pipe", un petit livre d'une centaine de pages sur la guerre (pas sur les juifs) et c'est une invective qui dure un livre. Une sorte de capitaine Haddock (inspiration d'Hergé?) déchaîné... et les trois points mitraillette...
Et puis on retrouve ça (je parle de la forme générale plus du contenu des pamphlets) dans quasi tous ces livres (sa marque de fabrique, sa "petite musique" comme il disait), ce délire de dingue SAUF étrangement dans le livre qui a quasi mis tout le monde d'accord. Voyage au bout de la nuit.
Dernière édition par Maldoror le Lun 19 Fév 2018 - 17:11, édité 1 fois
Je connais ce monsieur de nom, car un de mes professeurs d'Université en avait beaucoup parlé à un moment, mais j'avoue ne pas avoir tout suivi à son cours très, très dense.. C'était le genre de prof hyper littéraire usant de nombreuses métaphores à chaque fois qu'il parlait..
Sinon, effectivement, il a un côté très Vénusien avec cet et le maître en au DSC. Le amas en et M8 dont le et , cela résonne vraiment comme un "intellectuel provocateur" désireux de "destruction" en mettant clairement les choses au clair, que ça plaît ou non. Cela se sent vraiment dans ses écrits..
Mais derrière ce personnage pouvant sembler "grossier", je suis sûr qu'il était d'une sensibilité énorme avec cette en ..
Bin, oui, c'est ça le paradoxe. C'est l'être humain dans toute sa dualité, je dirais. Un très bon exemple.
Ce type, après ses pérégrinations en Afrique, Amérique et ailleurs, a terminé sa médecine et est devenu médecin des pauvres.
Il avait des chiens, un chat, un perroquet, que sais-je, une femme (danseuse qui donnait des cours particuliers au dessus de son pavillon de banlieue à Clichy, je ne sais plus...). il détestait le bruit, la vulgarité, la lourdeur (très / / ) etc.
Mais ces pieds sont dans cette maison 8 bourrée, le naturel qui revient au galop (comme Baudelaire)
Il y aussi un truc qui me tape à l’œil.. Tu dis qu'il a voyagé en Afrique, était médecin des pauvres.. En numérologie, LF Céline a pour chemin de vie le 9, autrement dit l'humaniste, le voyageur, l'idéaliste, l'altruiste, l'artiste, ..
rétrograde en M12, en analogie aux et à est souvent à l'image des médecins et du milieu médical.. La et en en M5, pourraient aussi confier un côté altruiste au personnage, comme passion et reconnaissance..
Enfin, un amas en M8 avec (la vie) (l'altruisme) et (la transformation), le tout en (l'intelligence et la relation), pourrait aussi être des prédispositions à la médecine..
Au fond, que retenir de LF Céline.. À en connaître davantage sur sa vie, il est frappant de voir que son thème prédispose en effet à l'auteur, mais également au médecin, deux activités ayant surement beaucoup de sens dans sa vie et ce pour quoi il a été très reconnu ( en ) de son vivant..
j'ai souvent en tête cette image où Céline décrit le ciel entre deux maisons comme une cicatrice... ou une plaie béante... je ne sais plus exactement...
j'ai lu et étudié le "Voyage au bout de la nuit" il y a longtemps... Effectivement; au-delà de l'ambiguïté du personnage, il a une "petite musique" bien à lui... Mélangeant la langue populaire, parlée et la langue écrite... Je me souviens des principaux thèmes: l'absurdité de la guerre, les belles jambes des dames américaines... et inaccessibles... le huis clos du bateau où tout le monde a envie de l'étriper, et la moiteur qu'il évoque à propos de l'Afrique...
Et en dépit de l'ambiguïté du personnage, je n'ai pu m'empêcher de garder des notes de mes cours de lettres sur Céline... car il a réellement inventé un style à lui. L'un des vestiges d'un autre temps.
Sans doute que l"écrivain a aussi des accents désespérés mais on sent percer une lucidité sur l'absurdité de la guerre par exemple (quand Bardamu va vomir tripes et boyaux derrière un arbre...).
PS Mais bon c'est l'écrivain qui m'intéresse.. le type en lui-même beaucoup moins...
Sujet: Re: Louis-Ferdinand CELINE Mar 20 Fév 2018 - 0:20
C'est gentil Maldoror... !
surtout venant de toi qui écrit de belles poésies à l'accent baudelairien...
Maldoror
Sujet: Re: Louis-Ferdinand CELINE Mer 21 Fév 2018 - 14:09
Merci à toi aussi
Pas question que Bardamu, pardon Ferdinand, ripe comme ça, à la casse, à la benne, la niche, les bloches... comme feu "les nichons et l'astro"...
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Sujet: Re: Louis-Ferdinand CELINE Mer 21 Fév 2018 - 15:08
bon, bon, bon, pourtant tu sais bien que Bardamu était prompt à prendre la fuite... face à l'horreur de la guerre (et peut-on lui donner tort à ce sujet?)
Maldoror
Sujet: Re: Louis-Ferdinand CELINE Mer 21 Fév 2018 - 18:23
Maldoror
Sujet: Re: Louis-Ferdinand CELINE Jeu 22 Fév 2018 - 18:41
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Sujet: Re: Louis-Ferdinand CELINE Jeu 22 Fév 2018 - 19:14
Tiens je l'avais oublié celui-là, cet Alcyd(e)!
C'est curieux, avec cet accent typique de Céline - sur fonds de monologue intérieur sans en être vraiment un -.
J'imagine bien un lieutenant au fonds de sa p'tite hutte... bien gros et gras... niché en lisière de la jungle...Prêt à tous les trafics... Dissimulant son secret dans une petite boîte... presque honteux, au fonds, qu'on ait deviné celui-ci... comme si être humain il fallait le cacher.
Maldoror
Sujet: Re: Louis-Ferdinand CELINE Jeu 22 Fév 2018 - 21:08
Mais oui mais t'imagine le bougre, il écrit, le tarbouif dans le guidon, quelques 80.000 feuillets qu'il relie par des pinces à linge qui pendent à ses poutres entre le nichoir du cacatoes et l'arraignée qu'il trimballe au plafond...
De là sortira la quintescence de sa "petite musique" en 600 pages...
Et puis le personnage, son oeil totalement en dedans lui-même, qui soliloque; et puis d'un coup, il se raidit, il regimbe, trouve le ton, son oeil, quel oeil alors! s'éclaire d'une lucidité imparable et la formule est là, tranchante, comme une bascule à Charlot sur la place de Grève... "Mais monsieur des histoires, y en a partout, vous comprenez, dans tous les commissariats, des histoires mais le style, monsieur... le style, c'est très rare, y en a un ou deux ou trois par génération, des styles... les autres écrivains, ce sont des pauvres aptères, des pauvres cafouilleux qui rampent... " etc.
Dernière édition par Maldoror le Jeu 22 Fév 2018 - 21:33, édité 1 fois
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Sujet: Re: Louis-Ferdinand CELINE Jeu 22 Fév 2018 - 21:22
enfin "le style c'est l'homme même!" disait Buffon!
drôle de bureau, drôle d'atelier tout de même... Difficile à imaginer...
En accrochant ses papiers à des pinces à linge... cela laisse rêveur...
mais écrire c'est parfois nécessaire. Pour certains...