Rappel du premier message : Bonjour,
voici quelques "infos-web" sur le
noir qui serait l'antithèse de la
...
selon
Mamevoy,
il a une importance en astrologie mondiale, mais c'est de l'astrologie évolutive dont il s'agit et seules les
avec celui-ci ou avec le périgée solaire sont importantes et cela, à moins d'un degré d'orbe.
Elle rajoutte que le
noir, ce sont : les fleuves, les rivières, la mouvance, la perpétuelle fluidité des êtres et des choses, l'éternelle instabilité et l'éternité de l'éphémère. L'hypersensibilité, le fanatisme, l'extrême désir d'exister, le centre de la poésie qui est l'éternité. Les épopées, la nécessité subie.
(
source)
Selon
Renée Lebeuf,
le
noir est la face caché du
.
Il nous indique le potentiel de destruction dont nous nous rendons responsables et auquel nous devrons faire face ainsi que d’avoir à vivre collectivement une transition de redressement.
(
source)
en
T /
/
noir :
1er janvier 2015 :
29 janvier 2015 :
Le
noir en maisons :
En Maison
I,
le
noir est un principe de narcissisme. II invite au repli sur soi, à l’introspection. Il encourage à la connaissance des choses occultes, inconnues ou cachées. Il représente une personnalité sous influence, souvent incapable de s’abstraire, de dominer les événements.
En Maison
II,
le
noir est un facteur d’abondance. Il invite à croire à la providence, à la multiplication des petits pains. Mais il rend très panier percé, prodigue de tout et de rien. Idéal pour faire table ouverte, pour vivre au-dessus de ses moyens. Mais l’existence est souvent bohème.
En Maison
III,
il est un facteur de crédulité. Avec le
noir en Maison
III, on ne marche pas, on court. Mais c’est aussi un principe d’affabulation. On a tendance à s’écouter parler, à dire n’importe quoi pour le seul plaisir de le dire et les mots souvent dépassent les intentions.
En Maison
IV,
le
noir donne l’impression que l’on est partout chez soi et s’assortit du sentiment que l’on est le fils ou la fille de tout le monde. Le sens de la famille est élargi à tous les proches. Les comportements sont souvent d’une grande familiarité et parfois sans-gêne.
En Maison
V,
il est un principe de fécondité, un facteur de gaspillage. Avec le
noir en Maison
V, on a tendance à donner de soi-même sans mesure. Profusion des plaisirs, débordements des amours, outrance des passions, effervescence des sentiments : tout devient bon pour se sentir vivre, pour exulter. Un inconvénient : faire parfois des enfants malgré soi.
En Maison
VI,
le
noir est un facteur d’abandon. La volonté est souvent défaillante. On s’épuise rapidement dans la monotonie, la répétition des tâches quotidiennes. Travailler devient souvent une source de déboires, la personnalité est paresseuse, incline à se faire exploiter ou tend à l’exploitation des activités d’autrui.
En Maison
VII,
il est un principe d’amour-propre. Avec le
noir en Maison
VII, l’autre devient un partenaire privilégié. Mais les rapports avec les autres sont exclusifs ; ils ne souffrent pas le partage. Les sentiments sont naturellement mitigés, à la limite de la mauvaise foi.
En Maison
VIII,
le
noir est un problème de mœurs. Les envies deviennent irrésistibles et se masquent souvent sous une certaine hypocrisie. La personnalité est sujette à la honte ; un sentiment ambigu entre la peine et le plaisir.
En Maison
IX,
il est un principe de sublimation : joies diverses d’ordre sexuel mais aussi érotisation de tous les plaisirs. L’instinct sexuel conditionne la plupart des projets et des actes, les provoque et les stimule en permanence : l’idéal pour être pris dans un cercle vicieux.
En Maison
X,
le
noir est un principe d’humanisme : un sens aigu de la diplomatie, de la parole qui met à l’aise, du geste, du mot, qui brisent la glace. Mais c’est aussi un facteur de complaisance, l’indice d’une certaine sensiblerie dans les relations avec les autres.
En Maison
XI,
c’est un principe de spiritualité, l’indice d’un talent : art de l’observation, mémoire des détails, précision des impressions. Les rapports avec les autres sont plutôt critiques, à la limite de l’ironie.
En Maison
XII,
le
noir est un facteur d’héroïsme, et l’indice souvent d’un orgueil démesuré. Il incline à la bonne volonté, au partage des richesses. Mais l’existence est souvent vécue comme un combat où on est très prodigue de ses énergies.
(
source)
Le
noir avance d’une minute d’angle par an. Il est actuellement à
13° du
(pendant 1800 ans dans le même signe). Dans la symbolique, il est lié évidemment à la recherche de qualité d’être, par intégration du TOUT HUMAIN.
noir en
:
Il nous encourage à devenir ENTIER, à ce qu’il ne nous manque rien, vers une évolution toute humaine. Au niveau émotionnel, la notion d’intégration (propre au
) d’une telle solidarité est fondamentale. Le signe du
est associé au solstice d’été, le jour le plus long. Dynamique de complémentarité avec le
.
(
source)
Le
noir et la
sont beaucoup plus cosmiques que le
et la
qui sont des valeurs d'existence ; et dans les thèmes où le
noir et la
se trouvent en relation par aspects, ou lorsque leur situation est intensifiée, la personne réelle prend à son compte l'aspect cosmique général.
La
est en rapport avec l'esprit tandis que le
noir l'est avec l'âme, la
est une licorne dont la corne est permanente, et le
noir un cerf dont les bois tombent et repoussent chaque année. La tête de la
est la négativité active symbolisée par
Lilith, et la queue de la
une positivité passive dont le symbole est
Sisyphe, héros du devenir répétitif. Quant au
noir, sa tête est une positivité active :
Dionysos ; et sa queue est une négativité passive. On comprend dès lors que la tête de
est un anti-devenir, et sa queue un devenir répétitif, alors que la tête du
noir est un devenir dilaté, et la queue un devenir brutalement arrêté.
(
source)
Le
noir est le maître du
et du
, exalté en
et
, exil en
, en chute dans le
, en affinités avec les
et le
. Là encore, ces domiciles ne sont que pure supposition.
(
source)
Dionysos, appelé encore le
noir, est le point d'équilibre du
, il représente la part inconsciente, le trou
noir, la partie non éveillée à la Connaissance. Son utilisation est peu fréquente, et... controversée sans doute à juste titre. Il ne parcourt qu'un degré et 52 minutes par an, il est donc de nature collective. Le point où il se trouve signifie le domaine où l'individu va rencontrer la collectivité de la façon la plus nette pour lui.
(
source)
Le
noir est en quelque sorte l’antithèse de la
. Non qu’il soit opposé mais il représente un parallèle de révélation face au mystère de l’être
. On pourrait faire un quaternaire : La verticalité de la
entre son apogée (Nord) et son périgée (Sud), et une horizontalité du
noir entre son périgée (Ouest) et son apogée (Est). Si la
tient plus des éléments planétaires de
et d’
, et donc d’une certaine lutte de dépendance, d’anarchie libérale, le
noir tient plus de la
et de
, donc d’une participation, d’une jubilation de fusion du concept de créativité. La
est une recherche de liberté, le
noir est une exécution de cette liberté. Entendez par là que la
est le bourreau alors que
noir est le supplicié, il y a un coté sacrifice chez ce dernier.
c’est la déduction, le
noir l’illumination. Avec la
on s’oppose, avec
noir on se fond. La
est distance, le
noir est participation qui est charité et compassion. La
c’est l’insensibilité, le
noir l’hypersensibilité.
, le Scepticisme, le
noir, le fanatisme. La
prend la tournure de l’ascète, alors que le
noir c’est l’extrême désir d’exister. Avec la
on prend des rendez-vous, avec
noir on fait des rencontres. Avec la
ce sont les miroirs, avec le
noir les kaléidoscopes. La
est le pouvoir de structuration, alors que le
noir c’est le pouvoir d’imagination. La
organise les voyages planifiés, précis, le
noir les vit de manière spontanée, c’est l’aventure.
(
source)