On pourrait émettre l'hypothèse que notre évolution économique et technologique soit telle, qu'un réseau conséquent de flux financiers entre entités morales (au sens, opposées aux personnes physiques) alimente l'économie, comme si l'économie, qui était au préalable liée aux besoins des personnes physiques, créaient de la croissance supplémentaire, par les besoins des entités morales, sans lien avec les humains, comme des passe-plats étrangers à l'humain, mais qui génèrent du chiffre.