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Auteur | Message |
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cheliel
| Sujet: Vomir son vague à l'âme Mar 28 Juin 2022 - 15:03 | |
| Rappel du premier message :Bonjour à toutes et à tous, J’interviens rarement ces derniers temps et relativement peu pour parler de ce qui m’arrive ou me perturbe, mais 2022 est une année difficile. Au-delà des aspects sociétaux qui ressemblent juste à un gros tas de fumier bien puant, je suis mal intimement. J’en ai gros sur la patate comme dirait l'autre, et j’ai besoin de vider mon sac quelque part, alors voilà, je crée ce sujet. Si vous aussi vous avez besoin d'expurger ou exprimer un mal être, partagez vos sentiments sur ce fil de discussion. Vomissez ici tous ces troubles qui pèsent sur vos humeurs.
Dernière édition par cheliel le Mar 28 Juin 2022 - 15:32, édité 2 fois |
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Auteur | Message |
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Violette
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Ven 1 Juil 2022 - 11:42 | |
| Cher Cheliel, ton vague à l'âme, je dirais que tu te le"trimballes" envers les autres dans cette compassion que tu leur voues....Sans doute cette antenne neptunienne posée sur ton ascendant face à vénus sur le descendant....Si les autres ont de la chance d'être aussi écoutés, il faut que toi tu "t'armes", avoir une protection, un bouclier.... vivre pour toi, ce qui n'est pas égoïste, simplement se rendre fort.... |
| | | Celine
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Ven 1 Juil 2022 - 11:45 | |
| Je suis tombée sur cette image il y a quelques jours qui a été très parlante pour moi et qui colle bien avec le message de violette au dessus |
| | | catseyes
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Ven 1 Juil 2022 - 14:03 | |
| Cheliel, Pour répondre à ta question, quand ça commence à bouillir à l'intérieur ... je sors marcher ; j'ai un parc très proche de mon appart et je fais quelques kilomètres ; sinon, si ça ne bout pas trop, je me plonge dans un bouquin |
| | | Angèle
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Sam 2 Juil 2022 - 8:01 | |
| cheliel, - Citation :
- Je ne m’en fous pas que tu ais galéré à poster. Je trouve que ce n’est pas plus mal que tu aies raconté là tes péripéties concernant tes problèmes de connexion. Exprimer les frustrations, c’est le premier pas pour s’en affranchir.
Je ne sais pas pourquoi j'ai eu besoin d'en parler, c'est tellement anecdotique. En y réfléchissant un peu, je pense que tu as crée un espace avec ce post où toutes les petites et grandes frustrations peuvent s'exprimer librement sans souci de jugement de valeur, d'intérêt, etc. Bref, cette petite frustration matinale complètement banale et brève a trouvé un lieu d'extériorisation . - Citation :
- Alors suite à mon intervention ici, j’ai partagé mes ressentis avec ma sœur et mon compagnon. L’un comme l’autre a semblé tomber des nus.
Tomber des nus lorsqu'on se met à nu, quoi de plus logique finalement . Au-delà du jeu de mots bidon, que tu aies pu exprimer ce qui t'entravait intérieurement me semble salutaire. - Citation :
- Ma sœur ne prend pas très au sérieux ce que je ressens et sa seule réponse est qu’il nous faut probablement couper les ponts un temps, sauf que c’est une décision qu’elle avait déjà prise, mais sans l’annoncer. Elle saute seulement sur l’occasion pour officialiser ce qu’elle mettait en place depuis un moment.
Je suppose que dans les conflits adultes de fratrie se jouent beaucoup de scènes d'enfance (rivalité notamment). Il n'est pas question ici de faire une analyse de comptoir, juste tenter d'établir des liens éventuels: qu'est-ce qui se (re)joue de vos rapports d'enfance finalement au travers de ce que vivez maintenant ? Est-ce qu'on peut guérir le passé ? Je ne le pense pas, il reste ce qu'il est. Toutefois, on peut guérir du passé en modifiant notre spectre d'analyse, notre regard, etc. - Citation :
- De son côté, mon compagnon se sent dépassé. Il est conscient que ses angoisses le conduisent à être égoïste et à prioriser sur son propre bien-être, mais sa seule réponse est la peur de me voir partir par lassitude.
Personnellement, je trouve cela de très bon augure, ton compagnon semble être conscient , lucide de ce qui est en train de se jouer et des risques éventuels pour votre couple à plus long terme. - Citation :
- Je dois donc le rassurer et une fois de plus, mes propres insécurités sur le fait d’être nié dans mes besoins s’effacent derrière les siennes. J’ai l’impression d’un bon vieux cercle vicieux.
Je ne vois pas où il y a incompatibilité entre le rassurer et exprimer tes propres insécurités. L'un n'empêche pas l'autre, bien au contraire, un juste équilibre et partage se fait alors. Ton compagnon semble être ouvert au dialogue. Un espace a été créé au sein de votre couple pour qu'il puisse partager ses problématiques; un autre espace reste à créer pour exprimer les tiennes. L'espace est un lieu d'infini, y a toujours de la place . - Citation :
- Comme dis plus haut, je ne vais pas me battre, je n’ai pas d’énergie pour ça.
On peut se battre pour des valeurs par exemple mais pas contre des moulins à vents effectivement. Autrement dit, on ne peut forcer personne à l'échange, la prise de conscience. A partir de là, on prend acte et on poursuit sa route du mieux qu'on peut. - Citation :
- Pour ce qui est de l’amour inconditionnel, j’entends la raison et le bon sens qui soutiennent ton propos. Toutefois, ce que j’imagine, c’est qu’on ne peut pas attendre de l’autre qu’il nous aime parce que nous l’aimons, ou tout du moins que cela se situe sur le même niveau d’intensité. Être aimé n’entraîne aucune obligation, surtout quand on l’est malgré nous et indépendamment de notre propre engagement dans les sentiments qui nous sont destinés. En ce sens, j’imagine qu’il est plutôt sain de ne rien attendre de spécifique et simplement profiter de ce qu’il est possible de partager.
Nous sommes bien d'accord, sûrement me suis-je mal exprimée, désolée. Personnellement, j'aime beaucoup de choses dans l'absolu, des objets, des événements, des personnalités, etc. Et forcément, je n'en attends aucune réciprocité car je n'en aurai jamais aucune . Ceci étant dit, si on pousse le bouchon un peu plus loin et en étant le plus honnête possible, je les aime notamment parce que j'en retire une satisfaction, ils me font du bien, me réconfortent, me font grandir, voyager, rêver, etc. Quelque part, je reçois un témoignage d'amour de leur part (oui, je sais, c'est tordu ). Après, si on va encore plus loin en prenant comme leitmotiv religieux "tu aimeras ton prochain comme toi même" sous-entendu même le pire des assassins mérite ton amour (l'amour inconditionnel prend alors tout son sens), je t'avoue que j'ai du mal. Je comprends philosophiquement l'idée d'envoyer de l'amour à ces personnes qui font du mal aux autres mais aussi à elles-mêmes (et ont parfois subi un vécu traumatique par le passé) mais la mise en pratique demande de sacrés efforts qui ne vont pas de soi... Sinon, je n'attends pas non plus la même réciprocité dans l'intensité que je peux mettre dans tel ou tel lien; j'accepte avec gratitude ce qu'on m'offre (et ça n'a pas toujours été le cas mais je me soigne ), j'offre ce que j'ai envie et/ou besoin de donner, exprimer parfois même à des personnes que je connais à peine et que je ne reverrai sans doute plus. Une attention, un mot, un soutien ponctuel offerts de façon spontanée dans un contexte, un moment bien spécifique. Et ça me suffit. - Citation :
- Après, quand il s’agit d’un amour intime, c’est bien évidemment différent, puisqu’il se base sur un partenariat dans la vie et donc une réciprocité.
Au-delà de cette nature du lien, on ne peut vivre sans témoignage d'amour. Les neurosciences par exemple ont relevé le lien causal entre de graves retards de développement cérébral, cognitif, intellectuel, moteur, etc. et le défaut d'attention, de reconnaissance, de tendresse vécus par des nouveaux-nés, des enfants. Nous avons aussi besoin d'être nourris d'amour, ou plutôt de marques d'amour. Il faut des traces suffisantes pour dessiner des contours harmonieux. On se construit d'abord au travers du regard qu'on porte sur nous, du discours que l'on construit sur nous (je fais référence à ce que j'écrivais plus tôt quant au rôle assigné parfois au nouveau-né dans la famille: enfant "sauveur" du couple, enfant "de remplacement", etc.), de l'interaction avec l'Autre, de l'échange qui s'y opère, il y a une réelle dialectique entre l'altérité et l'individualité. C'est une (res)source importante à partir de laquelle on peut se forger mais aussi souvent se forcer, s'enfermer. Heureusement, rien n'est figé dans le marbre et la puissance créatrice de chacun est là aussi d'un grand secours. Et suit tout le corollaire des questions de légitimité qui se répercuteront plus tard à l'âge adulte... - Citation :
- Enfin, il y a une différence de taille entre ne rien attendre de particulier (pour éviter tout phénomène de projection idéalisée menant le plus souvent à des déceptions) et être nié ou bridé dans la relation.
Je ne sais pas. Attendre de ne pas être nié c'est attendre quelque chose. Et moi, ça me semble légitime. |
| | | cheliel
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Lun 4 Juil 2022 - 10:39 | |
| Douce Navane des nuages : Merci de reposter ce message ici et oui, il demeure pertinent et d’actualité malgré le temps qui passe. Je n’ignore plus ce besoin de reconnaissance qui m’anime, et je crois que j’ai pas mal avancé ces dernières années sur ce plan. Tout ce que tu exprimes sur le sujet est par ailleurs très juste et empli de cette compréhension qui te caractérise bien. Je progresse également sur le sujet de la réciprocité, et le besoin d’équilibre dans les relations que j’entretiens, d’où cette frustration de plus en plus forte quand je constate que je suis encore dans des schémas qui m’effacent au profit de l’autre. Je crois que c’est l’une des raisons pour lesquelles aujourd’hui, ma revendication est mal perçue, parce qu’elle sort du cadre habituel où je me plie, où je concède. Je ne changerais pas le fait de mettre de l’eau dans mon vin pour que les choses se déroulent au mieux, mais je ne souhaite plus minimiser mes propres besoins sous prétexte d’aider les autres, surtout quand en définitive, c’est encore à moi d’assumer des complexes qui ne sont pas miens. Je ne supporte pas l’injustice, or j’ai la sensation de plus en plus prégnante d’avoir été et d’être encore traité injustement. Je me suis laissé enfermé dans le rôle du coupable désigné pour de multiples raisons qui remontent à l’enfance. J’étais coupable des humeurs de ma mère et des crises de couple de mes parents. J’étais coupable d’être un vilain petit canard, coupable de parler quand on aurait voulu que je me taise, coupable d’être vivant alors qu’on attendait de moi que je sois un bibelot dans la vitrine de la famille idéale. J’étais coupable d’avoir des comportements marginaux dans une société qui souhaite la conformité, j’étais coupable de cristalliser ce qui n’allait pas dans mon environnement. Et naturellement, pour ne pas être que coupable, je me suis mis à tenter de réparer le malheur, guérir la mauvaise vie qui s’épandait à mes alentours comme si j’étais la source d’un poison. J’ai fait beaucoup d’erreurs en empruntant cette voie, dont le fait d’accepter tout ce qui pesait sur ce que je représentais malgré moi. Je me suis égaré sur des sentiers accidenté, j’ai eu de nombreuses crises identitaires, j’ai fait des choix douteux pour mériter l’attention et l’amour. Je me suis avili dans la croyance qu’il me fallait tout accepter si je voulais recevoir les bonnes grâces des personnes qui constituaient mon entourage. J’ai aboyé quand je me sentais mal et que mon instinct me poussait à me défendre, mais je n’ai jamais mordu, me soumettant à l’inadmissible pour mériter deux ou trois caresses par ci par là. Aujourd’hui, après de multiples recherches et dans le désir d’améliorer mon destin, je ne peux plus me contenter de ce traitement, d’ailleurs, je ne m’en suis jamais vraiment contenté, je croyais juste que c’était la seule chose que je méritais parce que j’étais moi. J’essaie d’exister à ma mesure, sans prendre l’aval, mais sans m’éteindre dans la honte d’être. J’apprends à vivre et à revendiquer l’équité. En tout cas, merci pour ton écoute apaisante et tes visions stabilisatrices. Bisous du matin Ileautresor : Je te remercie pour ton partage d’expérience et tes conseils, la douceur et l’optimisme qui émane de ta personne. Ton parcours est impressionnant et constater ta capacité à persévérer et à revenir des épreuves qui l’ont jalonné est juste magnifique. Merci de confier là, les divers cheminements qui t’ont fait devenir toi et d’y dévoiler cette espérance intacte et renouvelée, transmissible à travers les choix que tu as fait de te dédier à la guérison des autres. Ton dévouement est beau pour ne pas dire exemplaire et si tu y trouves ton équilibre en apprenant à dire non pour te préserver quand tu sens que l’abus n’est pas loin, alors je suis fier de toi et j’espère pouvoir te ressembler à l’avenir. Céline : Je pense que tu as raison de ne pas mettre la pression avec tout ça. Enfin, j’espère que tu t’es bien remise de ces jours de fièvre et que tu peux revenir à la normal en termes d’énergies. Être vu tel que l’on est, encore un grand débat je crois. La première question qui me vient c’est est-ce que nous savons vraiment et entièrement qui nous sommes, sachant que le temps fait son œuvre en nous et que nous changeons ? Si nous ne le savons pas réellement, pourquoi attendrions-nous des autres qu’ils nous renvoient ce qui fait notre identité ? Et puis, il y a ce qu’on désire projeter de nous, ce que l’on voudrait être et ce que l’on est vraiment. Je ne sais pas si nous sommes perceptibles dans toute la complexité de nos histoires et quelque part, je ne crois pas que ce soit quelque chose qu’il faille désirer. Il est bon de cultiver le jardin de ses secrets, juste ce qu’il faut pour que ce ne soit pas lourd à porter et conserver sa part d’irréductible mystère. Me concernant, j’essaie d’être authentique, mais ça change d’un jour à l’autre, en fonction des ressentis et de ce que je me permets d’expérimenter ou pas. Je ne réclame pas que les gens me voient d’une certaine manière, en tout cas, je ne pense pas que ça soit le cas. J’imagine que j’aimerais seulement que ce que je fais pour eux soit reconnu à sa juste valeur, tout simplement. Ils peuvent me coller toutes les étiquettes qu’ils veulent, je n’ai pas la prétention d’agir sur leur manière de me percevoir, car chacun a son propre prisme et sa liberté de comprendre ou non. Par contre les actes ont un sens et une signification et je demande uniquement à ce que ce ne soit pas travestit en autre chose, pour qu’ils puissent s’arranger avec leur propre conscience, parce que là, ça devient de la malhonnêteté. C’est tout en fait. En tout cas, merci pour tes réflexions qui me poussent aussi à comprendre que la distance avec les gens aimés n’est pas forcément synonyme d’abandon. Bisous Tata Violette : Ce que tu me dis, mon père ne cesse de me le dire et j’ai du mal. Je ne comprends pas comment mettre en place un bouclier sans devenir indifférent. J’ai peur de m’insensibiliser pour me protéger. Je sais bien que ça ne fonctionne pas vraiment comme ça, mais c’est ce que j’éprouve quand j’y pense. Quoi qu’il en soit, tes mots sont de beaux encouragements. Merci de me les réserver et de me rendre plus fort de leur lecture. Catseyes : merci pour tes petites astuces, j’essaierai de les appliquer pour voir si ça marche sur moi. Angèle : Tu me laisses beaucoup de choses à revisiter. C’est très généreux de ta part, d’autant que cela me permet vraiment de sortir de ces croyances que je nourris inconsciemment pour tenter de nouvelles approches intellectuelles et sensibles. Tu me mets devant certains paradoxes que j’exprime ici et si je ne sais pas encore comment les aborder personnellement, le simple fait de saisir que ce sont des paradoxes me permet de sortir de cette tendance aux reproches pour simplement accepter que nous sommes tous faits de contradictions, et que chacun de nous apprend à avancer avec. Pour revenir sur ce point avec mon compagnon, je ne souhaitais pas révéler d’incompatibilité entre le fait de le rassurer et celui d’exprimer mes propres insécurités. Toutefois, cet espace que j’ai ouvert pour dire ce qui me pesait est devenu celui où son angoisse a pris le dessus. Je lui laisse entendre que je souffre de ne pas être pris en compte et en dernier ressort, tout se focalise de nouveau sur son seul mal être. C’est là où le bât blesse et seulement là, puisque je suis tout à fait disposé à écouter ses angoisses et tenter de les apaiser avec lui, en dépit du fait que j’ai mes propres complexes par ailleurs. Le fait est qu’il a réussi à investir l’espace expressif de mes doutes pour les remplacer par les siens. Je ne pense pas qu’il soit réellement conscient des implications, puisqu’il se place en victime de la situation, la personne qu’il faut rassurer. Ainsi, il n’a pas à revisiter ses propres comportements, il se protège simplement de la remise en question. Il ne fera pas l’effort de me concéder même la possibilité de me sentir lésé, puisqu’il sera de toute façon plus mal que moi du fait de cette angoisse qu’il développe à la moindre perturbation. Je suis certain que ce n’est pas intentionnel de sa part et que cela relève d’un réflexe. Ceci étant, je m’adapte une fois de plus à lui et ce que je lui ai révélé de mes propres frustrations semble passer à la trappe, loin derrière ses perturbations. J'ai la conviction qu'il est une bonne personne, mais il ne pense aux autres qu'à travers lui, il a du mal à se mettre à la place de ceux qui l'entourent. Je ne lui demande pas de devenir quelqu'un d'autre, mais d'être simplement plus à l'écoute des expériences et des points de vue qui dénotent du sien. Enfin, tu me donnes matière à chercher d’autres explications. Merci tout plein et je l’espère, à bientôt. La bise
Dernière édition par cheliel le Lun 4 Juil 2022 - 11:34, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Lun 4 Juil 2022 - 11:28 | |
| Ta réaction, Cheliel, sur le forum m'évoque ce que je ressens dans la vie de tous les jours en France et avec les français en particulier.
J'ai l'impression que, culturellement parlant, nous avons tendance à survaloriser l'extraversion et l'entreprenariat sur d'autres dispositions d'esprit. En tant que Neptunien, on me critique parce que je donne l'impression de ne pas aller vers les autres. Je n'aime pas cela. Je me sens connecté aux autres parce que, quoiqu'il arrive, si on me demande quelque chose, je suis prêt à écouter et à agir avec simplicité et bienveillance. J'ai des ententes intuitives spécifiques. J'adore parler de tout. Mais, bizarrement, le fait que je ne m'entende pas spontanément avec tout le monde rigidifie totalement mes contacts avec la famille et les connaissances. Je ne m'intègre donc pas facilement, sauf exceptions.
Je ne sais pas si cela peut t'aider, mais peut-être qu'il y a un biais culturel qui explique ce que tu vis en ce moment. |
| | | Violette
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Lun 4 Juil 2022 - 11:36 | |
| Pour moi, ce n'est pas que...culturel mais aussi et surtout éducatif c'est le mot "jugement" des autres qui me vient à l'esprit en vous lisant.... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Lun 4 Juil 2022 - 11:38 | |
| Merci Cheliel mais je ne suis parfaite loin de là! Là je lis des livres sur les façon de guérir et de soigner grâce aux plantes et aux fleurs. L'2glantier me conviendrait bien (lorsque l'énergie déborde et me met dans tous mes états par exemple!) :-D J'arrive parfois à dire non lorsque l'abus est trop manifeste, sinon heureusement j'ai des amis qui m'aident en coulisse. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Lun 4 Juil 2022 - 11:41 | |
| https://www.babelio.com/liste/23261/Plantes-et-fleurs-pour-se-soigner-lame-et-le-corp |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Lun 4 Juil 2022 - 12:55 | |
| Remedios, je ne saurais te répondre du point de vue astro même si ton TN était apparent, quelques mots tout de même. Nous nous sommes retrouvés plusieurs fois à des échanges vigoureux (je vais être sympa), alors même que parfois tu m'attaques de front, ne partageant pas une partie de mes analyses et opinions. A cela, je trouve que cela fait partie de la vie, on ne partage pas forcément les mêmes idées, concepts, etc, et cela contribue aux confrontations parfois nécessaires. Toutefois, tu aimes bien "chercher". Cela me fait penser à l'expression "tu me cherches", un peu comme le début d'une action martienne. Martienne au sens de mars, pas des martiens car j'ai cru comprendre que les extraterrestres sont pas tes amis . Tout cela pour revenir à ton message : je ne crois pas que ce soit culturel, je dirais c'est une façon de voir le monde, les humains. Chose qui change selon les moments de notre existence. Après te prends pas la tête, on peut pas s'entendre avec tout le monde. "quoiqu'il arrive, si on me demande quelque chose, je suis prêt à écouter et à agir avec simplicité et bienveillance".Tu es toujours prêt à répondre aux diverses demandes de personnes ayant des questions sur ce forum. Cette spontanéité empathique naturelle ennoblit tes belles valeurs humaines, certainement le beau côté de neptune. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Lun 4 Juil 2022 - 13:07 | |
| Cela vient certainement de ma Lune en Sagittaire mais je suis une personne extrêmement optimiste sur le plan de l'entente entre humains. Je pense qu'avec un peu de volonté, on peut arriver à tous s'entendre. Cela m'attriste donc de me retrouver au centre de bisbilles et je n'approuve pas les mouvances idéologiques qui, au lieu de favoriser la compréhension entre humains, jettent de l'huile sur le feu. Je vois bien que tout est fait, de nos jours, pour diviser les gens entre eux. |
| | | cheliel
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Lun 4 Juil 2022 - 14:56 | |
| Remedios,
Je pense que tu n’as pas totalement tort sur le phénomène sociétal qui est susceptible de pourrir les rapports humains. Je serais plus réservé quant au fait que cela est strictement franco-français, car j’ai la sensation que c’est un phénomène qui frappe tout l’occident ces dernières années. Les mouvements de bien-pensance et pseudo libertaires qui envahissent la culture du développement personnel sont tout de même à la base d’une certaine pollution de l’idée qu’on se fait de la tolérance. Il y a une forme de radicalisation qui s’opère et dès lors qu’on s’interroge sur le bien-fondé de certains mouvements de pensées, on est stigmatisé en tant que « anti » quelque chose.
Nous vivons une époque assez manichéenne ou si on n’est pas pour on est forcément contre et on devient dès lors un ennemi à abattre. Les nuances foutent le camp et c’est d’autant plus difficile à encaisser lorsqu’on est de ces êtres mesurés qui ne se contentent pas d’explicatives simplistes et par trop tranchée. À l’époque du tout individuel, chacun est entouré de pervers narcissiques, qui pullulent avec la même efficacité qu’un virus, et dès lors qu’on est brusqué dans nos convictions c’est qu’on manque de respect à notre être profond. On ne peut plus rien dire sans que nos propos soient déformés, amplifiés, et se transforment en procès d’intentions.
Ainsi va la culture des rapports humains, déconnectés les uns des autres par une surenchère d’informations contradictoires et virtuelles, où chacun veut tirer son épingle du jeu communautaire au détriment des autres. La solidarité prend une claque dans l’opération et se transforme en un vague concept qu’on vend comme un produit à la mode. En fait, on se désolidarise à la moindre contrariété, changeant de conviction aussi rapidement que les annonceurs du scénario médiatique agitent leurs avis dans un sens ou dans l’autre. La division est bien là, on cherche des étiquettes pour chaque chose et on n’est plus entrevu que comme une compilation de tendances.
Exemple : « elle est trans-femme hétérosexuelle avec un net penchant pour la sapiosexualité » ; ce n’est pas simplement un humain parmi d’autres qui aime ses congénères. Non, ses goûts la définissent plus que tout le reste et la désolidarise du groupe car ses distinctions n’en font pas un être exceptionnel, mais une exception, coupé du collectif pas ses différences. Et la discrimination ne s’arrête plus, renfermant les individualités sur elles-mêmes jusqu'à les exclure, les laissant incapables de voir ce qui les relient les unes aux autres. Car c’est bien entendu implicite, mais on ne peut s’entendre qu’avec ceux qui sont comme nous et comme plus personne n’est comme plus personne, c’est la fin des possibilités du lien.
Enfin, sans rentrer nécessairement dans ce genre de détails scabreux et probablement un tantinet caricatural, il est évident que le mouvement de fond qui impact le collectif, se retranscrit d’une manière ou d’une autre sur les plans intimes. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Lun 4 Juil 2022 - 19:27 | |
| cheliel chéri, En jetant un pavé dans la mare, il y a eu un choc. Il n'y a pas eu indifférence. Beaucoup de choses semblent s'être accumulé et les schémas difficiles à briser ou du moins à redessiner quand ils sont très ancrés. La période est manifestement charnière. C'est peut-être une question de temps – un temps nécessaire à toutes les parties – pour que chacun digère, accepte, se réajuste et intègre ce que tu as récemment exprimé ? Je vous le souhaite, en tout cas - cheliel a écrit:
- Je ne supporte pas l’injustice, or j’ai la sensation de plus en plus prégnante d’avoir été et d’être encore traité injustement. Je me suis laissé enfermé dans le rôle du coupable désigné pour de multiples raisons qui remontent à l’enfance. J’étais coupable des humeurs de ma mère et des crises de couple de mes parents. J’étais coupable d’être un vilain petit canard, coupable de parler quand on aurait voulu que je me taise, coupable d’être vivant alors qu’on attendait de moi que je sois un bibelot dans la vitrine de la famille idéale. J’étais coupable d’avoir des comportements marginaux dans une société qui souhaite la conformité, j’étais coupable de cristalliser ce qui n’allait pas dans mon environnement. Et naturellement, pour ne pas être que coupable, je me suis mis à tenter de réparer le malheur, guérir la mauvaise vie qui s’épandait à mes alentours comme si j’étais la source d’un poison.
J’ai fait beaucoup d’erreurs en empruntant cette voie, dont le fait d’accepter tout ce qui pesait sur ce que je représentais malgré moi. Je me suis égaré sur des sentiers accidenté, j’ai eu de nombreuses crises identitaires, j’ai fait des choix douteux pour mériter l’attention et l’amour. Je me suis avili dans la croyance qu’il me fallait tout accepter si je voulais recevoir les bonnes grâces des personnes qui constituaient mon entourage.
J’ai aboyé quand je me sentais mal et que mon instinct me poussait à me défendre, mais je n’ai jamais mordu, me soumettant à l’inadmissible pour mériter deux ou trois caresses par ci par là. Aujourd’hui, après de multiples recherches et dans le désir d’améliorer mon destin, je ne peux plus me contenter de ce traitement, d’ailleurs, je ne m’en suis jamais vraiment contenté, je croyais juste que c’était la seule chose que je méritais parce que j’étais moi. J’essaie d’exister à ma mesure, sans prendre l’aval, mais sans m’éteindre dans la honte d’être. J’apprends à vivre et à revendiquer l’équité. Ça m'a fait penser à cette séquence : - Spoiler:
- Citation :
- Être vu tel que l’on est, encore un grand débat je crois. La première question qui me vient c’est est-ce que nous savons vraiment et entièrement qui nous sommes, sachant que le temps fait son œuvre en nous et que nous changeons ? Si nous ne le savons pas réellement, pourquoi attendrions-nous des autres qu’ils nous renvoient ce qui fait notre identité ? Et puis, il y a ce qu’on désire projeter de nous, ce que l’on voudrait être et ce que l’on est vraiment.
Justement, c'est à l'aulne de l'altérité que l'on se redécouvre, bien souvent au-delà de ce que l'on croit être. Et ce n'est pas forcément agréable. - Citation :
- J’imagine que j’aimerais seulement que ce que je fais pour eux soit reconnu à sa juste valeur, tout simplement.
Y'a un mot en trop, non ? |
| | | cheliel
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Mar 5 Juil 2022 - 8:54 | |
| Tendre Navane , J’ai pleuré, pendant une vingtaine de minutes après la lecture de ton message. C’était profond et ça venait de loin. Ça m’a fait du bien, un soulagement inattendu, un poids qui s’évapore dans l’expression d’une tristesse ancienne. Merci ma douce amie pour tes mots, pour le présent de ce soutien que tu m’offres ici et ces perspectives nouvelles qui émanent de tes commentaires. Oui, il y a un mot en trop. Bisous de ouf PS : bon rétablissement à tes frères |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Mar 5 Juil 2022 - 9:39 | |
| C'est la scène du film qui t'a bouleversé à ce point ? J'aurais pu dire beaucoup, j'ai encore à dire sur les différents thèmes développés, mais sur ce point, j'ai opté pour l'image (elle s'est imposée) en me disant que ce serait plus évocateur.
PS : Merci pour mes frères. Ils vont mieux, c'était pas méchant. |
| | | cheliel
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Mar 5 Juil 2022 - 10:13 | |
| Oui, c'est la scène du film. Je me suis retrouvé à pleurer avec Matt Damon, presque simultanément, dans un refus synchrone et une irrépressible ouverture des vannes. Content de savoir que c'était pas méchant et que tes frères vont mieux. Encore un Kiss pour la route, parce que tu es toi et un autre parce que ta bouille est un appel aux bisous |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Jeu 7 Juil 2022 - 11:00 | |
| - cheliel a écrit:
[...]
Ainsi va la culture des rapports humains, déconnectés les uns des autres par une surenchère d’informations contradictoires et virtuelles, où chacun veut tirer son épingle du jeu communautaire au détriment des autres. La solidarité prend une claque dans l’opération et se transforme en un vague concept qu’on vend comme un produit à la mode. En fait, on se désolidarise à la moindre contrariété, changeant de conviction aussi rapidement que les annonceurs du scénario médiatique agitent leurs avis dans un sens ou dans l’autre. La division est bien là, on cherche des étiquettes pour chaque chose et on n’est plus entrevu que comme une compilation de tendances.
Exemple : « elle est trans-femme hétérosexuelle avec un net penchant pour la sapiosexualité » ; ce n’est pas simplement un humain parmi d’autres qui aime ses congénères. Non, ses goûts la définissent plus que tout le reste et la désolidarise du groupe car ses distinctions n’en font pas un être exceptionnel, mais une exception, coupé du collectif pas ses différences. Et la discrimination ne s’arrête plus, renfermant les individualités sur elles-mêmes jusqu'à les exclure, les laissant incapables de voir ce qui les relient les unes aux autres. Car c’est bien entendu implicite, mais on ne peut s’entendre qu’avec ceux qui sont comme nous et comme plus personne n’est comme plus personne, c’est la fin des possibilités du lien.
Enfin, sans rentrer nécessairement dans ce genre de détails scabreux et probablement un tantinet caricatural, il est évident que le mouvement de fond qui impact le collectif, se retranscrit d’une manière ou d’une autre sur les plans intimes. Tu sais, en terminant de lire ton développement, j'ai pensé "dans ton exemple, tu extrémises le propos" et s'est ensuivi "il va me répondre que c'est l’hôpital qui se fout de la charité et il aura raison". J'ai pouffé de rire Je rebondis sur un point... En m'individuant dans mon rapport au monde, je ne me réduis pas à cette individuation. Par ailleurs, les caractéristiques qui me composent à tel moment de mon évolution, sont davantage à rapprocher de ma singularité, plus que mon individualité. Et dans une situation donnée, je peux utiliser les vocables qui me correspondent pour me présenter à l'autre. Si ces vocables sont récents, ce qu'ils désignent ne l'est pas et il peut être une bonne chose que de nommer les choses. Il est une bonne chose d'assumer ce que je suis, il est enrichissant, voire libérateur, de découvrir et d'apprendre au contact de mes congénères qui assument ce qu'ils sont. Quand j'avance que je suis trans-femme hétérosexuelle avec un net penchant pour la sapiosexualité, je crois qu'il n'y a désolidarisation que dans les oreilles les plus cloisonnantes (je ne parle pas des tiennes ) mais aussi – et en ça je te rejoins – si je ne suis que dans une posture grotesque plutôt que dans l'affirmation de ce que je suis. Parce que penser ça n'empêche en rien de reconnaître et de créer du lien avec mes semblables dans la diversité de notre humanité.
Dernière édition par Navane le Jeu 7 Juil 2022 - 11:57, édité 1 fois |
| | | Celine
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Jeu 7 Juil 2022 - 11:40 | |
| Je ne savais pas que le covid avait le pouvoir de mettre émotionnellement sans dessus/dessous ... En fait j sais même pas si c est le covid mais c est là que ça a commencé après avoir passé plusieurs jours à dormir . Depuis je suis émotionnellement a fleur de peau , je pleure pour un rien et ça me fatigue , je ne sais pas ce que j'ai mais j ai envie que ça s arrête et je n'y arrive pas
Je ne suis pas sûre qu'ecrire ça ici changera quelque-chose mais bon ... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Jeu 7 Juil 2022 - 12:20 | |
| - Celine a écrit:
- Je ne savais pas que le covid avait le pouvoir de mettre émotionnellement sans dessus/dessous ... En fait j sais même pas si c est le covid mais c est là que ça a commencé après avoir passé plusieurs jours à dormir . Depuis je suis émotionnellement a fleur de peau , je pleure pour un rien et ça me fatigue , je ne sais pas ce que j'ai mais j ai envie que ça s arrête et je n'y arrive pas
Je ne suis pas sûre qu'ecrire ça ici changera quelque-chose mais bon ... Je ne crois pas que ce soit le Covid en lui-même, ou alors je suis passée à côté d'une info. C'est la maladie et le temps d'arrêt qu'elle entraîne, l'état de faiblesse généralisée qui amène à reconsidérer les choses, son histoire, sa vie en long, en large, en travers, et peut venir appuyer sur les éventuelles fragilités psychiques. Quand l'état du corps est modifié, celui de l'esprit l'est aussi. Et s'il y a des larmes qui drainent, bah ce Covid est peut-être bénéfique au moins pour ça. Prends soin de toi
Dernière édition par Navane le Jeu 7 Juil 2022 - 12:27, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Jeu 7 Juil 2022 - 12:24 | |
| Céline, si tu es affectée quelque soit la maladie ou le virus, nous sommes forcément fragilisés et cela a souvent des répercussions sur notre moral. Normal, l'énergie est absente. Ça va passer, repos obligé. Je viens de voir le message de navane, joliment dans le même sens. |
| | | Celine
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Jeu 7 Juil 2022 - 12:32 | |
| Merci Navane et Verveine pour vos mots J'imagine bien que ce ne soit pas le covid en lui même ça n'a sans doute fait que révéler un truc sous jacent ... Je ne sais pas d ou peuvent provenir toutes ces larmes et comment je peux en avoir encore d'ailleurs faudrait peut être que je boive plus d'eau je vais me dessécher |
| | | Malunamoi
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Jeu 7 Juil 2022 - 12:46 | |
| Céline, au risque de me répéter..je pense que Pluton sur ta lune est aussi en cause - Citation :
- ça n'a sans doute fait que révéler un truc sous jacent ...
d'ailleurs...tu l'écris toi même Laisse couler et prends le temps de reprendre des forces |
| | | Celine
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Jeu 7 Juil 2022 - 12:58 | |
| - Malunamoi a écrit:
Céline, au risque de me répéter..je pense que Pluton sur ta lune est aussi en cause
- Citation :
- ça n'a sans doute fait que révéler un truc sous jacent ...
d'ailleurs...tu l'écris toi même
Laisse couler et prends le temps de reprendre des forces
Bah oui pluton et depuis qu il y a eu le carré avec mars c est pire ... Le truc c est que ces derniers jours il y a des choses qui se sont dites extérieures à moi mais qui m ont rappelé des expériences passées et je pense que ça a fait remonté des trucs , mais j pense pourtant avoir fait le tour de tout ça donc je sais pas quoi en faire .. |
| | | Malunamoi
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Jeu 7 Juil 2022 - 13:08 | |
| faire remonter des trucs c'est très plutonien ... si on décortique, ta lune est maitresse de la deuxième partie de ta 1 et maitresse de ta 2 donc c'est toi moi profond qui est challengé, ainsi que tes valeurs, ton corps tout entier enfin c'est vaste et puissant
|
| | | Celine
| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme Jeu 7 Juil 2022 - 13:11 | |
| - Malunamoi a écrit:
faire remonter des trucs c'est très plutonien ... si on décortique, ta lune est maitresse de la deuxième partie de ta 1 et maitresse de ta 2 donc c'est toi moi profond qui est challengé, ainsi que tes valeurs, ton corps tout entier enfin c'est vaste et puissant
Oui j ai rdv cet aprem derrière ça tombe bien mais ça fait 2 ans mtn pour ça que je dis que j ai l impression d avoir fait pas mal le tour et pourtant bah y a desfois comme ça ou tout remonte ...et ça me soule ... |
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| Sujet: Re: Vomir son vague à l'âme
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