Le voilà,
La première question que l’on peut se poser, et dont la réponse sera importante pour l’orientation de notre prochaine étape d’évolution, peut se formuler ainsi : pourquoi l’être humain est-il sujet à la maladie ? Et quand je regarde autour de moi, je constate qu’à peu près tout le monde consomme des médicaments et que le nombre des opérés est impressionnant. La Vie cependant a réussi le tour de force, en 15 milliards d’années d’évolution, de parvenir à créer tout ce que nous voyons autour de nous et, en final pour le moment, de couronner son Œuvre par ce chef-d’œuvre si complexe qu’est l’être humain capable de penser, de se penser, de s’interroger et de créer à son tour dans la ligne même poursuivie par l’évolution. Et ce chef-d’œuvre serait si mal conçu que la Vie en aurait fait un vaincu d’avance qu’il faut tout de suite multi-vacciner dès sa naissance et pour lequel il serait indispensable d’œuvrer en chimie pour le protéger ou tenter de le guérir des maux connus et inconnus générés par la même Vie sur notre planète ?
N’y a-t-il pas quelque chose à comprendre dans cette invraisemblable contradiction, une vérité cachée qui, une fois découverte, nous permettrait de sortir de l’handicap de la maladie, de l’handicap de cette fragilité, nous permettant ainsi un imaginaire et une créativité davantage épanouissants ?
Bien sûr, il s’agit là d’un programme d’orientation pour notre prochaine étape d’évolution qui s’étalerait sur plusieurs générations, le temps de nettoyer les gènes morbides des ascendants, le temps de nous habituer à une nourriture convenant mieux à nos besoins, le temps d’avoir nettoyé notre environnement de nos poisons et d’avoir redonné à notre terre sa capacité à produire notre alimentation sans pesticides, ni herbicides, ni engrais artificiels. Le temps aussi d’avoir transformé notre médecine actuelle, qui prescrit ses médicaments en quelques rapides minutes de consultation, en une médecine qui aidera l’être humain à déceler le pourquoi de sa maladie et la meilleure façon naturelle de s’en débarrasser. De toute façon, la production de médicaments semble atteinte du mal général : produire toujours plus, toujours plus vite, pousser la consommation par tous moyens, se couvrir des accidents par des « notices d’utilisation » de dimensions devenues démesurées et rédigées en caractères toujours plus petits… pour au final engranger toujours plus de bénéfices. Le malade doit être vigilant.
Ce « parcours de santé », nous le savons tous, est prioritaire, et nous savons aussi qu’il réclame une mise en œuvre pour de longues années car il s’interpénètre avec de nombreux autres domaines de nos activités, elles aussi à réformer. Ainsi sont les lois d’échange et de solidarité qui conditionnent la vie sur notre planète et qu’il nous faut se garder d’ignorer. La Vie est bien Lumière pour les hommes… les hommes qui doivent se construire eux-mêmes en découvrant cette Lumière de la Vie. Personne ne peut échapper à ce travail de lucidité. F.David 2011