Libre, je ne sais pas, il y a des contraintes ennuyeuses, évidemment,
Possiblement que rien n'ait de sens,
Les autres encore plus,
Serein, peut-être alors,
C'est plus de votre ressort à ne pas s'occuper de l'environnement.

Je vais vous dire tout net ce qui va se passer (oui je suis visionnaire à mes heures )

Les "élites mondialistes" (car c'est de ça qu'il s'agit derrière nos marionnettes gouvernementales) ont avancé leurs pions en deux ans de façon inespérée. Ils sont rentré dans du beurre fondu. Ils ont gagné dix ans en deux. Ils ont vu une très faible résistance. Ils vont donc y aller de plus belle.

L'Europe va encourager (par la bande car c'est une UE de faux culs évidemment. C'est elle qui voulait étendre un pass sanitaire numérique sur l'intervale 2019-2022) le forcing contre les "non vaccinés".
Pourquoi?

-Raison économique (des millions, milliards? de doses encore achetées en prévision des variants à venir)------> contrats avec les firmes à honorer. Il existe bien une myriade de conflits d'intérêts entre ces firmes privés et les dirigeants de ces commissions européennes (lobbyisme à donf etc.)

- L'installation d'un QR code définitif (pour joyeusetés à venir) ne peut passer que par la vaccination générale. C'est le moyen idéal.

- Comme ces mises sur le marché sont conditionnelles (études pas terminées), elle devrait s'arrêter au cas où trop d'effets secondaires remonteraient; On pourrait intenter des procès aux Etats (pas aux firmes car elles ont signé des contrats pour s'en dédouaner) et ce serait un scandale un milliard de fois supérieur à celui du sang contaminé (qui a eu pour effet de faire siéger Fabius au Conseil Constitutionnel. pourri un jour, pourri toujours), donc tout est fait pour que le moins de choses ne remontent. Mais ça finit toute de même par se savoir (Israêl, GB etc.)

Bref, il faut à tout prix "éliminer" le groupe témoin de cette expérience débile et monstrueuse finalement. Car il serait la "mauvaise conscience" vivante de cette expérience qui tournerait mal (effets secondaires mortels dans le temps etc.)

Les dirigeants savent très bien qu'alors TOUT le monde se retournerait contre eux (les vaccinés notamment majoritaires) et ils risqueraient très gros (les phares et autres chantres médiatiques aussi).

Donc on va voir (et on voit déjà)le véritable visage de ce système néolibéral qui est réellement fasciste dès qu'on ne se soumet pas à son délire de tout au pognon au profit d'une poignée.

On va empêcher les "non vaccinés" de se nourrir dans les grandes surfaces, leur filer des amendes mensuelles, les licencier, leur sucrer leurs allocations si il faut, bref, programmer un demi génocide qui ne dit pas son nom sous les yeux d'une grosse partie de la population qui va s'y habituer et sans doute refouler ce qui pourrait la heurter (comme toujours) mais d'autres vont être révulsés et peut être prendre conscience que leur démocratie est totalement morte et qu'il convient de bouger.

Il faut(dans l'idéal) aller jusqu'au bout et narguer les contradictions de ces Etats ignobles. Quitte à en "crever".

Car ne serait-ce pas aussi "crever" que faire un vaccin qui nous répugne d'autant plus qu'on le voit comme un "viol d'Etat" et surtout imposé pour de "mauvaises raisons". Et ensuite vivre avec? Pour avoir le droit à quoi? A aller au cinéma et faire presque ce qu'on faisait avant? Acheté et totalement tatoué par Big pharma et tous les eunuques de la terre?

Plutôt crever, non?

Si ça permet au monde de prendre conscience des choses et de réagir en masse, ça aura au moins servi à quelque chose, sinon tant pis, se dire qu'il valait mieux quitter un monde d'abrutis matérialistes pareils et sans remord encore. Qu'ils crèvent en esclavage et la gueule ouverte à l'ultime consommation si ça leur chante. On ne sera plus là pour le voir.

Quoi? Je délire?

Érèbe a écrit:

Craie a écrit:

Serein, peut-être alors,
C'est plus de votre ressort à ne pas s'occuper de l'environnement.

J'ai franchement du mal à comprendre comment font les gens non-vaccinés pour rester serein et être détachés de tout ce qui est en train se passer actuellement... Peut-être suis-je trop pris par l'émotion, mais moi ça me fait très peur, car je n'ai pas l'impression que ça va aller en s'arrangeant.

Je ne suis pas vacciné, j'essaie d'en rire.

Il arrivera ce qu'il arrivera de toute manière, je peux mourir de la COVID-19 comme sur mon vélo, étouffé par une amande grillée, et même par un médicament obligatoire.

Rien ne changera au fait que je mourrai, il faut essayer de toujours se sentir au mieux, et parfois des pensées simples sont suffisantes, des pensées sans les autres et leur dialectique.

Sourire de cette situation par exemple, à entêtement peut-être ridicule, si ceux qui ne sont pas vos amis vous verraient sourire.

Voilà des mois, que la pression psychologique augmente un peu tous les jours, on vacille entre espoir et désespoir. Chacun trouve ses "recettes" pour tenir. Je pense souvent à mon fils et sa compagne (vaccinés) et à mes petits enfants (trop petits pour l'instant). Heureusement, cela se passe bien, il respecte sa maman "rebelle" depuis toujours. Je m'exerce à voir bien avant, et bien après et je me dis qu'il y aura toujours un après. Intuition ou pas, peut importe, mais je pense quand la "chose" dans l'inconscient collectif sera à "point" comme une cocotte minute, un autre monde pourra se construire. Oui, je suis plutôt positive mais pas naïve ! En serais une des actrices ? Ou peut être, j'aurais choisi de quitter cette vie. Un seul mot : résistez ami(e)s, vous vous sentirez mieux. Soyez acteurs de l'histoire !

Voilà, laissez-faire les médecins, et prenez un thé en écoutant, jouant de la musique, on ne va pas vous envoyer une brigade de gendarmerie pour vous faire vacciner en cas d'obligation, vous n'avez qu'à regarder la chose avec sourire et même rire euphorisant, contaminant, peu importe si il y avait obligation, je me demande même si finalement les non vaccinés ne devraient pas avoir cette attitude béate, moi-même j'ai été dans l'explosion en tant que parent, et puis j'ai fini par rire de ma fille et de sa mère, et de leur décision, et encore pas plus tard qu'aujourd'hui, son établissement scolaire est dans un état lamentable d'élèves absents, devant l'inefficacité du vaccin à garantir ce qu'il avait promis, l'immunité collective.

Et concernant les élites, elles rient du pouvoir qu'exerce l'argent sur ceux qui en ont beaucoup moins, au sens de la propre dépendance du peuple à l'argent individuel, comme les gilets jaunes, qui finalement, réclamaient de l'argent,
Argent, argent, argent,
Pour leur individu,
Or,
Il n'y a rien qui empêcherait les travailleurs dans le besoin,
A se réunir pour vivre séparément de cette dépendance,
A mettre tout dans un pot commun,
Pour construire leur cité,
A verger,
Nourrissant,
Bienfaisant,
Epanouissant,
Bref à construire leur monde,
Sans même nécessité,
D'élire un sauveur,
A simplement construire,
Et convaincre par la réalité,
Que c'est possible,
Et à ramener autour d'eux les brebis malheureuses,
Plutôt que de dépenser leur énergie dans un combat perdu d'avance,
A ne pas pouvoir convaincre juste par les paroles.

Ton dernier message, je le trouve en résonance avec l'aspect Mars/Neptune céleste.

C'est pourtant quelque chose qui est omniprésent à pousser les limites jusqu'au bout du raisonnement, à ne pas comprendre une situation, ou plutôt, à trop la comprendre, finalement et malheureusement, en m'intégrant moi-même dans les travers humains, alors à rire d'une situation qui pourrait être inextricable par la longueur et langueur accablantes, à ce qu'il ne se passe rien, à se regarder en chien de faïence, et ainsi attendre une circonstance extérieure aux êtres, à les obliger à changer, dans la douleur évidemment.

A toi Erèbe et à toutes celles et ceux qui ne voient pas (encore) la petite lumière en eux ...

"En 2022 Résister ou lâcher prise ?

Il y a trente-cinq ans, à la même date, j’étais en Ardèche. Nous nous nous étions retrouvés avec mes amis du spectacle pour fêter la nuit de la Saint Sylvestre. J’étais un jeune comédien utopiste, plein d’ambition et d’énergie. « Que peut-on se souhaiter pour cette nouvelle année ? » « Le succès de ma pièce », disait l’un, « Que je rencontre une femme ! » disait l’autre. « Plus d’argent, mais surtout la santé ! » demandait le troisième.
A haute voix, chacun, posait ses vœux, comme on dicte sa lettre au Père Noël. Ces souhaits étaient suivis de bonnes résolutions que personne ne suivait vraiment.
Aujourd’hui, la vie m’a appris au moins trois lois universelles, que j’applique au quotidien, pour que mes vœux se réalisent plus facilement.

La première est la loi du miroir. Ce qui nous arrive est avant tout le fruit de nos croyances. Tant que nous ne sommes pas conscients de notre valeur, par exemple, nous ne pourrons attirer l’abondance. Changer le monde, c’est changer ses propres croyances.
La seconde, est la loi de causalité. Chaque cause produit un effet et chaque effet est produit par une cause. Les fleurs qui poussent aujourd’hui ont été des graines semées hier.
La troisième enfin est la loi d’interdépendance. Nous sommes liés les uns aux autres, comme les vagues d’un même océan, ou les arbres d’une même forêt. Nous ne pourrons évoluer qu’ensemble. Aider les leaders autochtones d’Amazonie, c’est prendre soin de notre propre jardin et prendre soin de soi, c’est prendre soin du monde.

Alors que beaucoup terminent cette année dans la peur, la résignation, ou le cynisme, que peut-on se souhaiter pour 2022 qui fasse naître dans nos cœurs l’espoir, la joie et la confiance ?
Résister ou lâcher prise ?

Depuis deux ans, nous avons tous été abasourdis, déboussolés par cette épidémie d’abord, puis par ces injonctions paradoxales et ces consignes qui virent à l’absurde. Nous ne sommes plus dans une crise sanitaire, mais dans une crise politique, sociale, philosophique, d’éducation, culturelle. C’est une crise holistique qui nous invite à nous réinventer, sans attendre que d’autres réinventent pour nous un monde auquel nous ne croyons plus et dont nous ne voulons plus.

Tous les signaux nous le confirment. Notre humanité vit la fin d’un système obsolète et le début d’une ère nouvelle. Le passage de l’ère de l’Aigle à l’ère du Condor, le passage de l’amour du pouvoir au pouvoir de l’amour.
Comme toute crise, ce passage nous invite à résister par moments et à lâcher prise à d’autres.

A mon père, ancien résistant du maquis breton, j’avais posé la question : Comment avez-vous fait pour tenir, alors que la France était sous l’occupation. Comment avez-vous survécu à la peur, aux emprisonnements, aux dénonciations, à la collaboration ? « Nous ne savions pas que la guerre durerait si longtemps, alors nous résistions au jour le jour. » M’avait-il répondu humblement. « Parfois nous perdions espoir, parfois nous avions foi. »

Nul ne sait combien cette période de transition durera. Mais c’est une transition, c’est une certitude. Cela nous demandera beaucoup de souplesse et de patience par endroits pour accueillir la transformation, laisser se dissoudre ce qui doit disparaître. Cela nous demandera, à d’autres moments, un positionnement fort, un alignement et une exigence à toute épreuve, pour maintenir notre libre arbitre et notre souveraineté. Personne ne peut nous rendre libre, la véritable liberté est un état qui se gagne de l’intérieur.

S’équilibrer entre la résistance et le lâcher prise est une posture subtile qu’il est plus facile d’adopter lorsque notre cœur est ouvert et notre esprit aussi lucide qu’aiguisé. La période nous demande un cœur d’enfant et un mental de résistant.

Alors, pour 2022, je fais le vœu que nous maintenions, quelles que soient les circonstances, notre cœur ouvert et notre esprit lucide et aiguisé.
Je fais le vœu que nous soyons chacun à l’écoute de notre sagesse intérieure qui connaît la route et le son de la vérité.
Je fais le vœu que notre système de santé devienne plus sain, plus préventif ; Que la médecine moderne et la sagesse des médecines ancestrales ne s’opposent plus mais devienne médecine intégrative. Cela dépend de nous et de notre rapport à notre propre corps et à notre ouverture.

Je fais le vœu que notre économie devienne plus éthique et que, pour cela, nous soyons de plus en plus nombreux à privilégier la sobriété heureuse, les circuits courts et l’économie régénérative. De plus en plus de réseaux, d’éco-lieux, de sites autonomes se créent ici et là. Ce sont des oasis dont nous aurons besoin.

Je fais le vœu que chacun modifie sa façon de travailler pour ne plus perdre sa santé à vouloir gagner sa vie. Notre vie nous est donné déjà à la naissance. Il n’y a qu’à œuvrer pour la célébrer.

Je fais le vœu que l’écologie soit respectueuse du vivant. Que nous adoptions avec le peuple animal et le peuple végétal une relation de sagesse et de cohabitation en réalisant que nous avons besoin les uns des autres. C’est une question d’intelligence et de survie.

Un vieux monde s’éclipse et un autre naît. Nous sommes de plus en plus nombreux à être conscients de cette nécessaire évolution.

La santé, l’abondance, les relations harmonieuses et l’amour ne sont pas des fruits du hasard, mais les résultats naturels d’une posture intérieure congruente.

Lorsque nous adoptons une posture juste, lorsque nous écoutons notre intuition, lorsque nous écoutons les besoins naturels de notre corps, de notre cœur, de notre âme et de notre environnement, nous oeuvrons naturellement pour ce monde auquel nous aspirons. Alors, nous n’espérons plus que la santé, l’abondance, l’enthousiasme et les rencontres favorables tombent du ciel. Nous avons compris notre pouvoir de les générer par le cœur.

Je vous souhaite, à chacune et à chacun une lumineuse année 2022. L’essentiel est en vous."

Arnaud RIOU www.arnaud-riou.com

Du covid a la formation psychotique des masses

https://mobile.agoravox.fr/tribune-libre/article/du-covid-a-la-formation-238564

En 2019, l'épidémie de bronchiolite a nécessité le transfert d'enfants à 200 km de Paris (faute de lits de réanimation et d'infirmières).

https://twitter.com/i/status/1480829666176950277

"On envoyait des nourrissons à 200 kilomètres de Paris parce qu'on avait pas de lits pour les hospitaliser", rappelle-t-il. "On a été obligé récemment de refuser une greffe de foi pour un enfant. (...) Aujourd'hui, contre les AVC, on dispose de traitement extrêmement efficace mais 30 % des lits sont fermés dans ces urgences neuro-vasculaires faute de personnels, c'est une perte de chance réelle pour les patients".

lien

La réforme d'Alain et l'accès à la monnaie unique, un magnifique programme européen, de grandes ambitions, le meilleur d'entre nous, certains disaient.

Quand tu t'appelles "juppé" (bourré, nasqué, saoul comme un cochon en argot) et que tu es pris au sérieux par ton entourage faut se dire qu'il y a du chtir dans le sifflard...

remedios a écrit:

En 2019, l'épidémie de bronchiolite a nécessité le transfert d'enfants à 200 km de Paris (faute de lits de réanimation et d'infirmières).

https://twitter.com/i/status/1480829666176950277

"On envoyait des nourrissons à 200 kilomètres de Paris parce qu'on avait pas de lits pour les hospitaliser", rappelle-t-il. "On a été obligé récemment de refuser une greffe de foi pour un enfant. (...) Aujourd'hui, contre les AVC, on dispose de traitement extrêmement efficace mais 30 % des lits sont fermés dans ces urgences neuro-vasculaires faute de personnels, c'est une perte de chance réelle pour les patients".

lien

Boycott?

https://www.facebook.com/chris.dubuis.santini/videos/437932511381623

Maldoror a écrit:

Quand tu t'appelles "juppé" (bourré, nasqué, saoul comme un cochon en argot) et que tu es pris au sérieux par ton entourage faut se dire qu'il y a du chtir dans le sifflard...

Père européen et son ordre monétaire voulaient sonnante et trébuchante avant cervoise,
Emprise des vapeurs euphorisantes,
Père menottes au marché devenu,
Laissons l'ivresse de la largesse remplacer l'ivresse de la rigueur,
Tournée générale !

maldo, craie, vous excellez ce jour (et autres), quelle inspiration !

Les enfants aidés par leurs parents.

Franchement. Moi j ai emmené mon fils une fois faire un pcr pour Noël , et c était l horreur il a pique une colère monstre ... J espère ne pas avoir à le refaire ...