Bonsoir
Emeline50,
En ce qui me concerne, je ne prête pas plus d'importance que cela aux relations soli-lunaires ou venuso-marsiennes dans le thème. Je ne crois pas en l'astrologie sexuée dans laquelle serait inscrit les archétypes féminins et masculins.
Ce qu'il me semble logique par contre c'est de regarder la compatibilité planétaire par le biais des dominantes des deux thèmes. Si par exemple, dans l'un des deux thème Pluton prédomine, avec Uranus et Jupiter, je vais allers regarder si des aspects se forment entre ces planètes fortes dans le thème de l'un et les planètes dans l'autre thème. Et vice versa. S'il y a des aspects entre les planètes fortes du thème de A avec les planètes fortes du thème de B, j'y vois un indice d'interaction importante (la qualité des aspects renseignera là sur le côté facilitateur ou non).
Ce sont les dominantes qui montrent le fonctionnement privilégié de la personne, il me semble donc logique de les étudier entre elles dans les synastries.
Autre chose, quelqu'un qui aura la lune en bas de son classement planétaire montrera des difficultés à contacter la fonction lunaire. Il se pourrait que cette personne soit attirée par ce qui lui manque. Il n'est pas rare de trouver les fonctions dominantes de l'un parmi les fonctions faibles de l'autre.
Par exemple, Neptune domine mon thème, et il s'avère que c'est l'une des fonctions les moins marquées du thème de la personne avec laquelle je suis. A contrario, Jupiter est fort dans son thème et en fin de hiérarchie dans le mien. Nous nous apportons ce qui fait défaut à l'autre (au-delà des considération de signes compatibles).
Regarder également les conjonctions avec les angles, que ce soit entre eux ( AS de A conjoint MC de B), ou avec les planètes (Soleil de A sur MC de B). Cela renseigne sur la façon dont l'un et l'autre se perçoivent, se comportent, s'orientent ou s'influencent au sein de la relation.
Voilà pour un tour d'horizon rapide et il y a déjà énormément de choses à en retirer...