Oyez amateur(trice)s de philo avec ou en dominantes ou non, ces petites capsules de philo plus qu'intéressantes pourraient vous émoutistiller.
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Sujet: Re: Grain de philo Sam 24 Fév 2018 - 20:03
Electrode,
Maldoror
Sujet: Re: Grain de philo Sam 24 Fév 2018 - 20:45
Ah Navane! Oui, c'est magnifique ce que tu écris. C'est si beau d'ailleurs qu'on aimerait non seulement le vivre au moins, pour les chanceux, une fois dans sa vie (ce qu'on peut avoir l'impression d'avoir vécu tout de même) mais surtout le figer. Et ça, c'est malheureusement impossible.
Ce que tu écris, c'est peut-être d'ailleurs la véritable "spiritualité" et la seule intéressante, pour moi.
J'ai l'impression de lire une lettre que j'aurais pu écrire ou recevoir au tout début d'une très très belle promesse amoureuse...
Mais "humain trop humain" comme disait le "marteau moustachu"... Et puis ce foutu temps qui n'attend jamais personne dans le fond...
Ceci dit, j'en suis revenu aussi au "carpe diem" de mes 20 ans de ce bon Horace...
Mais quelle verve!
Tiens, voilà que la maison 12 commence à déborder dans l'alcôve philo...
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Sujet: Re: Grain de philo Sam 24 Fév 2018 - 23:04
Navane,
j'ai retrouvé - je ne sais comment - l'extrait de Désert que j'ai évoqué. Le voici: (précédé dune petite introduction)
Une jeune fille maure, Lalla, s'est enfuie du bidonville où elle habite pour retrouver au désert son ami le jeune berger muet, Hartani. Ils ont marché longtemps et sont arrivés à une petite oasis où il font halte.
"Lentement, au-dessus d'eux, l'espace se peuple d'étoiles, de milliers d'étoiles. Elles jettent des éclats blancs, elles palpitent, elles dessinent leurs figures secrètes. Les deux fugitifs les regardent, presque sans respirer, les yeux grands ouverts. Ils sentent sur leurs visages se poser le dessin des constellations, comme s'ils n'étaient plus que par leur regard, comme s'ils buvaient la lumière douce de la nuit. Ils ne pensent plus à rien, ni au chemin du désert, ni à la souffrance du lendemain, ni aux autres jours: ils ne sentent plus leurs blessures, ni la soif et la faim, ni rien de terrestre: ils ont même oublié la brûlure du soleil qui a noirci leurs visages et leurs corps, qui a dévoré l'intérieur de leurs yeux.
La lumière des étoiles tombe doucement comme une pluie. Elle ne fait pas de bruit, elle ne soulève pas de poussière, elle ne creuse aucun vent. Elle éclaire maintenant le champ de pierres, et près de la bouche du puits, l'arbre calciné devient léger et faible comme une fumée. La terre n'est plus très plate, elle s'est allongée comme l'avant d'une barque, et maintenant elle avance doucement, elle glisse en tanguant et roulant, elle va lentement au milieu des belles étoiles, tandis que les deux enfants, serrés l'un contre l'autre, le corps léger, font les gestes d'amour."
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Sujet: Re: Grain de philo Lun 26 Fév 2018 - 19:46
C'est un texte que tu as déjà lu, Maldoror Je te remercie pour cette lecture et ton appréciation renouvelée, plus détaillée qu'il y a un an. Grande fan de ta plume, ton regard sur ce texte (eut-il été plus critique) me touche d'autant plus
À mon niveau, ça reste une représentation de l'esprit, ne me sentant pas vraiment concernée par sa dimension érotisée, juste assez pour le temps d'une prose et en discuter.
Néanmoins, le lyrisme tout neptunien qui l'habille mis à part, ce n'est pas quelque chose de foncièrement inaccessible, ni fantasmatique que j'ai essayé de dépeindre. C'est exactement ce contre quoi je me débats dans ce texte avec cette libération/révélation de l'être dans la relation à l'Autre avec tout ce que cela induirait de délices, de patience, parfois d'efforts de part et d'autre (parce que justement "humain, trop humain" – terriblement humain) et enfin sentir sa vie battre plus intensément dans une autre, à travers ce que celle-ci ressentirait. Un regard aimant qui reconnaîtrait l'être par delà de ce qu'il croit être dans le bon ou moins bon. S'il y a une magie, à mon sens, elle serait là. Mais bien-sur, se rencontrer soi et se comprendre soi a minima si d'aventure on aurait chancelé par le passé, pour aller vers l’Autre sereinement *lolesque*
Et effectivement, comme tu l'écris, on peut l'avoir vécu le temps que ça a duré. À ceux-là, je leur souhaite sincèrement de vivre une histoire aussi belle et plus encore. À ceux chez qui ces lignes auraient trouvé une quelconque résonance (ça résonne? alors y'a matière!), je leur souhaite sincèrement aussi.
Maldoror a écrit:
Ce que tu écris, c'est peut-être d'ailleurs la véritable "spiritualité" et la seule intéressante, pour moi.
Une spiritualité qui serait très incarnée dans ce cas. Je ne suis pas vraiment branchée spiritualité dans la mesure où je ne la recherche pas. Et si j'ai un quelconque fond spirituel, il découlerait de ce que j'ai retiré de mon vécu, d'un peu de bon sens sans doute, d'une sensibilité. Je ne sais pas trop. J'ai quelques penchants pour la philo. À doses homéopathiques, ça me fait du bien.
Citation :
(...) On aimerait non seulement le vivre au moins, pour les chanceux, une fois dans sa vie (ce qu'on peut avoir l'impression d'avoir vécu tout de même) mais surtout le figer. Et ça, c'est malheureusement impossible. (...)
Même si je comprends bien la teneur de ton "c'est malheureusement impossible", quand j'ai lu cette partie de ton message, d'instinct/spontanément, j'ai pensé que c'était sans doute la meilleure chose qui puisse arriver que ce que je déroule dans mon texte ne soit pas figé pour ce qui en émane ; que mes êtres singuliers ne soient pas figés dans ce qu'ils vivent dans l'instant aussi beau fut-il, dans la conquête de leur être véritable. Mais ça c'est le ressenti de la nana qui les a créés.
En fait, d'une façon générale, j'envisage la relation à l'Autre comme une dynamique puissante, une synergie dont peut émaner un élan créateur pour la recréer si elle s’étiolait (à condition de lui offrir une impulsion nouvelle).
Alors, dans l'idéal, j'espère bien que mes êtres singuliers dépasseront allègrement les lignes de ce texte, qu'ils ne s'en contenteront pas béatement, qu'ils ne s'y arrêteront pas dans un sens comme dans l'autre... Je leur fais entière confiance. Ils ont les moyens de se surpasser dans le temps puisqu'ils sauront le prendre, en l'appréciant pour ne pas le craindre (ce qui leur permettra de se découvrir de nouvelles ressources) et ainsi continuer à donner à ce présent des saveurs d'infini (pour paraphraser de façon lointaine Blake). Et advienne que pourra
Ileautresor a écrit:
j'ai retrouvé - je ne sais comment - l'extrait de Désert que j'ai évoqué. Le voici: (précédé dune petite introduction)
Merci Ileautresor pour ta recherche C'est noté, peut-être me laisser tenter
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Sujet: Re: Grain de philo Jeu 1 Mar 2018 - 19:04
Voici un document de la plus haute importance. Je tiens à préciser que je ne l'ai pas découpé dans le journal de Mickey ;
Et si les fées existaient ?
Si je tenais à le ressortir (ben oui une telle découverte, faut la partager dès que possible), c'est surtout pour cette histoire d'insecte.
Pourquoi ne seraient-elles que des insectes ? Parce qu'elles en ont l'air ? Quand bien même, en quoi cette enveloppe et la perception qu'on en a (qui inclut de fait le doute car renvoie à l'examen de sa propre sensorialité) annihilerait toute nature féerique ? Parce qu'on s'imagine les fées bien foutues habillées d'une petite robe pailleté et d'une chevelure d'or. Encore un carnage (et je pèse mes mots!) des représentations socioféériques dans lesquelles nous baignons jusqu'à les accepter le plus naturellement du monde mais qui, dans le fond, biaisent insidieusement notre regard sur la réalité des fées. Parce qu'elles existent, pour de vrai. Révolution, les fées ! Indignez-vous ! Ou plutôt déconstruisons nos couches de préjugés intellectuels, et émerveillons-nous lorsque le rêve rejoint la réalité (le premier étant indissociable du second) dans la découverte. Dans l'autre sens, et voyons comme c'est agréable, si les fées ne voyaient en nous que des misérables parasites ? Ben nan, c'est pas possible puisque ce sont des fées !
Moi-même j'ai la dégaine d'un moustique mais je suis une fée. Qu'est-ce que j'en sais !? Je pense, donc je fée et ris. C'est tout con-gito. Cette apparence est une évocation de moi sans toutefois m'y enfermer. Et ce fond ne serait rien, strictement rien!, sans cette enveloppe de moustique. Ils ne s'opposent pas, l'un n'ayant de sens que s'il est confronté à l'autre.
Moustique ou fée, peu importe puisque je reste pourvue d'ailes qui me permettent la légèreté dès lors que l'esprit dans sa manifeste nonchalance ne manque pas d'air.
L'être et la paresse, selon Navane (référence par le bas de la pensée et éminente spécialiste de la philosonrie).
Maldoror
Sujet: Re: Grain de philo Jeu 1 Mar 2018 - 22:37
Rabelais en parlait déjà lorsqu'il citait l'Abbaye de Thélème du bon frère Jean des Entommeures, le leitmotiv général était d'ailleurs "fées ce que voudras", faut-il qu'il m'en souvienne...
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Sujet: Re: Grain de philo Ven 2 Mar 2018 - 11:42
Puisque Rabelais l'a dit, je continuerais dans ce sens. De toute façon, peux pas faire autrement. Enfin si, mais pas envie "fées ce que voudras", il a dit
Un joli pont s'est érigé entre Mirabeau et l'abbaye dans ton message
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Sujet: Re: Grain de philo Sam 3 Mar 2018 - 16:24
"ce que fée veut, Dieu le veut"
Maldoror
Sujet: Re: Grain de philo Sam 3 Mar 2018 - 20:36
Fée un veut là dessus
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Sujet: Re: Grain de philo Dim 4 Mar 2018 - 12:11
Toute fée toute flamme, une fée pas chiée reste une fée du bien.
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Sujet: Re: Grain de philo Dim 4 Mar 2018 - 12:29
Citation :
L'être et la paresse, selon Navane (référence par le bas de la pensée et éminente spécialiste de la philosonrie).
Cette philosophie porte un nom, la philosophie de la Fée Néante. La Fée Néante est-elle née en moins ? Je propose que nous nous apportions nos analyses sur cette question.
lilo
Sujet: Re: Grain de philo Dim 4 Mar 2018 - 12:50
Navane a écrit:
V
Je pense, donc je fée et ris. C'est tout con-gito.
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Sujet: Re: Grain de philo Lun 5 Mar 2018 - 12:16
Electrode a écrit:
Cette philosophie porte un nom, la philosophie de la Fée Néante. La Fée Néante est-elle née en moins ?
Woo, c'est joli ça
Citation :
Je propose que nous nous apportions nos analyses sur cette question.
Qui qu'a fait, la Fée ? Cafée philo ? Bouge pas, j'arrive.
Une Fée Néante est-elle née en moins ?
En voilà une question qui remonte à la je-naise d'une Fée, je-niaise aussi. Elle rejoint de loin, du fin fond du néant, la question origine-aile qui de l’œuf ou la fée... Si je souffle sur les lettres du mot "fée" de façon à ce que la fin précède (important pour la question posée), j'obtiens un "eef" - un œuf. Si je souffle sur "œuf" de la même façon. J'obtiens un non-sens vertigineux. Ben quoi ?
Une Fée Néante serait donc, selon toute vraisemblance, une Fée du Néant... La question qui me vient est : comment pourrais-je être Fée du Néant (même dans son infinie opulence) et être vivante ? Comment pourrais-je naître en moins ou en plus si je me confonds au néant, lequel m'entoure en me précédant et me succédant ? Comment vérifier ma propre vie si je ne suis pas confrontée au réel et à ma propre finitude – la conscience de la mort constituant un des fondements de mon existence ? Être vivant, c'est très exactement être mortel. Sur quoi reposerait ma réflexion puisque toute la "fais et ris", concept qui me procure le sentiment d'exister à travers la volonté "féeconde" de mes battements d'ailes (parfois chaotiques, les battements) dans une force (ré)créatrice concrète et dans l'acte, serait englouti par le vide, et de fait anéanti ? Comment aurais-je pu la penser dans le néant ?
Dans l'absolu, penser fée, c'est en soi une fine attitude qui rejoint le "con-gito" détaillé plus haut.
Et si je me pense n'être que moins, cela signifie que je suis encore. Si je ne le pense plus, alors c'est fini. Circulez, y'a plus rien à voir.
Aussi, que serais-je privée de mon nez ("Fée nez en moins", c'était trop tentant) qui me permet de sentir et ressentir, d'être présente à moi-même dans le plaisir ou déplaisir des sens, leur éveil et par la même celui du corps ("je ressens donc je suis" – Vénus/Mars Vierge) pour ne pas crever d'occuper un futur conditionnel et refaire à perte un passé qui n'est plus. Je vis pleinement et entièrement dans cette vie super mortelle.
Parfois ça fée plus mal que bien, ce qui me rend fébrile. Mais tant que je suis fébrile, je suis vivante. D'ailleurs lorsque je suis fébrile, j'ai tendance à souhaiter beaucoup d'amour autour de moi et à écrire ce que je porte en moi dans une urgence de vivre.
Car faut pas se leurrer sur les Fées. Derrière la "fais et ris", il y a l'humaine, terriblement humaine qui se prend souvent la réalité en pleine gueule, comme tout le monde. Sans ça, tu ne peux engendrer que du vent, pas même une fée, non!,... Certainement pas une Fée pour de vrai. Une humaine qui fait corps avec la réalité mais qui aime se perdre à cœur, s'y perd, s'y fond (un peu siphonnée, la nana, mais j'avais prévenu que j'avais un sacré grain) de toute la nonchalance de l'esprit pour se reposer, reprendre son souffle. J'aime parler pour ne rien dire, dire des idioties juste parce que c'est funky, laisser les notes d'une musique se déployer et résonner dans mon corps (qui devient matière à plaisir, à pensée), regarder sans observer ni chercher à comprendre, laisser les idées se faire un chemin sans contrôler, renouer avec ma naïveté, m'en tenir à la périphérie des choses, sourire juste comme ça, etc,... Ce sont des façons d'injecter de la vie à une vie, à mon sens.
Pour la fébrilité, la créativité a aussi cette magie de fée-briller les ombres et pas que, d'accoucher de soi au moins un peu. De renaître à soi-même puisque je me confonds au processus créatif. D'en faire du beau. D'enfer du beau, de le sublimer sans jamais le nier.
Quand d'autres fois je fée plus mal que bien. Mais tant que je fais et ris, je suis. Je me parfée et tends à devenir moi-même.
Je pense qu'on ne naît pas Fée. On le devient. De fait, je ne peux ni naître en moins ni en plus. Tout au plus, je ne peux qu'être une Fée Naissante. Dans l’ordinaire du vrai.
Je doute de la clarté de mon propos mais j'ai apprécié réfléchir à ta question
Maldoror
Sujet: Re: Grain de philo Lun 12 Mar 2018 - 2:09
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Sujet: Re: Grain de philo Lun 12 Mar 2018 - 11:27
@ Michel, Baisser le stress généré, c'est simple, en réduisant la population d'un pays ou du monde ? (qu'il finisse son raisonnement...)
Maldoror
Sujet: Re: Grain de philo Mer 14 Mar 2018 - 15:00
Style, littérature, éditions.
Bien vu!
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Sujet: Re: Grain de philo Jeu 15 Mar 2018 - 11:15
Electrode a écrit:
@ Michel, Baisser le stress généré, c'est simple, en réduisant la population d'un pays ou du monde ? (qu'il finisse son raisonnement...)
Je ne suis pas certaine de comprendre, Electrode... Michel Onfray dit qu'on peut grosso modo expliquer le phénomène de violence à travers entre autres les logements où on entasse les gens (je pense qu'il fait ici référence aux grands ensembles), un quotidien répétitif et parfois lourd qui suce l'individu jusqu'à la moelle, un boulot où il faut être au taquet, etc... Bref on serait acculé de toute part dans des villes qu'il qualifie de "pathogènes" et donc hyper stressé. Ce stress pourrait alors réveiller une violence que nous porterions en nous dans une sorte de mécanisme de défense hérité du berceau de notre histoire.
En faisant ce constat, je n'ai pas eu l'impression que son argumentation était si insensée mais plutôt qu'il était selon lui possible de mieux réorganiser le schmilblick puisqu'on avait compris la dynamique à l’œuvre.
En tout cas, Michel, si je peux me permettre, je trouve que le titre de la vidéo est un peu moisi. C'est presque du même acabit que les titres racoleurs de certains tabloïds. Il n'est pas de vous, d'accord, mais tout de même
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Sujet: Re: Grain de philo Jeu 15 Mar 2018 - 11:29
@ Navanne,
Je suis d'accord avec ce que tu as compris, mais le problème de la démographie est sous-entendu dans ce qu'il dénonce. "Quand on ne dispose pas de territoire suffisamment grand..." dixit Michel. Ben oui, il y a une lutte pour le territoire. Par exemple, les chinois nous achètent des terres. Un peuple peut s'autodétruire par stress. A force de croire qu'il n'y aucun danger, que tout est beau chez les humains, on ne se rend pas compte qu'on arrive progressivement dans une société où tous les coups seront permis.
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Sujet: Re: Grain de philo Dim 18 Mar 2018 - 13:13
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Sujet: Re: Grain de philo Mar 20 Mar 2018 - 11:14
Puisqu'on cause de Sartre, voici un petit éclairage sur une phrase très mal comprise :
Désormais, chacun pourra répondre "c'est celui qui le dit qui l'est, nananananèreuuuh!" à ceux qui utiliseront cette phrase pour flinguer les autres, le "nananananèreuuuh" restant bien entendu primordial
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Sujet: Re: Grain de philo Jeu 22 Mar 2018 - 11:00
Soyons dans le romantisme inter-sidéral : la belle au bois dormant vs le prince charmant énergétique, qui va gagner ?
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Sujet: Re: Grain de philo Ven 23 Mar 2018 - 14:09
Joliment expliqué, tout en poésie et pourtant je n'ai jamais aimé les Sciences-Physiques. D'ailleurs tout ce qui est physique n'a jamais été mon fort, la pataphysique mise à part.
Mais, si j'ai bien compris cette histoire de Néant, de vide, de rien et de Physique des particules, la Belle au bois dormant et le Prince ne font qu'atteindre le 7ème ciel en s'envoyant en l'air après un coup de foudre électro-magnétique des corps survoltés. Ils ont transcendé leur "je néant vide rien", décrit par le physicien. C'est ça ou je confonds avec la physique des parties de c**...?
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Sujet: Re: Grain de philo Ven 23 Mar 2018 - 14:38
Navane a écrit:
Mais, si j'ai bien compris cette histoire de Néant, de vide, de rien et de Physique des particules, la Belle au bois dormant et le Prince ne font qu'atteindre le 7ème ciel en s'envoyant en l'air après un coup de foudre électro-magnétique des corps survoltés.
Joliment dit Navane, tes propos sont habiles comme ces petits lémuriens !
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Sujet: Re: Grain de philo Ven 23 Mar 2018 - 15:47
Electrode tes créatures super sympa
ladom
Sujet: Re: Grain de philo Ven 23 Mar 2018 - 18:42
Excellent la video d'Etienne KLEIN je ne connaissais pas.