coucou Tenebris, ça va??
je le ressens ainsi: des perceptions très fortes qui peuvent etre vraies ou faussées car idéalisées
je fais "naturelement" preuve d'abnégation mais j'apprends à etre un peu moins tournée vers les autres , en gros à un peu plus égoiste et penser à mes interets avant ceux des autres .
surtout : grande et fertile imagination... avec une facilité à me laisser aller à la fantaisie, la reverie, le détachement, me connecter a autre chose....
je pense que je suis sujette à des états d'ames très fluctuants et intenses du à cet aspect...j'y travaille avec l'age ça va mieux ....
http://www.astroariana.com/
Lune-
Neptune.html :
Comment marier un ensemble global, homogène (
Lune-p) avec la réduction du multiple à une dualité (
Neptune-"eT") ? Comment faire fonctionner ensemble une réceptivité diffuse et des états d’âme imprévisibles ? Comment faire intimement siennes d’étranges sensations ? Cet aspect exclut les niveaux "R" (la sociabilité spontanée), "r" (l’autorité manifeste), "E" (le sens du concret) et "t" (le froid esprit critique).
Consonant (conjonction consonante, trigone, sextile)
Le sujet est intimement "branché" sur les sensations en provenance de l’inconscient, du ressenti profond des êtres et des choses. Il vit en symbiose naturelle avec les forces cachées, latentes, subtiles, inévidentes qui affleurent à la surface des réalités concrètes. Réceptif à ce qu’il y a de plus mouvant et complexe dans l’humain et son environnement, il se solidarise instinctivement avec les obscurs possibles qui ne demandent qu’à éclore. Il suit docilement le fil de ses inspirations, de ses rêves, de ses états d’âme, sans se soucier d’être compris. Il se sent l’habitant-habité d’une plus vaste dimension dont il témoigne à sa manière, par sa logique étrange, ses riches ambiguïtés, et son sens intuitif des situations. Il a le flair de l’invisible, des incertaines émergences, des courants souterrains qui ne demandent qu’à irriguer et métamorphoser le quotidien.
Dissonant (conjonction dissonante, opposition, carré)
Dissonance équilibrée : le sujet passe alternativement des états d’âme déstabilisants (
Neptune) à l’intimité reposante (
Lune), sans pouvoir se résoudre à choisir. Selon que l’une ou l’autre fonction domine dans son vécu, il peut adopter les attitudes suivantes :
Si la
Lune domine : le sujet cherche à protéger la "bulle" sécurisante de ses habitudes, de ses familiarités, de ses routines douillettes contre l’irruption de toute lame de fond existentielle. Il craint de se retrouver le jouet de circonstances imprévisibles, d’être soulevé et bouleversé par une houle intérieure ou extérieure qui mettrait à mal les us et coutumes rassurantes de son univers intime. Il préfère se couper de sa réceptivité à l’étrange, au subtil, au sous-jacent, plutôt que d’avoir à se mettre à l’écoute de ses voix intérieures, qu’il considère comme de dangereuses sirènes. Les états d’âme le perturbent intimement. Il s’inquiète des situations incompréhensibles, des remous profonds qui agitent sa sensibilité, y voyant autant d’ennemis menaçants pour la quiétude primaire et satisfaite dont il préfère faire son pain quotidien.
Si
Neptune domine : le sujet est sans cesse la proie d’états d’âme, d’aspirations profondes ou d’engouements incompréhensibles qui lui interdisent tout bien être, toute quiétude, tout abandon confiant. Il ne s’appartient pas : il est toujours ailleurs, remué et bouleversé par des sensations grisantes, des projets flous à la réussite improbable. Son vécu désorienté et désorientant semble être sous la gouverne d’imprévisibles impulsions sans but ni cohérence. Il vit son présent incertain comme il advient, tumultueux et insaisissable, sans parvenir jamais à s’habituer à quoi que ce soit. Il lui faut impérativement l’ivresse et l’exaltation que procurent les expériences insensées, quitte à y sacrifier bien-être et harmonie. Les tourbillons de l’indicible, le hors-soi et ses vertiges tentent de fuir les banalités d’un quotidien intimiste mais sans âme.
Dissonance maîtrisée : le sujet a durement appris qu’il y a un temps pour le vertige des sensations inconnues et un temps pour l’intimité reposante, et sait sans fausse note alterner ces deux fonctions.
Dissonance sublimée : le sujet a délibérément sacrifié toute intimité reposante au nom du vécu d’une autre dimension de l’être, ou abdiqué de tout désir de vivre ses aspirations profondes au profit d’une harmonieuse quiétude.