Apres avoir regardé W9, ce soir , enquetes criminelles...  

ony Meilhon est un meurtrier français, né le 14 août 1979 à Nantes . Délinquant multirécidiviste, il a en 2013 passé plus de treize ans en prison, soit presque la moitié de sa vie. Il a été reconnu coupable le 5 juin 2013 du meurtre de Laetitia Perrais (18 ans) commis en 2011. Il est condamné pour ces faits par la cour d'assises de Loire-Atlantique à la réclusion à perpétuité avec une peine de vingt-deux ans de sûreté, assortie d’une demande de rétention de sûreté s’il était jugé dangereux après avoir purgé sa peine.


À l'âge de trois ans les parents de Tony Meilhon se séparent, sa mère fuyant un mari alcoolique et violent qui selon ses dires la « forçait » à avoir des enfants - dont Tony, dernier des quatre1. Cinq ans plus tard sa mère se remet en couple. Tony ne s'entend pas avec son beau-père, est rejeté de sa mère, et idéalise son père. Régulièrement battu par son beau-père, il redouble. Il est placé en foyer à l'âge de 13 ans, ce qu'il vit comme un abandon, et fugue régulièrement. Le psychiatre Bruno Millet le décrit jeune comme dans l' « incapacité » de se « conformer aux règles de la vie sociale ». Il pratique l'école buissonnière, la délinquance, consomme précocement de l'alcool, du haschich, de la cocaïne. Impulsif, intolérant à la frustration, il multiplie les délits et est arrêté plusieurs fois à partir de ce moment là, pour des braquages, des cambriolages, du trafic de stupéfiants. Il est incarcéré pour la première fois à 15 ans.

Meurtre de Laëtitia Perrais

Quand il rencontre Laëtitia, en janvier 2011, Meilhon est sorti de prison depuis un an. Il aurait dû être encadré par un suivi judiciaire, que les magistrats et un personnel social débordé n'ont pu assurer. Au moins six plaintes avaient déjà été déposées contre lui, aucune suivie d'effet - pour les mêmes raisons.

le thème est parlant:

mars en 12 en cancer sans aspect montre toute la violence familiale

Lors du meurtre le 18 janvier 2001, il y a conjonction       est    à    natal

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Dans le progressé;
Mars p (maître de X nt) conjoint ascendant nt en Cancer
Lune p conjointe à Mars en chute en XII nt
NS p conjoint la VIII p
Asc p conjoint Vénus nt maître de IV et XI nt
Saturne céleste carré à l'axe nodal p
Uranus céleste( maître de la VII p) opposé Vénus p
L'axe AC/DC p carré Uranus nt maître de VIII
dans sa RS;
Uranus maître de la VIII nt sur la X RS conjoint Jupiter maitre d'asc RS, opposé Saturne/Mars/Lune/Vénus au MC RS et carré à Mars nt

Saturne a écrit:

Lors du meurtre le 18 janvier 2011, il y a conjonction Mercure/Pluton est    à Mars natal

et opposé à la Lune p, maître d'asc nt et pro

Natal, transits et progressé:

RS 2010/2011 et natal:

RS seule :

Très intéressante et complète ton analyse Malaya   

J'ai rarement vu une RS aussi "rouge", un seul sextile d'indiquer, qui pour ma part n'existe pas vu l'orbe de 6° en signes dissociés, entre planètes lourdes.

Ce qui m'interroge, c'est la superposition de l'asc RS en V natale, et celle du MC en III natale.
Cette superposition de l'asc RS en V natale étant d'autant plus importante que:
- la Lune progressée se superposait à Mars natal, 2nd maître de la V natale
- l'asc progressé était en Lion, maison symbolique de la V, au carré d'Uranus natal en V natale.

Une maison V donc importante pour cette période de vie, traditionnellement envisagée sous l'angle "bénéfique" (surtout vu la superposition de l'asc pro à Vénus natale).
Mais dans ce cas là, la proximité de l'asc prog à la LN natale + la réactivation du carré à Uranus + les aspects/transits cités par Malaya ont pesé de tout leur poids.

Comme quoi, une superposition dépend vraiment de l'état, du potentiel du natal, ainsi que des autres aspects/transits, nécessitant donc de dépasser une vision manichéenne "bénéfique" / "négatif" décontextualisée du natal.

Coucou Angèle   
Je me suis posé la même question, l'ascendant en V nt, et la V RS en X    peut-être faut-il avoir plus à l'esprit les planètes en V et leurs maîtres et la position en natal et RS du maitre d'asc RS ;
Uranus maitre de la VIII (sexualité entre autres) en V carré à la conjonction Soleil/Vénus/Jupi en Lion (un ego surdimensionné) cela suggère l'instabilité, les changements imprévisibles, accentués par l'opposition à la Lune en Taureau, maître d'asc nt.

Jupi RS , dans le nt conjoint à un luminaire donc hyper important en RS, est conjoint à Uranus, conjonction maléfique dû au carré nt, en RS sur la X nt(le destin) et IV RS , la XII conjoint Uranus nt etc.
Neptune en V carré Saturne en III, désillusions ou éloignements, risque de ne pas pouvoir concrétiser facilement ce que l'on désire, avec Saturne en III ; communication difficile, bloquée.

Mars avec Pluton maitrise la V nt ; Mars RS en exil conjoint Lune/Saturne/Vénus opposé Jupiter/Uranus, et carré à Pluton en Capricorne.La cuspide de la VIII RS sur Mars nt en chute en XII.

Dans la RL; asc dans la V nt, et la X en V nt, répétition de la RS, curieux, non?
Cela dit, l’interprétation est toujours plus facile après événement.
  

Malaya a écrit:

Dans la RL; asc dans la V nt, et la X en V nt, répétition de la RS, curieux, non?

La V avait effectivement un rôle important, et par son symbolisme tout son amas en Lion + Uranus (en V) en carré dans le natal.

En directions symboliques:

- Lune au carré exact de Saturne (maître de VII et VIII)
- Mars sur Mercure natal (maître de III et XII, à 1 degré près)
- MC au carré de Mercure

Planètes collectives, pas certaine qu'il faille les prendre en compte:
- Pluton sur Uranus (maître de la VIII, à 1 degré près)
- Uranus sur Neptune (maître de la IX, à 1 degré près) sextile Pluton
- Neptune au sextile d'Uranus et au carré de Pluton