Bonsoir, je me disais, "tiens ça fait longtemps que j'ai pas parlé de mes états d'âme sur le forum", et je sais que vous n'attendez que ça , alors me voilà.

Plus sérieusement, je sais que j'ai déjà parlé de ça mais je voudrais savoir si ça vous est arrivé de vous faire hospitaliser et par la suite d'être complètement perdu, de vous sentir en décalage...
J'ai des angoisses qui se sont amplifiées (je travaille dessus mais ça reste handicapant pour le moment) et j'avoue que je me sens dépassée. J'ai l'impression de ne plus avoir de repères, c'est une sensation déconcertante et désagréable et je ne comprends pas ce qui m'arrive...moi qui avant appréciait la solitude, je me retrouve à faire des crises d'angoisses (ça ne m'était jamais arrivé avant) quand je me retrouve à dormir seule chez moi.
Cobra l'avait évoqué dans mon précédent post "Mal-être" : certains interprètent ça comme une transition spirituellement parlant...
Si certains d'entre vous ont déjà vécu ça et veulent partager leurs histoires ça m'aiderait beaucoup, je vous remercie par avance.

Tu t'es fait hospitaliser pour une opé ? tu as eu une AG ? parce que ça pourrait aussi expliquer cela , chez moi les seules fois où j'ai subit une anesthésie la première j'ai fait 3 jours de coma et la seconde une dépression quasiment ..

Suite à des angoisses puis une dépression j'en ai déduis que je n'était pas aligné sur le fait de continuer à m'isoler ; en fait c'est surtout que ça à fait péter la bulle ....et j'avais beau savoir beaucoup de choses spirituelles mais ça n'était qu'intellectuel donc depuis poubelle tout ça .

les angoisses , enfin surtout quand ça dure , c’est quelque chose qui nous dépasse mais c'est aussi une sorte d'alerte : " hep ! y a un truc qui déconne ! "
Le problème c'est qu'on ne sait pas quoi ; enfin si quelque part on le sait mais parfois on le fuit .....mais si ça ne reste qu'intellectuel ça ne fonctionne pas , enfin pour moi ça été et c'est ainsi . Je crois que le mot exact serait : intégration ...intégration d'un tout : intellect , sentiments , avec ses tripes , etc...
Moi c’est le boulot qui m'a aidé en partie , ainsi que mon bénévolat , après la vie a fait le reste . Je pense que ça note l'importance de se trouver un but et de s'y tenir ....peut importe la grandeur de ce but , on s'en fout ; parce que c’est le don de soi envers ce but qui compte , c’est ça le retour sur investissement je dirais .

Vassangel a écrit:

Tu t'es fait hospitaliser pour une opé ? tu as eu une AG ? parce que ça pourrait aussi expliquer cela , chez moi les seules fois où j'ai subit une anesthésie la première j'ai fait 3 jours de coma et la seconde une dépression quasiment ..

Idem, sans les conséquences dramatiques, mais je me souviens de la période post opératoire avec AG même si ça remonte à longtemps (anecdote marrante : la dernière chose que j'ai dite avant de m'endormir sur la table d'opération c'est "j'me sens pas bien c'est normal ?" ).
Dans les quelques semaines qui ont suivi, il y a eu une période un peu trouble de questionnement existentiel et pas mal d'angoisses, au sujet de la mort notamment. J'avais surtout mal supporté l'idée d'avoir été endormie et que tout avait échappé à mon contrôle pendant ce laps de temps.

Sinon Silver, je pense qu'avec ou sans anesthésie générale, une période d'hospitalisation représente une coupure avec le quotidien. L'hopital peut ressembler à une bulle hors du monde dans laquelle tes repères sont différents, le temps ne s'écoule pas de la même façon que d'habitude non plus. Et peut-être t'es tu sentie protégée par la présence du personnel soignant, qui n'est plus à tes côtés maintenant que tu es rentrée chez toi. Ca expliquerait tes angoisses, je ne sais pas ce que tu en penses.

Edit : tu as comme un travail de réinsertion à effectuer on pourrait presque dire, comme après un emprisonnement. Reprendre le contact avec toi-même, ou en profiter pour construire de nouvelles bases, ce serait peut-être l'occasion si jamais c'est nécessaire, en fonction d'où tu en étais/en es dans ta vie.

Vassangel, je te remercie pour ta réponse ! Un kyste (je ne savais pas que j'en avais un) s'est rompu et je me suis retrouvée aux urgences. Je suis restée 4 jours à l'hôpital, j'ai failli être opérée mais les médicaments ont fait partir l'infection. Sauf qu'ils étaient tellement forts que j'ai fait un bad trip. J'ai dû continuer de les prendre chez moi sous forme de cachets, je suis restée alitée 3 semaines en tout.
ça a dû être difficile, comment tu t'en es sortie ?

Merci Cobra, oui tu as raison, c'est ce que je pense aussi, les angoisses sont là pour nous montrer que quelque chose ne va pas. Il faut avoir un but, oui...
Je sais que tout part de la peur de l'image que je renvoie. Depuis que je suis ado j'ai peur du regard des gens, maintenant j'ai peur d'être seule...on n'en fini pas.

Imogen, merci pour ton intervention, c'est sûr que ça remue, ce genre d'évènement soulève plein de questions.
Mais je ne me sentais pas vraiment dans une bulle à l'hôpital, au contraire. Surtout à partir du moment où j'ai fait un mauvais trip.
D'ailleurs le premier jour, j'étais sous morphine, je pouvais même pas marcher et j'ai dit au médecin "c'est bon je peux rentrer chez moi ?".

Citation :

Edit : tu as comme un travail de réinsertion à effectuer

lol , en ce qui me concerne j'ai repris un travail via une association de réinsertion , mais durant les 2 voir 3 premiers mois je me demandais si j'allais rester , c’était cathartique . Et maintenant que j'y pense ça avait été aussi le cas qu'on j'ai eu trouvé un job en usine après la rupture avec mon ex. , je me demandais là aussi si j'allais rester - car c'était dur physiquement - et si j'allais tenir et ben quelque part je me suis obligé à y revenir et c’est un peu la là-bas que j'ai fait " mes classes " dans le domaine de la manutention ( bien que j'avais bossé 1,5 mois dans une autre boite après avoir obtenu mon BEP de chaudronnier , 1 ier boulot , premier con de patron , premier dégoût du travail ) pour ça et malgré la rudesse et parfois les conflits ça été une bonne école ....Mais ça c’est la réponse d'un Mars-Saturne donc heu...

Je vois que justement Saturne C fait carré à ton Mars ....et tu as déjà un lien entre eux 2 en natal , aspect qui va se reproduire en fin novembre 2018 à 7° ( Saturne Capri - Mars Poissons ) ...et ben ça sera le seul , en mondial je parle , après plus tard Saturne C fera sextile à ton Mars .


Saturne actuelle touche ta cuspide II et comme son maitre Jupiter reçoit un carré , en mondial de Pluton c'est aussi pour cela que tu vis un passage cathartique *

* :

Spoiler:

Cobra a écrit:

...
Le problème c'est qu'on ne sait pas quoi ; enfin si quelque part on le sait mais parfois on le fuit .....mais si ça ne reste qu'intellectuel ça ne fonctionne pas , enfin pour moi ça été et c'est ainsi . Je crois que le mot exact serait : intégration ...intégration d'un tout : intellect , sentiments , avec ses tripes , etc...
Moi c’est le boulot qui m'a aidé en partie , ainsi que mon bénévolat , après la vie a fait le reste . Je pense que ça note l'importance de se trouver un but et de s'y tenir ....peut importe la grandeur de ce but , on s'en fout ; parce que c’est le don de soi envers ce but qui compte , c’est ça le retour sur investissement je dirais .

C'est très juste et très sage, ce que tu dis Cobra. Je pense qu'en effet ça fonctionne comme ça. Ce n'est pas facile cependant, de décider d'aller de l'avant.

Silver je suis plus a l'aise dans le domaine de l'âme et du mental que de l'astro et de ce que je retiens est le mot qui revient : peur . Bien sur nous en avons tous mais quand le corps parle , quand les circonstances deviennent insistantes, quand la dépression pointe , cela veut dire souvent qu'on arrive en bout de courses , il t'es peut être demander d'effectuer un arrêt ... L'univers répond toujours à ce qu'on lui renvoie , tu as été arrêté dans ta vie avec ce kyste , la prise médicamenteuse à surement contribuer a mettre un peu plus en lumière ton mal être , je pense pas que ça soit "pire" qu'avant mais c'est aller chercher quelque chose ou des choses un peu plus enfouies que le reste ..
Sortir de la peur est un boulot de tous les jours , il te faut renouer avec des sentiments comme la gratitude , l'amour , l'enthousiasme ... Comme le dis Cobra peut importe le but le tout est d'en trouver un qui te porte , renoue avec quelque chose que tu aimes faire . La deuxieme chose : apprends à ne plus resister à tes ressentis et tes émotion et apprends a les accueillir c'est a dire à les vivre a fond sans jugements , on commence à se libérer comme ça , retiens cette phrase de Jung :

tout ce à quoi l'on resiste persiste et tout ce que l'on embrasse s'efface

Garde confiance , peut importe le temps que ça prends . Pour la petite histoire : j'ai souffert de dépression de l'age de 12 ans jusqu'a mes 28 ans . J'ai cru pendant des années dompter mes peurs jusqu'au jour où elles m'ont éclater à la gu..le .. Aujourd'hui j'ai juste arrêter d'être dupe vis a vis de moi même , j'ai appris juste à m'observer et à plus me juger

mis a part l'enFance jai eu un petit coma à 16 ans (juste 3 jours après l'an 2000) d'une seule nuit sur la table d'opération pour ressouder mon bras péter contre le sol après un guet apen, çà m'a secoué sur le coup car jai reçu un shoot dans la tete alors ke jétais k.O au sol, j'me suis relevé dans les vappes et parti passer une petite nuit à l'hopital, dans le bus les gens me regardaient bizarre javais la tete en sang ensuite parti à l'hopital mais mon bras sest remit avec broche , il y a eu une Fille ki m'a demandé si çà allait lorsque jétai encore sur les lieux mais je l'ai envoyé boulé par nervosité pensant que cétait une complice, cette raclé m'a vraiment Fait prendre du recul , jétai nouveau dans un lycée de garges les gonesse , un camarade de classe sétait mis a rire niaisement lors de l'appèle de mon nom et jai réagit en lui demandant ce ki était drole, ensuite à la rentrée un d'ses amis m'a jeté une canette de minute maid orange dessus pour rire à la sortie de salle , jen avai plein sur moi , j'me suis avancé en lui décochant une petite droite et dehors çà été ma Fête , jai du changer de lycée dans cette meme ville car la cité avoisinait ce lycée, l'handicap que j'ai eu à partir de 21 ans un truc bete cétait parce ke je connaissais pas mes limites pour manger pensant qu'on pouvait manger illimité comme le Film "grave" actuellement en salle, je me gouinFrais et mon corps (squellette à pris un volume déséquilibré) sest bloquer , mais jai compris récemment mes limites alimentaires pour rendre son volume à létat normal... çà peut peut etre vous aider ou paraitre cliché mais , si on ne veut pas s'aider soi meme , on n'peut le Faire pour les autres


silver je n'saurais trop quoi te dire car nétant pas à ta place mais ne Faut pas redouter de devoir zapper les contraintes sans etat d'ame

T'as bien une idée de ton problème non ? C'est quoi ?

Gaby a écrit:

T'as bien une idée de ton problème non ? C'est quoi ?

cétait simplement un problème de déséquilibre ,l'os ayant prit de la densité , comme il retendait à reprendre sa Forme initiale çà tirait sur toutes les articulations , crispation des doigts...etc donc diFFiculté de dosage , Fluidité , déséquilibre psychique ( sensation désagréable), si j'avais connu avant les limites de dosage alimentaire le problème ce serait arrangé dès le départ ,il a Fallut que j'comprenne le Fonctionnement, les médecins me disaient qu'un squelette ne peut pas prendre de volume breF çà dépend pour qui alors, je peux pas peser plus de 73kg avec une alimentation normale.

Les pizzas,crèpes, plusieurs patisseries ,Frangipane, baguette de sandwich...etc dans une meme journée à répétition, j'mettais donné 2 mois sympathique donc un surdosage alimentaire.

En Faite c'est pas tous a Fait remit mais je sais que ce n'est qu'une question de semaine enFin je pense.
La vie c'est comme une boite de chocolat.
La soirée où j'me suis pris une ristourne j'était complètement stone sous médoc javai une grosse crève car toute la nuit du nouvel an je l'avai passé sur les champs élysées en tee shirt, javai pas prit de pull ni de manteau, j'pensais pas qu'il Faisait si Froid. plus tard vers 19 ans je m'amusait à mettre des coups de coude et de tibias sur une poutre en bois comme jean claude vandamme , à cet age là j'hésitait à me lancer dans le kung Fu ou le Football mais je penchait plus vers le second car javai deja mon projet politique en tete , javai commencé à lire un peu l'astro vers 18 ans .

je me dit que le point positiF c'est qu'il va surement exister un moyen de garder un squelette 100% Intact , il y a quelque chose de massiF dans la nourriture qui augmente la densité du cartilage osseux , avec les nanos tech çà sera plus Facile de cibler précisément et selon les divers métabolysmes
je pense que ce qui enclenche la détérioration de toutes cellules du corps y compris cérébrale est du à la décadence du système osseux , mais ce n'est qu'une théorie , au risque d' embarqué dans des plans Fumeux

Cobra, c'est difficile de lâcher prise pour moi, d' "intégrer" les choses...dans mon thème, pluton et mercure dominent, donc : je suis une hypersensible, je me laisse souvent envahir par mes émotions, et pour me rassurer, je fais marcher mercure, je cogite, beaucoup, beaucoup trop, ce qui finalement n'aide pas non plus (par exemple, gros mal de crâne ce week-end, avec toutes ces planètes en bélier...). Pas évident.
J'ai eu aussi des mauvaises expériences dans le travail, j'ai passé mon temps à me forcer, à tenir parce qu'il le fallait, du coup je ne disais rien et je supportais. Les gens me disent "trouve un petit boulot", mais c'est plus compliqué que ça en a l'air.
Saturne fait un carré à mon mars c'est vrai, j'avais presque oublié...j'étais fixé sur le carré de pluton à ma vénus qui maîtrise quand même trois de mes maisons. En plus il va arriver sur mon saturne, être sextile à mon mars, trigone à mon ascendant et sextile à mon descendant...bah tiens je me sentais pas assez plutonienne

Merci Vassangel pour ce texte encourageant
La solution, je sais que c'est le lâcher-prise...mais je bloque. J'ai tellement peur de l'image que je renvoie aux autres que je finis par m'empêcher de vivre, c'est limite si je m'excuse pas d'exister. "Qu'est-ce qu'ils vont penser ? Comment ils vont me voir ?..." J'essaie de me répondre "Mais on s'en fout en fait " sauf que le mental arrive derrière "Non non, on s'en fout pas. " (Vénus bélier carré saturne alala...)

Merci usualmixtape.
J'ai eu des moments difficiles aussi durant ma scolarité...on est beaucoup dans ce cas là à mon avis.
Je pense qu'il y a plein de moyens de se régénérer, en changeant son alimentation ou en travaillant les énergies par exemple. Le sport aussi, ça peut aider. Mais il faut avoir de la volonté et être régulier...
C'est vrai que parfois je culpabilise, je me demande pourquoi je n'arrive pas à être comme les autres, à faire comme les autres...on s'impose souvent des contraintes soi-même alors que finalement, la plupart du temps rien ne nous y oblige.