Paul Léautaud :


"J'aurais très bien vécu en prison, à condition d'avoir de quoi écrire."

"Le confort ne m'intéresse pas... Je suis porté par ma nature aux choses désastreuses, aux choses mélancoliques."

"Je ne suis pas d'un naturel aimable ni flatteur."

"Le Misanthrope c'est quelqu'un que je connais bien."

"Même les passions les plus fortes, il faut les prendre avec scepticisme."

"On me demandait l'autre jour : "Qu'est-ce que vous faites ? - Je m'amuse à vieillir, répondis-je. C'est une occupation de tous les instants."

"En revenant, je réfléchissais que mon amour pour les bêtes a grandi en même temps que ma misanthropie."

"L'amour, c'est le physique, c'est l'attrait charnel, c'est le plaisir reçu et donné, c'est la jouissance réciproque, c'est la réunion de deux êtres sexuellement faits l'un pour l'autre. Le reste, les hyperboles, les soupirs, les élans de l'âme sont des plaisanteries, des propos pour les niais, des rêveries de beaux esprits impuissants."

"Je voudrais encore que des bras affectueux me portent dans la vie pour m’en éviter les heurts et les fatigues."

"Un enfant timide comme j'étais (...) Je vivais caché sous la table."

"Ah ! ce n’est donc pas une blague, qu’on reste toujours sensible à ces choses, et que notre vieux cœur leur garde toujours un coin, et le bon ? Je me moque pourtant pas mal de toute cette histoire, et même de la part de ma jeunesse qu’elle représente. J’ai toujours vécu en avant, et malgré ma manie d’écrire des souvenirs."

"Chacun a son adorée, chacun la trouve la plus belle, chacun débite sa romance, chacun est persuadé d'avoir en elle un objet sans pareil pour le plaisir, chacun voit l'éternité dans son amour. Le sage, lui, se dit qu'il est certes agréable d'aimer, également d'être aimé ou de croire l'être, mais que si ce n'eût été celle-ci et par celle-ci, c'eût été celle-là et par celle-là, qu'il n'y a donc pas lieu de s’échauffer, d'attester les cieux et les enfers, d'exagérer son bonheur ou son malheur, mais de jouir de la musique tant qu'elle joue et tant qu'on peut jouer."

"J'ai pour les bêtes, toutes les bêtes, un cœur de concierge, et de vieille concierge. Si j'avais l'habitude des phrases poétiques, je dirais que je me sens le frère de ces vieilles femmes à cabas qui portent le soir à manger, aux grilles des jardins publics, aux chats sans patrons. Je ne donne jamais un centime aux pauvres, le spectacle des gens écrasés m'est indifférent, les gens qui pleurent aux enterrements me semblent très laids, et quand ma chère bien-aimée est malade, je vais me promener. Mais mon chat est le maître chez moi, mes fenêtres sont pleines de pain pour les oiseaux, je pars chaque matin avec des provisions de pain que je distribue à tous les moineaux de ma route, je donne du sucre aux chevaux de fiacre dont la misère finira par m'empêcher de sortir, j'achète de la viande aux chiens perdus que je rencontre, et si je m'écoutais, et si je le pouvais, ma maison serait pleine de bêtes, au lieu que j'y sois seul, car vous pouvez vous en douter, vous, un de ses oncles ! est bigrement loin d'être une bête. Que de cochers de fiacres j'ai dans mes relations, pour bavarder de temps en temps avec eux, et que de bonnes bêtes, dans mon quartier, qui me connaissent."

"Le gens qui m'ont connu de près m'ont toujours tenu pour un homme qui ne ment jamais et, de plus, dénué de toute imagination. Cela pour répondre aux réclamations de tiers intéressés."

"Qui m'aurait dit, quand j'étais jeune, que je deviendrais si sensible, qu'il me viendrait aussi ce besoin d'aimer... On dit pourtant qu'on devient plus sec avec les années. Je prends le chemin tout contraire, je crois bien."

"Le monde est si drôle, cependant, que j’ai toujours conquis, et d’une façon assez importante, la sympathie des gens à qui j’ai permis de me connaître."

"Il ne fait pas bon de montrer de l'intérêt aux bêtes, en ce moment. On vous regarde presque aussitôt de travers. "Mais les gens, Monsieur ! les enfants, Monsieur !" Oh! les gens, les enfants ! Je sais ce que sont les premiers pour la plupart, et par eux ce que seront les seconds."

"Il est vrai que l’habitude est une seconde nature."

"Je m’interromps ce soir dans mon travail pour noter ceci : l’amour –même celui très vif que j’éprouve pour… ne change rien au vrai fond de mon caractère. Mon vrai bonheur, c’est, seul, chez moi, quand je travaille."

"L'amour est une flamme qui se nourrit de tous côtés et dans toutes les directions. N'importe quoi ou n'importe qui peut l'inspirer. Parfois la vie seule peut suffire. " Henry. MILLER, The complete Book of friends, The Estate of Henry Miller, London, 1988, trad. fr, Mon vélo et autres amis, Paris, Christian Bourgeois, 1995, p.261.
==>http://www.astrotheme.fr/astrologie/Henry_Miller

Paul Cézanne :

"Je vis avec mes pensées... La nature, pour nous hommes, est plus en profondeur qu'en surface... Tout est, en art surtout, théorie développée et appliquée au contact de la nature."

"J'ai une petite sensation, mais je n'arrive pas à m'exprimer ; je suis comme qui posséderait une pièce d'or sans pouvoir sans servir."

"Comprenez un peu, monsieur Vollard, si je mettais là quelque chose au hasard, je serais forcé de reprendre tout mon tableau en partant de cet endroit!"

Vollard, marchand de tableaux a écrit:

"Après cent quinze heures de séances, Cézanne abandonna mon portrait pour s'en retourner à Aix. "Je ne suis pas mécontent du devant de la chemise" me dit-il en s'en allant. "A mon retour, j'aurai fait quelques progrès. Comprenez un peu, monsieur Vollard, le contour me fuit".

"Je n’ai jamais supporté que l’on me regarde travailler, je ne veux rien faire devant quelqu’un."

"La recherche de la nouveauté et de l’originalité est un besoin factice qui dissimule mal la banalité et l’absence de tempérament."

"C’est effrayant la vie !"

"Il faut traiter la nature par le cylindre, la sphère et le cône."

"Toute la volonté du peintre doit être de silence. Il doit faire taire en lui toutes les voix des préjugés, oublier, oublier, faire silence, être un écho parfait. Alors, sur sa plaque sensible, tout le paysage s’inscrira."

"Pour l’artiste, voir c’est concevoir, et concevoir, c’est composer."

Les planètes ayant élu un point d'ancrage en Capricorne et les aspects à Sat, ne sont pas pour autant aussi pessimistes que les textes très poétiques mais un peu déprimant que je viens de lire.
Mais vrai, avec Sat on en revient toujours à la solitude.

"C’est effrayant la vie !"

"Il faut traiter la nature par le cylindre, la sphère et le cône."
Cancer/Capricorne n'est pas loin...

"On me demandait l'autre jour : "Qu'est-ce que vous faites ? - Je m'amuse à vieillir, répondis-je. C'est une occupation de tous les instants."
Sourire.. La dérision peut être salutaire mais le besoin de solitude plus important encore.

Rigel a écrit:

Les planètes ayant élu un point d'ancrage en Capricorne et les aspects à Sat, ne sont pas pour autant aussi pessimistes que les textes très poétiques mais un peu déprimant que je viens de lire.
Mais vrai, avec Sat on en revient toujours à la solitude.

Ces propos n'engagent que ceux qui les prononcent mais, je trouve, que, parfois, les citations sont plus révélatrices que des interprétations.Là, les citations que j'ai citées semblent tenir du Capricorne et/ou de Saturne même si chacun vit ces influences à son propre degré.

Hagakure.
Tout à fait certaines citations .. sont très pertinentes.
Merci de les avoir misent sur le forum.
Dur dur pour les Saturniens.

J'aurais tendance à penser que si les Saturnien(nes) sont "malheureu(ses)x", c'est parce que le monde dans lequel nous vivons est à forte consonance Jupitérienne.Et donc, dans ce monde là, les valeurs saturniennes n'ont effectivement que peu d’intérêt ou plutôt peu de pouvoir de valorisation.

Mais, pour autant, la véritable faiblesse n'est elle pas dans l'incapacité à se retrouver seul avec soi-même ?

Hagakure penses tu que tous les Capricorniens soient malheureux ?
Mais, pour autant, la véritable faiblesse n'est elle pas dans l'incapacité à se retrouver seul avec soi-même ? sic toi.
Entièrement d'accord. Encore faut il accepter d'être seul.

Je ne pense pas que cela soit une faiblesse de refuser la solitude.
Mais comment comprendre qu'à 40 ans ou peut être à 25 ans ou 30 ans ou 70 ans++ qu'il faille être seul pour .. méditer ou ruminer ?
Ruminer est peut être un mot vénusien "taureau"

La joie du travail
Charles Péguy , né le 7 janvier 1871, mort le 5 septembre 1914.
"On devient vite un piètre travailleur quand on fait du travail un absolu. L'amour du travail bien fait ne découle pas de l'amour du travail, il découle de l'amour de la perfection. Il est d'origine métaphysique.

« Le croira-t-on, nous avons été nourris dans un peuple gai. Dans ce temps-là, un chantier était un lieu de la terre où des hommes étaient heureux. Aujourd'hui, un chantier est un lieu de la terre où des hommes récriminent, s'en veulent, se battent, se tuent.

De mon temps, tout le monde chantait... Dans la plupart des corps de métier, on chantait. Aujourd'hui, on renâcle. Dans ce temps-là, on ne gagnait pour ainsi dire rien... On ne gagnait rien; on ne dépensait rien; et tout le monde vivait...

Nous croira-t-on, et ceci revient encore au même, nous avons connu des ouvriers qui avaient envie de travailler. On ne pensait qu'à travailler. Ils se levaient le matin, et à quelle heure! et ils chantaient à l'idée qu'ils partaient travailler. À onze heures ils chantaient en allant à la soupe. En somme, c'est toujours Hugo; et c'est toujours à Hugo qu'il en faut revenir: «Ils allaient, ils chantaient». Travailler était leur joie même, et la racine profonde de leur être. Et la raison de leur être. Il y avait un honneur incroyable au travail, le plus beau de tous les honneurs, le plus chrétien, le seul peut-être qui se tienne debout...

Nous avons connu un honneur du travail, exactement le même que celui qui, au moyen âge, régissait la main et le coeur. C'était le même conservé intact en dessous. Nous avons connu ce soin poussé jusqu'à la perfection, égal dans l'ensemble, égal dans le plus infime détail. Nous avons connu cette piété de «l'ouvrage bien faite» poussée, maintenue jusqu'à ses plus extrêmes exigences. J'ai vu toute mon enfance rempailler des chaises exactement du même esprit et du même coeur, et de la même main que ce même peuple avait taillé ses cathédrales...

Dans ce bel honneur de métier convergeaient tous les plus beaux, tous les plus nobles sentiments.

Une dignité. Une fierté. «Ne jamais rien demander à personne», disaient-ils. Voilà dans quelles idées nous avons été élevés. Car demander du travail ce n'était pas demander. C'était le plus normalement du monde, le plus naturellement réclamer, pas même réclamer. C'était se mettre à sa place dans un atelier. C'était, dans une cité laborieuse, se mettre tranquillement à la place du travail qui vous attendait. Un ouvrier de ce temps-là ne savait pas ce que c'est que quémander...

Ces ouvriers ne servaient pas. Ils travaillaient. Ils avaient un honneur, absolu, comme c'est le propre d'un honneur. Il fallait qu'un bâton de chaise fût bien fait. C'était entendu. C'était un primat. Il ne fallait pas qu'il fût bien fait pour le salaire ou moyennant le salaire. Il ne fallait pas qu'il fût bien fait pour le patron ni pour les connaisseurs, ni pour les clients du patron. Il fallait qu'il fût bien fait lui-même, en lui-même, pour lui-même, dans son être même. Une tradition, venue, montée du plus profond de la race, une histoire, un absolu, un honneur voulait que ce bâton de chaise fût bien fait. Toute partie, dans la chaise, qui ne se voyait pas, était exactement aussi parfaitement faite que ce qu'on voyait. C'est le principe même des cathédrales.

Et encore c'est moi qui en cherche si long, moi dégénéré. Pour eux, chez eux, il n'y avait pas l'ombre d'une réflexion. Le travail était là. On travaillait bien.»
Source :
"L'Argent", dans "Oeuvres en prose de Charles Péguy, 1909-1914", Paris, Gallimard, "Bibliothèque de la Pléiade", 1957, p.1050.

http://www.astrotheme.fr/astrologie/Charles_P%C3%A9guy

Rigel a écrit:

Hagakure penses tu que tous les Capricorniens soient malheureux ?

Oulà, non, non, ce n'est pas ce que j'ai voulu dire.

C'est que, dans le monde dans lequel nous vivons, la réussite, c'est d'avoir un bon compte en banque, être à l'aise socialement et dans tout ce qui touche à l'expansion, à la notion de plaisir, de divertissement, etc.

Or, un type Saturnien/Saturnisé/Capricornisé peut n'y trouver strictement aucun intérêt.Ce qui peut rendre malheureux, c'est de se sentir incapable de réussir dans un monde Jupitérisé, de se sentir en marge.Chacun a besoin de valorisation, et ce n'est pas dans une société telle qu'elle est qu'il le sera, et comme un Saturnien ne sait pas se vendre...

J'ai mis un Si et des guillemets dans mon post précédent, qui revêtait plus un caractère général et non pas du cas par cas.

J'ai connu un Sag : Asc Cap avec un Sol en XI opp à Sat/Ura en V (pour tout dire il avait Mars en Sco en X).
Une hargne pas possible pour établir son statut jupétérien. C'est vrai il a soulevé des montagnes pour réussir. Et il a réussi.
Etait il heureux pour autant ?
Possible uniquement pour sa carrière.

Neven la perfection ne serait elle pas du domaine de Lion ?
Là nous ne parlons que de signes.

Dans la description du Saturne dominant en TN( maître traditionnel du signe ), la perfection ressort souvent..."loin des compromissions et concessions faciles, vous êtes en quête d'une perfection absolue et - souvent - chimérique."
==>http://www.astrotheme.fr/celebrites/dominantes/saturne/1.htm

À la fin vient donner son coup de faux pour parfaire cette vie terrestre, c'est la perfection saturnienne , ce que te donne il te le reprend à la fin (= l'infini en acte, la temporalité comme oeuvre de l'esprit ). Contempler les anneaux de SATURNE, c'est "connaître" la perfection

Donna SUMMER ( dominant ) :


http://www.astrotheme.fr/astrologie/Donna_Summer


, le dixième signe du Zodiaque et le plus élevé...

Neven le "post" est Capricorne.
Peut être le signe de la sortie de la vie terrestre comme l'est le Cancer pour l'entrée de cette vie ci ou des Ms X/IV.
Ensuite Sat.
Difficile de "gérer" Sat. Peut on le "gérer" ?
Comme tu dis si bien : Sat est la "faux"...

La perfection terrestre ....
Je vais écouter tes vidéos.

Pour appuyer ce que tu dis,
il me semble que Napoléon avait une Conj Sol/Sat en X. ????
Je vais écouter Donna Summer. Une voix à nulle autre pareil.

Gros Niko.

Le signe du Capricorne.
Un signe est une énergie statique
Pour Saturne c'est autre chose. Sat est énergie dynamique...

"Je n'aime pas la société des hommes... Le bonheur, c'est d’être seul..."
Comme je me reconnais ! Je ne suis pas toujours comprise à ce niveau là, parfois les gens prennent ça pour de la froideur, de l’indifférence ou de l'égoïsme mais moi je me plais avec moi-même. J'ai une belle vie sociale mais il me faut ces moments de solitude pour l'apprécier.
La foule m'indispose, la vie moderne va a cent à l'heure, toujours vite, toujours plus, la solitude c'est le repos, la distance nécessaire pour mener sa propre existence en dehors de toute influence extérieure de façon réfléchie.

Et je l'aime bien mon saturne, il amène la persévérance, la ténacité, ce sont les qualités dont je suis la plus fière....le fait de ne jamais lacher mes objectifs. Il m'offre un cadre, une sécurité...

Y'a le capricorne qui prend plus de mars et l'autre de saturne ,le premier etoure toutes les tailles,l'autre est plus saturnien,donc forcement un peu moins tactile

https://youtu.be/VZjsZkArHss

alia a écrit:

"Je n'aime pas la société des hommes... Le bonheur, c'est d’être seul..."
Comme je me reconnais ! Je ne suis pas toujours comprise à ce niveau là, parfois les gens prennent ça pour de la froideur, de l’indifférence ou de l'égoïsme mais moi je me plais avec moi-même. J'ai une belle vie sociale mais il me faut ces moments de solitude pour l'apprécier.
La foule m'indispose, la vie moderne va a cent à l'heure, toujours vite, toujours plus, la solitude c'est le repos, la distance nécessaire pour mener sa propre existence en dehors de toute influence extérieure de façon réfléchie.

Et je l'aime bien mon saturne, il amène la persévérance, la ténacité, ce sont les qualités dont je suis la plus fière....le fait de ne jamais lacher mes objectifs. Il m'offre un cadre, une sécurité...

Bien d'accord avec toi cela me ressemble assez... par contre pour que le bonheur soit total j'ajouterai qu'il me faut des animaux à choyer .

Merci Rigel !

je retiendrai : "la solitude ça n'existe pas, je suis seul chez moi...et je n'ai pas peur"

J'adore

Bonjour les misanthropes ,

la fleche a écrit:

Y'a le capricorne qui prend plus de mars et l'autre de saturne

André Barbault a écrit:

L'ambitieux : Nature caractérisée par une âpre affirmation du moi au service d'une volonté de puissance ou d'un orgueil rentré de domination. Arriviste ou ambitieux, sa libido a une soif d'élévation. II a des chances de se hisser à un sommet par sa silencieuse et patiente obstination, sa prévoyance, sa longue préméditation, sa lucidité, sa volonté bien engagée; il y parvient aussi bien par un froid calcul, une souplesse diplomatique à la façon de la lame d'acier, que par le caractère indomptable ou la dureté du granit.

Le Détaché : Sa libido se détache du monde terrestre, des convoi­tises et possessions matérielles ; Elle prend Le chemin du Dépouillement. Il s'agit parfois d'une ambition refoulée, révélée par une humilité exagérée, un désintéressement excessif, des tourments moraux et scrupules douloureux. II s'agit ici aussi d'une ambition, mais elle est toute morale, tournée vers une ascension spirituelle: Ascèse, con­templation, méditation, sinon consécration totale de soi aux autres ou encore vie impersonnelle vouée à une grande œuvre, sur des pentes arides qui mènent à des cimes lumineuses.

Bonjour Haga , tu te moques
Je crois que c'est un capri qui à dit un jour "Il vaut mieux être seul, que mal accompagné"