Patrick Dewaere, l'ecorché vif

Mon acteur préféré, je voulais partager une interview de ce mec qui m'a marqué.. 3 jours avant son suicide, vers 9 minutes de la vidéo on entend un coup de tonnerre.. je sais pas pourquoi mais ça m'a bouleversé

Son thème est fascinant, y a un mélange de douceur et de noirceur. Il était talentueux

Ma scène préf

Dewaere est né le même jour et la même année que Sardou : mais ce dernier a un asc géùeaux. On trouve en tout cas du verseau bien affirmé, avec un mars fort, conjoint soleil et saturne en opposition qui assombrit la caractère, voire la destinée. Dewaere avec son asc poissons et sa lune angulaire (plus jupiter maître asc en scorpion et en VIII !) ... est très marqué par l'élément eau avec tout ce que cela impliqué.

Les transits lors de son suicide montrent bien la pertinence des transits de resonance

Le 16 juillet 1982: il y a une triple conjonction mars/ saturne /pluton au carré du soleil

Deweare possede dans son theme une conjonction soleil mars opposé a soleil pluton.

Dewaere, pour moi est un condensé de planètes de feu en opposition avec aussi et des planètes d'eau et vénusiennes ( ), un savant mélange de féminité et de virilité (genre de mecs qui pourrait plaire aux uns comme aux unes) mais avec au final un caractère "sanguin", explosif. Le tout ou le rien.

Toute sa vie et ses rôles le démontrent.

C'est intéressant . Le verseau c'est un signe marginal qui vit a contre courant de la société. Lui ne voulait pas travailler, c'est pour cette raison qu'il a fait du théâtre et du cinéma

Dans une interview il dit ne pas vouloir vieillir, qu'il ne se voit pas vieux. On peut le voir cette peur dans son thème ?
Pour moi c'est peut être Saturne qui influence d'où l'opposition

Miumiu a écrit:

Dans une interview il dit ne pas vouloir vieillir, qu'il ne se voit pas vieux. On peut le voir cette peur dans son thème ?
Pour moi c'est peut être Saturne qui influence d'où l'opposition

Avec (l'idéal...) l'un de ses maîtres d' en (l'esthétique...), son apparence physique devait lui importer...l'idée de vieillir par là pouvait ne pas être facile à envisager pour lui... , c'est malheureusement (son autre maître d') en en 8 (qui le portait sans doute à l'autodestruction...) qui a eu le dernier mot...

J'ai eu peu l'occasion de voir ses films mais ses rôles dans le peu que j'ai vu de ses films s'inscrivaient bien dans ce (mtre d' ) maison 8 sous maîtrise de en à en signes fixes et dans son t ...les dépravés sexuels abusant de "chicholinas" (comme MiouMiou dans "les valseuses"...)...les hystériques...c'était son registre...

Tout en étant son contraire, il me fait penser à l'actrice Arielle Dombasle parce que comme pour elle l'acteur et la personne semblent/semblaient se confondre, elle, dans le registre théâtral, lui, dans le registre "authentique" (disons...)...

Ado, je peux pas dire qu'il me séduisait...faudrait que je revois ses films, je changerais peut-être d'avis...

Je vois surtout dans cette personne une ambivalence douceur, violence, une sorte de visage d'ange qui gicle des coups de poing, mais je ne sais pas si c'est la provocation qui génère cette violence ou l'inverse, c'est peut-être les deux, comme un cercle qui se nourrit lui-même.

Joc a écrit:

c'est malheureusement (son autre maître d') en en 8 (qui le portait sans doute à l'autodestruction...) qui a eu le dernier mot...

J'ai cette position ; pas d'autodestruction pour ma part.
Par contre, il possède des oppositions à Pluton et un Uranus dissonant également... quelqu'un d'explosif.
Je me sens assez proche de son thème... Dans son cas, l'étonnante configuration avec Mars, Uranus, Pluton, Saturne, laisse penser que cette personne est capable de tout, derrière une hypersensibilité et une douceur Poissons.

Serie noire ce film m'a marqué, je crois que c'est le film le plus noir que j'ai pu voir (c'est le cas de le dire). Et pour moi le meilleur de Dewaere.. dans tout ce qu'il dégage, la misère, la folie, l'autodestruction... ce film est une pépite

C’est la suite d’un film qui n’a rien à voir en apparence, Le Chat avec Gabin et Signoret, la réalité de la douleur et de la violence d’un monde de termites qui éclosait dans Le Chat.