Rappel du premier message :

Un article fort intéressant de l astrologue mickael mandel ,avec des interprétations psychologique, en fonction de la distance séparant le soleil et vénus


http://www.mandlonline.com/?Les-phases-du-cycle-Soleil-Venus

Elsie a écrit:

"Définition générale :
La vérité est un concept abstrait qui se situe au confluent, pour l'humain, d'une croyance en un système issu de la conscience et représentative de réalité, et de sa correspondance supposée avec le symbolisme du langage."

Complètement d'actualité avec les Noeuds...

...et...qui lui est tout à fait personnel....

Le relativisme permet de se faire des copains et des copines. C'est très pratique en société pour les champions de cet art.

Quelque part, je pense que ça laisse peu d'espace à l'échange.

Que vous dites en finissant vos phrases par un point...

J'aime l'idée qu'il existe une vérité. Sans cela, aucune découverte n'est possible.

Xavier a écrit:

Que vous dites en finissant vos phrases par un point...

J'ai pris du gâteau cet aprem, gros shoot de sucre. Je n'ai plus l'habitude. Alors, je te préviens, je suis chiante, un peu

La ponctuation de mon propos ne traduit pas une fermeture à l'échange, ni à la continuité de mes réflexions sur le sujet qui ne sont pas définitives.
"Je pense" n'est pas l'équivalent d'un "je sais". Un "quelque part" n'indique pas un point d'arrivée mais une impression diffuse à préciser.
Si elle ouvre mon propos, la majuscule ne marque pas non plus le début des réflexions sur le relativisme puisque d'autres ont donné leur avis depuis des siècles. Elle ne marque pas plus le début de mes réflexions sur le sujet.

Ce sont des règles communes que j'ai utilisées pour écrire une pensée dans l'instant, laquelle est dénuée de toute inflexion péremptoire.
C'était un point de vue (subjectif), pas une vérité (objective), ce qui, il me semble, se confond parfois dans le relativisme. Et c'est là que ça peut tourner court dans un échange... En ramenant ce qui relève du sensible à la vérité.
Dès lors, comment l'échange pourrait-il croître et la contradiction émulante être possible, si je suis renvoyée à une vérité que je ne détiens pas et dont il n'est pas réellement question, à mes biais ou à ceux de l'autre ?
La vérité, les vérités, ne transparaissent-elles pas dans la transcendance des opinions personnelles ?

Zut Elsie a encore disparu...
Enfin son message...

Navane, je me risque à une réponse, mais je n'ai point votre verbe... que je jalouse d'ailleurs, mais que j'adore lire
Pis j'ai dix ans en ce moment alors j'peux manger tous le sucre que je veux,, ça me fait rien à moi
Pis sur la faim j'ai du mal à comprendre...
Du coup tu veux qu'on en parle???
@Maldo viens m'aider j'ai pas tout compris

Effectivement le relativisme, c'est une forme de facilité, tout le monde a raison.
Il n'y a plus besoin de chercher, de débattre, de s'opposer, c'est le pays des bisounours, une sorte de partouze de l'intégration. La maison VII, la .

Oui mais non voyons Elsie, c'est powa juste , ça casse tous mes effets de répartie
Et pis si tu me laisses la place je prends tout le lit

Et toi alors Craie, tu remets dix balles, déjà que j'ai toujours pas bien bien compris le développement construit de Navane, et vlà que je me sens invité à une partouze intégrative
On parlait de quoi en faite ?

remedios a écrit:

On cherche la vérité avec le cerveau... Et le cerveau est un organe collectif... Parole de verseau.

Oui.
Pour ma part, ce n’est plus au cerveau ni à un autre organe que je fais confiance désormais. Je remets tout en question.

J’ai utilisé le mot vérité mais cela aurait pu être réalité, ou un autre.
Mais ce ne sont que des mots, que nous avons adoptés pour nous comprendre.

Sauf que ce que je “cherche” est au-delà de nos concepts, de nos définitions, de notre cerveau, de notre “je pense donc je suis”, de notre mental...

Je me laisse porter vers l’inconnu, tout en remettant tout en question...

Xavier a écrit:

Navane, je me risque à une réponse, mais je n'ai point votre verbe... que je jalouse d'ailleurs, mais que j'adore lire
Pis j'ai dix ans en ce moment alors j'peux manger tous le sucre que je veux,, ça me fait rien à moi
Pis sur la faim j'ai du mal à comprendre...
Du coup tu veux qu'on en parle???
@Maldo viens m'aider j'ai pas tout compris

Allez, on y retourne

Elsie et Milacik ont évoqué la vérité en tant qu'essence de l'être. Puis, l'échange s'en est allé sur le relativisme, dans le sens où chacun aurait sa vérité.
J'ai essayé d'expliquer qu'il y avait à mon sens une différence entre la subjectivité d'une opinion personnelle/un point de vue et la vérité qui relève de l'objectivité. Ça peut laisser un échange dans un statu quo puisque chacun resterait sur une vérité qui n'en est pas une.

Très prosaïquement, si quelqu'un te réserve les pires vacheries ou les meilleures louanges, penserais-tu qu'il est dans sa vérité ?

Enfin, merci pour tes mots, je suis touchée

Prostatïquoi??
Oui je crois que chacunes et chacuns ont leurs vérités, propre à elles-eux,
oh ça va la féminisation ça me gonfle...
Le statu quo c'est nul, mais a t'on le temps d'aller au bout, pour connaître la vérité de chacun??? Puisse t-il leur égo laisser place à leur vrai vérité dans nos échanges.
Oh mon dieu je me perd moi-même, c'est de ta faute Navane ça!!
Si en plus de nos vérités acquises avec nos expériences de vies, elles sont aussi en fonction de nos thèmes astraux! Pffffff, mais du coup subjectivement je le crois!! Je fais des points pour avoir placé "subjectivement"? Xavier respire!!!
Et oh c'est ma vérité, mais peut-elle devenir tienne?
Du coup pour conclure mes pensées de l'instant, les Autres sont dans leurs vérités oui, qui d'ailleurs ne sont peut-être pas les leurs, mais il n'y a pas de raison que cela me touche si je sais qu'elles sont mes plaies émotionnelles...
D'ailleurs elles sont touchées dans les vénus saturnisées...
J'y vais!!!

Attacher une valeur égale aux opinions et aux imaginations de ceux qui sont en désaccord entre eux, c'est une sottise. Il est clair, en effet, que ou les uns ou les autres doivent nécessairement se tromper. On peut s'en rendre compte à la lumière de ce qui se passe dans la connaissance sensible : jamais, en effet, la même chose ne paraît, aux uns, douce, et, aux autres, le contraire du doux, à moins que, chez les uns, l'organe sensoriel qui juge des saveurs en question ne soit vicié et endommagé. Mais s'il en est ainsi, ce sont les uns qu'il faut prendre pour mesure des choses, et non les autres. Et je le dis également pour le bien et le mal, le beau et le laid, et les autres qualités de ce genre. Professer, en effet, l'opinion dont il s'agit, revient à croire que les choses sont telles qu'elles apparaissent à ceux qui, pressant la partie inférieure du globe de l'œil avec le doigt, donnent ainsi à un seul objet l'apparence d'être double ; c'est croire qu'il existe deux objets, parce qu'on en voit deux, et qu'ensuite il n'y en a plus qu'un seul, puisque, pour ceux qui ne font pas mouvoir le globe de l'œil, l'objet un paraît un."

Aristote