Avec ma fille, en lecture du soir, on vient de terminer "Roméo et Juliette", c'est un livre que j'avais choisi pour elle à la bibliothèque en me disant qu'elle n'allait peut être pas apprécier l'aspect tragique de l'histoire mais en me rassurant un peu à ce propos par le fait que, pensant Shakespeare sagittaire comme elle, l'histoire aurait sans doute de quoi la captiver quand même...finalement, pour sa fin tragique, l'histoire n'a vraiment pas plu à ma fille... et je viens de découvrir que Shakespeare n'était pas du tout sagittaire, il était taureau asc cancer...avec une opposition vénus/neptune-uranus (uranus mtre de 8) sur l'axe 11/5 gémeaux-sagittaire... dans laquelle s'inscrit probablement cette tragédie amoureuse. Je découvre aussi que nos ascendants sont au même degré du cancer...ce qui est certainement le seul point commun que j'ai avec lui ...mais c'est déjà bien...

J'aimais beaucoup Tim Burton avant (L'étrange Noël, Beetlejuice, Big fish), mais depuis son Alice au pays des Merveilles tous ses films m'ont déçus.
Sinon je suis assez fan de La petite Sirène, je m'identifie peut-être inconsciemment au personnage, j'en sais rien, en tous cas j'aime bien les sirènes d'une manière générale.

Derrière un conte, il y a souvent une signification. Il faut l'associer à quoi alors, à l'impression générale du conte ou à sa signification ?

Les contes, ça ose tout. C'est à ça qu'on les reconnaît

La belle aux bois dormant.....
Conte neptunien par excellence....
Mon préféré....

La petite sirène également...
Neptunien..

La belle et la bête...
Je dirais plutonien....

Les petites filles modèles ( ) la lune ?
Le Petit Prince : mercure ? la lune ? uranus ?

Je relis pour la énième fois le petit prince à mon plus jeune ce qui est marrant dans ce livre c'est que plus je le lis et plus je le comprends

Actuellement je lis : Femmes qui courent avec les loups , histoires et mythes de l'archétype de la femme sauvage de Clarissa pinkola Esté . C'est une psychanaliste/conteuse/shamane qui décrypte l'inconscient du collectif féminin à travers les contes pour résumé le truc . C'est passionnant ! Je conseille à toutes les femmes de le lire , son écriture est encodée
Bon ceci est la petite parenthèse hors sujet pardon Equinoxe
Les contes m'ont toujours angoisser ( ?) car derrière l'histoire j'ai toujours comme deviné le message sous jascent . Par exemple j'ai pleurer durant des jours derrières l'histoire de la petite fille au allumettes .. Hansel et gretel me donnait froid dans le dos j'en ai fait des cauchemars ..
J'ai jamais pu voir ou finir Alice au pays des merveilles ect ect ...
Mon histoire préférée néanmoins reste encore et toujours : le drole de noel de scrooge de Dickens .... j'ai du voir toutes les versions télévisuelles à ce jour et j'ai lu le livre au moins 10 fois dans le passé !

Maldoror a écrit:

Les contes, ça ose tout. C'est à ça qu'on les reconnaît

C'est joli, ça... Hmm, cha' beauté. Inspiré par l'heure de la-Perrault ?

Du "bonnes mares" au diable, en quelque sorte, ma chère Navane

http://www.hachette-vins.com/tout-sur-le-vin/appellations-vins/194/bonnes-mares

Maldoror a écrit:

Du "bonnes mares" au diable, en quelque sorte, ma chère Navane

http://www.hachette-vins.com/tout-sur-le-vin/appellations-vins/194/bonnes-mares

j'ai ricard la "bonnes marres" au diable te va bien. C'est un jus qui te correspond. En quelque sorte.

J'ai tout mis dans un shaker et j'ai secoué. Sacrilège me diras-tu, mais voici ce que j'ai obtenu :

Spoiler:

Magnifique! C'est bon comme du Pomerol qui nous rimbaud et saouls aussi

T'es une muse pour moi; C'est simple, Terpsichore... et plus encore... Tous tes chemins me mènent à Romanée Conti (à princes évidemment, pas à véleau...)

Bien plus qu'un conte,ti, tout un poème... Aime, répéta l'ara avant d'aller retrouver son toubib (j'y va, go!)

Merci Maldoror, je suis touchée par tes mots
C'est joli de partout, complètement éclaté bien-sûr mais riche en terme de référence et de sens. Ça pétille, quoi !


Et désolée Equinox d'avoir bifurqué de ton sujet. Quoique, dans un sens, c'était de la « fais et ris »

Ris de veau bien sûr pour accompagner ces pivois de haut vol

Maldoror a écrit:

Ris de veau bien sûr pour accompagner ces pivois de haut vol

Mais oui, c'est bien-sûr, c'est l'effet bœuf !
Heureusement que tu as précisé le chemin de ta pansé ! Parce qu'à chaque fois, an-douillet de mots, le sot-l'y-laisse tant il est pétri de bide-ules trop contractés.

Faudrait lui causer de contrepèterie, histoire de le détendre du ciboulot parce que c'est de pire en poire (un peu comme moi). Si, si, je t'assure, un vrai g-rognon !
Le pauvre malheureux, il frôle tellement l'implosion que j'ajouterai à ton plat déjà bien joyeux, la vache!, quelques mots-ri-lles.

Avec ce plat, pas si plat car on lui a mis un sacré relief, et ces pivois de haut vol (comme tu dis), mon sot-l'y-laisse devrait bien se poêler et se laisser aller à prendre de la hauteur dans un bond repas.

Fallait pas, Maldo

Hello,

Hansel et Gretel :
-> sécurité matérielle
-> nourriture
-> l'oeuvre d'art (la maison magnifique)
(je poste seulement maintenant mais ça me trotte dans la tête depuis ce week end à chaque fois que je prends ma voiture, allez comprendre)
Voili voilou

« La mécanique du cœur » de Mathias Malzieu :

Résumé Wikipédia:

_ Lune/Saturne – Cancer/Capri pour la notion d'abandon et le cheminement de Jack
_ Uranus pour l'acceptation de soi/de l'autre dans son individualité, et le rapport à la différence
_ Vénus/Pluton pour l'histoire d'amour

Navane a écrit:

« La mécanique du cœur » de Mathias Malzieu :

Résumé Wikipédia:

_ Lune/Saturne – Cancer/Capri pour la notion d'abandon et le cheminement de Jack
_ Uranus pour l'acceptation de soi/de l'autre dans son individualité, et le rapport à la différence
_ Vénus/Pluton pour l'histoire d'amour

Je suis d'accord. D'ailleurs j'ai bien aimé le film aussi..

PS : Mathias Malzieu a aussi écrit "Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi", un livre que je conseille à tout le monde de lire..

Je conseille tout ce que Mathias Malzieu (mon frère homme volcan) a écrit et même tout ce qu'il n'a pas encore écrit

Aller hop on remonte !

Voici une petite histoire qui nous enseigne l'ensemble des valeurs des signes du
de la et du (capri CORN, le maïs en anglais )


Mais je pense que la morale de cette histoire insiste d'avantage sur les valeurs de la , apprendre à rendre service.





Aller un autre !



"Je suis bien trop lent pour pouvoir perdre du temps en chemin."

equinox
Pour ma part pluton n'est pas le diable... Pluton c'est le scorpion, le scorpion s'auto détruit. Quel est l'avantage de s'auto-détruire? C'est de supprimer l'ego qui nous habite en changeant soi même les schémas de pensées que nous nous sommes créer... Et donc évoluer en conscience... C'est de l'acceptation...donc humiliation dite "intérieur". Pluton c'est la planète qui fait peur, pourquoi une planète qui constitue notre système solaire nous fait elle peur? Sûrement la perception que nous en tirons... Bref pluton et le scorpion ce sont les transformations intérieur et la mort de l'ego.. Liê à la maison 8.....
A savoir que les peurs provenant de chaque être provoque un inconfort intérieur, et donc pour s'en protéger l'ego étant dans la peur fait des erreurs... Normal
Juste pour remettre la valeur de ce qui nous entoure a une énergie neutre....
Désolé pour cet petit aparté.... Qui ma foie est essence-ciel à toutes personnes pratiquant l'astrologie....

Cela dit revenons au sujet, que je trouve très interressant d'ailleurs...

Pour ma part les contes c'est comme les astéroïdes, c'est des cailloux que tu te prends en pleines face quand l'ego habite le corps...mais ce sont aussi des histoires que certains Grace a la ruse n'hésite pas à se servir pour faire peur aux gens et les enfermer dans un état d'esprit de reves, d'illusion, de crainte et de guerre, quand Saturne va cogner à la porte de certains, ça va pas rigoler....

"Souvenirs...souvenirs" de lectures enfantines ...quoi de plus normal quand le est en ...

"La pierre à soupe"

Il était une fois un soldat qui s’en revenait de la guerre. La route était longue, il soufflait un vent glacial et le soldat avait grand-faim. Quand il arriva enfin dans un village, il s’arrêta devant la première maison
et demanda quelque chose à manger. Mais les gens secouèrent la tête :

- Nous-mêmes n’avons rien à manger, dirent-ils.
Et le soldat poursuivit son chemin. Il s’arrêta devant la maison suivante et demanda un morceau de pain.
De nouveau, les gens secouèrent la tête :

- Nous n’avons rien, dirent-ils, ni pour nous, ni pour nos enfants!
- Auriez-vous une grande marmite? demanda le soldat.
- Oui, répondit le père de famille, nous avons une marmite.
- Avez-vous assez d’eau pour la remplir? demanda encore le soldat.
- Oui, nous avons assez d’eau.
- Alors, dit le soldat, remplissez la marmite d’eau et mettez-la sur le feu car j’ai avec moi une pierre à soupe.
- Une pierre à soupe, s’étonne le père, mais qu’est-ce donc que cela?
- C’est une pierre qui fait de la soupe, dit le soldat.

Toute la famille l’entoura pour voir cette merveille, cette pierre qui faisait de la soupe ! La mère versa de l’eau dans la grande marmite et la suspendit au-dessus du feu. Le soldat sortit alors de sa poche une
pierre semblable, à vrai dire, à toutes les pierres qu’on peut ramasser le long d’une route et la jeta dans la marmite.

- Et maintenant, dit-il, attendons que l’eau bouille.
Ils s’assirent tous autour du feu.
- N’auriez-vous pas un peu de sel pour la soupe, demanda le soldat.
- Bien sûr, dit la femme, et elle lui tendit la boîte à sel.
Le soldat en prit une grosse poignée et la jeta dans la marmite.
- Quelques carottes donneraient du goût à la soupe, dit le soldat.
- Oh! si ce n’est que cela, dit la femme, nous avons des carottes.

Et elle en tira d’une caisse que le soldat contemplait déjà depuis quelques minutes. Pendant que les
carottes cuisaient, le soldat se mit à raconter ses aventures. Puis il dit :

- Ne pensez-vous pas que quelques pommes de terre épaissiraient la soupe ?
- Il nous reste des pommes de terre, dit la fille aînée, je vais aller les chercher.
On éplucha les pommes de terre, on les mit dans la marmite et l’on attendit de nouveau que la soupe
bouille.
- Un oignon relèverait le goût, dit le soldat.
- C’est vrai, répondit le père et il envoya son fils cadet en chercher chez le voisin. Le petit garçon en rapporta trois qu’on mit aussitôt dans la marmite.
En attendant que la soupe cuise, tout le monde plaisantait et le soldat évoquait les temps heureux d’avant la guerre.

- Je n’ai pas goûté aux choux depuis que j’ai quitté la maison de ma mère, dit-il.
- Va donc au jardin arracher un chou, dit la mère à sa fille cadette.
La petite revient bientôt avec un superbe chou qu’on ajouta aussitôt à la soupe.
- Elle ne va pas tarder à bouillir maintenant, dit le soldat.
- Encore quelques minutes de patience, dit la femme, et elle remua la soupe avec une longue cuillère de bois.
A ce moment précis, la porte s’ouvrit et le fils aîné rentra. Il apportait une poule superbe.
- Voilà justement ce qu’il fallait pour corser le repas, dit le soldat.
En un tournemain, la poule fut préparée dans la marmite.
Le fils aîné s’exclama :
- Cette soupe sent vraiment bon !
- C’est le voyageur qui a apporté une pierre à soupe et qui nous l’a prêtée pour notre repas, dit le père.
Enfin la soupe fut prête; elle était, en effet, excellente, et il y en avait assez pour satisfaire la fin de tout
le monde: le soldat, le paysan et sa femme, le fils aîné et la fille aînée, le petit garçon et la petite fille.

- C’est une soupe merveilleuse, dit le paysan.
- C’est une soupe miraculeuse, dit sa femme.

Et le soldat répondit:

- Oui, c’est vrai, et elle fera toujours de la soupe si vous suivez la formule que nous avons adoptée aujourd’hui.

Ils terminèrent le repas et, quand vint le moment des adieux, le soldat remit la pierre à la femme pour la remercier de sa gentillesse. Elle ne voulait pas l’accepter, mais il insista :

- Gardez-la, je vous en prie, dit-il, c’est bien peu de chose.
Et il poursuivit son chemin, sans la pierre. Fort heureusement, il en trouva une autre, juste avant d’arriver au village suivant...

Joc a écrit:

"Souvenirs...souvenirs" de lectures enfantines ...quoi de plus normal quand le est en ...

"La pierre à soupe"

Il était une fois un soldat qui s’en revenait de la guerre. La route était longue, il soufflait un vent glacial et le soldat avait grand-faim. Quand il arriva enfin dans un village, il s’arrêta devant la première maison
et demanda quelque chose à manger. Mais les gens secouèrent la tête :

- Nous-mêmes n’avons rien à manger, dirent-ils.
Et le soldat poursuivit son chemin. Il s’arrêta devant la maison suivante et demanda un morceau de pain.
De nouveau, les gens secouèrent la tête :

- Nous n’avons rien, dirent-ils, ni pour nous, ni pour nos enfants!
- Auriez-vous une grande marmite? demanda le soldat.
- Oui, répondit le père de famille, nous avons une marmite.
- Avez-vous assez d’eau pour la remplir? demanda encore le soldat.
- Oui, nous avons assez d’eau.
- Alors, dit le soldat, remplissez la marmite d’eau et mettez-la sur le feu car j’ai avec moi une pierre à soupe.
- Une pierre à soupe, s’étonne le père, mais qu’est-ce donc que cela?
- C’est une pierre qui fait de la soupe, dit le soldat.

Toute la famille l’entoura pour voir cette merveille, cette pierre qui faisait de la soupe ! La mère versa de l’eau dans la grande marmite et la suspendit au-dessus du feu. Le soldat sortit alors de sa poche une
pierre semblable, à vrai dire, à toutes les pierres qu’on peut ramasser le long d’une route et la jeta dans la marmite.

- Et maintenant, dit-il, attendons que l’eau bouille.
Ils s’assirent tous autour du feu.
- N’auriez-vous pas un peu de sel pour la soupe, demanda le soldat.
- Bien sûr, dit la femme, et elle lui tendit la boîte à sel.
Le soldat en prit une grosse poignée et la jeta dans la marmite.
- Quelques carottes donneraient du goût à la soupe, dit le soldat.
- Oh! si ce n’est que cela, dit la femme, nous avons des carottes.

Et elle en tira d’une caisse que le soldat contemplait déjà depuis quelques minutes. Pendant que les
carottes cuisaient, le soldat se mit à raconter ses aventures. Puis il dit :

- Ne pensez-vous pas que quelques pommes de terre épaissiraient la soupe ?
- Il nous reste des pommes de terre, dit la fille aînée, je vais aller les chercher.
On éplucha les pommes de terre, on les mit dans la marmite et l’on attendit de nouveau que la soupe
bouille.
- Un oignon relèverait le goût, dit le soldat.
- C’est vrai, répondit le père et il envoya son fils cadet en chercher chez le voisin. Le petit garçon en rapporta trois qu’on mit aussitôt dans la marmite.
En attendant que la soupe cuise, tout le monde plaisantait et le soldat évoquait les temps heureux d’avant la guerre.

- Je n’ai pas goûté aux choux depuis que j’ai quitté la maison de ma mère, dit-il.
- Va donc au jardin arracher un chou, dit la mère à sa fille cadette.
La petite revient bientôt avec un superbe chou qu’on ajouta aussitôt à la soupe.
- Elle ne va pas tarder à bouillir maintenant, dit le soldat.
- Encore quelques minutes de patience, dit la femme, et elle remua la soupe avec une longue cuillère de bois.
A ce moment précis, la porte s’ouvrit et le fils aîné rentra. Il apportait une poule superbe.
- Voilà justement ce qu’il fallait pour corser le repas, dit le soldat.
En un tournemain, la poule fut préparée dans la marmite.
Le fils aîné s’exclama :
- Cette soupe sent vraiment bon !
- C’est le voyageur qui a apporté une pierre à soupe et qui nous l’a prêtée pour notre repas, dit le père.
Enfin la soupe fut prête; elle était, en effet, excellente, et il y en avait assez pour satisfaire la fin de tout
le monde: le soldat, le paysan et sa femme, le fils aîné et la fille aînée, le petit garçon et la petite fille.

- C’est une soupe merveilleuse, dit le paysan.
- C’est une soupe miraculeuse, dit sa femme.

Et le soldat répondit:

- Oui, c’est vrai, et elle fera toujours de la soupe si vous suivez la formule que nous avons adoptée aujourd’hui.

Ils terminèrent le repas et, quand vint le moment des adieux, le soldat remit la pierre à la femme pour la remercier de sa gentillesse. Elle ne voulait pas l’accepter, mais il insista :

- Gardez-la, je vous en prie, dit-il, c’est bien peu de chose.
Et il poursuivit son chemin, sans la pierre. Fort heureusement, il en trouva une autre, juste avant d’arriver au village suivant...

"La pierre à soupe" ...oui, c'est une histoire qui se trouvait dans mon manuel de lecture de cours élémentaire ou de cours moyen...et que le maître que j'avais à l'époque (un "baba cool" dont le look de "gauchiste" ne plaisait pas trop aux parents d'élèves de ma classe...) se plaisait à nous faire lire et relire...et je ne l'ai donc jamais oubliée cette histoire qui défend donc l'idée que "nécessité fait loi"...une idée, à laquelle, par mes et (entre autres...) sans doute, j'adhère assez finalement...