Né le 7 Juin 1978, d’un père, ouvrier du bâtiment, et d’une mère, aide-soignante, Albeiro Vargas est le cadet d’une famille de huit enfants. Tout le monde travaille et la maison est modeste, mais digne. Déjà, on voit le petit gamin accompagner sa mère lorsqu’on l’appelle pour un malade ou un accidenté. A quatre, cinq ans, Albeiro se retrouve souvent seul, en compagnie de son grand père. C’est là, au côté du vieillard, que naîtra sa vocation. Presque comme par jeu, il va s’en occuper, jouer avec lui, puis l’écouter, le soigner et dormir contre lui, lorsqu’il est malade. La chaleur du cœur…

A la mort du grand-père, Albeiro sentit un vide, et tout naturellement, se dirigea vers « d’autres grand-pères », des voisins aussi pauvres que lui. Il leur offrit son amitié et son sourire. Tout d’abord, on le repoussa mais bien vite, les abuelitos découvrirent les trésors d’amour qui étaient en lui, et bientôt, le petit Albeiro s’occupa d’un petit groupe de sept petits vieux à qui il apportait un café, le matin, avant d’aller à l’école. Et l’après-midi, il les rassemblait, en quelque lieu ombragé, apaisé, pour parler, jouer, chanter… « revivre » ensemble.

Très vite on parla du « niño que regala café », de « l’enfant qui apporte du café aux petits vieux ». La presse fit le reste. Et la légende devint réalité.











Son histoire


Sa Fondation

Que dire... Si ce n'est wawesque d'intelligence, de pureté de cœur et de chaleur humaine.

Hmm, wawesque

Oui... une telle ouverture et détermination à 9 ans et puissance de réalisation est assez étonnante...

J'avais mis le thème parce que bien que sans domification, certaines structures réputées "maléfiques" me paraissaient assez ludiques à exposer ici

oui c'est

J'avais bien intuitionné l'idée en passant la première fois ici

Toute cette détermination sans faille, l'endurance et surtout la noblesse du cœur qui guide ses actions... Ça, c'est puissant. Il emmène les autres dans ses élans avec une facilité ahurissante. Un naturel, une simplicité et un sourire extras. Oui, t'as juste envie de le suivre.

Il est au contact direct de la misère, de la violence, et il y va sans ne jamais rien lâcher et surtout pas la main de ses petits vieux.
Avec aucun moyen au début, si ce n'est tout ce qu'il est et qu'est-ce qu'il est top.
Énorme, le conseil d'admin avec ses copains pour travailler sur la fondation alors que la moyenne d'âge n'est que de 9 grandes années.
Et puis, ces ponts qu'il crée plus tard entre les autres petits anges et les grands-parents de la fondation...

Époustouflant.