Rappel du premier message :

C'est parti d'ici :

Citation :

J'ai presque envie d'ouvrir un post où chacun parlerait d'Amour, d'une rencontre qui leur a fait du bien, d'une demande en mariage géniale faite dans une voiture éclatée...de ces moments où il est bon d'aimer, d'aller vers l'autre sans que ce ne soit la guerre ou la méfiance.

Je ne saurais dire ce qu'il s'est passé lorsque j'ai rédigé ce message... La fatigue était accablante et les seules pensées qui ont émergé là-haut étaient empreintes d'une envie de simplicité et d'évidence.
Une envie si désarmante qu'elle est venue me cueillir à cœur, au plus profond de l'être. Il y a eu un relâchement en moi, un abandon à l'instinct dans l'instant.

Mais voilà, un peu de repos et quelques distances prises, juste assez pour pervertir et étouffer une idée somme toute naturelle...

Cet "appel à Vénus", le rappel de ce qu'elle porte de plus beau n'était en rien un égarement comme je l'avancerai plus tard, truffe que je suis, mais une ouverture.
Quand bien même, si revenir à l'Amour et aux richesses d'une rencontre c'est faire fausse route, alors toute ma vie ne s'est tracée que sur des erreurs d'aiguillage, des impasses (cette pensée m'amuse d'ailleurs terriblement). Et pour ces mêmes raisons, j'accepte tout volontiers de continuer à me perdre jusqu'au bout du monde. D'y disparaître.
Est-ce que vous me suivez... ? Je dois seulement vous préciser qu'en temps normal, j'apprécie peu qu'on me suive car c'est à chaque fois le bordel... Ben oui, je confonds toujours ma gauche de ma droite, à moins que ce ne soit le contraire... Arf, j'sais plus trop.

Allez, si tout est ok pour vous, on y va... Ah, pas peur!, ah pas peur!, mes cookies au choco fondant et éclats de noisettes. C'est tout simple...
Parlez-nous d'Amour à travers toutes formes qu'il peut revêtir (je suis vénuso-neptunienne, je ratisse large). De cette histoire qui a donné à votre cœur des allures de roseraies un beau jour de printemps, de cette déclaration qui a habillé votre âme de reflets irisés.

Parlez-nous de cette promesse faite à une inconnue croisée dans une cafète. De cette petite fille de 2 ans (alors que vous en aviez 15) assise sur vos genoux dont l'histoire bouleversante vous a fait osciller durant un quart de seconde entre un convaincu "la vie est une vraie salope" et un convaincant "c'est parce qu'elle est là que la vie est belle". La petite avait en effet les cheveux qui sentaient bon la vanille et les mains d'une douceur inouïe.

Parlez-nous de ces hommes et femmes qui vous ont inspiré, qui ont modifié le regard que vous portiez sur le monde, sur la vie. Qui vous ont relié à vous-même et à ce monde dans un moment hors du temps, qui l'ont refait par le doux privilège de leur présence, qui vous ont tendu la main ou secoué (parce que le rapport à l'Autre est souvent exigeant) et ce jusqu'à envoyer valdinguer quelques-unes de vos certitudes.
De ce visage, ce prénom qui vous a tant marqué et qui grandi toujours en vous.

De ce moment où la rencontre de cet Autre que vous a étiré votre existence dans des dimensions que vous n'auriez jamais eues l'audace de soupçonner en lui dessinant les lignes qu'elle devait avoir.

Racontez-nous ces instants magiques qui justifieraient presque ceux moins plaisants, ceux où une fatigue tentaculaire vous aurez rendu fébrile et vous aurez fait croire que vous étiez complètement déchirée et à côté de vos pompes alors qu'en réalité vous étiez d'une extrême lucidité. Si si, je vous assure.

Au plaisir de vous lire...

Et comme y'en a jamais assez, je vous mets le supplément crème ; Kiss, Love et-tout-et-tout

Voilààà, c'est bienfait, na

Cette nouvelle m'a évoquée une conversation que j'ia eut ce week end avec une amie...elle m'a invité à regarder un film. Beauté cachée. La beauté cachée derrière le malheur.


Collatéral beauty ..le film commence sur ces mots, l'être est préocupé seulement par trois choses, l'amour, le temps et la mort.
Cet homme Will Smith a tout reussit, sauf que la vie vient de lui exploser à la figure....
A voir et revoir...

Tellement merci à la personne qui m'a conseillé de regarder ce film

C'est noté, merci Atlantis. J'essayerai de le regarder à l'occase

Juste une histoire scénique, faudrait-il essayer les choses dialoguées qui s'enchaînent.

Je parle mal de ce que j'écris, plume

Si les textes sont détachés les uns des autres (Vénus/Mars Vierge qui maîtrisent l'axe III/IX dissonants à Uranus dominant), ils s'imbriquent et se répondent dans un ensemble qui se veut un minimum harmonieux (Mercure Balance sur fond vénuso-neptunien). À moins que j'ai mal compris ton propos.
C'est pas vraiment "la leçon de boxe du dimanche" et ensuite "la tarte au choco à se taper les fesses par terre de bonheur". Enfin si presque...

Je te trouve bien pâlot, plume... Pourquoi donc fais-tu cette tête ?

Effectivement vous m'avez mal compris mais c'est mon expression qui est à blâmer : c'était plutôt une idée, puisque vous n'arrivez pas à vous étendre sur la longueur, je suggérai de prendre ce côté très vivant, c'est à dire de remplir vos écrits de dialogues et de les enchaîner pour en faire une histoire, plus douée pour le jeu scénique que la litanie descriptive?

En été, j'ai la tête tourteau cuit en un week-end.

plume a écrit:

Effectivement vous m'avez mal compris mais c'est mon expression qui est à blâmer : c'était plutôt une idée, puisque vous n'arrivez pas à vous étendre sur la longueur, je suggérai de prendre ce côté très vivant, c'est à dire de remplir vos écrits de dialogues et de les enchaîner pour en faire une histoire, plus douée pour le jeu scénique que la litanie descriptive?

D'accord, je comprends mieux plume. C'est vrai, j'entrecoupe pas mal avec des dialogues pour aérer et c'est plus percutant.
Quand je faisais dans la longueur, je les utilisais déjà mais je finissais par m'ennuyer... Le truc terrible. J'ai essayé, ça ne fonctionnait pas. Peut-être que les thèmes jouaient aussi ? En tout cas, pas un format dans lequel j'étais à l'aise. Au dessus de mes possibilités.

Bien vu pour le jeu scénique et la litanie descriptive... Complètement.

plume a écrit:

En été, j'ai la tête tourteau cuit en un week-end.

Je viens de le voir

Je comprends, très chair tourteau... J'ai moi-même une carapace de crevette qui m'alourdit.

lol, je viens d'en acheter un tourteau

Navane a écrit:

plume a écrit:

En été, j'ai la tête tourteau cuit en un week-end.

Je viens de le voir

Je comprends, très chair tourteau... J'ai moi-même une carapace de crevette qui m'alourdit.

Ma préférence va à la dentelle nacrée question coquille.

Je repense au post "Vénusiennes". Dans ce sujet consacré à la représentation physique des femmes, j'étais partie dans un délire avec grosse tartine d'autodérision. Les filles avaient suivi. Un petit moment frais mais non-dénué de sens comme on pouvait en créer avec l'équipe des vénuso-neptuniennes.
M. m'avait répondue que mes propos faisaient du bien, qu'ils étaient décomplexant « Ça décomplexe totalement ».
L'air de rien, le temps d'une envolée de mots, d'une poignée de secondes arrachées à l'infini, j'avais réussi à détendre la relation à soi de quelqu'un. Se laisser aller à soi-même dans un rire épanouissant, se libérer de ses croyances avec esprit. J'avais réussi ce tour de force ou de farce, je ne sais jamais comment dire, moi la vénusienne difforme. N'était-ce pas joli à tous les niveaux, de part et d'autre ? Avec mes airs de rien, un petit tout venait d'éclore quelque part.

Je suis une personne avenante, accessible de prime abord. Mais pour la confiance, faut repasser. Je ne l'accorde pas à tout-va même si l'instinct fait souvent le reste. Ou l'essentiel.
M. faisait partie des 2 personnes ici en qui j'avais une confiance naturelle, absolue.
Nos échanges qu'ils aient été publics ou privés restaient éparses, irréguliers mais je la lisais toujours attentivement tant pour le fond que pour la forme de ses propos qui me donnaient l'impression d'être à pas grand-chose de débusquer quelques secrets de l'Univers. Admiration certaine.
On avait pas toujours été toujours d'accord et c'était ce qui faisait la richesse de nos échanges. Je me souviens d'une de nos discussions autour de l'empathie qui avait dérivé sur la conscience de soi et l'individualité. Nos avis divergeaient alors qu'on était toutes les deux empathiques et M. sans doute plus une grande empathe. C'est à partir de là qu'on avait commencé à s'écrire en privé.

M., c'était la grande sœur. « Une sœur de parcours », m'avait-elle qualifiée alors que nos échanges privés nous avaient emmené sur des sujets difficiles.
Elle était d'une sensibilité profonde et riche, d'une bienveillance et intelligence ahurissantes. Un être d'exception. Mille vies pour avoir la chance d'en croiser un de cette étoffe. Une fille exceptionnelle qui s'ignorait. Ses démons l'en empêchaient.
Affection, respect et confiance émaillaient ce lien.

J'en parle au passé car M. s'est désinscrite il y a un peu plus d'un an. Janvier ou février 2018. Elle était venue m'en informer par MP.
Son départ venait s'inscrire dans une série d'autres que je n'avais pas bien vécue. Alors oui, l'impermanence des choses, chacun poursuivait son chemin et restait ce qui avait été partagé. Une fin ne pouvait avoir raison de ses joies partagées. Je m'étais moi-même barrée sans prévenir ni claquer la porte en d'autres lieux puisque j'étais arrivée au terme. Donc bon, qu'avais-je à dire ? Rien, strictement rien, seulement à accepter ces éloignements en ces temps qui étaient tout sauf normaux. Je m'étais en effet offerte une promenade de santé dans les sentiers escarpés de la forêt de mes angoisses. J'allais par las, parfois.

M. me prévenait de la suppression de son compte à-venir. Elle ressentait un besoin de recul.
J'avais accueilli sa volonté de partir plus sereinement que les autres qui m'avaient immunisée, qui m'avaient permis de baisser les larmes et d'évacuer un trop-plein qui ne les concernait pas. Ces départs soudains avaient eu au moins ça de bon, de beau finalement. La délicatesse peut revêtir différentes formes et n'est pas toujours là où on l'attend.
Avec M., on s'était souhaitées tout ce qu'on pouvait à quelqu'un et redit merci. Elle s'en alla.
Plus tard, en regardant une dernière fois son profil, je découvrais qu'elle était penchée au-dessus du vide. Ses ombres l'étreignaient.
« Merde, fais pas de connerie, M. », m'étais-je dit, en espérant naïvement que cette pensée effleure sa conscience.

Le fil de la vie continuait à se tisser. Les choses se mettaient en ordre dans la mienne. La situation était sous contrôle. Tout devenait fluide, je me découvrais de nouvelles ressources. De nouveaux essentiels.
Le fil de la vie continuait à se tisser ici, entremêlant les départs aux arrivées. La vie n'étant que cycle.
C. s'est inscrit fin mars 2018. Un gars qui maniait les mots et les concepts avec brio. J'ai eu avec lui quelques superbes partages créatifs. Il m'avait emmenée sur des terrains inexplorés.
Plus je le lisais, plus une sensibilité profonde et riche, une bienveillance et intelligence ahurissantes émanaient de lui.

Plus je le lisais et plus M. se faisait présente. J'entendais dans ses mots une résonance avec ceux de M., en plus accessibles. C'était très étrange. M. était-elle partie ?
Pour étirer mes points d'interrogations biscornus en exclamations nettes, je me décidai à lui faire part de mon trouble en toute sincérité.
C. semblait animé d'une curiosité empressée pour cette fille. Il souhaitait en savoir davantage sur elle. Et moi, je lui parlais d'elle. Je lui parlais de ce qu'elle était, de sa sensibilité profonde et riche, de cette bienveillance et intelligence ahurissantes... Je lui parlais de la nature de notre lien virtuel, de l'affection, du respect et la confiance que j'avais pour elle.
Je lui parlais d'elle, tout simplement.
Je crois que j'allais la chercher, que je lui tendais une main.

C. était troublé devant tant de concordances. Il évoqua la possibilité d'un double comme l'avait écrit sa sœur dans un roman...
L'avais-je déjà vue, accepterait-elle de le rencontrer pour qu'ils puissent discuter ?, furent ses questions tandis que mes interrogations s'épaississaient, se distordaient et me déchiraient en silence. Un coup de crochet acéré sur ce que je croyais.
Il m'envoya une photo de lui afin que je lui dise si la ressemblance allait jusqu'au physique. Même regard, mêmes formes de lèvres. Il aurait pu être son frère. C'est ce que je répondis à C..
Toutes ces similitudes troublaient C. qui préférait dès lors ne pas en savoir davantage sur cette fille.
J'avançais sur des œufs avec lui, craignant de le bousculer avec mes questions merdiques. Que pouvais-je faire de plus après m'être alignée dans l'honnêteté d'une question ? Je préférais me dépatouiller avec ma peine titubante que de créer une infime variation dans une atmosphère qui me semblait bien fragile. Je n'insisterai plus là-dessus.
Parce que, oui, il y avait eu de la peine. Cet échange m'avait déstabilisée. Un pas en arrière. Un tremblement en moi. Une brèche. Les yeux dans les yeux alors que j'avais posé la question, cette fille, cette résonance particulière, un visage, ce visage... Que s'était-il passé ?

Il y avait un lien manifeste entre M. et C. sans réussir à déterminer lequel. Je ne savais plus quoi penser de cette histoire.
Mes pensées ont tourné en boucle dans une cacophonie à pétarader un dedans avec des interférences entre la tête et le cœur. Incompréhension, colère froide, déception, doute.
M. s'était-elle fichue de moi ? En tout cas, ça en avait tout l'air... M'avait-elle envoyée la photo de son frère ? Pourquoi me parler et me faire parler de cette fille comme s'il la découvrait ? Afin que je lui montre ce que j'avais su voir d'elle, autre chose ou autrement ? Se jouait-elle de moi dans son double-je ? Prenait-elle une sorte de plaisir inconscient à m'enfumer, nous enfumer ? Mais pourquoi ? En se jouant de moi, ne se jouait-elle pas d'elle-même ? Mais, au fait, qui me flouait, M. ou C. ? Oui, pourquoi ?

Je ne comprenais pas. Quelque chose m'échappait. Il ne me restait qu'à le laisser tranquille. Le laisser à ce qu'il voulait être, ce qu'il était devenu.
Je continuais à le lire, j'échangeais avec lui sur le forum presque comme je l'aurais fait avec M,. Car la personnalité de M. n'était en réalité jamais bien loin. Les choix de ses avatars, ses convictions politiques, son éloquence remarquable, sa sensibilité d'humaine... D'autres firent le rapprochement. Ce qui l'amusait de façon à peine dissimulée.
Et plus la distance entre C. et M. se réduisait, ne se réduisait presque plus qu'à un pseudo, et plus ce qui avait constitué le lien que j'avais avec M. s'effilochait jusqu'au détachement. Les yeux dans les yeux, une question, un visage, et une pluie de questions... Du papier de verre sur ce que je croyais. Ce lien avait-il seulement existé ? Je n'en étais plus certaine. Mais au-delà du cheminement qui fut le mien, j'imaginais toujours la détresse qu'il y avait derrière. Mais pourquoi donc toutes ses intrigues ? Pouvait-elle réellement penser faire l'expérience d'être quelqu'un d'autre sans que cela n'interfère avec un entourage familier, sans se soucier des conséquences ? En restant en cohérence pleine et entière avec elle-même, avec ces autres qu'elle-même, en elle-même ? Pouvait-elle changer sans considération aucune pour ceux qu'elle avait connu avant ? M'avait-elle menti pour protéger son nouveau personnage ? N'y avait-il pas le risque de se perdre elle-même dans toutes ses intrigues ? Une chose était certaine, C. avait pris le risque de me perdre dans ses intrigues, que M. me perde.

Récemment, lors d'une mise au point musclée, C. avança qu'il pouvait être celui qu'il voulait dès lors qu'il avait choisit de l'être. Il n'avait pas demandé à ce qu'on le croit, ni à ce qu'on lui fasse confiance. Et n'avait abusé personne. Bah si, le respect et la confiance que j'avais pour M.
Si cela avait pu l'aider de quelque façon que ce soit, le libérer de lui-même, alors soit. C'était ce que je lui souhaitais même si cela n'avait pas été sans conséquence et il me semblait nécessaire de le poser, de décliner les ressentis qui avaient été les miens. Je me le devais.

Ces lignes n'ont pas pour intention de raviver quoique ce soit, ni d'enfoncer le clou ou que sais-je... Je les ai écrites dans et pour l'apaisement.
Je le souhaite à tout le monde.

coucou tite Navane



A écouter et à mettre en meilleures formes, allo les spécialistes ?

https://youtu.be/CL2hiMgOW7o

humm , ça colle bien avec l'amas en Poissons : le trouble du double ; mais franchement l'humain craint de plus en plus ; les gens n'ont presque plus de scrupule mais le pire c'est qu'ils te demandent d'être honnête alors que eux sont faux , mouarf ! finalement vaux mieux utiliser la méthode contre les pervers narcissique : quand on vous cause restez vague ..... moins les gens en savent et mieux ça vaux pour vous .

ouais l'amas poissons  : le double
mercure qui est ENCORE dans sa boucle  ! le noeud sud 
allez Navane, suis très terre à terre dans tes espaces mais j'y ressens de l'amertume today - c'est le printemps, la fée ........ je te suggère de laisser l'ombre derrière toi. ma lune scorpi n'a pas compris non plus tous les remous intérieurs de cette personne là mais il y a des démons qui ne nous concernent pas et qui sont nuisibles .......... bisou

Cobra a écrit:

quand on vous cause restez vague ..... moins les gens en savent et mieux ça vaux pour vous .

...mercure/neptune en poissons....
En restant vague, connaissant les aspects astro du moment, on se protège.....comme on peut.
Sacrée rétrogradation mercurienne....j'l'avais bien dit qu'il fallait mettre un scaphandre pour bien nager...

Navane
Tu es une personne très humaine et sensible aux autres
et faut apprendre à mieux te protéger et discocier le virtuel de la vrai vie réel...
On ne pourra jamais savoir vraiment ce qui se passe dans la tête des gens même si nos intentions de les aider sont pur.

Allez remet toi, et fait comme moi, enrobe les dans une super bulle rempli d'amour
qui se dirige vers de nouveaux horizons, et souffle dessus avec plein de bonnes intentions

Oui, enfin, l'amas Poissons a bon dos, ce jeu de rôles dure depuis un bon bout de temps; a contrario je dirais que la lumière est faite et exprimée sous ces transits neptuniens (oui, je sais, je serai toujours là pour défendre et réhabiliter les énergies neptuniennes ).

Chacun est libre de se présenter sous le personnage qu'il souhaite, d'ailleurs nous revêtons tous des masques sociaux au gré des circonstances, mais lorsque des liens étroits sont tissés entre les personnes, se murer dans le déni et le mensonge peut être vécu comme une déchirure. Il existe des liens précieux permettant l'émergence d'un espace de confiance, chacun est libre finalement de le maintenir ou de le dissoudre.

Peut-être qu'il y a la recherche ludique d'une expression multiple de soi (personnifier ses différentes facettes au travers de personnages de sexes, vie différents) ou au contraire la fuite de soi, de ce qu'on ne supporte plus en soi pour (re)naître à autre chose.....
Quelles que soient les raisons, il est dommage qu'il y ait eu des dommages collatéraux. Mais les énergies neptuniennes sont là pour apprendre à lâcher prise, prendre du recul et conscience des effets possibles de l'idéalisation; bref, accepter ce qui est.
C'est ce que Navane a finalement bien expliqué...

Angèle a écrit:

accepter ce qui est

Merci Angèle, et j'ajoute que ce n'est pas toujours conforme à ce qu'on a vu, perçu, voulu... on met toute une vie dans ce chemin, d'abord avec soi-même, voir nos ombres dans l'honnêteté la plus lucide, mais les voir dans la lumière de l'acceptation et de la métamorphose.

"La vérité nous libère" a été dit, même si c'est très inconfortable et nous rend provisoirement vulnérable.

A moins que certains ne soient aveuglés par leurs propres ombres, ou leur propre intolérance, chose que l'astrologie devrait guérir... je me rappelle d'une "confidence" de Cheliel qui devrait ouvrir un espace certain de compréhension, au moins ; pour mon cas, c'est du respect humain basique d'abord, mais surtout un grand encouragement dans sa métamorphose et son amour envers lui-même.

Et que ceux qui n'ont que de très "vagues" propos à raconter... se la ferme. Le silence est d'or.
Merci Pluton

Même si tout est dit plus haut, je répète mon recul et mon détachement. Et surtout, il n'y a aucune volonté d'enfoncer le clou dans cette histoire aux intrications complexes.
Néanmoins, il était important d'inscrire, décliner et libérer les ressentis qui avaient été les miens dans et pour l'apaisement de part et d'autre.
Et je le souhaite sincèrement à cheliel. Je te le souhaite sincèrement, cheliel.

Angèle a écrit:

je dirais que la lumière est faite et exprimée sous ces transits neptuniens

Trouver son autre = rechercher son authenticité ? (coucou Navane )

Coucou mon doux Papillon , j'ai pas tout compris , car peu de temps pour tout lire , M était M puis partie , Ensuite tu a parlée a C de M qui a joué a devenir M Et tu compris que C était C . Je relirais mieux , je sais simplement que tu es une être de bien , et , moi je t'aime beaucoup . Ne te tracasse pas , joli Papillon .  

Amour d'un jour, Amour toujours ...

Coucou Navane,

les rencontres virtuelles sont parfois pleines de surprises... On se fait une idée de la personne et cette idée vient se calquer sur la réalité...

J'y ai parfois laissé des plumes... fait de belles rencontres aussi... On ne sait jamais à quoi s'attendre...

fais attention à toi

J'ai rencontré ma tite Verseau sur le net et je m'entendais super bien avec elle ...