Le risque d'un crime contre l’immunité
Chère lectrice, cher lecteur,
J’étais en voiture quand j’ai entendu sa voix calme, déterminée à la radio, pour dire avec un courage, ce dont peu de personnes sont capables, les dangers de l’aluminium dans les vaccins, les manœuvres en coulisse de Big Pharma, et la puissance de la santé naturelle. Elle a même osé dire à l’antenne qu’elle n’a jamais pris la pilule.
Rendez-vous compte ! Des décennies avant l’Académie de Médecine, Isabelle Adjani avait compris les dangers de la contraception hormonale (embolie, cancer et, bien sûr, perturbation de la libido) !!
Quelle femme !
Isabelle Adjani Photo
Marcel Hartmann
Alors j’ai pris mon courage à deux mains. J’ai pris contact avec son agent pour essayer d’obtenir une interview avec Isabelle Adjani.
Et elle a dit oui !
Voici, en toute avant-première, les réponses de cette femme hors du commun. C’est grâce à des personnes comme elle que nous ferons bouger les lignes.
Bonne lecture !
Jean-Marc Dupuis
* * * * *
1/ Vous vous êtes exprimée fortement au sujet des vaccins sur France Inter. Depuis les médias, à ce sujet, font barrage. Pourquoi d’après vous ?
Ce n’est pas à proprement parler un barrage, c’est un évitement.
Laisser s’exprimer une mère, une citoyenne hors circuit médical qui prend fait et cause contre l’obligation vaccinale aujourd’hui, face à cette dictature des « 11 vaccins », n’est pas du goût de ceux des médias connectés aux intérêts des laboratoires.
Et aussi connectés aux autorités en l’occurrence au ministère de la santé. Rares sont ceux comme Le Parisien qui s’aventurent à remettre en question les sources gouvernementales dont ils dépendent pour obtenir l’accès aux informations qui vont nourrir leurs articles.
Une journaliste pro vaccins, responsable du médical dans une émission sur France 2, aurait dit à mon sujet « c’est incompréhensible qu’elle soit passée à travers les mailles du filet si elle n’a pas fait vacciner ses enfants comme il fallait ». Son dépit en dit long ...
Avec un peu d’humour grinçant, on pourrait presque craindre que de telles réactions, si on continue à s’avancer dans un futur coercitif, ne proposent le projet d’une punition rétroactive pour les parents coupables comme moi de se dresser devant une pareille loi qui prive de ses droits.
2/ Vous semblez bien connaître le système immunitaire et votre conclusion sur France inter : « s’il y a un crime contre l’Immunité, ça deviendra un crime contre l’Humanité » est-elle venue spontanément ou l’aviez-vous réfléchie avant l’interview ?
C’est venu comme ça.
Oui un crime contre l’immunité risque d’avoir lieu. Les mots ont une grande importance pour moi, ils peuvent tuer autant qu’ils peuvent faire vivre.
Je suis en effet depuis toujours, concernée par le respect du corps, ce lieu sacré dans lequel il est bon de se rappeler qu’on vit, dès la naissance.
On sait, vous comme moi, si on se renseigne, si on cherche des preuves scientifiques, que vacciner un enfant, même un adulte, c’est interférer avec son immunité, variable en fonction de ses fragilités de terrain !
Alors injecter à un bébé dès plusieurs mois après la naissance, ces 11 vaccins, c’est-à-dire 31 doses de vaccins (dont 25 contiennent cet adjuvant toxique pour le foie, le cerveau, les reins... qu'est l’aluminium), y compris celui de l’hépatite B, aberrant puisqu’il concerne la sexualité et le plus risqué de tous, est comme jouer à la roulette Russe.
Pas plus que ce vaccin contre la gastroentérite que le haut conseil de la santé avait plébiscité il y a quelques années seulement, avant de faire marche arrière quand il a commencé à causer la mort de nourrissons, ces nouveaux vaccins ne sont pas assez testés pour ne pas être très risqués.
3/ Vous n’êtes pas totalement opposée aux vaccins, par exemple ceux qui sont nécessaires pour les personnes à risques ou lors de déplacements dans des pays où l’hygiène est défaillante ?
Quitte à choquer, dans ma vie, ma conviction personnelle pour les voyages ne s’est jamais retrouvée dans la vaccination, mais justement, dans l’hygiène, à commencer par un bon savon et une bonne flore intestinale.
Mais ça n’engage que moi et je me suis penchée, comme toutes les personnes concernées par l’immunologie ou celles fragilisées, sur les ouvrages du Dr Georget « Vaccination, les vérités indésirables », de Sylvie Simon «Vaccins, mensonges et propagande » et de nombreux articles parus dans des revues prestigieuses et ultra crédibles comme « The Lancet ».
Même le Dr Puliyel (qui n’est a priori pas opposé à la vaccination) a déclaré que si l’argent utilisé pour la vaccination polio avait été utilisé pour améliorer la qualité de l’eau et la construction du tout-à-l’égout, dans le cadre du programme « Pulse » proposé à l’Inde par l’OMS et la Fondation Bill Gates, les résultats auraient été meilleurs.
En effet, il a été démontré que plus les doses de vaccins contre la polio étaient importantes, plus l’épidémie s’aggravait.
Tant que Pasteur jouira en France d’une aura déifiée intouchable, ses trois postulats de base erronés continueront à servir de fondement à la vaccination pour terroriser les citoyens dans leur libre choix. (« En finir avec Pasteur », Eric Ancelet).
4/ Vous faites-vous vacciner contre la grippe cette année et quelle que soit votre réponse, pourquoi ?
Jamais de la vie je ne me ferai vacciner contre la grippe !
Sans parler des risques neurologiques documentés, l’efficacité du vaccin qui n’est même pas testé, est loin d’être intéressante.
Et puis, si c’est pour servir de cobaye avec les nouvelles propositions du gouvernement qui permettraient aux laboratoires (avec la grippe A -H1N1, 1 demi-milliard d’euros de vaccins a été dépensé au profit des labos pharmaceutiques) de ne plus avoir une responsabilité engagée en cas d’effets secondaires, merci beaucoup !
5/ Vous vous êtes opposée à la vaccination pour vos enfants et vous avez dû faire certains faux avec des médecins consentants ? Finalement tous les médecins ne sont pas des inconditionnels de la vaccination ?
Pour mes enfants et pour moi-même, depuis que j’ai pris mes distances avec la médecine allopathique dont j’ai été gavée jusqu’à l’âge à peu près de 25 ans, j’ai toujours été une adepte de la médecine de terrain, de ses traitements de fond qui permettent d’assurer la protection de notre immunité.
De remarquables médecins phytothérapeutes, homéopathes, biologistes et même certains naturopathes hygiénistes certifiés (ceux-là à ne surtout pas confondre avec les charlatans qui ont toujours existé, on est bien d’accord) y travaillent de façon scientifique mais assurément dérangeante pour la prospérité de Big Pharma.
Ce sont bien-sûr eux, ces praticiens qui soignent en conscience et dispensent une médecine de terrain éclairée, heureusement !
Sauf, comble de l’absurde, qu’ils sont obligés de s’en cacher et d’exercer, leurs convictions chevillées au corps, dans la clandestinité, afin de ne pas être inquiétés et montrés du doigt comme exerçant une médecine inquiétante.
Ce sont en général des pédagogues qui cherchent à informer et éduquer leur patientèle afin qu’elle puisse s’autonomiser de façon croissante et décider pour elle-même, et combattre pour le respect qui lui est dû afin de devenir seule maîtresse de son destin.
6/ Avez-vous rencontré le Pr Joyeux qui n’est pas radié de l’ordre de médecins - contrairement à ce que disent les médias - mais qui est très attaqué par certains confrères ?
Oui j’ai rencontré le Pr Joyeux pour lequel j’ai un grand respect.
Le Pr Joyeux dit pourtant qu’il n’est pas contre les vaccinations contrairement à une position extrémiste qu’on lui prête, fabriquée de façon à être prête à l’emploi pour certains médias. Alors même que cette désinformation bat son plein, il s’évertue à traduire la complexité de la science vaccinale, en expliquant inlassablement, en éduquant, en informant.
Il suffit de se référer à la conférence du 7 Novembre 2017 avec le Pr Montagnier pour prendre connaissance des quelques raisons essentielles qu’il oppose à l’obligation des 11 vaccins. Et aussi de la bienveillance qu’il manifeste aux généralistes et aux pédiatres.
Là encore on peut s’étonner, depuis le 7 novembre, du faible écho de cette contribution majeure, sur le plan médical, offerte en toute bonne foi devant un parterre de journalistes (venus en toute bonne foi ?) et dont l’argumentaire s’appuie sur des preuves scientifiques incontournables, bien loin de l’image délétère d’irresponsabilité sanitaire qu’il est de bon ton de communiquer concernant sa position.
La France est le seul pays actuellement en Europe qui fasse régner le spectre de l’obligation vaccinale sur la santé où la peur et la punition forment une vraie dream team.