U n militaire de l'opération Sentinelle a ouvert le feu après s'être fait agresser sur le Parvis du Louvre, vendredi matin. Un périmètre de sécurité a été établi.
11 h 30 : un deuxième suspect interpellé
Le porte-parole du ministère de l'intérieur Pierre-Henry Brandet a confirmé à la presse qu'une deuxième personne avait été rapidement interpellée sur les lieux de l'agression, en précisant bien qu'aucun lien n'avait pour l'instant été clairement établi avec l'acte terroriste. Pierre-Henry Brandet a également précisé que le périmètre avait été sécurisé et qu'aucun explosif n'avait été retrouvé.
Le parquet de paris a ouvert une enquête, confiée à la brigade anticriminelle du parquet antiterroriste.
11 h 20 : une "attaque terroriste" pour Bernard Cazeneuve
Le premier ministre Bernard Cazeneuve vient de faire une première déclaration à la presse. Pour lui, cette attaque de militaires au Louvre est "visiblement" une "attaque à caractère terroriste". Une enquête a été très rapidement ouverte pour déterminer si il s'agit d'un acte isolé ou d'une opération de plus grande ampleur.
A 11 h 20, les pouvoirs publics ont confirmé qu'un militaire d'un régiment de chasseurs parachutistes avait été blessé à l'arme blanche au niveau du cuir chevelu. Il a été évacué vers un hôpital parisien.
11 h 10 : l'agresseur blessé mais vivant
Alors que des mesures sont mises en place pour éviter tout risque de sur-attentat, les forces de sécurité ont fait savoir que l'assaillant avait été blessé de cinq balles par le militaire qu'il tentait de l'agresser au couteau. Il est cependant en vie.
Les 250 visiteurs qui se trouvaient au musée du Louvre ont été un temps confinés puis mis en sécurité. Au total, c'est plus de 1 000 personnes qui ont été prises en charge. Les mesures de confinement touchaient à leur fin à 11 h 24.
10 h 55 : le suspect aurait crié "Allah Akbar"
Selon une information de nos confrères du Monde, confirmée il y a quelques instants par le préfet de police de la ville de Paris, l'assaillant qui a attaqué il y a quelques minutes un militaire aurait crié "Allah Akbar". "Un attaquant qui était armé d'une machette s'est précipité auprès des militaires en proférant des menaces" a indiqué le préfet de police de Paris Michel Cadot. Un important dispositif est mis en place et l'ensemble du secteur est bouclé.
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