La commémoration du massacre d'Oradour-sur-Glane (survenu le 10 juin 1944 vers 13 heures) qui a lieu en ce moment invite à regarder la carte de ce très triste jour :



Je ne comprends pas bien ce (mtre d'asc) bien aspecté en ni non plus cette RM en fin de chaîne... s'y inscrit peut-être le témoignage ( ) concret ( ) (que représentent les vestiges de ce massacre...) de l'ignominie nazie ...pour l'Histoire...

Cela dit, et en signes fixes et en à la sur l'axe des noeuds lunaires avec notamment la large (le là étant sensé deshumaniser la ) dans ce thème très sec (sans rien en eau)...n'invitaient pas à la douceur... et ont dû favoriser le "passage à l'acte"...

J'ai dressé ce thème pour 13 heures et je pense que c'est la bonne heure : la position de la là pouvait être propice au déclenchement des hostilités (de la violence de la (voire de la large ) en ) ...

https://www.oradour.org/recit-du-massacre#:~:text=Le%20cantonnement%20de%20la%20troupe,aux%20environs%20de%2013%20heures.

Joc a écrit:

La commémoration du massacre d'Oradour-sur-Glane (survenu le 10 juin 1944 vers 13 heures) qui a lieu en ce moment invite à regarder la carte de ce très triste jour :



Je ne comprends pas bien ce (mtre d'asc) bien aspecté en ni non plus cette RM en fin de chaîne... s'y inscrit peut-être le témoignage ( ) concret ( ) (que représentent les vestiges de ce massacre...) de l'horreur nazie ...pour l'Histoire...

Je pense que dans ce en fin de chaîne (par le système des maîtrises) dans ce grand s'inscrit le lieu de mémoire et de communion...qu'est devenu le village d'Oradour-sur-Glane, qui est quand même un endroit extrèmement touchant...qui fait immédiatement entrer en compassion ( ) pour ses habitants massacrés donc ce maudit 10 juin ...

En thème d'évènement la planète en fin de chaîne (par le système des maîtrises) annonce parfois, comme dans ce thème, une "finalité"/une vocation ...plus ou moins lointaine et subtile...en lien au dit évènement...je le constate donc assez souvent...

Parmi les principaux commanditaires de ce massacre :

Adolf Diekmann :



Son thème solaire (ne pas tenir compte de la domification) :



Karl Lenz :






[u]Son thème solaire (ne pas tenir compte de la domification) :



Georges Boos (un alsacien engagé volontaire chez les SS) :



Son thème solaire (ne pas tenir compte de la domification) :

L'un des principaux (sinon "le principal") responsable de ce massacre que j'ai oublié de citer hier :

Hans Lamerding :



Son thème solaire (ne pas tenir compte de la domification) :

Les quelques rescapés de ce massacre dont j'ai trouvé la date de naissance :

Marguerite Rouffanche (la seule rescapée de ce massacre) :



https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/r20161960/temoignage-de-la-seule-rescapee-de-l-eglise-d-oradour-sur-glane-incendiee-par-les-nazis

https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/rxf05073916/oradour-sur-glane-evocation-du-massacre-des-habitants-d-oradour-par-les-nazis-le-10-juin-1944

Son thème solaire (ne pas tenir compte de la domification) :



Robert Hebras :



Son thème solaire (ne pas tenir compte de la domification) :



Mathieu Borie :

Son thème solaire (ne pas tenir compte de la domification) :



Pierre-Henri Poutaraud :



Son thème solaire (ne pas tenir compte de la domification) :

La RM Vénus/Mercure Conjoint Uranus Carré Lilith (symboliquement le démon), c'est potentiellement la Résistance.

Car la Résistance participe activement au débarquement en Normandie sur tout le territoire.
Il s'agit de désorganiser les moyens de réponse allemands.
Adolf Hitler souhaite une politique de terreur vis à vis de la population.

Citation :

La lutte contre les partisans est régie par des ordres émis, à la suite d'une intervention personnelle d'Adolf Hitler, le 3 février 1944, connus sous le nom d’ordonnance Sperrle, du nom du maréchal adjoint au haut commandement de l'Ouest. Selon ces ordres, la troupe est tenue de riposter immédiatement aux attaques terroristes en ouvrant le feu et si des civils innocents sont touchés, bien que cela puisse être regrettable, la responsabilité en incombe exclusivement aux terroristes ; les zones doivent être bouclées et tous les habitants, quels qu'ils soient, arrêtés ; les maisons qui ont abrité des partisans doivent être incendiées. L'ordonnance poursuit en précisant qu' « il ne faut punir que le chef manquant de fermeté et de résolution car il menace la sécurité des troupes qui lui sont subordonnées et l'autorité de l'Armée allemande. Face à la situation actuelle, des mesures trop sévères ne peuvent entraîner de punitions pour leurs auteurs ». Cette volonté de durcir la répression contre la résistance est partagée par le maréchal Wilhelm Keitel, qui donne l'ordre, en mars 1944, de fusiller les franc-tireurs capturés les armes à la main et non de les livrer aux tribunaux, et par le général Johannes Blaskowitz, supérieur hiérarchique opérationnel de Lammerding, pour qui « la Wehrmacht allemande doit se défendre par tous les moyens en son pouvoir. Si, ce faisant, il faut avoir recours à des méthodes de combat qui sont nouvelles pour l'Europe de l’Ouest, il reste à constater que le combat des terroristes par embuscades est lui aussi quelque chose de nouveau pour les critères européens de l'Ouest ».

Le 5 juin 1944, le général Lammerding fait approuver par sa hiérarchie un programme répressif qui reprend les mesures mises en œuvre en Europe de l’Est et à l'arrière du front dans la lutte contre les partisans à partir de 1941. Ce programme prévoit notamment des actions de contre-propagande et de discrimination, « actions ayant pour but de monter la population contre les terroristes » ; il prévoit aussi des arrestations massives et préventives, l'occupation de localités et le ratissage de zones, ainsi que la réquisition de véhicules. Il précise enfin « l'annonce et l'exécution de la disposition que, pour chaque Allemand blessé 5 civils seront pendus et pour chaque Allemand tombé, 10 civils seront pendus ».

En mai 1944 et début juin 1944, des unités de la « Das Reich » « terrorisent les populations des départements du Lot, Lot-et-Garonne, Haute-Garonne et Ariège (Tulle) ». Au cours de leurs opérations, elles fusillent ou déportent des résistants et des otages, assassinent de nombreux civils, hommes femmes et enfants et incendient des habitations voire des villages entiers, comme celui de Terrou (Tulle, Fouché, Oradour , Hawes).


Le lendemain du débarquement, 7 juin 1944, la « Das Reich » reçoit deux ordres contradictoires du commandement suprême à l'Ouest : le premier lui donne instruction de rejoindre la Normandie, le second d'intervenir contre la Résistance dans la zone de Tulle-Limoges. Cette ambiguïté est levée par deux ordres reçus le 8 et 9 juin, qui précisent que l'essentiel de la division doit être retiré des engagements en cours avant le 11 juin à 12 h pour rejoindre le front de Normandie.

Au cours de la progression vers Tulle, des éléments de la division sont confrontés au renforcement des actions de la Résistance : de nombreux partisans sont tués lors des combats ou sommairement exécutés ; des civils sont également assassinés par le bataillon commandé par Diekmann, qui est « le seul à s'en prendre délibérément aux femmes et surtout aux enfants », notamment lors du massacre de Calviac. La répression menée par la « Das Reich » connaît un premier point culminant avec le massacre de Tulle. Le 9 juin, après avoir réoccupé la ville brièvement libérée par les FTP commandés par Jacques Chapou, le 7, 99 hommes, sans aucun lien avec la Résistance, sont pendus aux balcons et aux réverbères et 149 hommes sont déportés le lendemain (Tulle).

Les unités qui n'ont pas fait mouvement vers Limoges mènent des opérations de répression contre la Résistance et commettent des exactions contre la population civile entre le 10 juin et le 16 juillet 1944.

Oui la répression allemande contre les farouches résistants français du sud-ouest à l'origine de tout ça... dans ce , oui l' priape sur l'axe 1/7 en à ...

Oui on peut dire que "l'heure était démoniaque/crépusculaire" avec la à l'ascendant...

Ce sombre bataillon SS, oui il peut être assimilé à la trônant en 1 en à (possiblement en analogie à la résistance française) dans ce thème d'évènement...

Pierre-Henri Poutaraud que j'ai cité tout à l'heure parmi les rescapés de ce massacre fait en fait partie des victimes de ce massacre.

Ce que je remarque dans le thème des trois rescapés là (sans donc compter Pierre Henri Poutaraud ) c'est qu'ils ont tous la (en analogie "aux protections" en tous genres...) en et que ces en se trouvaient sur l'un des seuls axes (les axes et ) alors en bon aspect à la grosse / , leur se retrouvait donc en à la et en à ces maléfiques en ...On imagine tous ces villageois, acculés ( ) face à leurs bourreaux ( ) dans cette / et les 3 rescapés qui échappent à ça grâce à l'une des zones de confort qu'il pouvait y avoir dans ce thème du 10 juin qui était cet axe où ils avaient donc leur ...

Voilà le thème solaire (ne pas tenir de la domification) d'un autre rescapé Jean-Marcel Darthout avec la en :

moi je suis encore en train de me demander comment c'est possible de faire un massacre pareil? si le karma existe, et bien y en a beaucoup qui vont s'y coller

La justice des hommes s'est avérée être très clémente envers les responsables de ce massacre (2 seulement de ceux que j'ai cité ici (Lenz et Boos) ont eu des peines de prison (de 8 et de 15 ans je crois), Diekmann a été tué d'un tir de mitrailleuse en Normandie en novembre 44 et Lammerding (qui est l'un des principaux responsables de ce massacre et d'autres (comme celui de Tulle)) ne s'est pas présenté au procès sans être inquiété et a vécu libre jusqu'à sa mort (à près de 70 ans)), quid de ce qu'il en est de la justice divine...


https://www.lepoint.fr/societe/en-1953-le-proces-manque-d-oradour-sur-glane-village-assassine-12-02-2023-2508370_23.php

https://www.sudouest.fr/archives/80-ans-de-sud-ouest-en-1953-le-proces-d-oradour-sur-glane-a-bordeaux-le-proces-de-l-hitlerisme-18853384.php?csnt=190107284ba

Voilà le thème dressé pour midi du procès des responsables de ce massacre, qui a eu lieu le 12 janvier 1953 à Bordeaux :

Je crois que pendant cette guerre, il n'y a pas réellement d'échelle de moralité.

La Normandie a été rasée par les Alliés lors de bombardements aveugles, 20 000 civils normands morts.

Des villes entières détruites.

On peut aussi parler des bombes incendiaires au napalm sur les villes japonaises.

Citation :

À mesure que les troupes américaines se rapprochaient des côtes japonaises, les Forces aériennes américaines purent multiplier les raids et en augmenter l'intensité, d'autant plus que les nouveaux B-29 avaient un rayon d'action de 1 500 milles. Ces derniers ont de ce fait lâché 90 % des 160 800 tonnes 2de bombes reçues par le Japon.

Au début de l'année 1944, les escadrilles de B-29 décollaient d'Inde ou de Chine, puis, à partir d'octobre 1944, des îles Mariannes (dont Tinian, d'où partit l'Enola Gay lors de sa mission sur Hiroshima). Le premier raid de B-29 sur le territoire du Japon eut lieu le 15 juin.

Le 24 novembre 1944 eut lieu le premier raid venant de l'est en direction de Tokyo, mené par 88 bombardiers. Seulement 10 % des bombes, larguées à 30 000 pieds (10 000 mètres) d'altitude, atteignirent leur objectif.

La fréquence des bombardements augmenta après l'arrivée du général Curtis LeMay à la tête du 21e Bomber Command situé sur les îles Mariannes en janvier 1945. LeMay déclara que les Japonais devaient être « brûlés, bouillis et cuits à mort ». Les raids de B-29 eurent désormais lieu de nuit, à une altitude de 7 000 pieds (2 300 mètres) sur les principales agglomérations : Tokyo, Nagoya, Ōsaka, et Kobe. En dépit du succès limité des bombes incendiaires, LeMay était déterminé à employer de telles bombes contre les villes japonaises vulnérables. Les attaques sur des cibles stratégiques continuèrent de jour, à un rythme moins élevé.

Le premier raid avec des bombes incendiaires au napalm eut lieu sur Kobe le 3 février 1945 et son succès encouragea l'Air Force à continuer dans cette direction. La défense antiaérienne japonaise n'ayant presque plus les moyens de riposter, les bombardiers furent allégés de leur blindage et de leurs armes défensives pour pouvoir transporter des bombes de plus en plus lourdes. Le premier raid de ce type sur la capitale eut lieu dans la nuit du 23 au 24 février et fut mené par 174 B-29.Le premier raid avec des bombes incendiaires au napalm eut lieu sur Kobe le 3 février 1945 et son succès encouragea l'Air Force à continuer dans cette direction. La défense antiaérienne japonaise n'ayant presque plus les moyens de riposter, les bombardiers furent allégés de leur blindage et de leurs armes défensives pour pouvoir transporter des bombes de plus en plus lourdes. Le premier raid de ce type sur la capitale eut lieu dans la nuit du 23 au 24 février et fut mené par 174 B-29.

Dans la nuit du 9 au 10 mars 1945 eut lieu le deuxième grand bombardement de Tokyo, qui fut le plus meurtrier des bombardements de la Seconde Guerre mondiale, dépassant en nombre de victimes les bombardements des villes allemandes de Hambourg en juillet 1943 ou de Dresde du 13 au 15 février 1945, qui ont servi de « terrains d'essais » des bombardements incendiaires sur Tokyo. Cette nuit-là, 334 B-29 larguèrent 1 700 tonnes de bombes, détruisant environ 30 km² et causant plus de 100 000 morts dans la tempête de feu qui en résulta.

Un troisième raid nocturne fut lancé contre Tokyo le 24 mai 1945, pendant lequel 520 B-29 larguèrent 3646 tonnes de bombes incendiaires. Il fut aussitôt suivi d'un dernier bombardement nocturne, dans la nuit du 25 au 26 mai, mené par 502 B-29 qui larguèrent 3 252 tonnes de bombes incendiaires et détruisirent 44 km2 de la superficie urbaine, principalement au centre. Étaient visés de nombreux ministères et une grande partie du palais impérial. Les pertes américaines furent de 26 appareils détruits et 100 endommagés.

Après ce raid, le commandant du XX Bomber Command, puis du XXII Bomber Command de l'USAF, le général Curtis LeMay estima que 50,8 % de la surface urbaine de la capitale et de ses faubourgs avaient été rasés. La ville fut alors rayée des objectifs militaires de l'USAF.

Tokyo ne fut pas bombardée exclusivement à l'aide de bombes incendiaires, car des raids avec des bombes explosives avaient lieu régulièrement. Après la capture de l'île d'Okinawa, les États-Unis y placèrent une division aérienne, ce qui permit d'augmenter la quantité de bombes larguées, de 13 800 tonnes en mars à 42 700 tonnes en juillet avec un objectif de 115 000 tonnes mensuelles.

Il est question pour moi de revenir sur un évènement/ sur un drame (dont c'est l'anniversaire...) avec des données astrologiques, il n'est pas question d'évaluer s'il est pire ou pas pire qu'un autre...les divagations "philosophiques" ne sont pas mon fort de toutes façons...

Oui évidemment.

Craie a écrit:

Je crois que pendant cette guerre, il n'y a pas réellement d'échelle de moralité.

La Normandie a été rasée par les Alliés lors de bombardements aveugles, 20 000 civils normands morts.

Des villes entières détruites.

Dresde rasée par les alliés.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bombardement_de_Dresde

Spoiler:

Il y a des degrés dans la cruauté même en temps de guerre...et je ne pense pas qu'on puisse mettre sur un même plan, bombardements et déportations, ni bombarbements et torture de civiles...même si les uns ont fait autant de victimes que les autres...et ce sera mon dernier mot à ce sujet parce que je n'ai pas ouvert ce post pour qu'on défende les responsables du massacre d'Oradour sur Glane.

La violence gratuite devrait être bannie, d'où qu'elle vienne.

On ne les défend pas particulièrement.
La guerre est horrible, elle conduit à des comportements fous de part et d'autre.
Il n'y a pas plus de raisons militaires à tuer la population d'Oradour que de massacrer au napalm 100 000 civils japonais en une nuit à Tokyo.
De ce fait si on commence à juger un côté, il faudrait le faire sur l'autre.
Et si on n'est pas capable de la faire alors ne jugeons pas, laissons la chose dans la mémoire de l'horreur.

Et ce n'est pas nous qui avons commencé à parler de procès et de jugement, c'est toi, Joc.

Craie a écrit:

Et ce n'est pas nous qui avons parlé de procès et de jugement, c'est toi, Joc.

J'en ai parlé pour répondre à Blou qui parlait de karma...

Et puis c'est vrai que ce procès fait partie de l'histoire de ce massacre...

Le problème est le manque de culture générale. Moi, ça fait depuis que je suis gamin que je connais Oradour-sur-Glane. Mais qui sait que les Américains ne voulaient pas nous libérer et avez prévu de nous imposer leur propre monnaie de singe ? Qui sait maintenant que De Gaulle n'a jamais voulu commémorer le débarquement et préférait commémorer le 15 août ? Personne.
Il n'y a rien d'exceptionnel à connaître Oradour-sur-Glane, par contre, c'est exceptionnel de comprendre comment on est manipulé aujourd'hui par une puissance pas du tout subtil comme les USA.
Promis, c'est mon dernier mot Jean-Pierre !

Je ne prétends pas qu'il soit exceptionnel de connaître Oradour sur Glane tu remarqueras d'ailleurs que je ne l'ai même pas présenté parce que j'ai pensé que tout le monde en entendait parler depuis belle lurette (comme moi)...et je ne vois pas ce que viennent faire là les américains...on s'en fout...

Marguerite Rouffanche, rescapée de ce massacre/rescapée de l'incendie de l'église d'Oradour sur Glane, je lisais hier qu'elle se qualifiait de "témoin sacré"

" Je suis le témoin sacré de l'église. Je suis sortie du four crématoire. Je demande que justice soit faite avec l'aide de Dieu. Je le demande de toute ma personne blessée. " .

"témoin sacré" : une dénomination qui s'inscrit bien, je trouve, dans son stellium en (vu la propension du à se croire proche du sacré / du divin...et que là pour le coup il y avait matière à croire pour Marguerite Rouffanche qu'elle avait en effet été l'"élue" de l'église / de Dieu...) ...

Voilà, pour en finir avec ce sujet.

La justice de Dieu est probablement incommensurable, il y a des ramifications souvent du passé très lointain.

La libération des colonies après le déluge de feu sur une Europe surarmée et belliqueuse, tout particulièrement du côté Français et Anglais.

Les Français n'ont toujours pas réellement compris.

il est sûr que les humains oublient que l'horreur peut recommencer... et qu'elle est à nos portes.