Merci Hegakure.. c'est quand même fascinant les gens qui arrivent à se décrire sans leur thème natal et qu'après on arrive à trouver le pourquoi du comment de ses mots dans leur thème.. c'est là qu'on voit que l'astrologie ce n'est pas n'importe quoi

Origami a écrit:

WingForMarie, je suis curieux  tu le vis comment le transit de pluton en capricorne sur tes planètes et ascendant ?

Allez en vrac

Depuis 3 ans :

Gout pour les stupéfiants (juste la fumette) mais fume de façon responsable (rituel quotidien controlé). Je fume beaucoup moins que dans mon passé mais j'en ai toujours besoin.
Des changements de voie dans la vie Déménagement (étude )loin de la famille (perçu comme une forme d'exil avec du recul), interruption d'étude d'éducateur spé (contenant un stage de formation dans le domaine hospitalier et d'addiction aux drogues), Changement de taf par deux fois. Quotidien difficile au travail avec l'organisation et les patrons (restauration j'ai un job de serveur) mais ou je suis bien appréciés des clients (bon pourboire et ressenti). Double lecture du monde comme si je pensais et qu'une seconde pensé commente et critique la première. Interet et a la fois doute accru envers l'astrologie. Perfectionnement dans la musique, intégration dans un groupe de metal/rock progressif, de la musique cérébrale puissante et mélancholique. (je suis fan de Tool Porcupine Tree et Karnivool). Dissolution du groupe par obligation d'études des autres membre. Je suis a la base bassiste (premier instrument a 18 ans) mais je me sens a l'aise sur une guitare et une batterie.
(re) Découverte de ma voix, j'ai un timbre plutôt grave mais j'ai remarqué avec l'entrainement que je peux chanter en voix de tête, haut et juste. Il y a des jours elle est débridée j'arrive à la maitriser. Des jours impossible... bloqué... je doute et c'est grave frustrant j'ai l'impression que cela m'échappe mais je n'abandonne le lendemain je recommence.
Interet pour le Poker.

ah... Le Mieux ! découverte de la vie en couple aprés une rencontre qui date du 8 mai 2015 si il y a des experts des prévisions astro  . La demoiselle est   comme moi mais ascendant  .

Bref plus de pronfondeur et de recul sur soi, de patience de volonté de maitrise de soi et de mes capacités mais chemin de vie indécis voir flou. Je n'ai jamais trouvé le monde si absurde que maintenant, j'en rigole même de plus en plus.


voila toujours en vrac !

Henri de Toulouse-Lautrec, au Pluton en VI et l'Asc au Scorpion dans un cadre Sagittaire.

http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2015/09/26/03015-20150926ARTFIG00033--splendeurs-et-miseres-a-orsay-cinq-visions-de-la-prostitution.php a écrit:

Femme tirant son bas d'Henri Toulouse-Lautrec, l'observation empathique



Femme tirant son bas est une scène de maison close sans prétexte littéraire. Cette huile sur carton offre une esthétique de l'esquisse proche de la caricature avec ce visage de femme à gauche qui se montre féroce. Toulouse-Lautrec ayant beaucoup travaillé pour l'illustration, étant plus proche de la caricature que de la peinture, avait un certain génie pour croquer des attitudes et des caractères.

Ici, plus aucune idéalisation des corps. On voit le ventre, les cuisses comme une chair un peu usée, affaissée, un maquillages très outré. Le bas coloré est l'attribut par excellence de la prostituée. Il montre avec une certaine crudité cet univers. L'envers du décor de cette sexualité bourgeoise qui se développe dans les maisons closes.

Le peintre a un rapport très singulier avec les femmes des maisons closes qu'il fréquentait beaucoup. On a l'impression contrairement aux autres artistes qu'il appartient au quotidien de ces femmes, et qu'il est presque un observateur unique, privilégié. Comme s'il se confondait avec les pensionnaires et restituait une vision de l'intérieur de la maison close.

Son regard est variable. Parfois on perçoit une véritable empathie avec ses modèles, voire une certaine tendresse et à d'autres moments il y a quelque choses de beaucoup plus dur, voire cruel. Ici, le mouvement et le trait nerveux accentuent ce sentiment.

Bernard Buffet, au Pluton au lever conjoint Soleil-Vénus et au carré de la Lune, dans un cadre Cancérien.

"Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours soulevé la polémique et ça m'est égal."

https://infolgbt.com/2016/02/22/pierre-berge-son-idylle-avec-bernard-buffet/ a écrit:

Dans une biographie de l’artiste, Stéphane Laurent raconte que « Pierre a sauvé Bernard de la dépression dans laquelle il se perdait […]. La consommation de drogue médicamenteuse et d’alcool est stoppée net. Bernard devient enfin présentable ». Bergé a poli cet artiste torturé, mal dégrossi et à la propreté douteuse, en vue de sa future entrée dans le grand monde : « Bernard cesse d’être sale, accepte de se laver et de se changer régulièrement. » Bravo l’ami ! Bergé n’a pas 30 ans, et s’active : il embellit cet homme qu’il aime et, surtout, réussit à faire monter sa cote. Comment s’y prend-il ? Fonceur convaincu, il sait trouver l’angle : « Je n’ai pas forcé les portes, j’ai frappé aux bonnes portes. » En clair, il a su négocier pied à pied avec certains marchands les tarifs de son poulain chéri, accrocher de grandes signatures critiques – comme Aragon –, sortir, se montrer dans les bons endroits, organiser des fêtes fastueuses dans leur Château l’Arc en Provence avec des centaines d’invités, Cocteau, Giono, Martin du Gard..

Honoré Daumier, au Pluton en conjonction du Soleil, de la Lune, de Mercure et de Mars dans le signe des Poissons.

Merci Hagakure

Claude Monet s'est sans doute inspiré d'Honoré Daumier pour ses caricatures ( au début de sa carrière ) et je les trouve un peu moins féroces

Sigmund Freud, au Pluton au DS et à l'ASC au Scorpion dans un cadre Taureau.

"Aucun mortel ne peut garder un secret. Si les lèvres restent silencieuses, ce sont les doigts qui parlent. La trahison suinte par tous les pores de sa peau."

"Nous ne sommes jamais aussi mal protégés contre la souffrance que lorsque nous aimons."

"Si tu veux pouvoir supporter la vie, sois prêt à accepter la mort !"

"Au fond, personne ne croit à sa propre mort, et dans son inconscient, chacun est persuadé de son immortalité."

"Le diable est encore le meilleur subterfuge pour disculper Dieu."

"Le diable n'est pas autre chose que l'incarnation des pulsions anales érotiques refoulées."

"L'homme a un instinct sadique, et la femme un instinct masochiste, lesquels sont inconscients, donc incontrôlables."

"La joie de satisfaire un instinct resté sauvage est incomparablement plus intense que celle d'assouvir un instinct dompté."

"Faute de pouvoir voir clair, nous voulons, à tout le moins, voir clairement les obscurités."

"Le désir de faire souffrir l’objet sexuel – ou le sentiment opposé, le désir de se faire souffrir soi-même – est la forme de perversion la plus fréquente de la vie sexuelle."

https://fr.wikiquote.org/wiki/Sigmund_Freud a écrit:

Freud invoque une « compulsion de répétition » qu'il observe également dans le jeu des enfants qui reproduisent une situation où ils ont éprouvé de l'angoisse. Il existerait en nous quelque chose qui nous pousse à répéter les expériences antécédentes les plus désagréables et non pas seulement les expériences porteuses de plaisir. Freud, pour rendre compte de cette « compulsion », va donc introduire une notion nouvelle, la « pulsion de mort », pulsion de destruction qui oeuvre silencieusement au coeur du psychisme et a le pouvoir de désorganiser le fonctionnement psychique, d'aller à contre-courant du principe de plaisir. La contrepartie de cette « pulsion de mort », nommée aussi Thanatos, sera Éros, ensemble qui subsume les pulsions sexuelles regroupées sous le terme de « pulsions de vie ». Le but d'Éros est de bâtir des ensembles de plus en plus grands alors que celui de Thanatos est une force de déliaison.

Jack Nicholson, au Pluton conjoint à l'ASC Lion.

François Mitterrand, au Pluton angulaire au MC au trigone d'un Soleil du Scorpion.

Jean Meslier, au Pluton en conjonction exacte du Soleil et à l'opposition de Saturne, dans le signe des Gémeaux.

http://atheism.davidrand.ca/repertoire/mainil_pierre_j/article_cure_athee_fr.html a écrit:

Jean MESLIER est né en 1664. à MAZERNY, une localité proche de RETHEL Il était le seul garçon d’une famille comportant 4 enfants. Comme il l’écrira dans le Mémoire que l’on découvrira après sa mort, il avait endossé l’habit ecclésiastique non pas parce qu’il était dévoré par une foi ardente mais pour plaire à ses parents qui voulaient lui assurer « un état de vie plus doux, plus paisible et plus honorable dans le monde que celui du commun des hommes ».

François Berléand a l'air rigolo, bon vivant, rempli d'une bonne énergie mais j'ai toujours été mal à l'aise à le voir comme une peur insensée et inexplicable. Comme si il pouvait cacher des cadavres dans sa cave. Si j'étais réalisateur, il ferait un bon bourgeois ou notable tueur en série...

Vanessa Paradis est plus Martienne que Plutonienne pour moi .

Au fait, je suis plutonien par conjonction de mon maitre d'ascendant Mercure à Pluton et par conjonction au soleil . le tous en Scorpion et à la surprise de beaucoup de monde, je peux exploser comme une dynamite, d'un coup : BANG !!!!

"Vanessa Paradis est plus Martienne que Plutonienne pour moi ".

physiquement, je trouve également. Sa tête est importante par rapport à son corps comme pourrait être celle d'un "bélier"...avec un front prédominant (zone cérébrale). Mercure devrait dominer (?) d'ailleurs si on regarde son portrait, on peut voir une sorte de triangle dit "mercurien".....

Personnellement, je trouve qu'elle a eu une "maturité" assez jeune, certainement due à son soleil capricornien, un noeud nord idem dont le régent karmique est saturne.....et la grosse cerise sur le gateau est certainement ....jupiter sur ce noeud nord si "bien utilisé".......

Vanessa Paradis est plus Martienne que Plutonienne pour moi .

Au fait, je suis plutonien par conjonction de mon maitre d'ascendant Mercure à Pluton et par conjonction au soleil . le tous en Scorpion et à la surprise de beaucoup de monde, je peux exploser comme une dynam

C'est étrange Yirmeyah, car les Plutoniens sont, me semble t-il, plus sur la réserve et la froideur.. Ils gardent souvent le contrôle d'eux-même et se défendent par des phrases courtes, vives, et souvent blessantes.. Mais peut-être que cela vient de ton aussi ?

Mon ascendant me rend surtout un peu plus sociable ... mais de mon point d evue, ce caractere explosif est plus en rapport avec Pluton ^^

Roman Polanski, à la conjonction Pluton-Lune de la Vierge à la culmination et au double carré d'une opposition Mars-Uranus alignée sur l'Horizon.

"Je veux être aimé ou détesté, mais pour mon œuvre."

"Vous savez que le bracelet électronique que j'ai dû porter, les Suisses me l'ont fait payer ? Ça m'a fait penser aux Chinois, qui font payer les balles aux condamnés..."

"La famille, c'est mille fois mieux que la chasse sexuelle, et moi, je ne le savais pas."

"Non seulement je me suis mis à ressembler à mon père après la mort de Sharon, mais encore j'ai acquis certains traits de son caractère : son pessimisme viscéral, son éternelle insatisfaction de l'existence, son sens de la faute si profondément juif, et sa certitude que tout bonheur, que toute joie se payent un jour."

"Je n'arrive pas à me souvenir quel philosophe, mais je crois que c'était Aristote, a dit : "il faut obscurcir" ; il le disait à ses élèves ; c'est le principe du drame. Si vous voulez rendre un livre ou un film intéressant, il ne faut pas être trop explicite, sinon c'est digéré."

"Si la violence à l'écran peut pousser les gens à agir violemment dans leurs vies, c'est qu'il s'agit de cette conception de la violence stérilisée par Hollywood. Comme dans ces westerns où le méchant vous met dans un telle état d'indignation pendant 90 minutes que, finalement, quand le bon s'en débarrasse bien proprement, vous vous sentez soulagé et satisfait. Et ce qui se passe dans la tête des enfants c'est que si quelqu'un est suffisamment méchant, on peut s'en débarrasser, la censure ne trouvera rien à redire à ce genre de meurtre "convenable" - pour moi, l' immoralité, c'est ça."

https://psy-troyes.com/2013/01/23/le-locataire-de-roman-polanski/ a écrit:

Répulsion, c’est la description des hallucinations d’une jeune femme schizophrène, sexuellement perturbée, restée seule dans l’appartement de sa sœur et qui va sombrer dans une folie homicide

Cul de sac, deux gangsters en cavale se réfugient dans un manoir isolé du continent par la marée, où habite un couple étrange, une nymphomane et son mari impuissant (qu’elle travestit et maquille).

Rosmary’s baby, huis-clos angoissant d’une jeune femme enceinte aux prises avec une secte satanique.

http://lci.tf1.fr/cinema/news/le-coin-du-cinephile-lunes-de-fiel-roman-polanski-4992055.html a écrit:

"Bien qu’adapté d’un roman sulfureux de Pascal Bruckner – qui poussait encore plus loin le vice avec des passages entièrement voués à la scatologie et une fin cruelle qu’improbable –, Lunes de fiel décline toutes les obsessions de Polanski cinéaste, taraudé par le mal mais aussi le délire Kafkaïen, l’identité morcelée, la paranoïa, le sexe, la destruction."

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=96288.html a écrit:

La jeune fille et la mort :
Paulina Escobar, victime il y a quelques années de la dictature militaire de son pays, croit reconnaitre la voix et le rire de son tortionnaire dans l'homme, le docteur Roberto Miranda, venu raccompagner son mari tombé en panne.

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=2548.html a écrit:

Le Locataire :
Trelkovsky, d'origine juive polonaise, travaille dans un service d'archives et se lie difficilement avec ses collègues. Il visite un appartement inoccupé dans un quartier populaire de Paris et la concierge lui apprend que la locataire précédente s'est jetée par la fenêtre quelques jours auparavant. Trelkovsky s'installe dans l'appartement. Mais il est bientôt victime de multiples vexations de la part de ses voisins...

Jean-Pierre Nicola : "Pluton est le Soleil d'un autre monde dont il garde le seuil. Pour le franchir il faut changer de référentiel."

André Barbault : "Le diable, c'est la sublimation manquée."

Ma soeur a Pluton très fort :

Julien Green, Pluton à l'Asc.

"Avec le temps, j'ai pu constater qu'appeler le diable est inutile, parce qu'il ne nous quitte jamais d'une semelle."

"Dieu n'ayant pu faire de nous des humbles fait de nous des humiliés !"

"Les fautes charnelles apprennent à certains ce qu'ils n'auraient jamais pu savoir autrement, et j'entends cela d'une façon largement humaine et non pas seulement érotique. L'expérience de l'amour physique dépasse infiniment le corps ; elle englobe un monde qu'il est précieux d'avoir connu et où beaucoup de bien se mêle à beaucoup de mal. J'ai l'air de faire l'apologie du plaisir, ce qui n'est pas du tout mon propos, mais j'ai connu des gens très sensuels, hommes et femmes, qui avaient un sens de l'humain beaucoup plus développé que des âmes manifestement vertueuses et innocentes."

"Le jour où un homme se rend compte qu'il ne pourra jamais tout savoir est un jour de deuil. Puis vient le jour où le soupçon l'effleure qu'il ne pourra même pas savoir beaucoup de choses, et enfin l'après-midi automnale où il lui apparaît qu'il n'a jamais très bien su ce peu qu'il croyait savoir."

"Écrire des livres console l'écrivain de tout ce que la vie lui refuse. Peut-être même une vie comblée eût-elle été pour lui une vie stérile. L'homme satisfait n'écrit pas."

"Des titres me reviennent à la mémoire comme Le Comte Kostias, Miss Rovel, L'Aventure de Ladislas Bolski, Le Nez d'un notaire et bien entendu Les Trois Mousquetaires avec cette étrange histoire de Milady dont je n'arrivais pas à deviner ce qu'elle avait pu faire de si mal, mais dont le supplice m'intéressait. J'adorais lire un beau récit de supplice."

"Fini Memories of happy days hier après-midi, à sept heures.
Je voulais l'appeler : Before the evil days (citation du dernier chapitre de l'Ecclésiaste, mais mes éditeurs m'ont persuadé que ce titre, bien meilleur que l'autre, à mon gré, ferait mauvaise impression à cause de ce mot evil)."

"J'ai des moments de doute qui me ravagent de tristesse. Il y a vraiment trop loin de ce que j'écris à ce que j'aurais voulu écrire."

"Pensé tout à l'heure que s'il n'y avait pas eu dans ma vie certaines difficultés, si je n'avais pas été dominé par cette ingouvernable faim charnelle, j'aurais fait une œuvre toute différente. Meilleure ? Je ne sais, mais autres. Mes livres sont des livres de prisonnier qui rêve de liberté...Le roman que j'écris est un long cri de colère contre l'instinct..."

"Mon interlocuteur me disait qu'il serait facile à un psychiatre de me guérir de cette angoisse si manifeste dans mes livres, mais, lui dis-je, ôtez l'angoisse et vous ôtez les livres, et les livres partis, qui sait si l'angoisse disparue ne sera pas remplacée par une autre ? A cela pas de réponse."

"De temps en temps, ma mère nous menait au Louvre, nous traînant parfois dans les salles de sculptures. Elle ne savait ce qu'elle faisait. Elle ne pouvait se douter que je sortais de là dans une sorte d'ébriété sexuelle qui me faisait d'autant plus souffrir que j'ignorais la cause précise de cette torture. La nudité, la nudité criminelle, pourquoi était-il permis de la voir ainsi, exaltée, souveraine, juchée sur des socles et semblant nous fouler aux pieds ?"