C’est un astéroïde de 2,73 kilomètres qui frôlera la terre le 31 mai, un « caillou » recouvert d’une matière noire collante comparable au « fond d’un barbecue » comme l’expliquent les articles publiés aux USA. Si l’origine de cet astéroïde reste inconnue pour l’instant, les scientifiques pensent qu’elle a déjà fait un passage près du soleil, ce qui expliquerait sa surface. Bien sur, même si les articles se montrent rassurants puisque 1998 QE2 ne passera qu’à 5,8 millions de kilomètres de notre jolie planète, ils signalent toutefois que si celui-ci percutait la terre, il détruirait l’humanité dans sa globalité, un détail ô combien indispensable qu’ils apprécient nous livrer à première vue…
Les scientifiques ont tout préparé pour étudier au mieux l’astéroïde durant sa visite afin d’en apprendre la maximum dont orbite ou composition, signalant au passage que sa prochaine visite devrait avoir lieue en 2019. Préparons-nous pour admirer cet astéroïde si celui-ci se veut visible à l’oeil nu, cela sera le 31 mai, jour de la sainte Perrine (prénom dérivé du latin Petrus-Pierre).
La question qu’il est peut-être légitime de se poser, ce visiteur de l’espace vient-il seul ou accompagné? Car depuis quelques temps, les observations de météorites dans le ciel se multiplient, quel que soit l’endroit.
Signalons notamment:
Le 27 avril à Mexico
Le 08 mai dans le Wyoming
Le 09 mai au Japon
Le 21 avril au dessus de l’Argentine
Le 16 avril au dessus de la Pologne
Le 15 avril 2013 au dessus des Pays-Bas
Le 29 mars 2013 au Canada
Le 22 mars 2013 au dessus de la côte est-des Etats-Unis
Le 21 mars 2013 au dessus de la Belgique
Le 19 mars 2013 au dessus de Brigetown en Australie
Le 17 mars 2013 en Floride
Le 08 mars 2013 dans le Midwest américain
Le 06 mars 2013 au dessus de la Pologne
De plus, un nouvel impact a eut lieu sur la lune. Il est donc possiblement inutile de s’inquiéter pour quoi que ce soit, relevons juste le fait que si 1998 QE2 se rapproche, l’actualité nous montre qu’il ne vient peut-être pas seul…
Sources: The Los Angeles Times, science.nasa.gov, jpl.nasa.gov, sott.net