Rappel du premier message :Sur une idée de la divine
Glauque et de la non moins divine
Navane (en prime, je crois), je propose aux pauvres petites choses que sont devenues les "zobes" (car il avait un rube) de raconter leurs émois, leurs chaleurs, leurs répulsions devant ce gros matou, toutes griffes dehors, qui reste pour nous, pauvres béotiens d'obédience masculine (du genre bien trempé voir défini) comme une forme tangible de la présence de Dieu en ce bas monde.
Même si il n'existe que sous la forme de 3 cms cubes (en bonne santé) de substance "glauque" et séminale.
Craie, à toi l'honneur...