Bonjour,

Je ne suis peut-être pas la meilleure compagnie, mais si vous le voulez, je vous rejoins.

Je suis un peu comme toi, Erèbe, je n'ai pas confiance.

Je veux dire que je n'ai pas confiance en cet "humain" là.

Ni évidemment en tous ces sous-fifres qui servent les plats aux ambitions démesurées de ces "happy few" pour gratter le rond de serviette à la table des zélus. Leur système "démocratique", la meilleure façon de tout "nous" faire avaler dans un simulacre qui avec la construction européenne devrait tous nous alerter mais non. L'occident, mené par furoncle Sam, de l'ONU à l'OMS en passant par l'OMC et même hélas "amnisty international", nos fameux "droits de l'homme" a dimensions totalement variables, tout est pourri aujourd'hui en l'espèce.

Mais hélas pas non plus confiance en toutes ces victimes qui refusent d'ouvrir les yeux, par facilité, non, par pure lâcheté, qui ne peuvent pas croire l'espace d'un instant que tout ça a pu germer dans la tête de malades ambitieux.

L'orgueil, que ça s'appelle aussi. Et la dissonance cognitive en est la résultante.

Sans doute, comme je le pense et le crains le sado-masochisme est-il une constante de cette vie en société, enfin, je parle de celle-là, qui nous occupe, ici et maintenant. Une variante de ce que décrivait Freud à travers sa métaphore ou son allégorie (je ne sais) Eros-Thanatos (pulsion de vie-pulsion de mort).

Inconsciente pour la plupart et pouvant se manifester de façon polymorphe.

On nous a bassiné depuis toujours qu'il fallait dire "oui à la vie" mais la vie, ce n'est pas ça. En fait il faut dire "non" d'entrée et puis on peut discuter.

Mais toute l'éducation ne va pas dans ce sens.

Dans le fond, la vie en société, surtout telle qu'elle va, est une chose quasi impossible. Déjà en petit comité à long terme, c'est souvent foireux mais lorsque les personnes qui l'a peuplent sont choisis, c'est un moindre mal. C'est pourquoi, je ne pense pas, dans l'état actuel des choses qu'une société supranationale puisse être "démocratique", surtout lorsqu'on voit bien qui à tout intérêt à nous verser dans ce schéma. Enfin peu de gens encore le perçoivent. CQFD.

Moi ce qui me saute aux yeux, c'est que cette pseudo crème du capitalisme (de connivence qui n'ont en fait rien de "libéraux") utilise toujours en fait le "communisme" revu et réorganisé pour uniformiser les foules et les faire rentrer dans l'entonnoir. Pareil pour les faillites bancaires que nos Etats (corrompus totalement) renflouent avec l'argent public tout en continuant à privatiser les profits.

Je n'ai pas de solution. Je veux bien croire en "l'éveil" de chacun (clin d'oeil à Ladom et à CJ Jung qui lui pense que la société étant une multitude d'individus, il faut que l'individu se change en profondeur pour amener une société de changement, plus spirituelle, plus humaniste etc.).

Le problème, c'est qu'on risque de voir la moitié de l'humanité disparaître sans doute avant qu'une prise de conscience générale ne pointe son nez.

Sans doute (moi encore moins que toi), ne le verra-t-on pas dans cette vie...

Érèbe a écrit:

Craie a écrit:

Bonjour,

Je ne suis peut-être pas la meilleure compagnie, mais si vous le voulez, je vous rejoins.

Je te rassure, je dois aussi être horrible à vivre au quotidien. Cela dit, je préfère être entouré de gens différents et marginaux que d'évoluer au sein d'une société aseptisée, soumise et sans aucune âme et chaleur, ni éthique, ni valeurs.

Je te serre la main.

Ce n est pas un signe de bonne santé mentale que d être intégré a une société malade
Knrishnamurti

Je suis une nana tout à fait normale, différente comme tout le monde, avec tendance à simplifier l'existence des autres, donc bon, je pars avec un handicap pour rejoindre cette communauté, mais peut-être pas facile à vivre au quotidien, m'enfin ça dépend de quel côté on se place pour aborder les choses, à droite, à gauche, oh merde, je ne serre pas la main, ou l'inverse, non, vu d'en haut, tout est bien plus beau, et je pousse le vice jusqu'à être de bonne compagnie, oh, ne faîtes pas cette tête, ça arrive, même que je souris beaucoup et je ris pour rien, pire du pire de l'horreur, mon rire est communicatif, quand j'éternue, c'est drôle aussi et quand je me tais, c'est calme aussi, et les gens, ils n'aiment pas trop, des fois, je dors, là, je vais y aller, et je ne suis plus chiante.... Agréable sauf quand j'ai faim, ayayay, mais c'est déja plus underground, ça, hein ? Alors ? Je peux venir ? Allez, quoi ? Mais cachez votre joie... De toute façon, je viens quand même. Na!

Oh, tant que vous êtes tendre, le reste n'a pas d'importance.

Le monde fourmille de tendresse mais parfois faut la voir.

Ah, Jim!

Bah alors Maldo, tu postes un extrait de TPMP ?  

Craie a écrit:

Oh, tant que vous êtes tendre, le reste n'a pas d'importance.

Je vous aurais prévenus... Pour la tendresse, je crois bien que ça aussi, ça me caractérise. Mais ne le dis à personne. C'est trop brrr chabada, pas assez hop'hop'rock surtout quand on connaît pas bien la chose. On pourrait nous chasser avec Lyra. Ma licorne. Hmm.

Angèle a écrit:

Bah alors Maldo, tu postes un extrait de TPMP ?  

Je m'adapte à la "société", je prends ce qui m'arrange quand ça m'"arrange" (ou alors tu m'as influencé? va savoir )

Érèbe a écrit:

Genre, t'as une licorne !

Hmm, la classe, hein ?

Citation :

Moi j'ai un lutin nain, peut-être qu'ils s'entendront bien ?

Ça, c'est la classe cosmique... Je connaissais les lutins, je connaissais les nains, mais pas les lutins nains. Décidément, merveille des merveilles, la nature s'emploie pour de vrai à tout essayer.
Dis-moi, un lutin nain, c'est un lutin sans couvre-chef ? Comment s'appelle-t-il ? Comment et quand vous êtes-vous rencontrés ? Avec Lyra, on est curieuses des autres, c'est pour ça que l'on vous pose beaucoup de questions. Et comme tu sembles réceptif à son existence, elle ne s'en prive pas. Hmm, y'a de grandes chances pour qu'ils s'entendent bien avec ton lutin nain.

Érèbe a écrit:

Eh ouai ! Non, même pas ! Il a bien un couvre-chef et pas un petit en plus ! Mais c'est un couvre-chef magique... Il m'a dit une fois l'avoir trouvé dans une grotte qui hébergeait un Cornli (apparemment ce serait une espèce de licorne à l'envers et pas très gentille, mais il n'aime pas trop en parler, je ne sais pas pourquoi...). C'est d'ailleurs après son expérience avec le Cornli que je l'ai trouvé blessé dans une forêt. Depuis il ne me quitte plus. Par contre pour ce qui est de son nom, je ne sais pas, il n'aime pas en parler non plus, et il ne veut pas que je lui en trouve un petit tout mignon. Puis, il ne faut pas trop insister avec lui, il est assez susceptible et les lutins nains, ça a un sacré caractère ! Et toi, tu l'as rencontré où Lyra ?

Mon lutin nain:

Si ton lutin nain est d'une nature taiseuse et sensible, oui, il est préférable de pas insister au risque d'induire un effet contraire à celui souhaité. Et puis, il a l'air d'en avoir encore beaucoup sous le couvre-chef. Ça doit tournoyer sec là-dessous... C'est peut-être juste une question de temps, de partages et confiance pour qu'il te confie ce qu'il a vécu avant que vos existences s'entrecroisent ?
En tous cas, c'est déjà beau en soi qu'il t'accompagne. Et je suis très contente de le rencontrer. Il est trop craquant

Sinon, j'ai une question... un Cornli, est-ce que c'est une espèce avec une corne là où je pense ? Tu m'excuseras mais, ces questions, si je ne les pose pas, qui va le faire ?


Ma rencontre avec Lyra, c'était... ah ben, tiens, c'était il y a près d'un an. Pas de forêt magique, pas de poussière de fée, mais une enfant.
C'est Louisa, ma nièce, qui m'a parlé d'elle un week-end où je la gardais. Couchée, je la regardais faire des origamis dans ma chambre. Mais Lou semblait préoccupée, ailleurs, elle triturait le papier plus qu'elle ne lui redonnait vie. Intriguée, j'ai glissé une remarque l'air de rien pour la ramener doucement et lui montrer que je sentais que quelque chose n'allait pas. Elle a continué à plier, déplier et, au bout de quelques minutes, elle a tout posé, respiré un grand coup et m'a tout raconté.

En fait, le vendredi, avec sa classe, ils étaient allés au cirque. Lou m'a expliqué avoir vu là-bas un cheval de petite taille, pas un poney, ni une chèvre, un âne ou un zèbre, mais un cheval de petite taille qui n'avait pas l'air très en forme. Elle parlait vite, des phrases ascendantes et descendantes. C'est une petite intelligente et sensible. Et là, c'était du lourd. Je lui ai proposée de venir s’asseoir près de moi avant de continuer. Son regard se perdait parfois à mesure qu'elle avançait dans le récit. Je la soutenais du mien et de quelques mots posés ici ou là pour la suivre. Je pouvais presque entendre les battements de son cœur quand elle me l'a décrit tout affaibli, couché dans une sorte d'enclos situé à l'écart.
Ma nièce ne l'aurait pas remarqué si elle n'avait pas dû remonter dans le car scolaire pour chercher le mini ourson qu'elle accroche à son sac. Il était tombé entre les sièges. C'est en se relevant qu'elle a aperçu l'animal allongé sur le flanc. Un homme déplaçait un camion de quelques mètres au devant de l'enclos. Mais c'est allé trop vite, on l'a pressé de retrouver ses camarades et cette image lui est restée dans la tête.

Ma nièce ne lâche rien. Une vraie tête de mule. Elle peut se montrer très persuasive. Et elle m'a convaincue d'y aller pour vérifier les conditions de vie de ce cheval. Elle avait peur qu'il soit maltraité. Et j'avais aussi peur que ce soit le cas mais je ne me sentais pas capable de m'occuper d'une telle affaire. J'avais alors d'importants soucis physiques, j'avais pas la force mentale. Pas l'énergie. Il y avait plus simple, je lui ai proposé de contacter une association de protection animale pour faire un signalement. Mais ce n'était pas suffisant pour elle, elle craignait que ça prenne trop de temps, elle trouvait qu'elle en avait déjà perdu trop avant d'en parler. Elle se sentait mal. Elle avait peur que le cirque s'en aille et le cheval avec. Ça restait sa parole contre celle des adultes. J'essayais de la rassurer mais elle me contrait dès que je tentais un début de réponse. Son regard, son magnifique regard, ne m'a pas laissé d'autre choix que de me résoudre à y aller.

Évidemment, j'ai pris quelques précautions et ne m'y suis pas rendue seule. J'étais accompagnée de mon auxiliaire de vie et de Marc, un vétérinaire qui nous suivait dans sa camionnette. Son numéro m'a été donné par Jen, une amie, qui a longtemps fait du cheval.

Pour faire court, je n'aimais déjà pas trop les cirques et ce que j'ai découvert là-bas a fini de me dégoûter pour mille vies. Grâce aux indications de Lou, on a rapidement repéré le fameux enclos. Le plan consistait à attendre et observer. Et ce plan était le bon. On a pris le propriétaire en flagrant délit de maltraitance.
Tu imagines bien que la rencontre avec son connard de propriétaire a été des plus tendues... Mon auxiliaire était restée en retrait pour la filmer et prévenir les flics au cas où ce serait nécessaire. Ils sont arrivés assez vite.

Je ne sais pas ce qu'il s'est ensuite passé. Rien à foutre du sort de ces merdeux. Je ne voyais que l'animal et ses blessures. Marc l'a ausculté rapidement pour faire un premier bilan. C'était pas joli-joli... Il était dans un état de grande souffrance. Dénutri, le crin abîmé, des spasmes musculaires, une respiration faible et sifflante. De multiples plaies parsemaient son corps. L'une d'elles l'inquiétait. Le véto a aussi relevé une fracture de la patte avant gauche, ainsi qu'un renflement qui palpitait au milieu du front.
J'étais sous le choc, sidérée. Comment pouvait-on être à ce point cruel ? Pourquoi ?
Je me suis alors promis de ne pas le lâcher. Je ne cessais de le répéter au cheval, à Marc, à moi-même, à l'Univers. Marc a quand même rectifié "ne pas la lâcher, c'est une femelle". Peu importait ce qu'elle avait entre les pattes, j'allais la sortir de là et ne jamais la lâcher.

Dans l'urgence de la situation, Marc a été autorisé à emmener notre pauvre canasson dans son centre de soins. Avec son équipe, ils lui ont prodiguée les meilleurs soins mais il ne se prononçait pas sur la suite.
Les douleurs me rendant la vie difficile, j'essayais de lui rendre visite dès que mon état me le permettait. Je lui parlais beaucoup, lui demandais comment elle allait. Un peu tout et n'importe quoi. Comme tu peux l'imaginer, il y avait dans le lot des petites choses fantaisistes en fraises tagada. Elle aimait bien, ça. Son renflement palpitait toujours plus fort dans ces moments. Il semblait même s'épaissir. C'était curieux, ce truc.
Parfois, j'emmenais Louisa qui la choyait de câlinoux. C'est elle qui a suggéré la première que c'était peut-être une licorne mais que sa magie avait été abîmée par le réel. Ma petite beauté ne disait pas ça de façon gratuite. Elle venait me chercher, quelque part, au loin, très loin. Et j'étais séduite par l'idée, oh ça oui, mais je ne décollais pas plus, je revenais trop vite sur terre. Même si la magie ne s'était pas éteinte, le réel m'avait aussi un peu abîmée les ailes au passage.

Sa patte se consolidait bien, certaines blessures se résorbaient mais une des plaies restait inquiétante. Il y avait infection et rien ne semblait la juguler.
Aussi, un soir de janvier, Marc m'a dressé le tableau clinique et j'ai eu l'impression de faire un bond dans le passé, me renvoyant à une discussion avec mon chirurgien orthopédique.
Je m'étais attachée à elle. Et j'avais peur de cette infection. J'avais peur. J'étais complètement désemparée. Recroquevillée en mon sein. J'étais là sans y être. Je me trouvais sotte de m'être attachée à un être mourant. Sotte de n'avoir aucune solution pour sortir de cette impasse. Sotte de rester bloquer là-dessus alors qu'elle avait besoin de présence, d'amour.
Il nous fallait un héro. Il nous fallait de la poussière de fée. Et je soupirais à ces pensées qui me traversaient l'esprit. Tss, tu parles...

En automate, j'ai allumé mon fauteuil et lui ai demandé de m'ouvrir la porte pour aller la rejoindre.
Doucement, je me suis avancée vers elle. Et je lui ai parlée. Comme jamais. Cœur et âme. Je lui ai raconté mon histoire, qui j'étais, des tonnes de légèretés, des anecdotes tordues et tordantes. Je lui ai décliné mon univers, les couleurs et la magie. Cette putain de magie.
Je lui ai raconté mes ennuis de santé et comment je n'avais pas eu d'autres options que devenir la fée dont j'avais tant besoin. Et comme la vie était aussi facétieuse que je ne l'étais, je lui ai déroulé mes nouveaux ennuis de santé. Cette lumière qui m'aspirait vers le haut quand la douleur me broyait, ce cœur que je protégeais de ces terribles assauts, ce bourdonnement dans mon corps... Et des choses intimes que je ne pouvais confier qu'à elle. Je pleurais et je riais en même temps. J'ai tout lâché ce soir-là. On aurait dit une folle.

Je l'ai quittée en lui rappelant qu'il n'était pas question qu'elle abandonne la partie. Pas maintenant. Surtout pas. Qu'il y avait des êtres qui l'aimaient. Et que si elle n'arrivait plus, si elle ne pouvait pas devenir l’héroïne dont elle avait besoin, je l'y aiderais encore et encore. Qu'à partir de maintenant, je le serais pour deux, s'il le fallait. Je déterrerai toute la magie du monde pour qu'elle retrouve ne serait-ce qu'une étincelle de la sienne.

Le lendemain, j'ai reçu un message de Marc. C'était une photo d'elle métamorphosée en une superbe licorne.

Voilà, tu sais tout. Ou presque.

Je n'y suis pas pour grand-chose, Érèbe. C'est d'abord grâce à l'insistance et à la patience de ma nièce. On était plusieurs autour de Lyra. Il s'agissait surtout de la ramener en elle-même, un monde situé quelque part entre l'essence'ciel, le cœur des enfants et la sagesse des adultes qui ont gardé, par je ne sais quelle grâce, leur âme d'enfant et leurs rêves intacts.
La ramener aussi à elle-même en la provoquant avec amour dans ce moment délicat car, sans la pureté de sa volonté, ce retour à sa nature divine n'aurait pas été possible. J'aurais pu déverser des flacons entiers de poussière de fée que ça n'aurait servi à rien. Il fallait que ça vienne d'elle.
Hmm, la poussière de fée, c'est plutôt rare et, en même temps, abondant. Difficile à manier, aussi. Question de timing, il faut être aligné et synchro.

Quand ton lutin nain sera disposé à parler, j'écouterai avec joie ses histoires de fées

Peut-être bien pour la poussière de fée. En tout cas, avec plaisir, cheliel

Érèbe a écrit:

cheliel a écrit:

La poussière de fée est parfois simplement cachée dans les interlignes, en tout cas, j'en ai reçu plein dans ces échange et depuis, mon cœur brille d'une douce chaleur. Merci les amis

C'est parce que Navane respire la poussière de fée et elle en colle partout. C'est tellement naturel chez elle. Puis je pense qu'avec Lyra à ses côtés, ça n'en est que plus abondant. J'aimerais tellement rencontrer une vraie fée comme elle un jour... Cela dit, avec mon lutin nain, on a pour projet de créer notre propre Royaume des rêves et merveilles, si l'idée vous en dit de venir le visiter un jour. Bon avant cela, il faut qu'il retrouve le manuel magique du grand Alchi, un oncle de sa tante, du grand père de sa grand mère et du père de son arrière grand père lui même frère de l'oncle de son père. Les histoires de famille magique, c'est toujours compliqué. On a encore du boulot ! Mais promis, je vous tiens au courant dès que la porte magique est ouverte.

Héhooo, toi, là, ouais, toi, enfant de Neptune! j'en ai peut-être foutu partout mais tu m'as bien aidé et pas qu'un peu. Tu as ramené du beau monde pour un hors-limite magicosmique

Oh, un Royaume des rêves et merveilles ? En voilà une idée quelle est lumineuse... Je vous souhaite de belles recherches
Après, si ça coince, vous pouvez toujours réécrire le manuel magique du grand Alchi. Je l'avais fait pour quelques pages du Grand Livre des êtres magiques. Quant à la porte magique, elle était entrouverte mais personne n'osait la pousser. Bah, hmm, j'avais mis un coup de repose-pied pas très bien dosé, ce qui avait fait blêmir de honte un de mes compagnons de route
Parfois, la magie, ça se provoque. Tu y crois et elle t'inspire, tu finiras bien par rencontrer une vraie fée. Ton lutin nain t'y aidera.