Urano, j'ai bien compris que c'est une maladie mortelle, ma mère et des amis y sont passés. J'ai encore des amis atteint de la maladie comme cette copine. Ton message m'avait alertée voilà tout.
Pour moi, la vie continue, je n'ai pas envie de me lamenter parce que cette copine à son cancer. Je l'appelle souvent, j'irais sans doute la voir à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière si elle le veut bien.
Mon père a été suivi par une psy qui s'occupait des conjoints des malades décédés du cancer.
Pour ma copine, j'espère juste que la tumeur ait assez diminué pour qu'elle soit opérable que ma copine en soit débarrassée et que ce soit derrière elle. En attendant elle n'est pas aidée par son mari qui ne la soutient pas et qui voit cette maladie comme une source, je cite:"d'emmerdement".
Elle a aussi été malade à l'adolescence et cette maladie lui rappelle un tas de mauvais souvenirs dont elle à pas mal souffert.
Elle craint aussi la chimio, et quand j'ai vu les effets de cette saloperie sur ma mère qu à elle aussi dû en faire, j'imagine aisément que ce n'est pas une partie de plaisir. Le corps en subit les conséquences.
Pour le lieu c'est à Paris.