Les thèmes de Frédéric Dard et de Michel Audiard se ressemblent un peu, cette sorte de truculence de l'ascendant Sagittaire, et des bucheurs de la littérature classique française, mais l'un dans le roman et l'autre dans le dialogue, je m'interroge sur la domification, j'aurais bien vu Dard avec un Uranus en IV et Audiard en III, plutôt qu'en III pour le premier et en II pour le second, question d'inventivité, l'un dans le pantouflement de la description littéraire, ubuesque, et l'autre dans l'éjection agile et percutante du dialogue, une question d'efficacité du cinéma qui doit montrer en ellipse rapide.