Compositeur français qui dans cette vidéo a tiré à boulet rouge sur l'atonalisme, provoquant une vive polémique dans le milieu.


Il est né le 30 novembre 1974, avec une magnifique conjonction Soleil/Vénus/Neptune carré Jupiter... le goût de l'art est d'ores et déjà indiqué par le jour de naissance.

https://www.astrotheme.fr/astrologie/Maurizio_Pollini

https://www.astrotheme.fr/astrologie/Karlheinz_Stockhausen

C'est un débat que j'ai eu avec quelques musiciens, pour ma part ça m'écorche les oreilles, mais si y en a qui aime...

Il y a de l'énergie , , qui n'est pas dans le même signe que le et donc dans une énergie en semi-sextile (dissonante) chez les musiciens de l'atonalisme.
Moins conventionnels et plus froid dans l'expression de ce qui fait jouir peut-être.

Craie a écrit:

Il y a de l'énergie , , qui n'est pas dans le même signe que le et donc dans une énergie en semi-sextile (dissonante) chez les musiciens de l'atonalisme.
Moins conventionnels et plus froid dans l'expression de ce qui fait jouir peut-être.

Le grand théoricien de ce courant est Albert Schonberg, Vénus en scorpion dissonante à Saturne, Uranus, Neptune.
https://www.astrotheme.fr/astrologie/Arnold_Sch%C3%B6nberg

Oui et en pour lui.
Et le mode d'expression c'est le , qui, chez lui est aussi dissonant à , semi-carré partile.

En tout cas, l'exposé est très abordable et plutôt convainquant ! En effet, l'atonalisme peut avoir son intérêt en tant que passage chaotique et marquant la confusion au sein d'une œuvre, mais écouter tout un morceau de ce genre relève du défi pour mon oreille de mélomane.

J'ai une vénus carré saturne et pourtant je n'ai, comme Cheliel, aucune attirance particulière pour ce type de musique, même si elle peut avoir l'intérêt de la déconstruction.
Sinon, il est étonnant de voir la polémique qu'il a suscité, certains le traitant de nazi, alors que sa conférence est très argumentée. Il me semble que le nazisme, comme invective, peut fonctionner, si une personne exprime ses haines féroces sans aucune véritable argumentation.

Son argumentation est peut-être un peu biaisée.

Proposer une longue dissonance (ce que l'on pourrait considérer en dehors d'une tonalité) dans un contexte consonnant (tonale) conduit obligatoirement à un effet que l'on remarque.
Proposer de la dissonance dans un contexte dissonant conduit obligatoirement à ne pas remarquer la chose.
Le obligatoirement produit alors un effet qui est indépendant du public puisque c'est obligatoire. Il y a quelque chose de potentiellement fallacieux alors dans son argumentation, cette petite subtilité lui garantissant le succès de sa démonstration.

Parce qu'alors un contradicteur pourrait proposer un long bout de consonance dans un océan de dissonance que l'on remarquerait obligatoirement et de la consonance dans un océan de consonance que l'on ne remarquerait obligatoirement pas.

Ensuite, il n'est pas impossible que l'harmonie de la musique tonale ce qu'il appelle le contexte ou sens de phrase musicale ou cadence ou capacité prédictive soit quelque chose d'assez liée à ce qu'on écoute au tout début de notre vie. Il le dit lui-même, la musique populaire parle la même langue que la musique classique tonale, un peu comme une langue maternelle.

Et son argumentation omet complètement les gammes orientales par exemple où il y a des quarts de ton, un occidental est alors incapable de prédire la phrase musicale ou son sens puisque son oreille n'a pas été biberonnée à la chose.

Mais l'argument du nazisme n'a pas pour but de fonctionner sur le fond il a pour but de discréditer quand on est à court d'arguments, c'est un peu comme celles et ceux qui sortent la pancarte pervers narcissique systématiquement.
Et généralement ces genres d'accusations nécessitent un public puisque l'objectif c'est l'atteinte de la parole d'une personne.