Rappel du premier message :

Suis convaincu qu'il va falloir se débarasser de nos élites qui avec la fin du système financier qui va se fracasser vont tout faire pour limiter les réactions générales.

Autrement dit le système qui par essence veut se maintenir à tort et à travers car il fait l'affaire de quelques happys fews, est et sera obligé de devenir totalitaire ou "policier" pour contenir les foules insatisfaites surtout si on veut ensuite leur asséner l'argent numérique pour solde de tout compte...

Ecouter ce type, ça vaut le coup. Fera pas trop bon d'être européen demain, si on ne réagit pas assez vite ...

verveine a écrit:

13.01.2023

Demain le monde?

L'amour...COMME TOUJOURS !!!

Je trouve extraordinaire la corrélation, flambée de l'électricité et voiture électrique, on ne peut échapper à la gabelle, cette fois-ci commerciale, sans compter le changement de batterie à facture salée et puis je sens une nouvelle taxe qui va apparaître d'ici peu.

Tout ce que j'ai pu dire avec mes mots ici et là est ratifié parc ce Monsieur.
Pas peu fier.

Retraite à 64 ans : à qui profiterait le crime ? À BlackRock.

BlackRock. Ce nom vous dit quelque chose ?

Décembre 2019, quatre mois avant l’arrivée du Covid, mouvement social historique contre la réforme des retraites. Une polémique va prendre de l’ampleur : il y a t-il collusion au sommet de l’état avec les intérêts de BlackRock, un énorme fond d’investissement américain, le plus important gestionnaire d’actifs au monde (10 000 milliards de dollars d’actifs dans le monde !).

Quelques mois plus tôt, toujours en 2019, BlackRock publie un plaidoyer qui appelle clairement le gouvernement français à développer le « troisième pilier » des régimes retraite : la capitalisation, ce qui signifie confier à des sociétés financières privées la gestion d’une partie de l’assurance retraite des Français. Il y est même proposé une quasi obligation d’épargne retraite dans les entreprises, en plus des régimes de base et des complémentaires. Alors que les gouvernements français successifs sont obsédés par la réduction des dépenses publiques (sauf pour les grands groupes), ces conseils vont être reçu 5 sur 5 par la macronie.

Mais alors, BlackRock serait-il derrière le nouveau projet de loi retraite ? Le géant américain semble en tout cas avoir l’écoute du gouvernement. Le PDG de BlackRock, Larry Fink, a été reçu à l’Élysée dès juin 2017. En octobre 2017, les dirigeants de BlackRock et de 21 autres gros gestionnaires de fonds sont de nouveau reçus dans les salons de l’Élysée, alors que le gouvernement engage un vaste plan de privatisations (Française des jeux, ADP…)

La filiale française, qui date de 2006 et qui gère 27,4 milliards d’euros de fonds confiés par des clients français, est dirigée par une figure bien connue du monde de la politique et des affaires : Jean-François Cirelli, ancien conseiller économique de Jacques Chirac à l’Elysée. Il va être élevé au rang d’officier de la Légion d’Honneur par Emmanuel Macron.

En 2013, déjà, au moment de la réforme sur le financement des retraites du gouvernement Ayrault, l’ex-directeur général de BlackRock France l’affirmait clairement : « Les retraites, c’est un thème clé pour BlackRock »

BlackRock figure donc mécaniquement parmi les principaux bénéficiaires des très importants dividendes versés par les entreprises du CAC 40 chaque année. Blackrock, possède plus de parts dans les entreprises du CAC40 que… l’État Français.

Black Rock est au forum de Davos en train de réfléchir comment il va encore s'engraisser

Les retraites, c'est un problème bien plus global à résoudre que les retraites elles-mêmes, il faudrait prendre la chose sociale dans son entièreté.

Le problème actuel des retraites, c'est une vision économique qui, comme dit plus haut est là pour faire main basse sur l'argent public et le redistribuer au sommet, plutôt que l'inverse.

Tout est fait par les gouvernants pour assécher les fonds en amont pour la "bonne cause"-----> " combattre le chômage" (ahaha!), (CICE chez vous, histoire d'alléger l'impôt général et autres entourloupes organisées par les squatteurs du pouvoir).

On a crée une pandémie quasi volontairement (on sait que les "vaccins" étaient déjà prêts bien avant 2019...), à la suite un confinement et pour une fois encore feindre de ne pas laisser tomber le monde, agiter la planche à billets (et aujourd'hui, retour d'inflation galopante...). Et dette plus abyssale encore.

Les promesses de remboursements de la Macronie au FMI, BCE, L'UE, les grosses firmes privées mondiales (BlackTRock, mac Kinsey, Vanguard?) et la main de ma soeur dans la culotte d'un zouave, étaient que ce monde se sucre en contre-partie sur les retraites... Et le reste à venir...

Oui tout est et sera toujours dû à un endettement colossal (bientôt les armes à l'Ukraine, après le prix des masques, des tests PCR et des "piquoûzes" par millions), creusé volontairement par des saloperies assermentées, dont aucun pays ne pourra rembourser la somme, à peine les intérêts de temps en temps.

Tout ça ne vaut-il pas quelques sacrifices?

Que la "fille de l'Eglise" (mais y a pas qu'elle, en Europe, hein...) se retrouve à poil est la garantie de cette dette.
Macron s'y est engagé.
Il ne lâchera donc RIEN.
Sinon il est grillé pour ses "obligés" de l'ombre à gros portefeuilles mais à froids desseins.

Quelle tristesse!

Intéressant l’analyse de Emmanuel Tod sur différents sujets notamment le conflit Russie/Ukraine. Une approche anthropologique et démographique du conflit.
La 3ème guerre mondiale a commencé, son issue est incertaine …

Lancement de ChatGPT le 30/11/2022 (midi par défaut)

L'apocalypse des branquignols

La chance de l'Europe ( et de l'UE, car c'est pas la même chose, qui nous mène royalement au casse-pipe pour des raisons faussement "morales", comme si ces gens en respectaient une...), c'est que Poutine n'est justement pas Hitler sinon la cause serait déjà entendue.

Enfin jusqu'ici, car portée par des cons bellicistes comme on a rarement vus (entièrement rangés sous l'aile protectrice du monstrueux Sam qui est à la manoeuvre dans l'ombre depuis le début), au détriment des peuplades elles-mêmes, je pense qu'une troisième guerre mondiale arrive gentiment. Vu qu'on fait tout pour.
Et en Europe "comme de bien entendu". C'est le but.

Suffit de voir les éditorialistes en ligne goguenards et malsains dans leurs spectacles quotidiens, bien au chaud, à agiter le chiffon.
Du style:
- Et donc Monsieur l'ex ambassadeur, et si on envoie des chars pour combattre l'armée russe, on devient béligérants? On va devenir "ennemis de la Russie"? Et des Leclercq aussi? Et si on envoie des zommes, i' va bouger contre nous, les français, le Vladou?"

L'Europe "profonde" semble s'en foutre de toute façon. Peu concernée. Elle semble déjà morte. Il n'y a plus de négociateurs pour la paix, à hue à dia on manifeste bien sûr, à raison, pour les pensions ici, par là pour la reconnaissance des effets secondaires du vaccin Pfizer & co, encore ailleurs contre l'inflation et la montée des prix du gaz et de l'électricité mais jamais contre la cause elle-même.
Pas de bobos ni de babas dans les rues pour la paix, comme "au bon vieux temps" des manifs contre l'Otan et le nucléaire, non, mieux, c'est les écolos allemands avec les libéraux qui ont poussé les conservateurs à envoyer des chars en Ukraine.

Une écologie dans la main "verte" de ceux là ne peut confiner qu'à la fumisterie généralisée. On leur fera bouffer leurs voitures électriques, leurs trottinettes à la con, le gaz de schiste US et le reste de taxes carboniques à la petite cuillère, si jamais on survit.

La RTBF lance des sondages, semblent-ils, "pour ou contre des chars européens en Ukraine" qui récoltent un maximum de pour, sera la première à nous annoncer la guerre mondiale le jour même, entre deux publicités pour Qooker, dans une alerte rouge à tendance hivernalement orageuse.

"A quoi bon finalement faire long feu dans ce monde d'abrutis?"
C'est ça LA question que je poserais moi à l'"émission" QR.

https://www.lalibre.be/international/europe/guerre-ukraine-russie/2023/01/25/la-russie-menace-les-chars-occidentaux-vont-bruler-sils-sont-livres-a-lukraine-4UHTYV3XBRCAXAPTZCZUIE7XTI/?fbclid=IwAR0K8GAp9FfTxZoDTtAmZSTFW4p82F3XrzrkzPiOWqrbUWxhFh606YwtfBI

Caligula et ses sbires me fouttent la gerbe et que sur son à sa PV en M8 lui donnent l'angoisse de son irresponsabilité

En ce temps de débats de réforme des retraites, un sujet de fond écarté des débats : la valeur travail.
Invitation au théâtre avec cette pièce qui traite du sujet avec beaucoup de profondeur et d’humour.
Éloge de l'oisiveté » est aussi une flânerie joyeuse à la découverte des routes parallèles empruntées par ceux qui, de tout temps, échappèrent au dogme de l'activisme. Et si l'oisiveté nous mettait sur la voie d'une société plus juste favorisant l'épanouissement de chacun ?
« Il existe deux types de travail : le premier consiste à déplacer une certaine quantité de matière se trouvant à la surface de la terre ou dans le sol; le second, à dire à quelqu'un d'autre de le faire. » (Bertrand Russell)

Oui, c'est vraiment excellent et drôle.

Je ne suis pas souverainiste, mais je reconnais que Philippe Séguin, gaulliste social avait vu juste sur certains points du fonctionnement de l'Union Européenne.
Cet article pose la question sortir de l'UE, et revient sur le discours et les idées de P. Séguin. Mais son héritage politique, le
« souverainisme » est aussi souvent le lieu d’un confusionnisme qu’il s’agit de clarifier.
"Il mobilise la souveraineté nationale, là où seule la souveraineté populaire nous intéresse réellement, ce qui implique d’aller beaucoup, beaucoup plus loin qu’un simple démantèlement de l’Union Européenne".
https://www.frustrationmagazine.fr/sortie-de-lunion-europeenne/

De mon point de vue, le gaullisme en général n'est pas à proprement parlé du libéralisme. Il a été historiquement en grande partie l'inverse du libéralisme. critiquer Philippe de Seguin sur cet angle-là paraît du coup d'ores-et-déjà biaisé et même manipulatoire.

Intéressant. Voici un exemple de souverainiste de gauche (qui défend le travail au moins).

verveine a écrit:

Je ne suis pas souverainiste, mais je reconnais que Philippe Séguin, gaulliste social avait vu juste sur certains points du fonctionnement de l'Union Européenne.
Cet article pose la question sortir de l'UE, et revient sur le discours et les idées de P. Séguin. Mais son héritage politique, le
« souverainisme » est aussi souvent le lieu d’un confusionnisme qu’il s’agit de clarifier.
"Il mobilise la souveraineté nationale, là où seule la souveraineté populaire nous intéresse réellement, ce qui implique d’aller beaucoup, beaucoup plus loin qu’un simple démantèlement de l’Union Européenne".
https://www.frustrationmagazine.fr/sortie-de-lunion-europeenne/

Cet article me semble un peu tordu de mensonge ou d'incompétence, je laisse le choix aux autres intervenants du verdict, je ne suis pas un pro européen, mais expliquer que la politique monétaire européenne a conduit à la déflation, c'est très mal connaître le sujet, et pour cause, nous sommes en pleine période d'inflation au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, l'auteur doit vivre dans un autre monde pour écrire une ânerie pareille, Draghi a fait fonctionner la planche à billets comme jamais dans l'histoire (l'arme nucléaire monétaire, le "quantitative easing"), Lagarde a bien repris le flambeau, car avec une inflation à plus de 8% en zone Euro, la BCE prête autour de 3%, c'est de la moquerie bien pesante pour tous les ménages, y compris pour ceux qui n'ont pas d'épargne, car si Lagarde n'avait pas joué de son pipeau avec l'inflation passagère, un certain nombre de personnes ne serait pas à se serrer la ceinture pour pouvoir juste manger.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mario_Draghi

"Le 24 juin 2011, Mario Draghi est formellement nommé par les dirigeants membres du Conseil européen à la présidence de la Banque centrale européenne. Il succède à Jean-Claude Trichet le 1er novembre 2011.

Dès son arrivée à la tête de la BCE, il annonce une baisse des taux d'intérêt d'un quart de point, mesure saluée par les marchés financiers.

Mario Draghi s’exprimant au Parlement européen à l’occasion du 20e anniversaire du lancement de l’euro.
Il engage en 2015 un bras-de-fer avec le nouveau Premier ministre de Grèce, Aléxis Tsípras, élu sur un programme anti-austérité, afin de le pousser à se conformer aux recommandations de la BCE.

Le 6 septembre 2012, il annonce un programme illimité de rachat de dette des pays de la zone euro ayant du mal à se financer sur les marchés.

Le 10 mars 2016, il annonce la baisse du principal taux directeur de 0,5 % à 0 %, ce qui signifie que la BCE prête dorénavant gratuitement aux banques. Cette annonce s'accompagne d'un ensemble de nouvelles mesures visant à dynamiser l'économie européenne : baisse du taux de dépôt, augmentation du rachat mensuel de dettes publiques, plus de prêts aux banques assortis de taux négatifs progressifs, et rachat des obligations d'entreprise. Sa stratégie implique que la BCE n'utilise plus le taux de dépôt négatif pour équilibrer l'euro.

Son mandat, non renouvelable, se termine le 1er novembre 2019. Christine Lagarde le remplace."

https://fr.tradingeconomics.com/euro-area/inflation-cpi

https://www.ecb.europa.eu/press/pr/date/2023/html/ecb.mp230202~08a972ac76.fr.html

Ce n'est pas l'Europe qui fout tant le bazar, c'est pour moi comme une excuse, c'est la mondialisation, et sa création est le fruit d'une volonté mondiale dont le contrôle ne serait pas si aisé que cela pour une nation dépendante d'importations comme la France, je vous renvoie à la balance des paiements française qui est une véritable catastrophe.

En France, l'argent a coulé mais n'a ni fait l'objet d'investissements intelligents, ni de bonne gestion.