Rappel du premier message :

Suis convaincu qu'il va falloir se débarasser de nos élites qui avec la fin du système financier qui va se fracasser vont tout faire pour limiter les réactions générales.

Autrement dit le système qui par essence veut se maintenir à tort et à travers car il fait l'affaire de quelques happys fews, est et sera obligé de devenir totalitaire ou "policier" pour contenir les foules insatisfaites surtout si on veut ensuite leur asséner l'argent numérique pour solde de tout compte...

Ecouter ce type, ça vaut le coup. Fera pas trop bon d'être européen demain, si on ne réagit pas assez vite ...

La misère c'est plutôt une population qui ne peut plus vivre comme elle le désire.


"Le discours victimaire me rend complètement dingue"

Remedios,
bien évidemment qu'il y a des problèmes. Une fois de plus si on refuse de comprendre les causes de cette situation, on ne peut la comprendre. Si on pense régler ce problème en expulsant des centaines de familles, c'est une erreur. Rien ne sera résolu. Il faut aller vers d'autres solutions.L'analyse de Sophie Blanchy est intéressante.

"L’ethnologue Sophie Blanchy, directrice de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), spécialiste des sociétés comoriennes et malgaches, rappelle l’histoire ancienne de la migration et sa nécessité dans des territoires insulaires sans ressources.

Interview article Le monde
Quel regard portez-vous sur l’importante opération d’expulsion des migrants comoriens en situation irrégulière lancée à Mayotte par le gouvernement français ?

Sophie Blanchy : Le gouvernement choisit de répondre par la force et la destruction à une situation migratoire jugée intolérable et incompatible avec le développement de Mayotte. Mais il a face à lui une seule et même population. S’agissant des Comoriens à Mayotte, il est difficile pour moi de parler de migrants étrangers. Ces populations, qu’elles soient nées à Mayotte, à Anjouan ou à Grande Comore, partagent la même langue, pratiquent la même religion, ont la même conception de la parenté, se sont souvent mariées et continuent de se marier entre elles. Rien ne les distingue si ce n’est que certaines se retrouvent sur ce territoire avec la nationalité française et d’autres pas.

La voie qui consiste à ériger des murs, des frontières, me semble dès lors peu tenable. Dans un espace insulaire doté de peu de ressources, migrer a toujours été une nécessité. Mayotte attire parce qu’elle est aujourd’hui mieux dotée, comme l’était Madagascar pendant la période coloniale. Le travail des Comoriens permet un transfert d’argent vers les autres îles, mais il est aussi un rouage essentiel de l’économie de Mayotte où le secteur informel demeure important.

Paris affirme répondre à une demande des Mahorais qui mettent en avant une hausse continue de la délinquance et de la criminalité.

C’est une réalité, mais elle n’est pas le fait des seuls Comoriens. 80 % de la population est pauvre à Mayotte. Des Mahorais sont pauvres, déscolarisés, délinquants… Mayotte est le département le plus pauvre de France avec une dotation par habitant trois à quatre fois moins élevée que dans l’Hexagone. Le problème est celui du retard de développement de cette île dont la population n’est pas plus importante que celle d’une ville moyenne de 350 000 habitants, mais à laquelle l’Etat ne donne pas des moyens conformes à son statut de département.


Lundi 24 avril, les Comores ont refusé l’accostage d’un navire transportant une soixantaine de personnes à Anjouan. Mais des expulsions ont régulièrement lieu vers cette île, la plus proche de Mayotte. Que deviennent ces personnes une fois arrivées à Anjouan ?

Elles se regroupent pour la plupart dans les faubourgs de Mutsamudu, la capitale d’Anjouan. L’expulsion est vécue comme un échec, une honte, qui les empêchent de retourner auprès de leur famille. Souvent, elles attendent de pouvoir repartir pour poursuivre leur rêve migratoire. Cette migration est celle des petites gens, de ruraux ou de citadins. Des personnes qui ont toujours été écrasées par les systèmes économiques et politiques en place, y compris le système colonial. Et cela est particulièrement vrai à Anjouan où les deux principales sociétés coloniales s’étaient approprié toutes les terres ne laissant rien aux villageois pour les obliger à devenir des ouvriers agricoles.

Ces populations fuient aussi un pays qui leur offre peu de perspectives…
Oui, les Comores restent un Etat fragile. Il ne faut pas oublier qu’il n’y a pas si longtemps [1997] Anjouan et Mohéli ont voulu faire sécession avec Grande Comore. La centralisation de l’autorité et des services à Moroni, la capitale, reste une source de conflit. Les deux grandes îles, Anjouan et Grande Comore, sont en rivalité tandis que Mohéli fait figure de perdante. Au sortir de cette crise de sécession, le pouvoir a été accordé de manière tournante à un représentant de chacune des îles, ce qui était une avancée. Mais le président Azali Assoumani a mis fin à cette parenthèse. La démocratie n’est plus qu’une apparence.
Mayotte, elle, a choisi sa solution en restant dans le giron de la France. Une partie de ses élites – responsables politiques, fonctionnaires – est issue de populations venues de l’île malgache Sainte-Marie à la fin du XIXe siècle. Elles n’avaient aucun intérêt à se rallier aux élites comoriennes plus anciennes, et face auxquelles elles n’étaient pas en position de force. Les Mahorais ont toujours été considérés avec un certain mépris par les groupes dirigeants de Grande Comore et d’Anjouan. Le rattachement à la France a donné à Mayotte un autre destin, mais au prix d’une rupture croissante avec son environnement.


M. Assoumani, fort de multiples résolutions des Nations unies, réclame la restitution de Mayotte aux Comores. N’est-ce pas une revendication de pure forme ?

C’est un discours politique incontournable pour un dirigeant comorien et il est fondé, compte tenu de la façon dont l’indépendance de Mayotte a été accordée. Est-ce de pure forme ? Quoi qu’il en soit, tout le monde a conscience que la situation actuelle est une aporie et ne peut être définitive.

La solution passe-t-elle par une approche régionale du développement ?

Les Comores ont toujours été une colonie négligée. Et la France a été aussi peu active dans la période postcoloniale. Même au temps d’Ahmed Abdallah Abdéremane [1978-1989] où elle faisait ce qu’elle voulait aux Comores, l’aide n’a jamais été suffisante. Ensuite, elle a quasiment disparu et les programmes qui demeurent ne sont que du saupoudrage.

Il faudrait certainement une vraie politique de coopération mais cela a un coût. Il ne faut pas non plus ignorer les difficultés sur lesquelles bute la mise en œuvre de telles actions quand les dirigeants des Comores raisonnent avant tout en fonction de l’intérêt de leur communauté et non celui du pays.

Si ton propos est de dire que Mayotte doit redevenir Comorienne, pourquoi pas. Si ton propos est de dire que l'immigration illégale doit être négligée et que les autorités ne doivent pas agir pour que la population retrouve leur paix, là je suis en désaccord.
Fin du débat et de la parenthèse.

J'aime beaucoup la députée de Mayotte qui passe sur CNEWS en ce moment. Je ne me souviens plus de son nom.
Ces pauvres Mahorais vivent l'enfer, les écoles grillagées, des membres coupés à la machette par des mineurs, tous ces crimes ! Les femmes viennent accoucher et hop ils sont Français et après elles bénéficient du regroupement familial. Non non et non c'est une situation insupportable pour les Mahorais. Ne pas oublier que Mayotte est une ile aujourd'hui submergée.
L'idéologie est fatigante, écoutons la population.

Le Pen avait remportée les suffrages aux présidentielles à Mayotte.

Citation :

Les femmes viennent accoucher et hop ils sont Français et après elles bénéficient du regroupement familial. Non non et non c'est une situation insupportable

Et voilà surgissent à nouveau des relents racistes.C'est dur de les faire taire. Au moins, on connait tes affinités.

Quel argumentaire ! Bravo mais ça glisse ma chère !

...et puis le racisme alors que défends les gens de Mayotte ça me fait doucement rire. Ce sont des faits.
Quand a mes affinités tu n'en sais rien, et quand bien même, je relate seulement des faits des dernières élections pour ce département Français.

vervaine

écoute, je n'ai absolument rien contre toi, mais j'en ai vraiment, mais vraiment assez de ses accusations "racisme ceci racisme cela".

Je pense que certain partis (de gauche) aime bien jouer les "colons sauveurs" en voulant "materner les petits bazanés", mais je trouve ça encore pire que "les racistes assumés"

Le problème n'est pas la couleur de peau des gens (que ce soit des polonais blanc, ou des comoriens noir le problème ne change pas) . Je pense que les français (de toutes les couleurs) sont fatigué de payer des taxes, des imports et autre, sans avoir les infrastructures qu'ils sont sensé financer, et que l'attention soit plus porté vers des étrangers instrumentalisés par des paternalistes fétichiste de la misère.

Glauque,
Désolée, mais je ne sais pas ce qu'il te faut pour ne pas comprendre, cela me semble bien naïf de ta part. Je pense que tu as loupé des fils de discussions précédents, je n'ai pas été la seule à noter des propos haineux de cette personne.

Je ne pense pas faire preuve de naïveté.
Apres il est sur que je n'ai pas suivie les 18 pages de ce poste, et peut être j'ai loupé quelque chose.

J'ai pas envie de refaire un débat sur la définition du racisme, je vais seulement répondre sur ce qui a été écrit sur ta citation ...

Oui, certain profite du système, c'est un fait !


Alors oui, il ne faut pas généralisé, mais il ne faut pas non plus naïvement faire comme si ça n'existait pas.

Sans compter les "magouilles" des élus qui donne des passe droit a certaine personnes de certaine origine pour accroitre leur électorats en jouant sur la carte communautaire.

Apres, R.Margot, je pense que tu te trompe.
Si je me souvient bien, quand les deux parents sont étranger, la nationalité française n'est pas donné automatiquement.
A la naissance du bébé, il serra de la nationalité de ses parents.

Je sais aussi qu'aucun pays africain n'accepterais ce qui se passe actuellement a Mayotte.

Puisqu’il faut parfois parler de soi, ce qui pour moi a peu d’importance, ces quelques lignes rapidement, j’attends mes petits enfants.

J’ai passé ma vie à aider les autres et pour le respect des droits fondamentaux et j’en suis heureuse. Vous ne pouvez imaginer la force intérieure que cela apporte. J’ai rencontré toutes ces femmes, ces hommes, ces enfants subissant cette misère ici et ailleurs. Je les ai soutenus et défendus leurs droits dans plusieurs pays d’Afrique, dans les favelas de Sao Paulo, et dans les quartiers de france où on les a relégués. Ils ne mangent pas à leur faim, ils n’ont pas de toit et/ou risquent de le perdre, ils survivent comme ils peuvent.

J’ai toujours pensé que chaque être humain sur cette planète devait avoir accès aux droits fondamentaux, se nourrir, avoir un toit, l’accès à l’éducation. La vie n’aurait pas de sens. C’est pourquoi, je me suis engagée à les défendre avec mes compères des associations. Les responsables, ce ne sont pas eux, mais ceux qui captent l’ensemble des richesses et ils sont de plus en plus nombreux sur cette planète. Alors oui, il ne suffit pas d’aider mais c’est aussi un combat : lutter pour de véritables droits humains. Ils ont été décrétés mais ils ne sont pas respectés. Nous ne pouvons plus accepter que des individus meurent en mer parce qu’ils doivent quitter leurs pays. Ils sont de plus en plus nombreux. Ces questions devraient nous interroger : sommes nous encore humains ?

Je ne sais pas mais là il y a quelque chose qui cloche. Nous sommes dans une crise de l’AMOUR, tout simplement. Y Oeuvrer suppose une liberté résolument responsable, absolument attachée, pour son propre épanouissement, à la justice et à l’égalité. Or, celle-ci ne peut se construire solidement et durablement que fondée dans l’expérience d’intériorité que peut chaque conscience, pour peu qu’elle accepte le risque de la dépossession et du partage. Telle est la spiritualité, dans sa nature éminemment politique.
Alors oui, je réagis lorsqu'on stigmatise les pauvres.
Bonne journée à tous.

Ce dernier rectificatif en rapport au sujet.
Ce sursis obtenu par les habitants qui veulent résister à la brutalité de l’État met en évidence que la pauvreté et l’habitat indigne ne frappent pas que des immigrés, clandestins ou pas, mais aussi des Mahorais reconnus français. Il n’en reste pas moins que ce distinguo de nationalité n’existe que pour l’administration française, car tous sont des pauvres de culture comorienne, contraints de vivre sans électricité ni eau courante dans des bidonvilles qu’ils ont eux-mêmes construits avec les moyens du bord.

@Glauque En venant accoucher à Mayotte elles obtiennent le droit du sol ! Darmanin à voulu durcir la loi mais ce n'est pas suffisant.

«Le droit du sol à Mayotte n’est pas le même qu’ailleurs en France, il a été réformé en 2018. Depuis cette date, pour qu’un enfant naisse Français, il faut que l’un de ses parents réside depuis au moins trois mois sans discontinuer à Mayotte. Gérald Darmanin aimerait faire passer ce délai à un an, par le biais de sa nouvelle loi immigration»

L'opposition demande la suppression du droit du sol mais le droit du sang.
Je n'interviendrai plus sur ce sujet, je viens ici pour l'astrologie pas pour me faire insulter parce qu'on n'est pas d'accord.

R.Margot

Tu as raison, désolé pour cette erreur de ma part, je pensais que le droit métropolitain était le même que le droit mahorais.

Vervaine,

Nullement on ne te demande d’arrêter d’aider les gens, bien sûr qu’on vie dans un monde pourris et inégalitaire.

Citation :

J’ai toujours pensé que chaque être humain sur cette planète devait avoir accès aux droits fondamentaux, se nourrir, avoir un toit, l’accès à l’éducation.

Je pense qu’on est toute les deux d’accord sur le fond, mais pas sur la forme (la façon en tout cas de supprimer l’inégalité).

Je ne pense pas que ce soit la solution d’encourager les trafics d’être humain en méditerrané (ou autre mer et océan), ni de faire miroiter le « paradis occidental » aux différentes populations. Je pense que déjà que si l’état français (accompagné de l’UE et des US) ne serrais pas aussi suprématiste envers d’autre pays, la situation politique serrait plus favorable a ce que les populations ne tentent pas de se faire tuer pour des chimères.

Ça me brise le cœur également de voir que des personnes sont instrumentalisées par le jeu de l’échiquier politique que ce soit de la part des migrants, ou des personnes qui souhaitent les aider.
Alors, aider les populations sur place n’est pas vraiment le débat, bien sûr que c’est important, mais la question actuelle de la France, est plutôt de voir comment gérer au mieux l’immigration.

Je n'ai absolument pas réponse a tout, ni des solutions parfaite sous mon chapeaux.

Citation :

dans les quartiers de France où on les a relégués

Cette phrase me dérange un peut et on l’entends partout …
Je ne vais parler que des quartiers d’ile de France car c’est ce que je connais de mieux, mais tu n’as pas idée de l’argent qui a été injecté dans ses quartiers.



En France, ce sont surtout les petites municipalités de « la France profonde » qui sont abandonné. Pas d’accès au soin, des écoles qui tombent littéralement en ruine, pas d’infrastructure (hôpital, crèche, accès aux personnes à mobilité réduite absente, pas d’université, pas de planning familial, … et la liste est longue).

Il y a aussi des personnes qui, nouvellement retraité, finisse par devenir SDF car il n’arrive plus a payer leur loyer. Est-ce qu’une personne qui a quotisé tout sa vie et qui est considéré comme personne vulnérable ne serait-elle pas prioritaire face à un primo arrivant ? Les faits sont : non.

Je ne sais pas comment l’état Français peut prétendre à aider des migrants, quand dans ses murs se trouve une population mal logée, mal soigné et mal considéré.

Alors, je comprends que tu souhaites aider la planète, mais accueillerais tu chez toi une personne que je t’impose ? Je pense que oui, et je pense que tu auras cœur à aider cette personne et que tu l’aideras bien. Mais si après cette expérience, c’est 20 personnes que j’accueille chez toi (en sachant que la majorité ne serrons pas que des femmes et des enfants) ? Je pense que le résultat ne sera pas le même.

On peut réguler l’immigration afin de pouvoir mieux intégrer (surtout économiquement) les personnes, mais on ne peut pas accueillir tout le monde en même temps, et d'imposer a la population des personne traumatisé par leur parcourt migratoire.

L’amour, c’est de la discrimination

Quand on aime quelqu’un, une cause on ferra tout pour cette personne, des choses qui lui serrons uniquement réserver, et qui serrons parfois déraisonnable.

Quand un médecin doit opérer quelqu’un, il ne doit pas avoir d’affecte et rester concentrer pour pouvoir sauver la vie de son patient.

Quand un psychologue aide une femme victime de viole, il doit avoir un recul nécessaire, car s’il se met à pleurer avec elle, ça ne l’aidera pas dans sa thérapie.

Ce monde ne manque pas d’amour, il manque de logique et de pragmatisme.

Encore une fois, je pense que sur le fond nous partageons les mêmes préoccupations Vervaine.

Je suis grossomodo d'accord avec tout ce qu'a dit Glauque.

Pour répondre à Verveine, le racisme anti-riche n'est guère plus intelligent que le racisme anti-pauvre. C'est grâce à la richesse qu'on créé de l'attractivité, qu'on créé des emplois, qu'on créé des choses de valeur qui inspirent du respect. Tu me fais penser à ces gens qui, parce qu'ils sont de gauche n'aspirent qu'à emmerder des entreprises prétendument parce qu'ils se feraient de l'argent. Or comment fais-tu pour sortir un territoire entier de la pauvreté ? L'empathie pourra t'aider pour une ou quelques familles, pour des gens en quête de repère et de soutiens mais jamais un territoire entier.

Il faut un territoire productif, galvanisé par des idées, qui veut payer ses impôts et ainsi, la force publique ou (parfois) le privé peut créer des structures de formation publique. Ce sont les seules cercles vertueux contre la misère, nous n'en connaissons pas d'autres.

Quand je contemple les craintes américaines sur les banques régionales et la nécessité réclamée de garanties sur les dépôts auprès des pouvoirs publics, je me dis que les dépôts ne doivent plus se situer dans les banques privées, au regard aussi de la dette des états.

Pour celles et ceux qui considéreraient que la propriété est le vice originel, il aurait fallu supprimer le mariage plutôt que de le généraliser, comme un premier pas de conscience, celui du plus simple, avant l'abolition de la propriété privée.

Excellent !

Depuis toujours..."rien de nouveau sous le soleil"...

J'aime les comités nationaux d'éthique.
Il y en a pour tous les goûts, IA et compagnie.
Il y a même des sommets internationaux.

J'aaadooorrrre.

J'adore voir ce monde totalement paumé.

Totalement paumé car il a cru, a laissé faire et ne sait plus reculer. Dans le fond ce monde politicien est son reflet.

Son reflet de petites lâchetés permanentes, de petites délégations avec cette foi chevillée au corps pour tout égoïste profond de penser que sa "démocratie représentative" (qui est un oxymore) prendra toujours bien soin de ses intérêts. Après tout, il bosse comme un troupeau d'ânes pour ça et paie ses impôts, ça vaut bien une confiance aveugle, non?

Et bien non.

Il reste évidemment le cynisme (et c'est déjà ça) pour donner le change, un échappatoire et Craie est un spécialiste. J'en suis un autre dans un autre genre. Un fond "bourgeois" sans doute.

En réalité tout est normal. Ça fait trop longtemps qu'on a vendu(?) nos âmes au fric et il a gagné.

Les gens qui nous représentent mentent comme des arracheurs de dents depuis quasi toujours mais là, il va falloir passer à la caisse. On les a laissé faire, par "foi" imbécile, par facilité (délégation), incapables de faire ce que le petit peuple islandais (dont personne ne parle jamais) a été capable de faire. Pour arriver où? J'en sais même rien.

Perdus, noyés dans la politique politicienne de ces canailles moralisatrices, qui de gauche à droite n'ont jamais pensé qu'à leur ventre, à leur prébendes, à leurs colossales pensions dans un spectre totalement limité... Rien d'autre.

Mais tous ces lâches dont on fait partie, on fait des enfants à foison.

Pleurez doux alcyons, pleurez!

Si tant est qu'il vous reste une goutte que le réchauffement clitorique ne vous assèchera pas dans une ultime vidange, avant de vous la faire payer.

  Maldoror  complètement d’accord… ce monde est fou… nos dirigeants sont cyniques, psychiatriques… et les « ânes » sont nombreux enfermés dans leurs peurs, leurs rhétoriques qu’ils ont bien appris et récitent, aux discours leur donnant bonne conscience, poudre de perlimpinpin… À Vomir 🤮 
J’essaye de me couper le plus possible des médias car en bon bélier sagittaire, je mettrai l’étincelle..
En tout cas, je lis régulièrement « ta prose » ,notre pensée est commune et forme déjà un egregore dont je sens la force mentale, la force tout court ! Des événements vont avoir lieu !  Merci aussi à Craie..
La période pluton  est lourde je pars en famille pour l’enterrement de ma tante, du lourd émotionnel… au plaisir de te lire Maldoror 

Merci à toi et sincères condoléances pour ta tante, Célestine.
Courage pour tout.

@Maldoror à écrit :

Les gens qui nous représentent mentent comme des arracheurs de dents depuis quasi toujours mais là, il va falloir passer à la caisse. On les a laissé faire, par "foi" imbécile, par facilité (délégation), incapables de faire ce que le petit peuple islandais (dont personne ne parle jamais) a été capable de faire. Pour arriver où? J'en sais même rien.

Perdus, noyés dans la politique politicienne de ces canailles moralisatrices, qui de gauche à droite n'ont jamais pensé qu'à leur ventre, à leur prébendes, à leurs colossales pensions dans un spectre totalement limité... Rien d'autre.

Mais tous ces lâches dont on fait partie, on fait des enfants à foison.
Pleurez doux alcyons, pleurez!

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Et ben moi, je me demande "bien" si :
Le monde de demain sera rempli de bonnes intentions....ou pas !!!

glacette a écrit:

Et ben moi, je me demande "bien" si :
Le monde de demain sera rempli de bonnes intentions....ou pas !!!

Il suffit d'avoir chacun de...bonnes intentions afin de les perpétuer....