Rappel du premier message :

Merci Navane, ton poème est très beau. Il va bien avec ton avatar

(Tu voulais dire résonne dans ta deuxième ligne?)

Ton poème résonne au plus profond de mon être…tu ne crois pas si bien dire, en le partageant

Tu ne l'attendais pas, celui-ci... N'est-ce pas, cheliel ? C'est joli ce qui l'entoure, ce que l'on a fait.
En lisant ton message, ce sont mes yeux qui se sont embués d'émotions. Déjà à l'écriture, ça venait me chercher. Tu venais me chercher.
Merci à toi de me l'avoir inspiré sur le nuage


Contente que ce voyage t'ai plu. Un kiss tout doux, Maldoror


Oups... Oui, c'est bien "résonne", Milacik. Ravie que ce poème t'ai touchée au loin. Merci pour ton appréciation et pour la magie que tu as insufflée en image. Il est top, cet avatar

Que n'ai je lu plus tôt et grand ravissement tous ces textes agrégés de pépites,

Navane, Cheliel, Chaeclina mille bravos !

Fasse qu'Erato et Calliope vous accompagnent aussi longtemps que leur esprit demeure,

Merci et au plaisir de te lire à nouveau, ENYLEVED

Merci Navane

Ces derniers temps, a renvoyé la gracieuse à son boudoir, verrouillé la porte en lui intimant l'ordre de se reposer les méninges,

Puis il a dézingué les plateaux de la et pour finir, s'est tiré une balle dans le pied, certes par maladresse, mais aussi à force de trop en faire,

Bilan : une endormie des neurones poétiques et un écloppé du pied droit,

Et ? nous dirons que mon s'est encore embourbé dans la bouse

Un sacré trio !

Plaisanterie mise à part, l'inspiration est en stand by,

De ce manque d'inspiration, tu as fait une scénette agréable à lire, ENYLEVED

Il est vrai que j'ai passé plusieurs mois à m'épuiser, avec joie et satisfaction, tant au jardin qu'à la maison et au travail outre diverses démarches requérant une bonne dose d'énergie,

J'escompte sur le retour du soleil pour gagner en bonne humeur ( ici nous sommes à 19 ° nuageux ! pas un rayon de soleil à l'horizon, de quoi s'interroger sur la saison )

@Navane ,



Merci pour les althéas, ce sont des arbustes très faciles d'entretien et prolifiques jusqu'à l'automne plutôt rustiques,

dans les rouage tuant la foi,
en quoi que cela soit,
me voila oui me voila monde pouris,
vos être ne sont que du mensonge à vous même,
pour toute la noblesse n'oublie pas que tu fit,
et tu pourra le dire, "je t'aime",
votre cohérence n'est qu'illusion,
car vous ne pouvez être bon,
doué, émanent et solidaire,
car l'autre ne vivrait que l'enfer.

Composée il y à un mois et demi

j'ai vécu la même chose !!
ça m'aide à mettre de bon mots sur un vécu exorbitant...
c'est cool que tu l'est mi !

Merci SOUND'n'LIFE.

En fait c'est une chanson et en cliquant sur le titre tu peux l'écouter si cela te dis...

@Cheliel

Bravo tant pour le texte que le chant

âme sensible s'abstenir !!!
véritable, trash, sale.

c'est ça ou ça :

j'i arrive plus,
malin sens plus,
c'est qu'il fut,
et toi tu fuit,
t'a chatte et t'a bite,
n'est qu'un pauvre puits de connerie
ô (oui) tout le monde censé rie !
de ton cerveaux infini fini,
à cultivé que t'a gloutonnerie,
des compliments cacher de ton paris,
que tu arrache comme une sale vorace de bestiole,
sur le dos de "ce qui se programme"
après tout je ne suis qu'une fiole,
"puis ils y à l’expérience de Milgram"
après tout ont parle avec un animal,
"c'est très léger tout ça"

qu'an la belle madame dit,
"la..."
elle hurle de toute la magnificence sucré par la candeurs éblouis de cette noble grandeur de sont magnifiquement lourd derrière :
"maintenant, faudra qu'on t'encule,
un homme avec ces pulls,
est soit faible soit pique bull,
tu ne sera que ce que l'on désire,
pour que l'or puisse passé de ma poche à ce que ma grosse désire.
même toi t'a pas fait pire"

merci pour ce dernier verre.

les miens font le monde.

@cheliel

wow Cheliel ont à de la chance d'avoir un chanteur comme toi ici !
t'a voix est génial et tu t'en serre à merveille !

j'ai aussi un soundcloud avec une seul musique... j'ai du laisser de coté cela pour le moment... si vous le voulez... moins trash que ce que j'ai mi en poème !

Comme je l'ai déjà dit, SOUND'n'LIFE, ce post est ouvert à toutes les plumes, à tous les styles. Ici, c'est vraiment tranquillou. Tu es libre de poster tes créations


cheliel,

Voilà, voilà, y'a pas à dire, le mauve est une ravissante couleur. Joli texte, jolie voix.

Une autre, une autre, une autre...

Sinon, la première chanson postée m'avait touchée au moment de la première écoute.

Merci à tous pour vos appréciations qui me vont droit au cœur.


Navane,

J'ai travaillé sur ça aujourd'hui : Sur un Nuage
Qu'est-ce que t'en penses, j'essaie d'aller au bout ou tu penses que je n'ai pas pris le bonne angle ?

Cheliel, ta voix à des intonations à la Michel Delpech, je trouve.

@Cheliel, c'est superbe ! Le texte est génial et tu as une très belle voix.

Je partagerais bien une chanson ou l'autre qu'il m'est arrivé de commettre, mais par soundcloud notamment, j'ai pas envie que mon nom véritable apparaisse à la majorité.



Bref.

NUITS ECARLATES

Les nuits s’écartent, houleuses, sous le frisson voilé
Jusqu’à ces nuées d’ouate de la voûte lactée
Le soleil, prisonnier par l’antre des ténèbres
Postillonne quelqu’étoile dans l’entrelac funèbre

C’est la vie qui dissout ces languissements fluides
Où les causes perdues embrassent les morbides
Certitudes celées au bandeau de pirate
La clarté, peu à peu, redevient disparate

Point ne sert d’être grand clerc dans ce charivari
De nuances où le clair le dispute à l’obscur
Pour y voir notre âme dont l’inflexion impure

Se plaît à mieux masquer nos espoirs de luxure
Et nos rêves d’enfant à jamais engloutis
Par cette nuit lumineuse qu’on appelle la vie.

C'est typiquement ; je crois.

Je crois que je suis jalouse de vos talents musicaux/écriture

Je me laisser bercer par ta voix et laissée aller aux paroles les yeux fermés, parfois j'ai senti quelque chose que je ne parviendrai pas à décrire... Ha...Comme j'aimerais avoir des mélodies à chanter aussi, mais comme je ne sais jouer de rien...On va laisser ça de côté. Tant pis... Merci en tout cas.

MARYSA


Arpentant le pavement où s’engouffraient des lys

Je revois Marysa aux hanches de gazelle

A la nuque de marbre et à ce teint si lisse

Qu’on eût dit Aphrodite dans une robe d’asphodèles

Elle tapinait bien sûr et pour quelques radis

Du fond de votre enfer à l’ordinaire recuit

Vous faisait entrevoir tout l’or du paradis

C’est qu’elle s’y connaissait pour noyer le biscuit

Mais elle n’était pas contre si de préliminaires

Vous désiriez orner la chapelle de ses sens

Et par surcroît des vôtres, elle n’était réfractaire

Ni avare de son temps compté pour ces affaires

Ni de son corps jeune aux inflexions intenses

Et buvait votre plaisir sans le trouver amer.