Rappel du premier message :

Macron , de moins en moins populaire , la crise est devant nous .Que dit son thème ??

Attention ce fil ne parle que d'astrologie ! Aucunement politique merci .

Maldoror a écrit:

Il faudrait examiner le thème de Brigitte Macron si il pouvait posséder une prédisposition à l'agression sexuelle sur le jeune.

https://www.astrotheme.fr/astrologie/Brigitte_Macron

Le maître d'ascendant Vierge, Mercure en VIII en Poissons, par exemple, et/ou une réception mutuelle Vénus/Mars forte en lien avec Jupiter (le maître de la VIII), la maison X, le Taureau, le Bélier, la IX, le Soleil et la Lune, sur ce forum il y a un sujet sur une sorte de syndrome de la Vierge Folle.

Je n'ai pas de sympathie particulière pour les industriels de l'agroalimentaire, on pourrait apprécier leur disparition, mais ce serait sans compter sur la misère pour leurs salariés, et je sais que certains pourraient dire que les crises sont salvatrices d'obligations à s'adapter, mais c'est là quand même toute l'horreur de nos dirigeants, à prendre des sanctions pires pour leur peuple que pour ceux qui plongent les pays dans la guerre et à ne pas accompagner le changement des moyens de subsistance, surtout quand les prix sont plus que maladroitement indexés sur un moyen de production marginal, soit le gaz, je me dis quelle sainte horreur, nos élites, au moins autant pire que la guerre, Emmanuel brille de son génie financier au service de l'économie française, je crains que le chômage technique finisse en faillites à répétitions.

https://www.francetvinfo.fr/economie/inflation/flambee-des-couts-de-l-energie-800-salaries-du-groupe-cofigeo-au-chomage-technique_5576640.html

https://lessor.org/operationnel/renouvellement-massif-des-stocks-de-grenades-de-maintien-de-l-ordre

en prevision de la suite

Renouvellement massif des stocks

C'est finalement assez terrible de penser que les mêmes contribuent aisément et sans complexe à ce qu'une partie de la population aient des difficultés et à la fois préparer le "fouet" mutilant. Il y a quelque chose d'une forme grave de pathologie. Triste.

Bah non, ça s'appelle la "logique". Sauf que la naïveté ambiante, malgré tous les pieds au fion réels (et pas symboliques) veut continuer à croire à une "real politik" pour le bien commun. L'équation est faussée depuis le début, j'allais dire le débit, puisque cette démocratie est un leurre.

Tout est absolument normal, sauf qu'il convient de sortir des ornières intemporelles et la chute (de la compréhension générale?) ne peut qu'en être plus brutale.

C'est le stupre Capricorne, un fouet Cathédrale.

Cela ne fait que commencer, heureusement que des voix se lèvent.

Macron est un forcené, un forcené ça se déloge » Frédéric Lordon Philosophe, économiste

verveine a écrit:

Cela ne fait que commencer, heureusement que des voix se lèvent.

...ne pas oublier qu'il a eu une 2ème fois, le maximum de ....voix.

Merci Verveine pour la vidéo
Violette, M n'a aucune légitimité !!! 1/5 des Français inscrits ont voté pour lui, le 2ème tour c'est parcequ'il y a eu bcp d'abstentions et un vote par dépit !!
Un choix que bcp regrettent !!

Célestine a écrit:

Un choix que bcp regrettent !!

Regretter un vote pour un type qu'on a eu la joie de connaître en tant que président pendant 5 ans, c'est grave.

Leur main a glissé... Comme celle de Mélenchon quand il s'agit de voter à l'assemblée...

Il ne s’agit pas de focaliser sur Macron, c’est juste un coup de gueule. Des macrons en puissance sont prêts à le remplacer.

C’est notre modèle de société qui agonise. Trop de matière, pas assez d’esprit. Nous assistons à une crise « du sens, nous sommes en carence d’ "âme" ». Nous avons donné priorité à la seule matière, ignorant nos besoins de sens. Le temps est venu de se rappeler que l’homme est composé d’une âme et d’un corps. L’âme est ainsi partout oubliée : elle embarrasse. Pourtant, ne dit on pas communément : ""rendre l’âme." On parle de "grandeur d’âme". Dans le domaine matériel, c’est le principe invisible qui l’anime, un outil ou un instrument. On parle de l’âme d’un violon. L’âme individualise « je vois ton âme dans tes yeux ».
Pourrions nous avec les seules fonctions de notre corps, expliquer nos sentiments les plus intimes : nos élans d’amour, de compassion, de désintéressement, d’amitié, l’amour du beau, le besoin de vérité, la conscience , le désir de communion, l’impression ou la certitude de participer à la vie de l’univers, d’être relié à elle, de rechercher le mystère de notre origine…

Nos sociétés doivent reprendre en compte l’âme humaine, c’est à dire en comprendre les besoins et favoriser son développement. Nous ne pouvons pas vivre et nous épanouir sans échanges avec nos semblables, c’est vrai autant pour l’âme que pour le corps. L’être humain est fait d’aspirations, celles ci ne peuvent pas être seulement comblées par les seuls plaisirs que son corps peut lui proposer.

Nos institutions préfèrent « ausculter » l’indice de consommation des ménages ou celui des valeurs boursières : ce sont nos clignotants de bonne santé ou de malaise social.
Un défi est lancé aux populations, celui de repenser notre mode de vie, de redéfinir ou retrouver des valeurs qui viendront corriger notre matérialisme, notre fuite en avant dans le consumérisme. On ne pourra pas accroître sans fin la production de biens matériels que l’on ne parviendrait plus à absorber, surtout si on continue à creuser l’écart entre les riches et les plus pauvres. Comment est il possible, alors que nous pourrions nourrir toute la planète, nous devenions indifférents à ceux qui meurent en mer, fuyant la misère et les guerres.

Ce sont de grands projets généreux qui ressoudent les populations et contribuent à donner un sens à leur existence. De notre dimension Europe, il nous faut devenir planétaire en nous tournant en priorité vers les pays pauvres, pour les aider dans leur développement sans en faire le dépotoir de nos surplus. Il nous faut sortir de ce seul critère décisionnaire qu’est devenu l’argent, seulement l’argent, seulement la rentabilité financière immédiate. la question du travail et sa raréfaction fait partie des sujets à revoir.
La civilisation uniquement de l’argent rejette une partie de notre être, de notre nature humaine avec en conséquence beaucoup de frustrations dont déroulent certaines violences et maladies.
Place à l’imagination pour le monde de demain.

verveine a écrit:

Il ne s’agit pas de focaliser sur Macron, c’est juste un coup de gueule. Des macrons en puissance sont prêts à le remplacer.

!! le chaos...

Je n'oublierai jamais la police traquant les personnes dans les bois ou sur les plages désertes pendant les confinements.
Je n'oublierai jamais le "n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane", interdisant tout soin précoce, efficace et peu onéreux.
Je n'oublierai jamais les masques tantôt inutiles, tantôt obligatoires même en extérieur, sous peine d’amende, imposés jusque dans les écoles même aux heures de "récré".
Je n'oublierai jamais l'effacement des visages
Je n'oublierai jamais les attestations sur l’honneur contrôlables par les forces de l’ordre, justifiant et définissant nos sorties limitées à quelques motifs.
Je n'oublierai jamais l’exagération des morts qualifiés "covid".
Je n'oublierai jamais les 135€ d’amende pour défaut d’attestation ou promenade seul en forêt pour pouvoir respirer sans masque.
Je n'oublierai jamais les dénonciations des voisins à la police.
Je n'oublierai jamais nos anciens en EHPAD interdits d’hôpital et "terminés" au Rivotril.
Je n'oublierai jamais, une pub audio-visuelle pour inciter à mettre Papi et Mamie dans une autre pièce, pendant le repas de Noël.
Je n'oublierai jamais une vidéo du gouvernement où une grand-mère se retrouve en réanimation après avoir été approchée par sa petite fille.
Je n'oublierai jamais l’interdiction de traitements potentiels et peu coûteux.
Je n’oublierai jamais l’interdiction de prescrire ces traitements.
Je n'oublierai jamais le Dr Michel Cymes, sur les antivaccins covid : "Qu'ils se regardent dans la glace et se disent, oui, je peux tuer des gens aujourd'hui."
Je n'oublierai jamais : "On vous vaccinera de force. Moi je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination". Emmanuel Lechypre, journaliste.
Je n'oublierai jamais : "Les devoirs valent avant les droits." Emmanuel Macron Je n'oublierai jamais : "Un irresponsable n’est plus un citoyen." Emmanuel Macron
Je n'oublierai jamais le contrôle zélé de ce pass par nos semblables en mal d’autorité ou de supériorité. Je n'oublierai jamais l’interdiction des hôpitaux aux malades en cours de traitement non détenteur d’un pass
Je n'oublierai jamais : "Greffer un non vacciné c’est gaspiller un organe." Patrick Evrard, directeur du centre de transplantation de Mont-Godinne à Namur.
Je n'oublierai jamais Michel Onfray comparant les non-vaccinés à "des racailles, des contaminateurs conscients d’avoir le Sida ou des violeurs de jeunes filles."
Je n'oublierai jamais : "Faisons payer l’entrée en réanimation aux non vaccinés." Charles Consigny, chroniqueur
Je n'oublierai jamais l’obligation vaccinale, au 15 septembre 2021, des soignants, des pompiers et des militaires faisant des réfractaires à cette obligation des "suspendus".
Je n'oublierai jamais les soignants applaudis puis suspendus, sans aucune ressource ni indemnité, puisque privés aussi de licenciement.
Je n'oublierai jamais la passivité, la léthargie et l'acceptation du peuple
Je n'oublierai jamais : "Eh bien là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Je ne vais pas les mettre en prison, je ne vais pas les vacciner de force. Et donc, il faut leur dire: à partir du 15 janvier 2022, vous ne pourrez plus aller au restau, vous ne pourrez plus prendre un canon, vous ne pourrez plus aller boire un café, vous ne pourrez plus aller au théâtre, vous ne pourrez plus aller au ciné..." Emmanuel Macron.
Je n'oublierai jamais la fabrique de sous-citoyens dans notre République.
Je n'oublierai jamais la maltraitance infantile par la multiplication des tests rhino-pharyngés invasifs et douloureux imposés par le gouvernement
Je n'oublierai jamais la quantité et la variété d’effets secondaires afférents à cette vaccination, pas toujours reconnus voire tus par nos médias et nos pouvoirs publics.
Je n'oublierai jamais la détresse et la solitude des victimes de ces effets parfois irréversibles.
Je n'oublierai jamais les morts de ces effets secondaires qui se comptent par dizaines de milliers juste dans l’Union Européenne.
--
Et la suite...

Bravo célestine. C'est de toi ce texte?

Si ce n'était lié qu'au covid, ça irait encore. Ce sont les pratiques mafieuses du gouvernement qui sont absolument inacceptables. Par exemple très récemment, la question référendaire concernant la réforme des retraites a été dérangée par des appels anonymes poussant des députés à sortir de l'hémicycle. Tout le monde s'en fout parce que cela concerne des députés du RN ou est-ce qu'il y a encore des gens qui se battent pour des principes et non des étiquettes dans ce pays ?
https://www.google.com/amp/s/www.leparisien.fr/amp/politique/un-proche-est-a-lhopital-ce-que-lon-sait-des-messages-vocaux-recus-par-des-deputees-rn-07-02-2023-MNCKY5OGRFBIDGLLXO2HGKFMDM.php

https://www.youtube.com/shorts/xikqV8oKKjI

Bonjour 
 Cobra j’adore la prière    Et d’ailleurs je commence à la faire dès aujourd’hui.
 Remedios  Caligula a commencé avec le COVID à mettre le chaos et ce n’était qu’un début bien entendu, nous sommes au début d’une manipulation hors norme, d’hérésie et de corruption extrême…fini le temps de la duperie, et je suis dans le combat sans étiquette, encore mardi ou les rangs gonflent et où plus personne n’est dupe de ce que Caligula et ses sbires nous préparent 

 Cher Maldoror le texte n’est pas de moi je serai bien plus incisive néanmoins il dégage une haine ressentie lors de cette période où nous avons été confronté à la connerie la plus monstrueuse jamais vue… je relaye à mon petit niveau le désespoir par l’écriture de bcp de personnes.
 Les garçons

En ce jour de manifestation et avant de la rejoindre, je vous livre des extraits de cet article : Les demeurés de la «légitimité » F.Lordon. En voici quelques extraits, à lire l'article complet.

Le niveau de « la démocratie » n’en finit plus de s’effondrer.
Rien de consistant, sinon un mélange de dénégations et d’antiphrases : « La réforme est juste », « Nous sommes à l’écoute », « Nous entendons les inquiétudes », « Nous sommes attentifs à l’emploi des seniors ».
La pathologie politique de la séparation prend un tour critique dans la Ve République quand des institutions, au naturel déréglées, tombent aux mains d’un individu spécialement déréglé. Toutes les tendances du régime, pourtant observables dès sa naissance, s’y trouvent portées à un point d’aggravation inouï — le point d’abus qui prépare les ruines.
Comme en 1995, comme en 2005 avec le Traité constitutionnel européen (TCE), comme en 2016 avec la loi Travail, comme depuis 2018 avec la suite continue des agressions Macron, comme dans toutes les grandes occasions où son pouvoir est contesté, la bourgeoisie resserre les rangs autour de sa presse. C’est qu’il ne faut pas laisser croître l’idée que de la légitimité et du pouvoir informel pourraient exister hors des institutions et de leurs procédures puisque les institutions et les procédures lui garantissent le pouvoir formel.
Comme l’histoire l’a abondamment montré, la bourgeoisie est prête à maintenir l’exclusivité du procéduralisme légal jusqu’au bout du bout pourvu que ses intérêts s’y retrouvent. Hitler est élu « démocratiquement » et Pétain reçoit les pleins pouvoirs « dans les formes ». Étant légal, tout ce qui s’en est suivi ne devait-il pas être considéré comme légitime ? Voilà où conduit immanquablement le fanatisme de l’ordre légal livré à lui-même sans aucun principe régulateur externe. En 1940, De Gaulle est un hooligan, un Black Bloc à képi — un terroriste.

Mais plus profondément encore, il se joue autre chose dans ces moments merveilleux qui font l’abomination de la bourgeoisie et de sa presse, quelque chose de plus essentiel, qui est de l’ordre de la redécouverte de la liberté.

https://blog.mondediplo.net/les-demeures-de-la-legitimite

Dans un monde aussi complexe que le nôtre, la souveraineté et pas uniquement celle de la France, est une illusion. Et, dans d'autres temps plus anciens, la souveraineté n'était peut-être aussi qu'une illusion, elle masquait son inexistence par les guerres et les colonisations nécessaires à la soit-disant indépendance. Il suffit de regarder la bataille que se livrent les Américains et les Chinois pour le comprendre, leur propre souveraineté n'est qu'une illusion, mais ils y croient encore. Il faut constater l'état de dépendance pour évoluer, c'est une fondation de résolution vers un mieux, la simplification de nos modes de vie peut aussi en faire partie.

La royauté ou le pouvoir "absolutiste" de droit divin etc. a été renversé par la "franc maçonnerie" (qui n'avait plus rien à voir avec celle du départ des "compagnons architectes" etc.), d'obédience anglo-saxonne, je pense, qui a permis par son infiltration la révolution française. Et évidemment ensuite l'américaine.

Autrement dit, après avoir éliminé quelques réfractaires dans un combat des chefs, dont Robespierre et Saint-Just entre autres n'étaient pas les derniers, elle a permis l'avènement de la classe "bourgeoise" et les prémisses du capitalisme, au nom des idées "libérales" etc.

Autrement dit, la révolution française, au nom des lumières, de Voltaire, de Toqueville, de Benjamin Constant etc. étaient déjà pétrie des idées de commerce anglo-saxonnes, bref du libéralisme économique.

La "gauche" issue de ce magma ou ce qu'il en restait, dans le fond est par nature "capitaliste", "libérale" en tout cas et elle le montre bien aujourd'hui (aux US notamment, pôle qui rejaillit chez nous comme un miroir sous le joug de "démocrates" (liberals exactement), le problème, c'est qu'elle s'est piquée à un moment de son existence à devenir "socialiste" au début de l'ère industrielle et ça a brouillé des pistes. Donc divers courants à gauche et impossibilité d'union surtout sous un couvert (néo)libéral anglo-saxon généralisé.

Comme cette affaire ne sera jamais clairement débrouillée, on se doute pourquoi, tout le monde voyage à vue dans cette affaire.

Ce monde n'est pas complexe.

On l'a rendu complexe sciemment. Délibérement.
En fait la lutte des classes n'a jamais cessée. On l'a juste mis sous le boisseau, en fonction des trente glorieuses qui ont permis quelques années de répit, après la tourmente de la guerre. Normal. Mais dès les années 70 et surtout 80, sous les années Thatcher et Reagan, la lutte des cigognes pour détruire le nid des ortolans a recommencé de plus belle. Une certaine classe mitoyenne, encore relativement protégée n'a pas voulu crier haro sur le Bourdin (et pour cause, il tétait encore son pouce sans doute)tout de suite. Et on l'a comprend.

Le jour où des "saloperies" (comme moi mais plus jeunes) commenceront vraiment le travail a peine esquissé par Robespierre, juste pour l'exemple, et pour solde de tous comptes, ça fera très très mal.

En décembre, il avait dit qu'il avait vécu une grave dépression. Maintenant, il se prend une grosse humiliation en Afrique au nom de la France et fini son périple à faire la fête à côté de Kinshasa je crois. Il est bien possible que quelque chose ne tourne pas rond en effet.

Verveine (entre autres) ceci devrait te plaire.

Maldo, je viens de rentrer de manif, je regarderais plus tard.
Pour la suite, message de Frédéric Lordon

"Une grève reconductible causant un choc économique : Macron nous donne la méthode!" Frédéric Lordon

Classe bourgeoise, les parasites de la société
https://youtu.be/VRNTZflvaR4
Maldo, très intéressante analyse sur différents points, je partage.
Je retiens :
Les limites du dialogue
Le problème de la représentativité et les limites du syndicalisme
Intéressant la solution en tant que morale de classe
Pour une conscience de classe et surtout une confiance de classe

Je trouve que de nouvelles personnes émergent proposant une vision différente du monde. Ici et là, actuellement il y pleins de livres qui sortent, des positionnements du monde de demain. Vraiment , une richesse d'idées ! C'est encourageant pour l'avenir à condition de rompre avec certains de nos modèles.

Macron risque de dissoudre l'Assemblée Nationale comme en 1997 sous Chirac (à partir de 36:00 mins)