Se référer aux textes de l'astrologie traditionnelle n'est décidément pas une bonne idée... Les natifs du Scorpion bossus ? Mais qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre !

Visage type Plutonien :

Mads Mikkelsen


Dolph Lundgren

non pas ici en tout cas il n'y a pas d'intention doxymoré je prend en guimauve et comme activité sans fondement , je ne vois pas attribué de cette manière mais plutôt jongler sans règle bien déterminé ce qui reviens à rien ne pouvoir écorcher mais tout éplucher lol on va garder "rien écorché" même si c'est vrai que je modifie ,il n'y à qu'à le prendre dans un surréalisme anarchiste , c'est juste comme ça , et puis heureusement que je l'avais précisé dès le départ en tous cas j'trouve que c était plutot modifier hybrider coupler après c son interprétation tout de même un peu amère je trouve,je laisse vos cognitions en auto émulation parcourir les méandres des fertilisantes connotations , çest vrai k' ça fait un peu argonaute

il n'y a pas de jugements, seulement un ressenti. Nul ne prétend qu'il est juste. On apprend à se décrypter.

cheliel a écrit:

il n'y a pas de jugements, seulement un ressenti. Nul ne prétend qu'il est juste. On apprend à se décrypter.

Il n'y a pas de bémol cheliel un bon ressenti est toujours plus appréciable qu'une ruminance iillusoire et innocente on peut mettre les choses sans dessus dessous cela ne relève pas nécessairement de la véhémence parfois bien au contraire cest juste mal pris, tu sors le parapluie ça arrive desfois

Usual : Sympa

Tu m'as inspiré un texte. Il parle d'un état d'imaginaire. Je crois qu'il est plutonien alors je le poste ici.


La boucle est bouclée

Il ne peut connaître sans choquer le cœur innocent d’une autre évanescence. Comme un fantôme qui décore ses espérances pour les animer de vie passée.

Il y a de l’obscurité, un combat pour quelques lueurs au loin. En paradoxe, un abandon aveugle à la négation.

La fascination se confond à l’exultation, l’égo se croit et les repères s’effacent dans chaque déformation d’esprit. Allégorie schizophrène et psychédélique sur fond de triste euphorie.

Implosion. L’être se craquèle et sombre en lui. Il s’affaisse et s’écrase, telle l’étoile si dense qu’elle s’aspire, replis l’espace qui l’entoure pour l’immerger dans sa poche d’abîmes.

Et l’ensemble s’échoue sans fin, à en déchirer les frontières du réel, puis saigner jusqu’à tarissement sa bouillonnante lumière, vers d’inconnus oublis.

Après avoir tout absorbé, sécréter là d’autres dimensions, énigmatique évolution. Ne reste-t-il que ces vides sidérants qui se dévorent en temps d’univers ? … les mondes imbriqués.

S’y amalgament la moindre particule oubliée au hasard, pour se fondre à l’autre égarée qui croisera sa volubile trajectoire.

Chaos quantique redessiné, la boucle est bouclée.

cheliel, là encore personne ne t'en aurait voulu si le texte n'avait pas été "plutonien"... N'hésite pas à nous offrir ces petits moments de grâce.
Merci pour la poésie du matin. Véritable ravissement

Bonjour à tous et même aux difformes ,

Avant de tout jeter et d'affirmer que cela n'a aucun fondement, je pense qu'il faut tenter d'en saisir le sens et la logique - certes contestable - de ces tendances.

On peut déjà noter que les signes de beauté sont tous des signes dits humains : Gémeaux, Vierge, Balance, Sagittaire (à moitié). Auxquels viennent s'ajouter les signes de moyenne beauté : Verseau, Poissons et Taureau. Le Verseau étant un signe humain également, et le Taureau et les Poissons, le domicile et l'exaltation de Vénus.

On peut donc dire que les (7) signes cités sont des signes de représentations humaines et/ou de tendances vénusiennes. Est-ce que cela est pertinent ou sensé ? On peut en discuter.

Quant aux signes de difformités, je pense qu'il y a une compréhension erronée de la chose. A mon sens, il n'est pas à entendre comme si les natifs du Cancer, Scorpion et Capricorne étaient difformes...

On peut lire ici et là sur le forum : "J'ai mal aux dents, la faute à Saturne !", "J'ai eu un accident, que fait Mars ?", "J’arrête pas de grossir, un coup de Jupiter ?". Mais les difformités, non, pas possible, elles n'existent pas d'un point de vue astrologique ?

Que le Capricorne, signe rattaché aux os et à la peau, puisse avoir un lien avec des difformités osseuses par exemple, est-ce si incohérent ?

Que le Cancer puisse prédisposer au déséquilibre neuro-végétatif et aux dysfonctionnements endocriniens, apportant son lot d'anomalies pubertaires, de croissance (nanisme, gigantisme, etc.) ?

Que le Scorpion ne soit pas étranger à la prolifération d'excroissances (hémorroïdes, fistules, etc.) au niveau de l'appareil génito-urinaire et les conséquences d'usure physique de sa nature excessive ?

Quant aux difformités et l'art, un petit échantillon d'illustration :

Avec Soleil-Vénus-Mars-Saturne du Capricorne opposés à Pluton-Cancer, Jan Lebenstein "qui fait naître sous ses pinceaux et crayons quantité de monstres, de femmes et de démons hybrides", "revêtent ainsi l’apparence de créatures quasi mythologiques, peuplant un bestiaire ou zoo humain".

Soleil-Mercure-Uranus du Capricorne opposés à Pluton-Cancer, la plasticienne Louise Bourgeois "propose une œuvre qui traite du corps handicapé et où on retrouve la fascination pour la prothèse" ; "développant dans des formats plus grands que nature des accouplements de personnages de chiffons rembourrés, mutilés, avec leurs prothèses"."Dans une œuvre intitulée Topiary couple IV, le corps appareillé est représenté dans une posture de coït, la prothèse au premier plan, les deux corps recouverts de latex noir, évoquant le cuir noir du style SM, ce qui serait l’expression de l’érotisation du corps atteint d’un handicap."

D'un Saturne du FC relié à la Lune du Capricorne-Asc Cancer, Max Ernst qui "pose sur ses bourgeois des têtes de fauve ou de rapace, anime un bestiaire de la cruauté" ; "des monstres mi-humains mi-oiseaux de ses romans collages et de ses peintures".

Avec Soleil-Jupiter-Neptune du Cancer opposés à Mars-Uranus du Capricorne, Frida Kahlo, dont "l'œuvre se situe au plus sensible des émotions, celles que l’on n’ose pas montrer à vif" ; créant "en arrachant à sa propre chair".

Soleil-Mercure-Mars du Capricorne et Lune du Scorpion, chez Marc Quinn et "son autoportrait moulé dans son propre sang congelé" ; qui présente "des statues dont les modèles sont des personnes aux corps difformes, amputés d'un ou plusieurs membres, aux membres atrophiés suite à un accident, une guerre, une maladie ou une malformation congénitale".

Paul Rebeyrolle, au Soleil-Vénus-Saturne du Scorpion opposés à Mars, reliés à Pluton au FC, et ses "clones difformes", "qui ne pouvait pas peindre la violence du monde avec un petit pinceau à trois poils…".

Francis Bacon, au Soleil-Scorpion qui peint "la dynamique subtile des corps difformes quasi-dégoulinants d’où le regard accroche parfois les aspérités des meurtrissures faciales et corporelles".

cheliel a écrit:

Usual : Sympa

Tu m'as inspiré un texte. Il parle d'un état d'imaginaire. Je crois qu'il est plutonien alors je le poste ici.


La boucle est bouclée

Il ne peut connaître sans choquer le cœur innocent d’une autre évanescence. Comme un fantôme qui décore ses espérances pour les animer de vie passée.

Il y a de l’obscurité, un combat pour quelques lueurs au loin. En paradoxe, un abandon aveugle à la négation.

La fascination se confond à l’exultation, l’égo se croit et les repères s’effacent dans chaque déformation d’esprit. Allégorie schizophrène et psychédélique sur fond de triste euphorie.

Implosion. L’être se craquèle et sombre en lui. Il s’affaisse et s’écrase, telle l’étoile si dense qu’elle s’aspire, replis l’espace qui l’entoure pour l’immerger dans sa poche d’abîmes.

Et l’ensemble s’échoue sans fin, à en déchirer les frontières du réel, puis saigner jusqu’à tarissement sa bouillonnante lumière, vers d’inconnus oublis.

Après avoir tout absorbé, sécréter là d’autres dimensions, énigmatique évolution. Ne reste-t-il que ces vides sidérants qui se dévorent en temps d’univers ? … les mondes imbriqués.

S’y amalgament la moindre particule oubliée au hasard, pour se fondre à l’autre égarée qui croisera sa volubile trajectoire.

Chaos quantique redessiné, la boucle est bouclée.

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Le fait est que tous les signes sont en analogie avec une partie du corps, donc si le Scorpion peut prédisposer aux hémorroïdes, le Taureau peut prédisposer à des problèmes au niveau de la thyroïde. Mais j'ai bien compris ce que vous vouliez dire sur les difformités physiques, mais là encore je crois que c'est votre raisonnement à vous et pas aux personnes adeptes de ces textes.

Tout ceci n'a aucun sens, on ne classe pas les Gémeaux, signe aérien de l'adolescence, dans les signes de "grande beauté" alors que le Taureau gouverné par Venus, planète de la beauté, en signes de "moyenne beauté"...

Je le répète, c'est de la même tranche que les classements racistes de beauté.


Bertrand

Mais quel est ce monde étrange et informe à défaut d'être dit forme ? demande le plutonien en fil de discussion. Et le débat continu.

Merci Ladom, Navane et Maldoror pour vos appréciations.

Orin a écrit:

Je le répète, c'est de la même tranche que les classements racistes de beauté.Bertrand

J'acquiesce également. Nous sommes un mélange de toutes ces énergies et symboliques, en interactions permanentes et dans une dynamique perpétuelle. Pourquoi vouloir figer, étiqueter, voire hiérarchiser, alors que poussière nous étions et poussière nous retournerons!

Orin, est-ce finalement le fait de classer qui est gênant ou l'agencement de celui-ci ? Dans le même temps, relever le caractère pernicieux de ce genre de classements et s'offusquer parce que le Taureau n'obtient pas la première place et se fait doubler par les Gémeaux...

blacksnacke a écrit:

en vrai Clement, ont voit bien avec t'a photo que ce ne sont pas toujours les dominante planétaire qui affirme les trait physique, je trouve ton visage assez harmonieux perso.

Ne trouves-tu pas que le visage de clemkikou présente une morphologie Mars-Scorpion ?

hagakure > surtout le faite que tu dit que le scorpion ou pluton pousse a la disharmonie et a la difformité. or je trouve que pour Clem c'est pas le cas. après j'i connais pas grand chose en physio astro.

Ce classement a été un de mes bonheurs du WE dernier. En ce sens, il ne m'a pas du tout dérangé mais alors ab-so-lu-ment pas.
Et pourtant... Oui, et pourtant, à quelques articulations près, je dois afficher le corps le plus difforme de la bande...
N'y a-t'il pas là un merveilleux paradoxe ? J'ai toujours su que la difforme n'aurait jamais rien à perdre. Que du plus quand on part de si loin physico-esthétiquement.
Maintenant que ce document de la plus haute importance a été porté à ma connaissance, je suis en paix. Je peux mourir tranquille.

Aussi, je souhaiterais du fond de mon âme que personne n'escamote, n'intervertisse, ne déloge, ne bouleverse, ne modifie, ne remanie, ne chamboule, ne paaaf, révoluuutiiion!, ne truc-muche, ne frôle ne serait-ce que du bout de l'idée les places de la Balance/Vierge... Pour le reste, chacun est libre de faire à sa convenance. Cela va de soi.

L'astro est formidable. Pourquoi vouloir toujours tout compliquer ?

Hagakure, mille grâces sur toi

Paganini était laid comme cent diables mais son archet était diabolique et le monde féminin se pâmait à ses pieds...

Comment ne pas voir dans tout ça une métaphore. Rien n'est tordu mais on est dans la "réaction"... Action/ réaction. Le plutonien est un "réactionnaire".

/ comme je l'ai déjà dit, c'est le symbole de la résilience. L'instinct de survie.

Souvent blessé, meurtri (pourquoi? tout est là), abandonné piétiné dans son enfance même peut-être, il porte en lui cette blessure (narcissique, archaïque etc.) et son corps ou son visage peut être parfois imprégné du rictus antérieur, histoire de lui rappeler son talisman de "maudit".

Il doit impérieusement rebondir, c'est son challenge. devenir ce phénix et parfois un guide car il a sans doute passé plus que tout autre, de plus longues saisons en enfer...

Il connaît le monde car il connaît ses démons. Il sait que l'homme est dual. Tantôt un être sujet à la compassion, tantôt le plus hypocrite et le plus sinistre con qui soit. C'est sa force mais c'est également ce qu'on lui reproche.

Car on ne le mène pas en barlu facilement. Du coup, il est loin d'être le premier à couvrir son vis-à vis d'une adipeuse flatterie tant attendue. Non, lui, il préfère la solitude à la flagornerie en bandoulière.

Voilà pour "l'évolué" disons. L'autre se vengera du ciel et de son (non) créateur qui n'a pas été aux petits soins pour lui quand il en avait urgemment besoin, en étant autant tordu avec le monde extérieur (à l'image de son créateur?) qu'il ne l'est peut-être resté dans son corps. La plupart des enfants battus, trouvant un exsutoire en devenant malheureusement violents à leur tour (tueurs en séries etc?)

Parfois, ces deux extrêmes se retrouvent dans un même personnage... mais là, on touche quasi à la bipolarité, la schizophrénie etc.

cheliel a écrit:

Usual : Sympa

Tu m'as inspiré un texte. Il parle d'un état d'imaginaire. Je crois qu'il est plutonien alors je le poste ici.


La boucle est bouclée

Il ne peut connaître sans choquer le cœur innocent d’une autre évanescence. Comme un fantôme qui décore ses espérances pour les animer de vie passée.

Il y a de l’obscurité, un combat pour quelques lueurs au loin. En paradoxe, un abandon aveugle à la négation.

La fascination se confond à l’exultation, l’égo se croit et les repères s’effacent dans chaque déformation d’esprit. Allégorie schizophrène et psychédélique sur fond de triste euphorie.

Implosion. L’être se craquèle et sombre en lui. Il s’affaisse et s’écrase, telle l’étoile si dense qu’elle s’aspire, replis l’espace qui l’entoure pour l’immerger dans sa poche d’abîmes.

Et l’ensemble s’échoue sans fin, à en déchirer les frontières du réel, puis saigner jusqu’à tarissement sa bouillonnante lumière, vers d’inconnus oublis.

Après avoir tout absorbé, sécréter là d’autres dimensions, énigmatique évolution. Ne reste-t-il que ces vides sidérants qui se dévorent en temps d’univers ? … les mondes imbriqués.

S’y amalgament la moindre particule oubliée au hasard, pour se fondre à l’autre égarée qui croisera sa volubile trajectoire.

Chaos quantique redessiné, la boucle est bouclée.

Je crépite de vos salamandre fétale

Hagakure a écrit:

Orin, est-ce finalement le fait de classer qui est gênant ou l'agencement de celui-ci ? Dans le même temps, relever le caractère pernicieux de ce genre de classements et s'offusquer parce que le Taureau n'obtient pas la première place et se fait doubler par les Gémeaux...

Ce classement ne vaut rien, le Taureau ne se fait pas doubler. On ne double pas le signe de la beauté, ça n'a pas de sens.

Maintenant, on a tous un physique différent, donc juger quelqu'un en lui disant qu'il est "difforme"...

Sans commentaire !


Bertrand

Maldoror a écrit:

Paganini était laid comme cent diables mais son archet était diabolique et le monde féminin se pâmait à ses pieds...

Et que dire de Gainsbourg?!
Là c'est moi qui me pâme et pourtant.... il est l'homme à tête de chou

(après j'ai un faible pour les Neptunien )

alia a écrit:

Maldoror a écrit:

Paganini était laid comme cent diables mais son archet était diabolique et le monde féminin se pâmait à ses pieds...

Et que dire de Gainsbourg?!
Là c'est moi qui me pâme et pourtant.... il est l'homme à tête de chou

(après j'ai un faible pour les Neptunien )

Maître de 7 maison 2 (maison du corps à corps?) ça se tient...

« La difformité, c'est juste une beauté en touche. », tirée des cahiers d'une enfant de Vénus.

D'humeur papillonnante, je revenais de chez ma coiffeuse quand j'ai repensé à ce sujet.
Je ne comprenais pas ces hauts cris et yeux exorbités face à ce que semblait cristalliser ce classement, mais peut-être aussi face à ce mot tout en relief qu'est « difformité ». Pourtant, ça existe. C'est pas un gros mot. Seulement, n'ayons pas peur des mots.

Fleur parmi les fleurs, soleil caressant, chant d'oiseaux, des moustiques tout autour, la nature florissante quoi!, j'ai essayé de méditer sur ces échanges pour finalement me dire que je ne viendrais guère au bout de ces interrogations, que je pourrais épiloguer sans fin que ça resterait un cul de sac.

Je dois aussi avouer que je ne tiens pas particulièrement à creuser la question car, depuis ce classement, l'évidence est là et m'accompagne dans chaque fibre de mon être, de mon corps tout en relief, de mon cœur tout en horizon, de mon âme tout en paysages sauvages, de partout : putain, qu'est-ce que je suis bien roulée !!!

Voui Navane et perso je t'aime haut et fort telle que tu es dans toutes les dimensions de ton être