EH Bé, ça chahute dans le confessionnal.

Vanille doit se demander quelle pensée du jour elle pourrait bien trouver pour vous répondre à tous.
Aivanhov, et Gurdjieff, doivent pleurer ou se tordre de rire.

Je pense que c'est encore beaucoup plus simple que ça, car si on prend le poids de tout ce qu'on fait les religions, avec leurs guerres, leur impositions d’endoctrinement, et, avec tout ce qu'on en découvre aujourd'hui, J'ai du mal à comprendre comment on peut encore essayer de leur trouver des justifications de leurs raisons. Pour moi, elles font toutes le même poids, et tout est en chacun de nous, et selon son éducation, elle est respectable, autant que chacun en est convaincu, sans pour autant s'imposer aux autres.

Pendant qu'on en parle à l'extérieur, c'est l'intérieur qui s'en trouve fâché, attristé, et révolté inutilement.

La méditation, je l'assimile à une prière, elle est très souvent décrite de différentes manières. Elle se rattache inévitablement à la pensée. A partir de là, plein de choses peuvent en découler, s'expliquer, sans pour autant être LA vérité, mais une technique qui débouche de toute évidence, sur une créativité, dont les formes sont en rapport direct avec le penseur, d'où l'effet boomerang = pensée créatrice avec retour à l'envoyeur. A bonne pensée résultat positif, mauvaise pensée, résultat négatif. Nous ne récoltons que ce que nous semons.

Il faut donc faire très attention lorsque l'on dit que l'on s'aime.  Surtout si c'est "oh j'aime", car c'est souvent de l'OGM.

Oui, je sais ce que je pense, entre mon humeur du jour et mon amour de l'heur.

Je médite debout, et de manière enrichissante pour moi, c'est  à dire à la manière de Gurdjieff, être présent à soi-même. Vivre dans la conscience de ce que je pense, dit et fait, un travail assez difficile à réaliser en permanence, et en temps réel, mais le temps différé est très acceptable.

Les avantages de cette forme de méditation pour moi, c'est d'arriver à ne plus avoir de pensées négatives, de critiques négatives, et surtout de laisser les gens comme ils sont, car s'il étaient tous comme moi, cela finirait par être ennuyeux.

D'ailleurs l'expert médical dit de moi,"D’un point de vue psychiatrique, le contact relationnel avec Monsieur Jean "de Biot", est de type psychotique sensitif, avec un discours fleuve particulièrement
volubile, mais intéressant car à la fois riche et pertinent."

Ceci dit, je trouve dommage de se disputer les torts et les raisons, car toute raison à sa raison que notre raison ignore. Nous ne sommes pas tous au même niveau de compréhension et chacun sait que c'est sa propre expérience qui le place là où il est. Suivre les idées des autres, sans les avoir expérimentées, ne reste que tu savoir, d'où la contradiction entre les dires, et la pratique.

J'ai dû manquer de répondre une fois au sujet de la pensée du jour, et n'étant plus avisé, je n'ai pas eu l'opportunité de revenir sur le sujet, sauf qu'en l'ayant aperçu au tableau des réponses, j'ai eu la curiosité d'y revenir, influencé par une intuition verbale.

  Merci Vanille, voilà la réponse attendue aux partages d'idées contraires. Je pense tout simplement que vivre en conscience, c à d en présence à soi, présence à ses pensées, son verbe et à ses actes, et à l'impact que cela peut avoir sur soi (pensées boomerang), ses mots qui peuvent blesser parce que mal perçus, ou violence à faire le mal en pensant faire le bien.

Bonne journée.