Magique la vie, car c'est la cigarette électronique qui aura fait arrêter de fumer la fille de mon ex en question, son compagnon, et la venue de la mère pour Noel lui aura enfin donné la force de reprendre cette cigarette électronique. Il y a encore du travail à faire, mais c'est déjà un grand pas pour les fumeurs qui veulent arrêter.

Bravo Ginger.

      Quand vous aurez réussi à remonter dans le temps, jusqu'au mauvais souvenir d'avoir eu à avaler la fumée, surtout, et pourquoi vous avez insisté au lieu de ne pas arrêter. Vous n'avez probablement pas commencé à fumer tout seul ? Que c'est-il passé à votre première bouffée aspirée ? Comment avez-vous réagi, qu'avez-vous entendu, qu'avez-vous fait ? Qu'avez-vous ressenti en réussissant ?

a suite, c'est bien l'habitude, mais l'habitude de quoi ?

BEIN Lolob, il y a certainement des vérités dans ce qui est dit, et ce n'est pas nouveau de se moquer de son auditoire.

Personnellement je ne me considère pas "con" du tout. Si j’ai regardé et écouté jusqu'au bout, c'est d'une part pour donner mon avis, et surtout parce que cela ne me coûtait pas un "rond". Et sans regret, car s'il ne dit que des vérités, elles ne me concernent pas. Bien avant que d'en arriver là, j'aurais déjà décroché bien avant

D'ailleurs, ce sont bien les "cons" qui font la société de cons-sommation. C'est sur cette gente là que j'ai pu gagner des "ronds, dans les années 70, l'inflation était au plus haut jusqu'à dans les années 80, voir encore tout début 90. Mon salaire suivait l'inflation, et je ne suivais pas la con-sommation, ce qui m'a permis d'accéder à la propriété, avec un seul salaire pour nourrir une famille de quatre membres, sans rien changer à notre mode de vie. Je n'étais pas cadre. Mieux encore, je recyclais ce que la société de cons-ommation jetait alors qu'elle pouvait réparer ou recycler. On peut voir où elle en est aujourd'hui, car plus rien n'est plus réparable, seulement jetable, et les cons-ommateurs suivent comme des moutons, au lieu de boycotter ce qui ne sert pas l'essentiel.

Ceci avec tout le respect que je vous porte, car je sais combien il est difficile maintenant de faire machine arrière.

Beaucoup de monde se trouve piégé par le système, de peur de paraître différent, au point d'en perdre sa propre identité, d'où les cancers, avec les cellules qui ne se reconnaissent plus, et ne peuvent donc pas se reproduire normalement, d'où les métastases.

Avec ce que j'ai essuyé comme "bombardement" du type "Pearl Harbor", de lâchetés de personnes jalouses, après les déceptions essuyées depuis plusieurs années, j'aurai pu, comme certains le font, faire un massacre et me suicider, avec ou sans massacre d'ailleurs. Cette "tempête" que je subit depuis vingt mois, c'est un monde à l'envers. Et bien, j'ai préféré suicider tous les à priori, les revers de pensées, aller justement à contre courant de ce qui semble facile et qui mène plus au trou que vers les berges où les courants se meurent, et rendent possible d'éviter les chutes des cataractes plus avant.

Je ne dis pas que c'est facile, mais sur d'autres petites expériences, c'est plus facile à supporter que les plus amples déceptions.

Je m'appuie pour cela, sur un ami qui, plus jeune de quatre mois, m'a précédé. Le seule point commun que j'ai retenu, c'est celui du choix des enfants, ils veulent garder leurs parents. Dans ce cas, c'est le parent le plus gêné qui finit par partir, de sa propre volonté, ou entraîné par la mort (surtout pas par suicide) qui le libère.

Je sors de ce sujet, car je préfère réellement la solution douce. L'autre aussi, par la même occasion s'en trouvera libéré. Face à cela, aucun des enfants ne peut faire un reproche quelconque.

Mieux, si une prise de conscience est faite sur la situation, et laisser l'amour vrai faire le travail, tout s'efface comme une maladie après un soin.

Pour la cigarette, ce qui est "con", je dirais plutôt dommage, c'est de ne pas savoir pourquoi ou comment on en est arrivé là.

Personnellement, bien sûr que fumer pour moi fut de ressembler à un grand. Les plus grands que moi qui fumaient, m'on appris à fumer, et j'allais être malade. Refusant de continuer, les grands se sont moqués de moi, alors j'ai forcé, j'ai appris à ne pas faire comme les crapauds, qui explosaient, avec une cigarette à la bouche. En avalant plus d'aire avec peu de fumée, cela était plus supportable, et l'habitude faisant, cela devenait naturel. J'étais enfin un homme. cette satisfaction est passée dans mon subconscient, et lorsque cela n'allait pas, pour me satisfaire, j'allumais une cigarette. Pour moi, ce fut cette raison qui me faisait fumer, me sentir satisfait.

Maintenant, pour moi, être un vrai homme, c'est de ne plus fumer. Ainsi je ne suis plus esclave, mais maître de ma personne. Je peux en faire autant avec les limitations de vitesse, les feux rouges, et tout ce qui peut contrarier. C'est ainsi que par acceptation de la chose, apaisant l'impatience, les choses peuvent se fluidifier. Il suffit de prendre tout son temps pour mourir, et je pense que cela va beaucoup mieux. Surtout que je ne craints pas la mort, simplement savoir à quoi peut servir la vie, et la maintenir autant que faire se peut.