- Latitudes a écrit:
- A mon avis le pardon n'entraine pas la notion de culpabilité
justement, pardonner, à soi d'avoir merdé (avant, pendant, après), à l'autre d'en avoir rajouté (il est pas obligé de nous mettre un miroir sous le nez quand on est pas maquillée)... les erreurs n'en sont probablement pas... en ce moment, je radote toute la journée sur le "s'accepter comme on est et donc accepter ses dérapages" et puisqu'on en a, normal et évident que les autres aussi!! Les gens disent "je ne veux ressembler à personne, mais non, c'est pas ça" et puis quand on leur dit : "vous êtes différents", ils deviennent tout gris en répondant : "ça veut dire que je ne suis pas normal???"
C'est pas de se tromper ou de trop ou pas assez en faire qui est préjudiciable, c'est ne pas savoir comment en tirer les connaissances qui y sont enfermées!
- Si on est colérique et qu'on regrette après coup ce qu'on a dit ou fait, on doit parvenir à se réfréner avant de faire pour arriver à agir en cohérence avec soi-même
- si on est "laisser faire" et qu'on a toujours des trucs à machonner après coup, on doit peut être trouver comment dire ce qu'on a sur le coeur... après on entre dans la première case (des fois) jusqu'à ce qu'on ait trouvé comment apaiser ses émotions pour "causer correc"
Quand on a intégré un chapitre, on s'aperçoit qu'on y est presque plus confronté et on aborde le suivant!
C'est comme d'avoir une mauvaise note à l'école :
- ou on n'a pas appris et c'est pas la peine d'en vouloir au prof
- ou on a appris mais on a eu du mal, on se sert du devoir rendu pour définir ce qu'on a pas retenu
- ou on a bien appris et que le prof a du parti pris, et on se découvre en recherche de "bonbons" (susucre c'est bien!) ou on apprend à s'auto évaluer et se détacher de l'extérieur pour ne poursuivre que son but intérieur!
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Les équations à résoudre dans le destin sont :
les évènements à vivre,
la souffrance à comprendre,
la connaissance à acquérir
l'important est, cependant, de bien vivre le présent...