Ciel à l'instant

Rappel du premier message :

j'ai commencé LE SUCCESSEUR DE PIERRE de Jean Michel Truong, grand prix de l'imaginaire 2000

un roman futuriste ou les humains grandissent chacun isolé dans un cocon, les communications existent uniquement par web , chacun restant dans son cocon pour éviter les contaminations d'un monde hostile...
Les expériences sensorielles sont reproduites par des images virtuelles en " simulations d'interactions par avatars 3D" reproduisant les gestes d'un dentiste comme celui d'un amant !!!

présage de Pluton

en tout cas je me régale écouteur

et vous vous lisez quoi en ce moment?

Invité

Résumé a écrit:: "Une semaine qu'elle tient. Une semaine qu'elle n'a pas cédé. Mais cette nuit, elle en a rêvé et n'a pas pu se rendormir. Un rêve moite, interminable, qui s'est introduit en elle comme un souffle d'air chaud. Adèle ne peut plus penser qu'à ça."

Adèle semble heureuse avec Richard, le médecin qu'elle a épousé. Pourtant, elle ne peut s'empêcher de collectionner les conquêtes. Dans le jardin de l'ogre est l'histoire d'un corps esclave de ses pulsions que rien ne rassasie. Un roman féroce et viscéral sur l'addiction sexuelle et ses implacables conséquences.

Invité

Résumé a écrit:: On l'espère, on le subit, on le pleure... On ne l'explique pas. Comment naît l'amour ? Pourquoi tombe-t-on amoureux ? L'amour est-il une révolution ? Peut-on être amoureux de deux personnes à la fois ?

À ces questions, Francesco Alberoni répond par deux mots : l'amour naissant, l'innamoramento italien. L'étincelle dans la grisaille quotidienne, l'ouverture joyeuse au monde. Le bonheur mêlé d'inquiétude parce qu'on ignore si ce sentiment est partagé. Le moment exquis où tout est encore possible. Un état transitoire qui débouche parfois sur l'amour. Un phénomène comparable aux mouvements collectifs révolutionnaires...

Invité

Résumé a écrit:: Hervé a le syndrome d’Asperger, une forme d’autisme qui le met en grande difficulté lorsqu’il doit interagir avec d’autres personnes.
Luc a été gravement brûlé au visage et fuit les autres pour éviter le regard qu’ils portent sur lui et ses cicatrices.
Leur rencontre était impossible, mais le destin fait se croiser ces deux écorchés de la vie. Chacun avec ses problèmes pourrait devenir la planche de salut de l’autre.

Invité

Résumé a écrit:: Charlotte Pudlowski avait 26 ans quand sa mère lui a appris qu’elle-même, enfant, avait subi un inceste. Sous le choc, la jeune journaliste s’est alors interrogée : Pourquoi un si long silence ? Pourquoi sa mère, dont elle est si proche, n’a-t-elle pas pu lui parler plus tôt ? Et comment peut-on si mal connaître une violence qui concerne 7 à 10% de la population, soit 2 à 3 enfants par classe de CM2 en moyenne ?
Alors Charlotte Pudlowski a décidé de comprendre. Pendant deux ans, elle a rencontré des victimes, lu, cherché des explications auprès d’experts, sollicité ses proches. Ce travail à la fois intime et sociétal a donné lieu à un podcast diffusé à l’automne 2020 et au retentissement considérable : près d’un million d’écoutes, des milliers de victimes sorties de la honte, comprenant les mécanismes du silence autour de l’inceste. Puis la publication du livre événement de Camille Kouchner, La Familia Grande, a déclenché un débat qui secoue désormais toute la société. Le mouvement metooinceste va-t-il enfin donner lieu à des lois, ou la chape de silence va-t-elle retomber sur ce fléau si tabou ?
Dans cette enquête choc, l’autrice montre à quel point les mots peuvent être l’arme et le rempart face à la violence, et tisse le fil de son histoire intime pour explorer la nouvelle frontière du féminisme : celle de l’abus des enfants par les pères, frères, oncles, cousins, un abus systémique, noyau structurant du patriarcat. Si l’on accepte de voir la nature de l’inceste et son ampleur, c’est tout l’ordre social dans lequel nous vivons qui doit être renversé.

Finesse littéraire, rigueur, profondeur de l’analyse : un ouvrage nécessaire et magistral.

Invité

Résumé a écrit:: Oskar a 12 ans et vit avec sa mère dans une banlieue glacée de Stockholm. Solitaire et discret, martyrisé au collège, Oskar n'a d'yeux que pour sa nouvelle voisine. Elle est si différente ! La petite fille ne sort que le soir, ne craint ni le froid ni la neige, et exhale une odeur douceâtre et indéfinissable. Oskar trouvera en elle un écho à sa propre solitude et ils deviendront vite inséparables. Mais que penser des meurtres et disparitions inexplicables qui se multiplient dans le quartier depuis son arrivée ?

Une magnifique et sanglante histoire d'amour et d'amitié entre deux êtres seuls et différents.

Invité

Résumé a écrit:: « On m’a dit qu’au Japon, les gens qui s’aimaient ne se le déclaraient pas. Qu’on évoquait l’état amoureux comme une chose qui dépasse les êtres, les enveloppe, les révèle ou les broie. On ne dit pas "je t’aime" mais "il y a de l’amour", comme il y a du soleil.
Je ne sais pas si vous aimeriez me revoir ou m’écrire. Il y a mon nom et mon adresse au dos de cette enveloppe et toute ma vie à l’intérieur. Je suis prête à ce que vous ne vouliez rien en faire.
J’espère pourtant que vous comprendrez ce que je ne vous dis pas. »

Alice est une femme empêchée, prisonnière de ses peurs et de ses souvenirs. Jusqu’au jour où un masseur japonais, d’une délicatesse absolue, la réconcilie avec son corps, avec elle-même. Et lui fait entrevoir, soudain, la possibilité du bonheur.

"Jamais la plume de la romancière n’a été aussi intense et tendre à la fois." Pierre Vavasseur, Le Parisien.

"Le portrait sensuel et sincère d’une femme qui choisit." Laëtitia Favro, Lire.

Invité

Résumé a écrit:: Il y a fort longtemps, un vaillant chevalier combattait les méchants, tuait des dragons et sauvait les demoiselles en détresse. Il se croyait bon, gentil et plein d'amour. Il était très fier de sa magnifique armure qui brillait de mille feux, et ne la quittait jamais, même pour dormir. Seulement, un beau jour, en voulant l'enlever, il se retrouva coincé...
Ainsi commença pour lui une quête initiatique, à la recherche de sa véritable identité, au gré de rencontres insolites et d'épreuves riches d'enseignement. En parvenant au Sommet de la Vérité, il deviendra alors ce qu'il n'avait jamais cessé d'être, un homme au cœur pur, libre de toute illusion et de peur. Cette nouvelle quête du Graal, d'un humour délicieux, fait partie de ces grands petits livres comme Le Petit Prince et Jonathan Livingston le goéland. La limpidité, la profondeur du Chevalier à l'armure rouillée, qui parle au cœur et à l'âme, en font un conte d'une portée universelle.

Invité

Résumé a écrit:: "Je suis jeune et riche et cultivé ; et je suis malheureux, névrosé et seul. Je descends d'une des meilleures familles de la rive droite du lac de Zurich. J'ai eu une éducation bourgeoise et j'ai été sage toute ma vie. Ma famille est passablement dégénérée, c'est pourquoi j'ai sans doute une lourde hérédité et je suis abimé par mon milieu. Naturellement, j'ai aussi le cancer, ce qui va de soi si l'on en juge d'après ce que je viens de dire."

Fils d'une famille patricienne de Zurich, celui qui a écrit ce livre sous un pseudonyme fut ce qu'on appelle un enfant bien élevé. Dans la somptueuse ville, au bord du lac, régnait l'entente parfaite. Un certain ennui aussi, qui tient à la bienséance. Non sans humour, Zorn nous décrit les petits travers de ses parents. Humour ? Le mot est faible. Disons plutôt une noire ironie, celle du jeune homme qui, découvrant qu'il est atteint du cancer, pense aussitôt : "Naturellement."
Jamais les contraintes et les tabous qui pèsent, aujourd'hui encore, sur les esprits soi-disant libres n'ont été analysés avec une telle pénétration, dans une écriture volontairement neutre, par celui qui constate ici, très simplement, qu'il a été "éduqué à mort". Il avait trente-deux ans.

Invité

Navane merci, incroyable que tu cites ce livre, je l'ai lu il y a 30 ans de cela et il m'avait marqué. J'en parlais encore récemment à un ami qui souffre d' un cancer. C’est l’étape de la compréhension psychologique, je pense qu’il y aura une autre étape de compréhension dans le futur.

Invité

Oh, de rien, verveine star

C'est un livre particulier qui m'a aussi beaucoup marquée. Je crois qu'il est difficile de rester indifférent face à un tel récit et je ne le mettrais pas entre toutes les mains.
Fritz Zorn se livre sans complaisance et délivre sa vérité avec férocité. La plume est décapante, d'une intelligence incisive et froide, étonnamment drôle. Que l'on soit d'accord ou non avec l'entièreté de son auto-analyse, on ne peut échapper à l'appel à la libération qui transparaît dans cette œuvre hors-du-commun.

Tous mes vœux de guérison à ton ami fleur

Invité

Résumé a écrit:: "Cette personne que nous aimons sans la connaître, et qui ne nous est si présente que parce que nous la recréons sans cesse en l'imaginant, un tout simple hasard en fait l'objet de nos rêveries. Nous l'avons fortuitement inventée plutôt que nous ne l'avons choisie. Mais son image nous est désormais si intime, si obsédante, que nous ne pouvons plus nous en détacher. Parce qu'il nous semble que nous ne pourrions pas vivre sans elle, il nous semble aussi que nous aurions manqué notre vie si nous ne l'avions rencontrée..."

N. G.

Invité

Résumé a écrit:: Dans les replis du pouvoir se cachent une poignée d'êtres qui jouissent du Talent. Dans l'ombre, ils murmurent à l'oreille des puissants, déclenchent des guerres et tuent sans se salir les mains. Des vampires psychiques qui se livrent à une partie d'échecs barbare où les hommes ne sont que des pions.
Saul Laski a été l'une de leur victime, en 1942, alors qu'il se trouvait dans un camp d'extermination. Il a réussi à fuir, marqué dans sa chair et son esprit par l'expérience de la Talent, et s'est juré de retrouver son bourreau, l'Oberst. Après quarante ans de traque, des meurtres inexpliqués en Caroline du Sud le mettent enfin sur la piste de l'ancien nazi. Accompagné de Natalie Preston, une jeune femme à la recherche des assassins de son père, il n'a jamais été si près du but.
Mais les marionnettes peuvent-elles rompre leurs fils ?

Prix Locus du meilleur roman d'horreur - 1990 ; Prix Bram Stocker du meilleur roman - 1990 ; Prix British Fantasy du meilleur roman - 1990.

Invité

Résumé a écrit:: Entre l'an 1984 et le monde hypnotique de 1Q84, les ombres se reflètent et se confondent. Unies par un pacte secret, les existences de Tengo et d'Aomamé sont mystérieusement nouées au seuil de deux univers, de deux ères... Une odyssée initiatique qui embrasse fantastique, thriller et roman d'amour, composant l'œuvre la plus ambitieuse de Murakami.

Invité

Résumé a écrit:: "Comment commencer quelque chose que l'on a peur de finir ? Que l'on ne veut jamais finir ?"

Dans "Je ne finirai jamais ce livre", qu'Adrien décrit comme un "Carnet de bord ?", on aborde les pensées labyrinthiques d'un homme qui se perd et se cherche sans jamais vraiment se trouver un jour.

L'Amour prend des allures d'Évangile, les Femmes deviennent des "dictionnaires du mot sourire". Le café un parfum qui empeste autant qu'il enivre, les ponctuations des enchaînements de pulsions.

"Je ne finirai jamais ce livre" est une aventure inconfortable, où la mise en page n'est pas un cadeau, où lire devient des murmures que l'on s'adresse à soi-même pour mieux apprécier sa prose maladroite et attentivement bâclée. Tout est centré, et pourtant tout tourne autour du pot.

Ce livre est une expérience évolutive.

Se le procurer, c'est entrer dans l'univers d'un type "fade et gris, bancal mais sympa".
Un univers qui s'étoffe avec le temps, qui s'ajoute et grandit de nouvelles aventures et anecdotes tout en prenant la poussière sur vos étagères.

"Je ne finirai jamais ce livre" n'est pas un livre, n'est pas un carnet bord, n'est ni un essai, ni un poème.
C'est simplement les pensées chaotiques d'un explorateur romantique que le monde aura usé.

Navane j'ai jamais réussi à finir " le successeur de pierre" .
Dernièrement j'ai plongé dans le monde des kitsune et du climat propre au 17e siècle en Asie,
L'esprit de la renarde de Tran Nhut
Un livre qui se savouré comme un mets exquis.

" Au monastère de la Tortue Noire, la porte entre le monde des vivants et le royaume des morts s'entrebaille, l'espace d'un instant pour célébrer la Fête des âmes errantes. Mais les défunts affamés ne sont pas les seuls à se mettre à table, car d'étranges disparitions sont revendiquées par un Gourmet aux appétits cannibales...."

Navane a écrit:

Résumé a écrit:: Entre l'an 1984 et le monde hypnotique de 1Q84, les ombres se reflètent et se confondent. Unies par un pacte secret, les existences de Tengo et d'Aomamé sont mystérieusement nouées au seuil de deux univers, de deux ères... Une odyssée initiatique qui embrasse fantastique, thriller et roman d'amour, composant l'œuvre la plus ambitieuse de Murakami.

MURAKAAAAAAAAAAAAAMI ! love

C'est un de mes auteurs préférés... J'ai franchement adoré Kafka sur le Rivage. J'aime son côté onirique, poétique, teinté d'un brin de mélancolie et de fantaisie surréaliste, de plus la fin des histoires sont toujours très ouvertes ce qui laisse encore beaucoup de place pour l'imagination...

Invité

C'est que tu me ferais presque envie avec celui que tu as savouré comme un mets exquis, ceyba sourire

Je suis en train de lire quelques critiques du livre de Jean-Michel Truong... Apparemment, il faut en effet s'accrocher car il aborde de nombreux thèmes mais l'intrigue est habilement menée. Après, quand ça veut pas rijaune

J'essaie toujours de terminer la lecture d'un bouquin même s'il me moyen-bof car je me dis que je vais peut-être finir par plonger, pour connaître la pensée de l'auteur et le temps qu'il y a passé, etc... Sérieux. Mais pour "Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus", j'ai pas réussi. Oh, la vache... Quelle arnaque. C'était il y a bien 18 ans.
Pas réussi à venir à bout d'"Au nom du corps" de Caroline Gauthier. Je l'avais découvert en visionnant une vidéo et les critiques dithyrambiques "bouleversant, profond", etc, m'avait convaincu de me l'offrir. Et bien, quelle déception... Il n'a rien remué, si ce n'est un ennui mortel.
En ce moment, je lis un essai de psychanalyse qui lui réveille plein de choses. Je ne sais pas trop avec quel roman je vais alterner...

Murakami, c'est du petit lait pour un imaginaire qui aime à faire revivre une histoire à l'envie une fois le livre refermé. Sinon, tu lis quoi en ce moment, Érèbe ?

Oui, Mars, de Fritz Zorn (en allemand, "colère") est un bouquin remarquable ...

Navane a écrit:: Murakami, c'est du petit lait pour un imaginaire qui aime à faire revivre une histoire à l'envie une fois le livre refermé. Sinon, tu lis quoi en ce moment, Érèbe ?

Murakami pour moi, c'est un peu le Hayao Miyazaki de la littérature ! C'est beau, c'est doux, c'est frais, à la fois léger et profond, universaliste, onirique, un brin mélancolique, etc. Tout ce que j'aime !

Je suis justement plongé dans la trilogie 1Q84. Habituellement quand on se lance dans du Murakami on commence par ça, mais comme je ne fais jamais comme tout le monde... bigsourire

J'ai bientôt terminé le 1er, mais ça fait un moment que je ne l'ai pas rouvert, j'ai été assez occupé dans ma vie ennuyante de tous les jours. boring

Sinon, j'ai "Pillow Thoughts" de Courtney Peppernell sur ma table de salon que j'ouvre de temps à autres... C'est de la poésie, vraiment magnifique... J'aime beaucoup l'auteur.

Invité

Alors la plongée est plutôt timide, Érèbe... Tu n'y as mis qu'un pied sourire

La trilogie est prodigieusement bien foutue avec d'abord, et bien sûr, les chapitres Aomamé/Tengo qui s'alternent. Une histoire très structurée, et je pense que là réside la dynamique du roman. Jamais ennuyant, rien n'est superflu et tout s’enchevêtre naturellement à un moment ou un autre. Beaucoup de références culturelles, rien de pédant. Tout est juste. Les comparaisons nourrissent l'esprit du lecteur. Les détails ne sont pas des détails. Ils donnent profondeur et réalisme aux personnages.
En bon lecteur à la merci du suspens créé par l'auteur, on n'attend bien évidemment que la rencontre des deux principaux. On comprend au fur et mesure que leurs destins sont (déjà) liés mais la vie les a séparés... pour les faire se retrouver dans un monde où la réalité a légèrement bougé. Une réalité décalée.

De sa plume simple et fluide, Murakami mêle si habilement onirisme et réalité que l'ensemble s'équilibre parfaitement au final. De la magie.

Des personnages cabossés à la racine par la vie, une réflexion sur le libre-arbitre, la capacité de jugement, le cultuel, l'endoctrinement, la frontière entre le bien et le mal, la vengeance et la justice.
Qu'est ce qui fait qu'à un moment on bascule de l'autre côté de la ligne blanche. Que d'un état A, on glisse vers un état A'...

Je crois avoir déjà vu passer "Pillow Thoughts"... Dans la même veine, il y a entre autres les recueils de Rupi Kaur coeur

Navane a écrit:: Alors la plongée est plutôt timide, Érèbe... Tu n'y as mis qu'un pied

La trilogie est prodigieusement bien foutue avec d'abord, et bien sûr, les chapitres Aomamé/Tengo qui s'alternent. Une histoire très structurée, et je pense que là réside la dynamique du roman. Jamais ennuyant, rien n'est superflu et tout s’enchevêtre naturellement à un moment ou un autre. Beaucoup de références culturelles, rien de pédant. Tout est juste. Les comparaisons nourrissent l'esprit du lecteur. Les détails ne sont pas des détails. Ils donnent profondeur et réalisme aux personnages.
En bon lecteur à la merci du suspens créé par l'auteur, on n'attend bien évidemment que la rencontre des deux principaux. On comprend au fur et mesure que leurs destins sont (déjà) liés mais la vie les a séparés... pour les faire se retrouver dans un monde où la réalité a légèrement bougé. Une réalité décalée.

De sa plume simple et fluide, Murakami mêle si habilement onirisme et réalité que l'ensemble s'équilibre parfaitement au final. De la magie.

Des personnages cabossés à la racine par la vie, une réflexion sur le libre-arbitre, la capacité de jugement, le cultuel, l'endoctrinement, la frontière entre le bien et le mal, la vengeance et la justice.
Qu'est ce qui fait qu'à un moment on bascule de l'autre côté de la ligne blanche. Que d'un état A, on glisse vers un état A'...

Je crois avoir déjà vu passer "Pillow Thoughts"... Dans la même veine, il y a entre autres les recueils de Rupi Kaur

Dans le genre alternance des deux protagonistes qui ont un destin lié mais des vies séparées, si tu ne l'as pas déjà lu, je te conseille vraiment Kafka sur le Rivage, toujours de Murakami ! sourire

C'est dans la même veine, deux personnages liés par le destin, sauf que eux ne se croiseront jamais réellement de tout le livre (même si leurs chemins prennent toujours la même direction). Cet auteur est vraiment incroyable ! love

J'avais fait quelques recherches pour savoir s'il existait des auteurs dans la même veine que son genre bien à lui et j'étais tombé sur Yoko Ogawa, mais je n'ai jamais lu un de ses livres pour le moment... Tu connais peut-être ?

Concernant Rupi Kaur, en effet ça a l'air pas mal, j'avais acheté Lait et Miel pour un proche et j'avais commencé à le feuilleter un peu, mais en temps qu'homme, j'ai trouvé que son livre s'adresse beaucoup plus aux femmes... J'aime m’immerger dans ce que je lis comme si je pourrais en être le protagoniste / destinataire et malheureusement je n'ai pas eu ce sentiment avec Rupi Kaur... Mais je ne doute en aucun cas que c'est une excellente autrice !

ça donne envie de lire Murakami les amus écouteur

Tiens Erèbe, je te fais un cadeau.
Peut-être as-tu tout lu déjà?

https://a2cmasques.files.wordpress.com/2013/09/h-p-lovecraft-oeuvres-lovecraft-howard-phillips.pdf

Maldoror a écrit:: Tiens Erèbe, je te fais un cadeau.
Peut-être as-tu tout lu déjà?

https://a2cmasques.files.wordpress.com/2013/09/h-p-lovecraft-oeuvres-lovecraft-howard-phillips.pdf

Merci Maldo ! En effet, je connais bien Lovecraft... grimace

J'ai un gros recueil de ses nouvelles, mais je suis un peu déçu par la qualité du papier et c'est écrit en tout petit (édition Robert LAFFONT). Je lui préfère quand même E.A. Poe dans le genre épouvante, même si l'univers Lovecraftien est frissonnement génial... sourire

Ciel à l'instant

Tableaux Astro

Articles Astro

Astrothème

Astrodienst

Le coin lecteur

Le coin lecteur