Rappel du premier message :

traduction : des news sur les conséquences co-latérales en + comme en - du virus :
Celles avec humour ont aussi leur place

On sait déjà pour la pollution atmosphérique , donc post ouvert si vous voulez y contribuer ; pas trop de papotage ça évitera d'avoir des XXlongues .

la très bonne new :

Au Gabon, les ventes de pangolin flanchent avec le coronavirus

Résultat inattendu de la pandémie qui ébranle le monde entier: sur les marchés gabonais, les vendeuses ont perdu leurs meilleurs clients. L'animal, considéré par des ONG de protection de l'environnement comme le plus victime de braconnage au monde, est en effet soupçonné par une équipe de chercheurs chinois d'avoir transmis la maladie Covid-19 à l'homme, à Wuhan, en Chine.

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Les films sur Canal+ en clair

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Coronavirus: aux Pays-Bas, après le papier toilette et les pâtes, les stocks de cannabis

Spoiler:

Etats-Unis : les Sioux obtiennent une victoire inattendue face à l’oléoduc Dakota Access

Un juge fédéral a remis en question, mercredi, le permis d’exploiter le pipeline, quatre ans après la mobilisation internationale à Standing Rock, dans le Dakota du Nord.

Article Le Monde

(Jugement pas vraiment lié à Covid, mais les Lakota de Standing Rock ont demandé l'arrêt des travaux d’agrandissement pour cause de possible contagion, voir ci-dessous)

ANNULER KXL: Arrêter la construction de Keystone XL en raison d'une urgence de santé publique liée au coronavirus

Alors que l'urgence de santé publique causée par le nouveau coronavirus force la distanciation sociale et les fermetures de communautés, TC Energy (anciennement TransCanada) est sur le point de mettre en danger des milliers de travailleurs en les envoyant dans des communautés rurales et tribales sur le chemin de son projet de pipeline Keystone XL qui ne sont pas équipés pour gérer la menace pour la santé publique, en plus de l'augmentation de la criminalité et de la violence sexuelle - ciblant en particulier les femmes autochtones - résultant des «camps d'hommes» des travailleurs des pipelines.

TransCanada continue d'aller de l'avant contre tout bon jugement, et malgré le fait que la société n'ait même pas obtenu tous les permis fédéraux, étatiques et locaux nécessaires pour le projet Keystone XL - qui fait également face à trois contestations devant les tribunaux fédéraux pour divers permis et poursuites des propriétaires fonciers du Nebraska luttant contre la saisie éminente de leurs terres par leur domaine.

Un nombre croissant de villes et d'entreprises du monde entier annulent des projets de construction pour protéger les travailleurs et les communautés locales de la menace pour la santé publique, notamment les villes de Boston et de San Francisco, tous les parcs Disneyland et les réparations de la cathédrale Notre-Dame de Paris.

Les chercheurs signalant que les personnes particulièrement jeunes peuvent être «asymptomatiques» et se sentir et sembler en parfaite santé, elles peuvent toujours être très contagieuses malgré l'absence de symptômes.

Les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis prévoient que pas moins de 214 millions de personnes aux États-Unis pourraient être infectées par le nouveau coronavirus, et que 1,7 million pourraient mourir.

C'est un moment où nous devons reconnaître que la santé et la sécurité de tous - en particulier des communautés les plus vulnérables et marginalisées - font partie intégrante de la santé et de la sécurité de notre pays tout entier. C'est pourquoi nous faisons tous des sacrifices pour protéger nos amis, nos familles et nos voisins.

Il n'est absolument pas nécessaire de risquer la santé et la sécurité des travailleurs de la construction ou des collectivités rurales pour le projet de pipeline d'exportation de sables bitumineux d'une société étrangère. TC Energy doit immédiatement cesser aujourd'hui toute activité de «pré-construction» sur le projet Keystone XL - et rappeler tous les travailleurs qu'il a déjà envoyés dans les petites communautés rurales et tribales du Montana, du Dakota du Sud et du Nebraska.

En outre, nous appelons TC Energy à commencer à donner la priorité à la santé et au bien-être de ses travailleurs pendant cette menace pour la santé publique et à fournir un soutien complet aux chômeurs.

CANCEL KXL: Halt All Keystone XL Construction Due to Coronavirus Public Health Emergency


🤬L'administration Trump permet aux entreprises d'enfreindre les lois sur la pollution pendant la pandémie de coronavirus

Une décision extraordinaire signale aux entreprises américaines qu'elles ne seront pas sanctionnées pour avoir pollué l'air ou l'eau

L'agence américaine de protection de l'environnement (EPA) a suspendu son application des lois environnementales pendant l'épidémie de coronavirus en cours, signalant aux entreprises qu'elles ne seront passibles d'aucune sanction pour avoir pollué l'air ou l'eau des Américains.

Dans un geste extraordinaire qui a stupéfié les anciens responsables de l'EPA, l'administration Trump a déclaré qu'elle ne s'attendrait pas à ce que les contrôles de routine et les rapports de pollution soient respectés et qu'elle ne poursuivra pas de sanctions pour avoir enfreint ces règles.

Les pollueurs pourront ignorer les lois environnementales tant qu'ils pourront prétendre d'une manière ou d'une autre que ces violations ont été causées par la pandémie de Covid-19. En cas de menace imminente pour la santé publique, l'EPA s'en remettra aux États et «examinera les circonstances» pour savoir si elle doit intervenir.

Aucune date de fin n'est fixée pour cette suppression de l'application.

Andrew Wheeler, administrateur de l'EPA, a déclaré que le coronavirus avait rendu difficile pour les entreprises de protéger les travailleurs et le public tout en respectant les règles de l'air pur et de l'eau.

"Cette politique temporaire est conçue pour fournir une discrétion d'application dans les conditions extraordinaires actuelles, tout en garantissant que les opérations de l'installation continuent de protéger la santé humaine et l'environnement", a déclaré Wheeler.

La nouvelle position a provoqué un tollé parmi les anciens responsables de l'EPA et les groupes environnementaux qui avertissent que le balayage posera un risque supplémentaire pour la santé publique au milieu de la pandémie.

"L'EPA ne devrait jamais renoncer à son droit et à son obligation d'agir immédiatement et de manière décisive lorsqu'il existe une menace pour la santé publique, quelle qu'en soit la raison", a déclaré Cynthia Giles, qui était chef de l'application de l'EPA pendant l'administration Obama.

«Je ne suis au courant d'aucun cas où l'EPA ait jamais renoncé à cette autorité fondamentale comme elle le fait dans cette note. Cette note de service équivaut à un moratoire national sur l'application des lois environnementales nationales et abdique la responsabilité de l'EPA de protéger le public. »

Une lettre envoyée à l'EPA par Giles et un certain nombre d'autres défenseurs de l'environnement déclare que même s'il peut être «raisonnable dans des circonstances limitées» d'assouplir certaines mesures d'application pendant la crise, la dérogation générale aux exigences environnementales constitue un danger pour le public américain.

La pollution atmosphérique émise par les installations industrielles, qui sont principalement situées dans des communautés comptant un grand nombre de personnes à faible revenu et de personnes de couleur, est particulièrement préoccupante. Covid-19 attaque le système respiratoire, sa propagation provoquant une accélération des états pour plus de ventilateurs afin d'empêcher la mort de milliers de personnes infectées.

La pollution de l'air que les installations industrielles n'auront pas à surveiller endommage le système respiratoire, ce qui est particulièrement dangereux pour les populations déjà à risque qui peuvent également être infectées par Covid-19, qui attaque les poumons.

"Excuser la libération potentielle d'excès de polluants atmosphériques toxiques et d'autres pollutions qui aggravent l'asthme, les difficultés respiratoires et les problèmes cardiovasculaires au milieu d'une pandémie pouvant provoquer une insuffisance respiratoire est irresponsable du point de vue de la santé publique", indique la lettre.

«Il ne s'agit pas de rapports et de paperasse», a déclaré Eric Schaeffer, directeur exécutif du Environmental Integrity Project.

"Si vous volez en aveugle parce que vous ne surveillez pas la pollution et que le public est aveugle en vol parce que vous ne le signalez pas, beaucoup de problèmes qui surgissent lorsque vous faites ces choses vont rester cachés", a déclaré Schaeffer. .

Dans un exemple, les raffineries de pétrole ne seront pas obligées de déclarer et de réduire leurs émissions cancérigènes de benzène. Dix raffineries, la plupart au Texas, ont déjà dépassé les limites.

L'assouplissement des lois environnementales fait suite au lobbying de l'American Petroleum Institute, un groupe de l'industrie pétrolière et gazière, qui a envoyé cette semaine à l'EPA une lettre demandant la suspension des règles exigeant la réparation des équipements qui fuient ainsi que la surveillance de la pollution.

La décision de l’EPA va encore plus loin que cette demande, bien que le régulateur ait déclaré qu’il s’attend à ce que les entreprises se conforment aux lois «lorsque cela est raisonnablement possible» et qu’il ne tolérera pas de violations flagrantes et intentionnelles de la loi.

Cependant, Michael Brune, directeur exécutif du Sierra Club, a indiqué que cette décision pourrait être contestée devant les tribunaux. "Bien qu'il n'y ait peut-être aucune limite aux délais que Trump et Wheeler sont disposés à prendre pour les pollueurs d'entreprise, il y a une limite à ce que le public permettra", a déclaré Brune. "Cette action illégale et téméraire ne restera pas sans contrôle."

Trump administration allows companies to break pollution laws during coronavirus pandemic

Remarque : il se termine en beauté, il aura passé son temps à tout détricoter des lois environnementales et sur la protection de la nature.

pour les amérindiens !

ça c'est pour trump ( sans majuscule , rien à foutre )

Confinement : peut-on drifter chez soi en Shelby Cobra ?

Les effets étonnants du confinement sur notre sexualité

ben tu fais comment avec Mars-Pluton ?
et puis aussi la sensuelle Vénus en Taureau

Tu te confiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiines...................

Les bonnes idées sont universelles...

Alpes-de-Haute-Provence : Des visières de protection pour les infirmières et personnels soignants

Brésil :

Ufopa e Saúde e Alegria fabricam máscaras em impressora 3D para profissionais de saúde

Covid-19: cessez-le-feu mondial maintenant!

"Notre monde fait face à un ennemi commun: COVID-19. Le virus ne se soucie pas de la nationalité ou de l'ethnie, de la faction ou de la foi. Il attaque tous sans relâche.

Pendant ce temps, le conflit armé fait rage dans le monde entier.
Les plus vulnérables - femmes et enfants, personnes handicapées, marginalisés et déplacés - paient le prix le plus élevé. Ils courent également le plus grand risque de subir des pertes dévastatrices à cause du COVID-19.

N'oublions pas que dans les pays ravagés par la guerre, les systèmes de santé se sont effondrés.

Les professionnels de santé, déjà peu nombreux, ont souvent été ciblés. Les réfugiés et autres personnes déplacées par un conflit violent sont doublement vulnérables. La fureur du virus illustre la folie de la guerre.

C'est pourquoi aujourd'hui, j'appelle à un cessez-le-feu mondial immédiat dans tous les coins du monde. Il est temps de mettre le conflit armé sous contrôle et de se concentrer ensemble sur le vrai combat de nos vies. "

- António Guterres, secrétaire général de l'ONU

Pétition : Covid-19: Global Ceasefire Now!




Coronavirus: l'Europe livre du matériel médical à l'Iran grâce au mécanisme de troc Instex

“Dès la troisième nuit, il m’a avoué qu’il avait envie de moi” : confinés avec leur ex pour le bien de leurs enfants

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Coronavirus: Réfugiés et cuisiniers, ils préparent les repas des soignants et des démunis

Shenzhen devient la première ville chinoise à interdire de manger des chats et des chiens

Cela survient après que l'épidémie de coronavirus a été liée à la viande d'animaux sauvages, ce qui a incité les autorités chinoises à interdire le commerce et la consommation d'animaux sauvages.
Shenzhen est allé plus loin en étendant l'interdiction aux chiens et aux chats. La nouvelle loi entrera en vigueur le 1er mai.

Selon la Humane Society International (HSI), trente millions de chiens sont tués chaque année en Asie pour leur viande.
Cependant, la pratique de manger de la viande de chien en Chine n'est pas si courante - la majorité des Chinois ne l'ont jamais fait et disent qu'ils ne le veulent pas.

"Les chiens et les chats en tant qu'animaux de compagnie ont établi une relation beaucoup plus étroite avec les humains que tous les autres animaux, et l'interdiction de la consommation de chiens et de chats et d'autres animaux de compagnie est une pratique courante dans les pays développés et à Hong Kong et à Taiwan", a déclaré le gouvernement de la ville de Shenzhen. , selon un rapport de Reuters.

"Cette interdiction répond également à la demande et à l'esprit de la civilisation humaine."

L'organisation de défense des animaux HSI a salué cette décision.
"Cela pourrait vraiment être un moment décisif dans les efforts visant à mettre fin à ce commerce brutal qui tue environ 10 millions de chiens et 4 millions de chats en Chine chaque année", a déclaré le Dr Peter Li, spécialiste des politiques chinoises pour HSI.

Cependant, en même temps que cette décision, la Chine a approuvé l'utilisation de la bile d'ours pour traiter les patients atteints de coronavirus.
La bile d'ours - un fluide digestif drainé des ours vivants en captivité - est utilisée depuis longtemps dans la médecine traditionnelle chinoise.
L'ingrédient actif, l'acide ursodésoxycholique, est utilisé pour dissoudre les calculs biliaires et traiter les maladies du foie. Mais il n'y a aucune preuve qu'il est efficace contre le coronavirus et le processus est douloureux et pénible pour les animaux.

Brian Daly, porte-parole de la Fondation Animals Asia, a déclaré à l'AFP: "Nous ne devons pas nous fier aux produits de la faune sauvage comme la bile d'ours comme solution pour lutter contre un virus mortel qui semble provenir de la faune sauvage."

Shenzhen becomes first Chinese city to ban eating cats and dogs

Chaque pays traite la situation "Covid-19" de façon bien particulière, en fonction de sa culture, de la relation entre le gouvernement et les citoyens.

Chaque individu en fait autant, traite la situation en fonction de ses systèmes de croyance, à propos de la maladie, de la contagion, de la mort...

Entre la peur et la confiance, là maintenant est le choix.
Certainement, pour retrouver la confiance, faut-il prendre le temps de retrouver dans la profondeur de notre Être, la sagesse et l'Amour, antidotes à la peur

La Suède et les Pays-Bas ne confinent pas leurs habitants, et c'est très culturel

Traitement Covid-19: ne perdons plus de temps ! #NePerdonsPlusDeTemps

Philippe Douste-Blazy et Christian Perronne (COLLECTIF 3 AVRIL) a lancé cette pétition adressée à Edouard Philippe (Premier ministre ) et à Olivier Véran (Ministre de la Santé)

Nous vivons une crise sanitaire mondiale d'une grande ampleur et notre pays est fortement frappé par la vague épidémique de Covid-19.

Chaque jour, nous déplorons de nombreux décès. Contre cette maladie, nous ne disposons ni de vaccins, ni de traitement antiviral même si les données scientifiques actuelles sont parcellaires et discordantes.

Des données chinoises récentes ont suggéré l'efficacité de la chloroquine ou de l'hydroxychloroquine au laboratoire et chez les malades. Une étude publiée par Chen et coll. (Efficacy of hydroxychloroquine in patients with Covid-19 : results of a randomized clinical trial) montre l'efficacité de l'hydroxychloroquine chez les malades atteints par le Covid-19 souffrant de pneumonie moyennement sévère ; les quelques patients qui se sont aggravés ne recevaient pas le traitement.

Des cartes publiées par Santé Publique France montrent un taux de mortalité chez les personnes hospitalisées beaucoup plus faible à Marseille que dans le reste du territoire.

Au vu des données scientifiques internationales ainsi que des expériences de terrain remontant de médecins au contact direct de l'infection et en l'attente de nouvelles données scientifiquement contrôlées, les autorités italiennes, puis américaines ont pris, dans ce domaine, des décisions thérapeutiques hardies.

Le 17 mars 2020, l'agence de médicament italienne considérant l'urgence sanitaire a autorisé la prescription de l'hydroxychloroquine par tous médecins, y compris les médecins des villes.

Pour éviter tous risques ou dérives, ce médicament doit être délivré en pharmacie hospitalière avec obligation d'assurer une traçabilité des prescriptions et un retour des données médicales.

Le 29 mars, après avis favorable de la FDA (agence américaine du médicament), le ministère de la santé des Etats-Unis d'Amérique (US Department of HHS) a décidé de mettre de la chloroquine et de l'hydroxychloroquine à la disposition des pharmacies hospitalières sur l'ensemble du territoire fédéral.

Le Gouvernement américain utilisera sa réserve stratégique faite de millions de traitements constitués depuis plusieurs semaines.

Dès maintenant, la FDA autorise tous les médecins hospitaliers américains à prescrire ces deux médicaments y compris en dehors d'essais thérapeutiques. Elle demande, comme en Italie, que toutes les données médicales des malades traités soient collectées afin de les analyser.

Le Portugal vient de recommander ces traitements pour les cas de Covid-19 avec pneumonie.

La tolérance de ces médicaments prescrits à des millions d'individus depuis des décennies est bonne à condition expresse de respecter le dosage et les contre-indications, de vérifier la compatibilité avec d'autres médicaments pris simultanément, de contrôler le taux de potassium dans le sang et de réaliser préalablement un électrocardiogramme surtout en cas de prescription associée d'azithromycine.

Il faut éviter à tout prix l'automédication.

En attente de nouvelles données scientifiquement contrôlées, dans la situation aigüe que nous connaissons, de plus en plus de médecins pensent que cette stratégie s'impose, conforme à leur serment d'Hippocrate, de traiter leurs malades en leur âme et conscience.

Or le décret en vigueur en France n° 2020/337 du 26 mars 2020 ne permet l'utilisation de l'hydroxychloroquine qu'"après décision collégiale, dans le respect des recommandations du Haut-Conseil de la Santé Publique et, en particulier de l'indication pour les patients atteints de pneumonie oxygéno-requérante ou d'une défaillance d'organe".

A ce stade trop tardif de la maladie, ce traitement risque d'être inefficace. Si l'efficacité de l'hydroxychloroquine se confirme, il faudra rapidement ouvrir le protocole aux médecins libéraux pour éviter la saturation des hôpitaux.

Nous demandons donc au Premier ministre et à son Ministre de la Santé de modifier d'urgence ce décret et de mettre à disposition immédiate dans toutes les pharmacies hospitalières de l'hydroxychloroquine ou, à défaut, de la chloroquine pour que chaque médecin hospitalier puisse en prescrire à tous les malades atteints de forme symptomatiques de l'affection à Covid-19, particulièrement à ceux atteints de troubles pulmonaires si leur état le requiert.

Nous appelons l'Etat à effectuer des réserves ou des commandes d'hydroxychloroquine afin que, si l'efficacité se confirmait dans les prochains jours, nous ne soyons pas en manque de traitement.

Pr. Philippe Douste-Blazy, Professeur de santé publique et d’épidémiologie, ancien Ministre de la Santé

Pétition Change.org

ça pourrait bien être la pétition la plus signée

Différentes stratégies de résistance à la propagation du nouveau coronavirus ont vu le jour dans différents pays.
Mais celle qui a traversé partout est simple et, soi-disant, peut être fait par n'importe qui: "Lavez-vous les mains avec de l'eau et du savon pendant au moins 20 secondes."


Ces conseils tiennent pour acquis une eau potable abondante, mais dans de nombreuses régions du monde, l'eau douce et propre n'est pas garantie. Là où elle se trouve, elle peut être rare. Que se passera-t-il dans ces endroits si et quand la pandémie s'intensifie et que le besoin d'un assainissement adéquat devient de plus en plus urgent?

Selon l'Organisation mondiale de la santé, un lavage fréquent et minutieux des mains peut aider à réduire vos risques de contracter des maladies infectieuses telles que COVID-19. Les statistiques mondiales pour 2017 ont révélé qu'un mauvais assainissement et un accès limité aux installations de lavage des mains ont causé environ 1,5 million de décès. Près de 2,2 milliards de personnes vivent actuellement sans points d'eau gérés de manière sûre et environ 22% des établissements de santé dans les pays les moins avancés ne disposent pas de services d'eau de base.

Une eau propre et une bonne hygiène sont le minimum absolu nécessaire pour lutter contre la propagation du nouveau coronavirus. Mais en Afrique subsaharienne, la Banque mondiale a signalé qu'environ 75% des personnes vivant dans les zones rurales vivent dans des maisons qui manquent d'installations adéquates pour se laver les mains. Un organisme de bienfaisance travaillant dans la province occidentale du Kenya a constaté que 95% des ménages visités n'avaient pas accès à l'eau courante.

On sait depuis un certain temps que les pays sans système fiable d'approvisionnement en eau pour tous sont susceptibles d'être plus vulnérables aux maladies infectieuses. Les taux de mortalité par diarrhée en 2017 étaient les plus élevés en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud. Ici, l'eau potable insalubre et un mauvais assainissement étaient les facteurs de risque les plus élevés de développer la maladie chez les personnes de 70 ans et plus.

De même, 72% des décès dus à la diarrhée chez les enfants de moins de cinq ans en 2016 ont été causés par une eau insalubre, principalement dans les pays d'Afrique australe sujets à la sécheresse. Mais même les endroits avec un approvisionnement suffisant en eau propre sont susceptibles de faire face à une pression intolérable car le lavage fréquent des mains devient essentiel.

Un point de basculement

En Jordanie, où plus de 93% des personnes avaient accès à de l'eau salubre en 2015, un responsable du secteur de l'eau a récemment déclaré que la demande d'eau avait bondi de 40% depuis que le gouvernement avait ordonné aux gens de rester chez eux dans le cadre d'un couvre-feu national. Cela s'ajoute à une augmentation constante de la demande en eau de 22% depuis 2011, alors que les réfugiés syriens sont arrivés, fuyant la guerre civile. La population croissante a limité la part d'eau de chaque individu en Jordanie à moins de 80 litres par jour.

L'augmentation soudaine de la demande en eau dans les pays où l'approvisionnement est déjà tendu pourrait entraîner des pénuries généralisées. Mais dans les endroits où il n'y a pas d'approvisionnement régulier et sûr en eau, le risque d'infection pourrait se multiplier.

Comme COVID-19, la pénurie d'eau est un problème mondial qui nécessite une action collective. Il n'y a pas de moment plus urgent pour faire face à la crise mondiale de l'eau qu'aujourd'hui, où l'on rappelle constamment aux gens d'utiliser l'eau pour lutter contre la propagation du virus.

Agir sur le changement climatique est un moyen de limiter les sécheresses à l'origine de nombreuses pénuries d'eau de surface, tout comme la réforme de l'agriculture pour réduire le pompage pour l'irrigation. La gestion des sources d'eau comme un bien commun, avec un accès garanti à tous, est tout aussi importante.

La crise sanitaire du COVID-19 nous a jusqu'à présent appris que l'action collective est le bon moyen de résoudre un problème commun, sinon le seul. Cela devrait obliger les chercheurs à faire tout leur possible pour communiquer leurs résultats et leur expertise, pour combler le fossé entre la communauté scientifique et tout le monde. Le partage des connaissances au sein de la communauté d'une manière plus inclusive aiderait les autres à concevoir des solutions innovantes pour protéger les sources d'eau, améliorer l'assainissement et développer des projets d'hygiène.

Que l'épidémie de COVID-19 nous rappelle à tous à quel point l'eau courante sûre est importante pour nous garder en bonne santé, et consacrer une pensée à ceux qui ne peuvent pas compter sur elle qui coule toujours. Faire en sorte que l'eau potable et l'hygiène soient un droit garanti à tous est une exigence urgente de justice mondiale, mais elle est également essentielle pour préparer le monde à résister au développement de futures pandémies.

Raya A. Al-Masri est titulaire d'un doctorat. chercheur en environnement et durabilité à l'Université de Surrey.

Can Countries in a Water Crisis Resist Coronavirus Spread?

PORTUGAL:

Le président du Portugal: il est temps pour les banques de restituer le soutien qu'elles ont reçu pendant la crise

Le président du Portugal, Marcelo Rebelo de Sousa, a déclaré aujourd'hui que les banques doivent au pays une contribution "très importante" pour les années de crise et qu'il est maintenant temps pour elles de rembourser les Portugais pour ce soutien.

"Chaque Portugais a contribué à rendre les banques viables. En ce moment, sachant que la banque est stabilisée, c'est l'occasion de rembourser les Portugais pour ce que nous avons fait", a-t-il déclaré aux journalistes à Vila Franca da Xira, où il a visité une unité agricole. .

Le président a rappelé que le secteur bancaire devait "une contribution très importante" au pays en raison de la crise et a estimé que, pour cette raison, il devait désormais entrer dans la "course contre la montre" contre la pandémie de Covid-19 et ses effets sociaux et économiques.

"Un jour plus tard, c'est pire qu'un jour plus tôt. L'économie a besoin d'argent plus tôt, les familles ont besoin d'argent plus tôt, les travailleurs doivent travailler plus tôt, les salaires plus tôt. Ce combat appartient également aux banques", a-t-il défendu.

Pour cette raison, il tiendra lundi prochain une vidéoconférence avec les présidents des cinq principales banques du pays - Caixa Geral de Depósito, BCP, Santander, Novo Banco et Banco BPI - pour comprendre comment le secteur voit la situation et les mesures appliquées par le gouvernement et discuter du soutien qu'ils peuvent apporter.

"C'est une course contre la montre. Tout le pays se confine pour contenir le virus et une autre partie produit. La banque doit également contribuer", a-t-il insisté.

Pendant l'état d'urgence, le gouvernement a déjà décrété certaines mesures concernant les banques, notamment un moratoire de six mois sur les prêts aux familles et aux entreprises qui ont des difficultés à y faire face.

El presidente de Portugal: es momento de que la banca devuelva el apoyo que recibió en la crisis

On attend pareil avec Macron ! comment ça je rêve !?