Salut - j' ai promis parler de mon frère
Daniel est deuxième fils de
nos parents. Il était un enfant très aimable, il était
beau, un teint bronzé - depuis sa naissance mon père
avait peur qu' il est le fils plus préféré chez ma
mère, grâce à son apparence belle. Notre père a eté plus
sévère à lui.
Daniel dessinait bien, il lisait
beaucoup, il était attiré par Karl May, je me
souviens, qu' il a fait un bandeau d'indiens, un costume, un arc et
des flèches en silex, un carquois d' écorce de bouleau,
des raquette facilitent la marche dans la naige..., il se livrait aux
mêmes activités que son frére plus agé de
deux ans, il etait plus doué dans tous les domaines (echecs,
cours d'orientation), mais moin motivé (il ne veux pas faire
ce que veux son père). Mon père disait en lui, qu' il
est un paresseux. Nos parents se disputerait souvent - notre père nous battait, notre mère nous gardait.
Quand
Daniel a eu 16 ans (à veille de Noel), il a fui devant notre père et ses méthodes d' édutation. Le première fois il a parti aux montagnes, il a vit quinze jour dans une cabane cachée. Plus tard il est rentré sur les instances de notre mère à veille de Noel, mais notre père a
foncé sur lui avec ciseaux dans les mains voulant couper
violencement leurs chevaux longs et mon frère a quité notre famille définitivement. Il m'a dit, qu'il ne va plus rester ou il ne se sent bien.
De cet jour il demeurait chez ses copains de lycée, dans des
bâtiments abandonnés, dans les égouts, chez la
maîtresse de sa class... il a réussi son bac et trois annés plus tard il a commensé etudier au faculté.
Pendant ses etudes il voyageait beaucoup. Il a faisait plus des séjours chez Baïkal (une anée et demi parmi les Buryat), au nord d' Indie (six moins), au Tibet, China, Mongolie...pour recherche de boudhisme contemporain. Il a passé son doctorat et aujourdhui il est un professeur d' Université de Charles IV à Prague. Il parle russe, anglais, latin, grec et tibétain. Il donne des courses aussi à Varsovie et à Vienne. Il traduite des livres réligieux du tibétain en l'anglais.
Je pense que il a trouvé le sens à sa vie. Il veux sauvegarder l' héritage spirituel et patrimoine culturel du Tibet. Le monde est plain de gens qui sont comme les acheteurs au supermarché. Ils veulent goûter des cultures étrangéres, mais ils ne s'intéressent plus profondément aux gens qui pratiquent cettes cultures. Chaque culture comme une marchandise pour les touristes perd ses fonctions vivantes. Mon frère m'a dit, qu' il est en souci de trouver un disciple doué qui voudrait consacrer sa vie à la même chose.