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Auteur | Message |
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Lunico
| Sujet: Lettre aux français Dim 13 Jan - 21:25 | |
| Rappel du premier message :Chères Françaises, chers Français, mes chers compatriotes,
Dans une période d'interrogations et d'incertitudes comme celle que nous traversons, nous devons nous rappeler qui nous sommes.
La France n'est pas un pays comme les autres.
Le sens des injustices y est plus vif qu'ailleurs. L'exigence d'entraide et de solidarité plus forte.
Chez nous, ceux qui travaillent financent les pensions des retraités. Chez nous, un grand nombre de citoyens paie un impôt sur le revenu, parfois lourd, qui réduit les inégalités. Chez nous, l'éducation, la santé, la sécurité, la justice sont accessibles à tous indépendamment de la situation et de la fortune. Les aléas de la vie, comme le chômage, peuvent être surmontés, grâce à l'effort partagé par tous.
C'est pourquoi la France est, de toutes les nations, une des plus fraternelles et des plus égalitaires.
C'est aussi une des plus libres, puisque chacun est protégé dans ses droits et dans sa liberté d'opinion, de conscience, de croyance ou de philosophie.
Et chaque citoyen a le droit de choisir celles et ceux qui porteront sa voix dans la conduite du pays, dans la conception des lois, dans les grandes décisions à prendre.
Chacun partage le destin des autres et chacun est appelé à décider du destin de tous : c'est tout cela, la nation française.
Comment ne pas éprouver la fierté d'être Français ?
Je sais, bien sûr, que certains d'entre nous sont aujourd'hui insatisfaits ou en colère. Parce que les impôts sont pour eux trop élevés, les services publics trop éloignés, parce que les salaires sont trop faibles pour que certains puissent vivre dignement du fruit de leur travail, parce que notre pays n'offre pas les mêmes chances de réussir selon le lieu ou la famille d'où l'on vient. Tous voudraient un pays plus prospère et une société plus juste.
Cette impatience, je la partage. La société que nous voulons est une société dans laquelle pour réussir on ne devrait pas avoir besoin de relations ou de fortune, mais d'effort et de travail.
En France, mais aussi en Europe et dans le monde, non seulement une grande inquiétude, mais aussi un grand trouble ont gagné les esprits. Il nous faut y répondre par des idées claires.
Mais il y a pour cela une condition : n'accepter aucune forme de violence. Je n'accepte pas, et n'ai pas le droit d'accepter la pression et l'insulte, par exemple sur les élus du peuple, je n'accepte pas et n'ai pas le droit d'accepter la mise en accusation générale, par exemple des médias, des journalistes, des institutions et des fonctionnaires. Si tout le monde agresse tout le monde, la société se défait !
Afin que les espérances dominent les peurs, il est nécessaire et légitime que nous nous reposions ensemble les grandes questions de notre avenir.
C'est pourquoi j'ai proposé et je lance aujourd'hui un grand débat national qui se déroulera jusqu'au 15 mars prochain.
Depuis quelques semaines, de nombreux maires ont ouvert leurs mairies pour que vous puissiez y exprimer vos attentes. J'ai eu de nombreux retours que j'ai pu prendre en compte. Nous allons désormais entrer dans une phase plus ample et vous pourrez participer à des débats près de chez vous ou vous exprimer sur internet pour faire valoir vos propositions et vos idées. Dans l'Hexagone, outre-mer et auprès des Français résidant à l'étranger. Dans les villages, les bourgs, les quartiers, à l'initiative des maires, des élus, des responsables associatifs, ou de simples citoyens… Dans les assemblées parlementaires comme régionales ou départementales.
Les maires auront un rôle essentiel car ils sont vos élus et donc l'intermédiaire légitime de l'expression des citoyens.
Pour moi, il n'y a pas de questions interdites. Nous ne serons pas d'accord sur tout, c'est normal, c'est la démocratie. Mais au moins montrerons-nous que nous sommes un peuple qui n'a pas peur de parler, d'échanger, de débattre.
Et peut-être découvrirons-nous que nous pouvons tomber d'accord, majoritairement, au-delà de nos préférences, plus souvent qu'on ne le croit.
Je n'ai pas oublié que j'ai été élu sur un projet, sur de grandes orientations auxquelles je demeure fidèle. Je pense toujours qu'il faut rendre à la France sa prospérité pour qu'elle puisse être généreuse, car l'un va avec l'autre. Je pense toujours que la lutte contre le chômage doit être notre grande priorité, et que l'emploi se crée avant tout dans les entreprises, qu'il faut donc leur donner les moyens de se développer. Je pense toujours qu'il faut rebâtir une école de la confiance, un système social rénové pour mieux protéger les Français et réduire les inégalités à la racine. Je pense toujours que l'épuisement des ressources naturelles et le dérèglement climatique nous obligent à repenser notre modèle de développement. Nous devons inventer un projet productif, social, éducatif, environnemental et européen nouveau, plus juste et plus efficace. Sur ces grandes orientations, ma détermination n'a pas changé.
Mais je pense aussi que de ce débat peut sortir une clarification de notre projet national et européen, de nouvelles manières d'envisager l'avenir, de nouvelles idées.
À ce débat, je souhaite que le plus grand nombre de Français, le plus grand nombre d'entre nous, puisse participer.
Ce débat devra répondre à des questions essentielles qui ont émergé ces dernières semaines. C'est pourquoi, avec le Gouvernement, nous avons retenu quatre grands thèmes qui couvrent beaucoup des grands enjeux de la nation : la fiscalité et les dépenses publiques, l'organisation de l'Etat et des services publics, la transition écologique, la démocratie et la citoyenneté. Sur chacun de ces thèmes, des propositions, des questions sont d'ores et déjà exprimées. Je souhaite en formuler quelques-unes qui n'épuisent pas le débat mais me semblent au cœur de nos interrogations.
Le premier sujet porte sur nos impôts, nos dépenses et l'action publique. L'impôt est au cœur de notre solidarité nationale. C'est lui qui finance nos services publics. Il vient rémunérer les professeurs, pompiers, policiers, militaires, magistrats, infirmières et tous les fonctionnaires qui œuvrent à votre service. Il permet de verser aux plus fragiles des prestations sociales mais aussi de financer certains grands projets d'avenir, notre recherche, notre culture, ou d'entretenir nos infrastructures. C'est aussi l'impôt qui permet de régler les intérêts de la dette très importante que notre pays a contractée au fil du temps.
Mais l'impôt, lorsqu'il est trop élevé, prive notre économie des ressources qui pourraient utilement s'investir dans les entreprises, créant ainsi de l'emploi et de la croissance. Et il prive les travailleurs du fruit de leurs efforts. Nous ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises pour corriger cela afin d'encourager l'investissement et faire que le travail paie davantage. Elles viennent d'être votées et commencent à peine à livrer leurs effets. Le Parlement les évaluera de manière transparente et avec le recul indispensable. Nous devons en revanche nous interroger pour aller plus loin.
Comment pourrait-on rendre notre fiscalité plus juste et plus efficace ? Quels impôts faut-il à vos yeux baisser en priorité ?
Nous ne pouvons, quoi qu'il en soit, poursuivre les baisses d'impôt sans baisser le niveau global de notre dépense publique.
Quelles sont les économies qui vous semblent prioritaires à faire ? Faut-il supprimer certains services publics qui seraient dépassés ou trop chers par rapport à leur utilité ? A l'inverse, voyez-vous des besoins nouveaux de services publics et comment les financer ?
Notre modèle social est aussi mis en cause. Certains le jugent insuffisant, d'autres trop cher en raison des cotisations qu'ils paient. L'efficacité de la formation comme des services de l'emploi est souvent critiquée. Le gouvernement a commencé à y répondre, après de larges concertations, à travers une stratégie pour notre santé, pour lutter contre la pauvreté, et pour lutter contre le chômage.
Comment mieux organiser notre pacte social ? Quels objectifs définir en priorité ?
Le deuxième sujet sur lequel nous devons prendre des décisions, c'est l'organisation de l'Etat et des collectivités publiques. Les services publics ont un coût, mais ils sont vitaux : école, police, armée, hôpitaux, tribunaux sont indispensables à notre cohésion sociale.
Y a-t-il trop d'échelons administratifs ou de niveaux de collectivités locales ? Faut-il renforcer la décentralisation et donner plus de pouvoir de décision et d'action au plus près des citoyens ? A quels niveaux et pour quels services ?
Comment voudriez-vous que l'Etat soit organisé et comment peut-il améliorer son action ? Faut-il revoir le fonctionnement de l'administration et comment ?
Comment l'Etat et les collectivités locales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté et que proposez-vous ?
La transition écologique est le troisième thème, essentiel à notre avenir. Je me suis engagé sur des objectifs de préservation de la biodiversité et de lutte contre le réchauffement climatique et la pollution de l'air. Aujourd'hui personne ne conteste l'impérieuse nécessité d'agir vite. Plus nous tardons à nous remettre en cause, plus ces transformations seront douloureuses.
Faire la transition écologique permet de réduire les dépenses contraintes des ménages en carburant, en chauffage, en gestion des déchets et en transports. Mais pour réussir cette transition, il faut investir massivement et accompagner nos concitoyens les plus modestes.
Une solidarité nationale est nécessaire pour que tous les Français puissent y parvenir.
Comment finance-t-on la transition écologique : par l'impôt, par les taxes et qui doit être concerné en priorité ?
Comment rend-on les solutions concrètes accessibles à tous, par exemple pour remplacer sa vieille chaudière ou sa vieille voiture ? Quelles sont les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier ?
Quelles sont les solutions pour se déplacer, se loger, se chauffer, se nourrir qui doivent être conçues plutôt au niveau local que national ? Quelles propositions concrètes feriez-vous pour accélérer notre transition environnementale ?
La question de la biodiversité se pose aussi à nous tous.
Comment devons-nous garantir scientifiquement les choix que nous devons faire à cet égard ? Comment faire partager ces choix à l'échelon européen et international pour que nos producteurs ne soient pas pénalisés par rapport à leurs concurrents étrangers ?
Enfin, il est évident que la période que notre pays traverse montre qu'il nous faut redonner plus de force à la démocratie et la citoyenneté. Être citoyen, c'est contribuer à décider de l'avenir du pays par l'élection de représentants à l'échelon local, national ou européen. Ce système de représentation est le socle de notre République, mais il doit être amélioré car beaucoup ne se sentent pas représentés à l'issue des élections.
Faut-il reconnaître le vote blanc ? Faut-il rendre le vote obligatoire ?
Quelle est la bonne dose de proportionnelle aux élections législatives pour une représentation plus juste de tous les projets politiques ?
Faut-il, et dans quelles proportions, limiter le nombre de parlementaires ou autres catégories d'élus ?
Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil Economique, Social et Environnemental doivent-ils jouer pour représenter nos territoires et la société civile ? Faut-il les transformer et comment ?
En outre, une grande démocratie comme la France doit être en mesure d'écouter plus souvent la voix de ses citoyens.
Quelles évolutions souhaitez-vous pour rendre la participation citoyenne plus active, la démocratie plus participative ?
Faut-il associer davantage et directement des citoyens non élus, par exemple tirés au sort, à la décision publique ?
Faut-il accroître le recours aux référendums et qui doit en avoir l'initiative ?
La citoyenneté, c'est aussi le fait de vivre ensemble.
Notre pays a toujours su accueillir ceux qui ont fui les guerres, les persécutions et ont cherché refuge sur notre sol : c'est le devoir de l'asile, qui ne saurait être remis en cause. Notre communauté nationale s'est aussi toujours ouverte à ceux qui, nés ailleurs, ont fait le choix de la France, à la recherche d'un avenir meilleur : c'est comme cela qu'elle s'est aussi construite. Or, cette tradition est aujourd'hui bousculée par des tensions et des doutes liés à l'immigration et aux défaillances de notre système d'intégration.
Que proposez-vous pour améliorer l'intégration dans notre Nation ? En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ? Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?
La question de la laïcité est toujours en France sujet d'importants débats. La laïcité est la valeur primordiale pour que puissent vivre ensemble, en bonne intelligence et harmonie, des convictions différentes, religieuses ou philosophiques. Elle est synonyme de liberté parce qu'elle permet à chacun de vivre selon ses choix.
Comment renforcer les principes de la laïcité française, dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ? Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?
Dans les semaines qui viennent, je vous invite à débattre pour répondre à ces questions déterminantes pour l'avenir de notre nation. Je souhaite aussi que vous puissiez, au-delà de ces sujets que je vous propose, évoquer n'importe quel sujet concret dont vous auriez l'impression qu'il pourrait améliorer votre existence au quotidien.
Ce débat est une initiative inédite dont j'ai la ferme volonté de tirer toutes les conclusions. Ce n'est ni une élection, ni un référendum. C'est votre expression personnelle, correspondant à votre histoire, à vos opinions, à vos priorités, qui est ici requise, sans distinction d'âge ni de condition sociale. C'est, je crois, un grand pas en avant pour notre République que de consulter ainsi ses citoyens. Pour garantir votre liberté de parole, je veux que cette consultation soit organisée en toute indépendance, et soit encadrée par toutes les garanties de loyauté et de transparence.
C'est ainsi que j'entends transformer avec vous les colères en solutions.
Vos propositions permettront donc de bâtir un nouveau contrat pour la Nation, de structurer l'action du Gouvernement et du Parlement, mais aussi les positions de la France au niveau européen et international. Je vous en rendrai compte directement dans le mois qui suivra la fin du débat.
Françaises, Français, je souhaite que le plus grand nombre d'entre vous puisse participer à ce grand débat afin de faire œuvre utile pour l'avenir de notre pays.
En confiance,
Emmanuel Macron
Francetvinfo.fr |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Lettre aux français Mar 5 Fév - 22:40 | |
| Pour ce qui est de la réponse de Macron à la polémique... le dénouement est très drôle, mais triste aussi car cela montre que l'Etat français n'assume pas ses responsabilités. https://www.lemonde.fr/politique/article/2019/02/04/chlordecone-l-elysee-plaide-le-malentendu-apres-la-declaration-polemique-de-macron_5419206_823448.html |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lettre aux français Mer 6 Fév - 7:20 | |
| - juandefanfan a écrit:
- C'est délirant ces vidéos.
Ce que je ne comprends pas c'est pourquoi on ne les supprime pas tout de suite ce pesticide en sachant le mal qu'il peut faire.
Les pertes d'argent pour ces fabricants de ces pesticides doivent énormes s'il y aurait un arrêt complet de production, sans compter le nombre de gens qui vont être sans emploie dans ces usines.
Je pense qu'avec la peur que cela peut engendrer ils continueront à produire ces pesticides. Quand je vois qu'ils ont mis des images choc sur les paquets de cigarettes parce que c'est dangereux pour la santé c'est quand même se foutre de la tête des gens. Parce que les lobbys agricoles s'y refusent, et qu'ils sont très puissants, les agriculteurs eux même ne savent pas travailler avec autre chose, pour eux c'est comme une régression d'interdire ces produits alors qu'ils en crève. Impossible de leur faire entendre raison. La FNSEA les travaille au corps depuis trop longtemps. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lettre aux français Mer 6 Fév - 9:19 | |
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Ce qui faisait partie du programme de Macron me semble-t-il était aussi de prendre en compte l'importance des agriculteurs dans leur participation à la protection environnementale, sous la bannière "Make our planet great again". Dommage qu'il n'ait pas pensé à assigner une part de l'ISF à cela, parce que :
Retards de paiement des aides bio : la FNAB saisit le défenseur des droits
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| | | Atlantis
| Sujet: Re: Lettre aux français Mer 6 Fév - 10:29 | |
| Et pendant ce temps, les exploitant viticoles, spécialisés dans la bio dynamie et qui utilisent ces techniques dans les meilleures exploitations agricoles et les cuvées les plus prestigieuses se demandent à quel moment l'Europe va interdire leurs pratiques, puisqu'il en est question....Ca marche vraiment sur la tete dans ce monde |
| | | usualmixtape
| Sujet: Re: Lettre aux français Jeu 11 Avr - 1:58 | |
| - Atlantis a écrit:
- Je pense que la plus grosse inégalité, quoi qu'on en dise, reste et restera la santé. D'ailleurs, alors même que je réside dans un pays anglo saxons la santé c'est Total Free pour les habitants résidents (comme quoi la aussi les certitudes peuvent partir) et je trouve cela non seulement normal mais aussi hyper sain. Quand un enfant est malade, quand un personne a une grave maladie c'est normal que la société la prenne en charge. C est juste, normal et éthique.
A 25 ans, je ne marchais plus...ca c'est la vrai épreuve. Aujourd'hui je courts et cela je trouve que c'est un privilège. Mon compagnon ne peu pas en faire autant, il a une maladie orpheline qui l’empêche de courir...
Je parle d'indépendance, d'autonomie de plénitude....de s'autoriser à se donner le meilleur à soi même. Est ce que l'argent est le but de ma vie, absolument pas...mais je reste persuadée que lorsque l'on monte un projet qui apporte réellement au monde l'argent arrive normalement, comme des entités comme Airbnb ou facebook.
Une société ne change pas...On peu se fracasser la tete en ce disant "tous des encules" mais la société ne changera pas...par contre toi, tu peux dire, notre président est un enculé je vais mettre tous les moyens pour devenir président à sa place... Ou tu peux être persuadée que ton chemin est d'aider les autres...Comme dit Coluche, quand l'Etat a refusé d'aider , il a dit "ok vous discutez nous on va le faire"... Le principe de réalité est qu'il faut des moyens pour faire du lobbyng par exemple ( pour créer un monde meilleur, lutter contre les plastiques les pesticides) ou qu'il faut dynamiser des moyens comme via les ONG.
Et la, on monte une société "code jaune"...alors c'est quoi une société "code jaune"..ben je vais faire un post sur le sujet...
Mais la realité c’est celle là, n'importe qui...qui sais lire et ecrire...qui dispose d'une bonne connexion peu apprendre...et parfois avec les meilleurs comme Coursera...
Internet a révolutionné le monde. Ouvrant tout un champs de possible. J'ai rencontré mon compagnon sur internet et nous sommes même un des premiers couple de France a s'etre créer ainsi. A l'époque c'était méga taboo, maintenant c'est normal...
Ce qui me fait marrer sur ce post que j'ai ecris aussi pour m'amuser ( il y a pas un gonf avec un flingue qui m'oblige à écrire cela) c'est que peu de personne se sont demandé ( mis à Part Violette et la je connais Uranus) et Juan car lui je l'ai identifié très créateur et à mon avis quand il va prendre confiance en lui il va s'autoriser à casser la barraque, mais personne ne s'est posé la question pourquoi ? Pourquoi je préfère gagner moins sur airbnb plutot que d'être au RSA. Pourquoi je me sents plus libre plus en phase plus sereine alors que je vis dans un environnement hyper casse guele ? Pourquoi j'ai choisis que la liberté était plus importante que le système... Pourquoi j'ai décidé de m'extraire du système et que le pire, depuis que je ne trouve plus ma carte vitale, je suis moins malade...Même cela, je ne me l'explique pas....Alors stop stop stop....je ne pense pas que ceux qui tombe malade le font exprès, mais je reste persuadée que l'assistanat à un coût émotionnel exorbitant. Cela nous fragilise a titre individuel et à la fin, alors même que nous sommes plus protégés, nous avons peur de tout. Et la, l'Etat nous tiens, sur nos peurs. Si nous décidons de ne plus avoir peur, si nous décidons de nous dire "ok je suis le co créateur de ma vie et franchement si cela se passe mal, je crève... et bien tu réalises au bout que non seulement tu ne crève pas mais qu'en plus tu vis vachement mieux, tu deviens un bloc de béton à l'intérieur de toi"...Tu peux même imaginer faire des trucs de ouf pour survivre... et c'est cela Vivre...
Et quand tu as cette force cette puissance, tu peux etre riche ou pauvre tu t'en branle car en fait tu sais que ton énergie est tellement puissante positive et dynamique que rien que sur ton bagout, sur ta guele ton sourire les gens vont te faire confiance. Et ils auront raison car tu auras à coeur non pas de faire le mieux mais de foutre tes couilles sur la table...
Et juste avant de finir, un gros merci à usualmixtape, on y songe on y songe... jte ferais voir mon thunder titanic dans mon garage aquarium, il va sous l'eau et dans les metasphere avec ya dquoi sfaire une criée dcétacé des bermudes jurassik |
| | | usualmixtape
| Sujet: Re: Lettre aux français Jeu 11 Avr - 2:28 | |
| Crusoé s'invite à Babel scooter des corails à l'office du tourisme groenland pont de sèvres en 15 mn blaster |
| | | usualmixtape
| Sujet: Re: Lettre aux français Sam 4 Mai - 2:02 | |
| quand jsuis dans les transports desfois je met 2 doigts sur le front et j'essaye de me teleporter comme san goku mais il faut savoir comment faire pour revenir sinon même avec map t'es mapifier |
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| Sujet: Re: Lettre aux français
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