Rappel du premier message :

Coucou tous le monde,

A vrai dire là, je me pose une question un peu curieuse et j'aurais voulu plusieurs avis .

Comment se base une fille pour déclarer que nous sommes un homme bon à marier ?

Une femme avec qui je bossais me l'a déjà dit du fait que je les aidais en cuisine et pour le ménage . J'y peux rien, je ne supporte pas l'inactivité malgré mon Mars en Balance, j'ai besoin de bouger et d'évacuer toute cette énergie . Elle avait des gosses, 41 ans et plutôt mignonne . D'autres femmes me le disent parfois allez savoir pourquoi .

Une femme un peu plus âgée, proche de ma maman me l'a dit car j'étais pas idiot et que je m'occupais de la paperasse quand c’est pas carrément parce que d'autres trouvent carrément bizarre que je sois toujours célibataire vu ma situation .

Ma bonne amie me l'a dit y'a pas longtemps parce que je fais les poussières et lui ai dit que je faisais le ménage chez moi après tous je vais pas laisser une maison en mode crado lol . Cela m'a interloqué du fait que je lui ai dis que je ne voulais personne .
Cela faisait un moment que je n'étais pas allez la voir pour discuter un peu et aussi en vue d'une promesse .

Elle m'a parlé de sa tite jupe noire moulante qu'elle comptait porter pour le réveillon ( bon oki, j'ai bavé un peu ) . La dernière fois on s'était pris le chou encore une fois, c'est parti sur une simple histoire d'un rêve qu'elle avait fait, j'ai juste dit en plaisantant que c'était peut être moi l'ourson et après je lui demande des précisions sur son apparence et elle m'a envoyée bouler ...

Alors quand elle m'a dit que j'étais bon pour le mariage, bah j'ai pas relevé à force cela me saoule de me faire envoyer bouler sans raison alors que je l'adore . ( en plus d’être gonflante à dire que je suis gentil berk berk !!! ) . Après m'avoir demander si j'étais en couple me voilà bon pour le mariage ...

Mais globalement sur quoi se base une femme pour nous déclarer bon pour le mariage ?

Je trouve cela bizarre ... moi qui clame bientôt sur tous les toits que c'est le pied d'être célibataire ...

J'ai regroupé tes 2 messages ici...

Maldoror a écrit:

Je vous diligenterai donc dans ce brougham, hippomobile bien connue par tous les lords de la perfide Albion. Nous retrousserons les flancs des collines bordelaises, en quête de Merlot, si possible pas Ponty ou alors Mythons. Fichtre et tant pis pour nos pommes si elles rock'n rollent au milieu des Pomerol. Des licornes de Livourne entre deux fleuves sanglants; là, jaillissant de ces turgescents vits nobles et fort grenus.

[...]

Oui, merci chère Alia, les zommes, les femmes et tout le cirque autour qui nous électrise et nous constipe à mort toute une vie, c'est beau, certes, mais que serait-ce sans le tagada (non Navane pas celle -là, pas la rose ou alors avec la feuille )tsoin tsoin qui lui fait courir une poste ou l'autre à l'occasion ...

On en revient au brougham... (voir autre post, Navane, tu me suis?)

Un vent d'ange passe dans cépages...

Comment bafouer cette terre si accueillante quand le ciel s'infiltre, là, dans ce brougham, depuis vos juteux mots vers la calice de mon âme comblée ?

Ce silence n'en était que le tintement vaporeux, n'ayez crainte... Est-il hic de vous inviter à l'entendre, à entendre les fruits de cette flûte que vous m'avez jouée ?
Ce n'était que le bruissement de la gamme de mon être qui cristal sous les sangs d'or des étoiles que vous avez mis à l'envers, que vous avez fait flamber en moi.
Ce n'était que la rumeur d'un sourire raisin rouge qui se déployait en mon cœur tandis que je nous rêvais dansant ivres de bonheur jusqu'à faire chanter les pierres qui roulent... Le murmure des fleurs sauvages dont les délicats parfums s'exaltaient par delà les nuages sur la mélodie de cette saynète que nous leur avons offert à votre insu.
Ce n'était que le tressaillement du velours de ma robe lie-de-vin sur mes inspirations fragiles après avoir entrevu les plus beaux horizons. Ceux que vous portez en vous.

Vos pensées m'y ont guidée, je vous en remercie. J'ai trouvé un chemin dans vos mots quand la poste n'était encore qu'une impasse, une promesse illusoire.
Vous m'avez transporté sur les flots muscats de votre plume alors que nous venons tout juste de prendre place dans cette diligence.

Écoutez donc mes silences, ils sont plus éloquents que ne le seront jamais mille de mes mots. Ils parlent pour moi. Ils parlent de vous.

Je vous suis, très cher.

Et bien, ma chère, me voilà fort aise. Votre framboise tagadante, toute à l'ornière du savoir (bien) vivre, réconforte mon vieux coeur de ces vaines Chimènes. Content aussi que votre vertugadin couleur d'opium (et poire william's) ait pu passer les portes de cette hippomobile. Content que vous ayez percé en moi, l'Alfred de Muscadet qui pour vous eût saigné Sand et eau. Au diable des remontrances. Et des médiocres en transe.

Content de percevoir tout l'or de vos sourires enrobés de silence en cette campagne venteuse, ouverte à tous les vins. Nous prenons les marquis à rebrousse de grenache (même si c'est pas la région, nous sommes hipponoclastes), cep à souvent qu'on voit jaillir une telle complicité en ces feintes arômes.
Et tellement longue en bouche.

Une heure passée aux côtés de votre vénusté princière vaut les plus longs voyages. Les plus soyeux des paysages en cette tendre communion, complice ou qu'on l'appuie.
Mais déjà, voilà, j'aperçois les coteaux!

Bon à marier ou bon à tirer? (je veux parler du vin)

Oh j'ai rien lu pour par être influencée, car j'ai trop envie de te donner MA vsision (jamais trouvé !)


Comment se base une fille pour déclarer que nous sommes un homme bon à marier ?

1. Il ne râle pas le matin au réveil, please, ce moment c'est sacré
2. Il plaît au moins physiquement, à moi, moi toute seule, et surtout il est surprenant et a du charme
3. il a lu quelques lignes du dico, d'autres d'encyclopédies, en dehors des manuels de "comment monter ses barrettes de RAM (pour jouer à Team Fortress) ou encore comment draguer une fille
4. Mais zut, oui cuisine et sexe sont liés, si vous n'avez pas des goûts culinaires équivalents, passez votre chemin
5. Ah bien oui, le sexe, qui va en 2 en fait, après "qu'il ne râle pas le matin au réveil !"
6. Goût musicaux, INDISPENSABLE, qu'il ait au moins ça
7. S'il est bricolo, je tombe en pâmoison, la dernière fois qu'un mec a encastré un lave-vaisselle je suis tombée en admiration

OK, la version fric, statut, élevage de la progéniture je la laisse à 60% de la population féminine.

Bricoleur sexuel et cuisinier de gigas (d'agneau), c'est ça l'avenir.

OMG t'as raison. C'est où ? Keppler ?

et bataille pas pour les gigas d'agneau là mon gars, t'as aucune idée de la p*te au contraire de ton nouveau né qu'il faudra TONDRE

En français, tu veux quoi dire?

Maldoror a écrit:

Et bien, ma chère, me voilà fort aise. Votre framboise tagadante, toute à l'ornière du savoir (bien) vivre, réconforte mon vieux coeur de ces vaines Chimènes. Content aussi que votre vertugadin couleur d'opium (et poire william's) ait pu passer les portes de cette hippomobile. Content que vous ayez percé en moi, l'Alfred de Muscadet qui pour vous eût saigné Sand et eau. Au diable des remontrances. Et des médiocres en transe.

Content de percevoir tout l'or de vos sourires enrobés de silence en cette campagne venteuse, ouverte à tous les vins. Nous prenons les marquis à rebrousse de grenache (même si c'est pas la région, nous sommes hipponoclastes), cep à souvent qu'on voit jaillir une telle complicité en ces feintes arômes.
Et tellement longue en bouche.

Une heure passée aux côtés de votre vénusté princière vaut les plus longs voyages. Les plus soyeux des paysages en cette tendre communion, complice ou qu'on l'appuie.
Mais déjà, voilà, j'aperçois les coteaux!

Bon à marier ou bon à tirer? (je veux parler du vin)

Votre esprit corsé épousant mon esprit pétillant, votre regard vif sur mon regard fruité... Ma bouche est pleine de vos mots. Il y a des moments qui font les instants. Celui-ci en est un.

Je m'alanguis de ces mots divins qui ont tu les miens avec friandise quand votre cerise sur le coteau m'a chatouillée l'essence dans ce langage vivant que nous jouons et qui se joue de nous. Vous m'hypothalamusez comme une folle, Bel ami, de votre millésime degré aussi charmant que puissant qui se lie au mien dans un ravissant délire d'aimant à contre-sens. Un doux nectar qui se sirote sans soie.

Mais voilà qu'un arôme de sous-bois, dessous toi dans un émoi sans dessus dessous, et des notes d'oranges amères me sont parvenus à la croisée de nos chemins en missionnaire.
Ne dites point « Chimène, je ne boirai plus de tonneau ». Ne pensez aux adieux en flasque pour faire place à l'ivresse d'un commencement dans un lien tanin qui libère. Au diable vos verres sont vides. Votre besoin de consolation est-il donc impossible à rassasier ? De l'audace et du goulot ! Ne goûtez jamais, je vous prie, aux poisons qui pourraient vous liqueur. Cela ne vous siérait guère.
Ce vieux cœur ne s'est-il pas, tel le vin, bonifié avec le temps ? Ne l'endormez guère dans la cave, il regorge de trésors à offrir. Suivez les notes romanesques qui s'ébattent en vous, qui en émanent, elles font la profondeur exceptionnelle de votre être.
Ah, qu'y-a-t-il de plus touchant qu'un homme qui garde espoir malgré les meurtrissures acides d'hier ? Le mariage du ciel et de l'enfer, somme toute qui mène là où naissent les plus beaux astres.

Ce savoir bien vivre n'est qu'une réponse naturelle à votre galanterie. N'est-ce pas vous qui avez assuré mes arrières par une pression bien sentie de vos mains en coupe afin que je puisse m'installer à bord de votre hippomobile ?
Le savoir vivre n'est jamais d'un ennui mortel quand vous prenez mes proses en mains dans un jeu de vin. Oui, ce fut si touchant de votre part... Le Marquis de Sade – un triste Sir à qui j'ai échappé – ne souhaitait lui que me trousser les jupons de son art dur de la feuille de vigne.

S'il est tiré, buvez ce vin. Son mariage ne peut être l'amer à boire. Seulement, tout dépend avec qui il sera trinqué.

Ces ornements me pèsent depuis la précision finale de votre propos. Les errances de mon esprit tiré par les cheveux m'ont amené à croire que vous désiriez remonter la capote de votre hippomobile car ce vin chaud vous embrasez fort les joues.

J'ai besoin de me rafraîchir. Arrêtons-nous près de ce ruisseau, mon cher... Auriez-vous la délicatesse de m'aider à sortir ?

C'est toujours un plaisir de lire ta magie des mots Navane ... Je te trouve doué pour l'écriture

Merci Yirmeyah, contente que ça te plaise

Il faut dire que j'ai un excellent partenaire de jeu avec qui je suis à l'aise. Je n'ai pas ses facilités d'écriture. Pas certaine de tenir le rythme. On verra.

Navane is the best. Meilleure, pas spécialement styliste mais sans doute "poète" que moi. Je reconnais. Là, j'avoue, j'ai toujours un peu le museau Dans le bordelais (une belle couvée d'ailleurs) et ne trouve plus les clefs de l'hippomobile.

Nan, je suis the beast... Il fallait que je la fasse, pardon

Tu es sur ton terrain de jeu. Clairement. Je n'ai pas ton aisance. Ça fonctionne parce que tu me pousses d'une certaine façon. J'ai trouvé ça beau, très beau, en plus d'être drôle... J'ai rigolé à te lire et à écrire. Un vrai petit bonheur.

Un jour, quand on sera dispo, on écrira un petit quelque chose ensemble... Ah, si, si. Et arrête de faire cette tête

Les clefs perdues de l'hippomobile (ce mot, oh la la, ce qu'il m'amuse ce mot), je les ai cachées dans ton verre d’absinthe

Une belle et heureuse année, Monadoré

Absinthe? Bonne année, petite fée (verte)

magnifiquement bien joué à enchaîner "tu veux quoi dire" et encenser navane en suivant pour ses qualiltés littéraires -aucun souci vis-à-vis de toi navane tkt- quand j'ai pondu plus de 2000 textes en un an et demi, mais je suis habituée, musique, textes, vie, la totale ne sont pas dignes d'intérêt

Ouch, Maja, c'est un "jeu" de rôles et d'écriture qui date, ici et là, depuis.... Tu n'étais sans doute pas là encore, ici ... Arrête de te prendre la tête et de te l'encastrer dans toutes les bow windows qui passent. Garde ton énergie frondeuse pour de véritables combats, si tu veux mon avis.

En plus, à la suite de ton intervention, je joue et "te" propose "des gigas" d'agneau, à quoi tu me réponds un truc que je ne comprends pas avec une certaine condescendance que je n'apprécie qu'à mi-temps (pour tout dire)

Maja a écrit:

et bataille pas pour les gigas d'agneau là mon gars, t'as aucune idée de la p*te au contraire de ton nouveau né qu'il faudra TONDRE

Et puis ça ne remet en rien en question ta musique que j'ai déjà eu l'honneur d'écouter et d'apprécier