Alors dans ce cas, autant mettre Saturne au service de Mars, et tirer le profit introspectif dans les conséquences des actes impulsifs. Le dialogue n'est pas univoque, je crois...

Il est possible que nous n'ayons pas compris la même-chose dans les livres de J.K Rowling alors... L'amour, puisque c'est le thème central du bouquin et de ce poste, est un dialogue, il ne peut s'opérer sans transformer ceux qui le partage. Il n'est plus alors question de servir une hiérarchie de principes, mais de pratiquer la diversifications maximale de leurs harmonieux agencements.

L'architecte peut également servir le combattant, dessinant et élaborant à son intention des armes toujours plus perfectionnée, lui permettant ainsi de se défendre avec le maximum d'efficacité et sortir vainqueur de ses duels, plus rapidement.

Tout le monde n'étant pas basé sur le même modèle réflexologique, il faut donc s'autoriser d'envisager les impacts opposés pour équilibrer sa réflexion autour d'un même aspect. Lorsqu'on désir aider l'autre à incarner efficacement ses potentialités et lui prodiguer des conseils profitables, il faut savoir le faire au nom de ce qui compose l'autre et non de ce qui constitue notre propre manière de fonctionner.

En prétendant que c'est le combattant qui doit se mettre au service de l'architecte pour que l'aspect soit intégrer, tu appliques là ta propre vision de ce que doit être la hiérarchie des fonctions pour être efficace, or, chacun fonctionne selon son propre schème cognitif.

Dumbledor a servi la victoire d'Harry Potter tandis qu'Harry Potter a servi la stratégie de Dumbledor. Il s'est opérer là un dialogue, et ce dernier n'a été possible que dans l'amour que l'un et l'autre se portait, à leurs niveaux respectifs, pour des raisons qui leurs sont propres.