Voilà sa carte :



C'est un auteur que je ne connais que très peu, de lui, j'ai lu (d'un oeil... ) "le noeud de vipères"...il y a longtemps, qui m'a ennuyée (le propos était en complet décalage avec l'âge (25 ans) que j'avais à l'époque...)... et qui m'a laissée un peu dans l'idée qu'il s'apparentait au vieillard aigri de ce livre...et je suis tellement restée sur cette idée là que je n'arrive pas à le trouver sympathique alors que...je devrais désormais entendre son nom assez souvent...



Je vais essayer de booster mes ressentis à son égard en visualisant son joli...cerf volant...

Le côté, de mémoire, fouillé et pénétrant...de son style s'inscrit bien dans cet ascendant amplifié par et dans ses maîtrises en et en ...

Le vieillard aigri du "noeud de vipères" qui m'est un peu resté en travers de la gorge...qui fait l'inventaire de ses rancoeurs contre ses enfants...il s'inscrit bien dans son (mtre de 3 et de 5) en exil et mal aspecté...(il est en 10 sans doute pour le succès qu'il lui a quand même rapporté)...

Sinon, je viens parler de lui sur un forum d'astrologie alors qu'il y a le retour des noeuds lunaires sur son axe relationnel dans ma 4 en à mon (mtre de 9) ...

Je vais clore ce sujet qui n'interesse personne apparemment sur une note positive, avec une photo de François Mauriac que je trouve sympathique (je pensais qu'il s'agissait d'une photo de Jean Jacques Lartigue mais non c'est la photo d'un certain Philippe Halsman)...

Voili Voilou

Photographe, Philippe Halsman avait pour théorie qu'on ne peut maîtriser à la fois son expression et les muscles corporels sollicités lors d'un saut : il a donc fait sauter Fernandel, Jerry Lexis et Martin, Marylin Monroe ... et j'en passe.
Et François Mauriac, qui ne devait pas sauter tous les jours de la sorte !

Pour Maurias, assez d'accord avec toi : saturne en cancer, ce peut être aussi les règlements de compte familiaux et la lune en scorpion, son inspiration ... noire : le noeud de vipères, le désert de l'amour (vénus scorpion opp pluton et uranus) , les anges noirs, le baiser du lépreux ...
Un écrivain au style soigné (la balance) bien dans le ligne politique du moment (jupiter en I ?) et qui connut l'académie.
Mercure-uranus trig MC pourrait indiquer le côté journaliste (à l'Express) son fameux bloc-note où il étrillait les uns et les autres, faisant preuve d'une approche ... inconventionnelle.

Ledruge a écrit:

Photographe, Philippe Halsman avait pour théorie qu'on ne peut maîtriser à la fois son expression et les muscles corporels sollicités lors d'un saut : il a donc fait sauter Fernandel, Jerry Lexis et Martin, Marylin Monroe ... et j'en passe.
Et François Mauriac, qui ne devait pas sauter tous les jours de la sorte !

Je ne connaissais pas Philippe Halsman mais cette photo de François Mauriac en l'air m'a donc vraiment fait penser aux photos de Jacques-Henri (que j'ai appelé "Jean-Jacques" ici l'autre fois... ) Lartigue...




https://www.astrotheme.com/astrology/Jacques-Henri_Lartigue

https://allfamous.org/astrology/philippe-halsman-19060502.html

Ledruge a écrit:

Pour Maurias, assez d'accord avec toi : saturne en cancer, ce peut être aussi les règlements de compte familiaux et la lune en scorpion, son inspiration ... noire : le noeud de vipères, le désert de l'amour (vénus scorpion opp pluton et uranus) , les anges noirs, le baiser du lépreux ...
Un écrivain au style soigné (la balance) bien dans le ligne politique du moment (jupiter en I ?) et qui connut l'académie.
Mercure-uranus trig MC pourrait indiquer le côté journaliste (à l'Express) son fameux bloc-note où il étrillait les uns et les autres, faisant preuve d'une approche ... inconventionnelle.

Oui le pauvre François Mauriac, il avait tous les significateurs de la famille affligés, (mtre de 5) en exil en , la lune en chute en en à son maître , la en 4 et le maître de 4, en chute également, en chute mais très bien aspecté...(c'est sans doute dans ces bons aspects à ce mtre de 4 à l'asc que devait se loger sa condition "d'enfant gâté" (c'était un "fils à papa")...)

Sinon, oui il s'est distingué par son esprit critique ( à l'ascendant en + (mtre d'asc) en à ) ...et notamment, tout à son honneur, vis à vis, du gouvernement de Vichy...

Un astre conjoint au NN est très souvent prépondérant sur la chute ou l'exil au sens où le chemin de destinée n'est pas si tortueux, c'est plus possiblement net.

Craie a écrit:

Un astre conjoint au NN est très souvent prépondérant sur la chute ou l'exil au sens où le chemin de destinée n'est pas si tortueux, c'est plus possiblement net.

ça a eu l'air d'être son cas...avec son en au et son parcours plein de gloire...

(A propos de ses noeuds lunaires je viens de remarquer que j'ai dit une bêtise l'autre fois, ses noeuds lunaires ne sont pas encore activés par les noeuds de transit (me suis emmelée les pinceaux à cause de l'inscription un peu décalée des degrés... sur sa carte)... )

C'est vrai, j'ai eu des difficultés avec cette carte, j'ai été obligé d'aller sur Astrothème.

Oui son est à 4° ...mais on peut peut-être le considérer quand même en à ...

Son NN est en Vierge (25°) à 2° de Jupiter, justement la carte est illisible.
Et la Lune Sextile en 3.

Ah oui tu as raison ! me faut pas de choses confusionnantes comme ça...

Voilà le lien vers sa carte Astrothème (j'avais oublié de l'afficher) :

https://www.astrotheme.fr/astrologie/Fran%C3%A7ois_Mauriac

Un joli texte touchant de François Mauriac qui figure sur le mur d'un lieu qui porte son nom :

"De la ville seule, je ne saurais dénombrer tous les visages. Le quartier de la Grosse Cloche avec la rue du Mirail ressuscite une figure chétive d'enfant que les maîtres n'aimaient pas (l'enfant a autant besoin que l'homme d'être beau pour être aimé). Terreur des leçons pas sues, des devoirs pas finis, angoisse d'être interrogé, d'être appelé au tableau, de recevoir en pleine figure la balle au jeu de la balle au chasseur ; supplice qu'à l'âge d'homme on ne supporterait plus, des pieds brûlés par les engelures dans de gros souliers humides ; enfin délivrance à six heures et demie ; aujourd'hui encore, quand six heures et demie sonnent, il m'arrive de saluer cette venue du soir qui dénouait autrefois mes bandelettes et soulevait la pierre de mon tombeau ; je remontais la rue du Mirail sous la pluie ou sous les étoiles, le cours Victor-Hugo ; un peu avant d'atteindre la Tour Pey-Berland et la cathédrale, je me haussais jusqu'à la sonnette d'une maison : celle de ma grand'mère, et où ma mère veuve s'était retirée. Dans l'escalier, une odeur de gaz et de linoléum me plaisait mieux qu'aucun parfum ; de marche en marche, je me rapprochais de mon bonheur, de mon amour, de ma mère ; du livre interrompu, du long repas sous la lampe; de la prière récitée en commun; du sommeil."