Je ne sais pas si tout le monde connaît le TDAH (Trouble de déficit de l'attention et de l'hyperactivité), c'est un problème dont j’essaie tant bien que mal de vivre avec depuis tout petit...
Le TDAH évolue différemment en fonction des gens, en ce qui me concerne j'étais ultra hyper actif enfant et très impulsif (une vraie pile électrique, je bougeais tout le temps même sur ma chaise en classe, un peu casse cou, beaucoup de répartie, je parlais à tout le monde et n’importe qui, etc.), puis à l'adolescence je me suis beaucoup renfermé et suis devenu très introverti, pour autant le TDAH est bien toujours présent, juste moins visible pour les autres (le côté hyperactif ayant plutôt disparu).
Je ne suis plus un casse cou et je ne parle plus beaucoup, mais j'ai toujours beaucoup de sautes d'humeur, une faible estime de soi, je deviens vite colérique, beaucoup de difficultés à terminer ce que je commence et à me concentrer, tolérer le sentiment de frustration, capacités sociales médiocres (oui, oui ), etc.
Bref, maintenant que je vous ai expliqué un peu la problématique dont peut-être certains ici ont également un TDAH (avec ou sans hyperactivité), je voulais savoir au niveau astrologique, à quoi pouvons-nous associer ce trouble à un thème natal ?
L'évidence voudrait que l'on pense aux signes de feu et du pour son comportement un peu impulsif, sauf que... Le feu est quasi absent chez moi (sauf en en M6).
Bon ba Céleste, si tu passes par là, tu peux supprimer mon sujet, merci !
cheliel
Sujet: Re: TDAH et astrologie Ven 24 Fév - 9:05
Je ne trouve pas qu'il soit nécessaire de supprimer ce sujet, Érèbe.
En effet, ton témoignage est intéressant et je remarque que nous avons suivi plus ou moins le même processus. Je suis également devenu très introverti à l'adolescence, par contre, j'ai affiné mes capacités sociales via l'envie de faire plaisir.
Si je ne me suis pas conformé à la norme (je n'y arrive tout simplement pas et surtout, je n'en ai plus envie), je suis parvenu à me rendre acceptable dans l'interaction. Il faut dire qu'étant très empathique ça a aidé. Ressentir ce dont les autres ont besoin permet de tenter de les combler et rare sont ceux qui sont insensibles au fait de se sentir compris.
C'est seulement ainsi que je suis parvenu à m'apaiser dans le relationnel, même si cela ne s'est pas fait sans douleurs car j'ai longtemps cru qu'il me fallait éteindre mes propres besoins.
Érèbe
Sujet: Re: TDAH et astrologie Ven 24 Fév - 10:20
Salut cheliel !
cheliel a écrit:
Je ne trouve pas qu'il soit nécessaire de supprimer ce sujet, Érèbe.
Cela fait un peu doublon, quand même...
cheliel a écrit:
En effet, ton témoignage est intéressant et je remarque que nous avons suivi plus ou moins le même processus. Je suis également devenu très introverti à l'adolescence, par contre, j'ai affiné mes capacités sociales via l'envie de faire plaisir.
J'ai l'impression que c'est assez courant chez le TDAH de voir cette "hyperactivité" diminuer en grandissant, mais tout en conservant l'inattention et l'impulsivité (émotionnelle et sensorielle en ce qui me concerne).
Tant mieux si tu as réussi à affiner tes capacités sociale par l'envie de faire plaisir ! Moi aussi, ça m'arrive, mais uniquement envers mes proches.
cheliel a écrit:
Si je ne me suis pas conformé à la norme (je n'y arrive tout simplement pas et surtout, je n'en ai plus envie), je suis parvenu à me rendre acceptable dans l'interaction.
Moi non plus, je n'en ai plus du tout envie. Pendant longtemps j'ai essayé de rentrer dans le moule tant bien que mal, j'ai construit une grande partie de ma vie "en fonction de..." pour au final me rendre compte que j'ai perdu du temps et que ça n'a servi à rien.
Célestine
Sujet: Re: TDAH et astrologie Ven 24 Fév - 11:48
Cheliel Erebe je me demande si le TDHA n’a pas un rapport avec le HPI la précocité car dans les différents comportements cités il y a une capacité intellectuelle hors du commun avec un raisonnement très rapide entre hémisphère droit et gauche, une connexion sensitive intellectuelle qui donne des possibilités d’adaptation de réflexion de ressenti particulier même si leur début d’existence leur est difficile parce que leur hypersensibilité les met à fleur de peau et qu’ils décrochent facilement scolairement l’éducation nationale n’étant pas adapté… En numerologie j’ai souvent bcp de maitre nombre en apogées et CV marquant un côté hors norme.
Proches mon fils a été détecté HPI d’ailleurs il le cache et depuis ses 9 ans nous ne l’avons plus jamais évoqué car il se mettait dans une colère comme si on lui avait découvert je ne sais quoi…. En tout cas ce côté hyperactif s’exprime dans une maturité hors du commun mais aussi qq ayant tjrs besoin d’être avec des personnes hors norme… pas simple pour une maman.. Aujourd’hui il a 25 ans a trouvé sa voie et est heureux mais très indépendant surtout avec sa propre famille comme si il avait besoin de se construire seul !! Cheliel j’ai du remonter le post ne pouvant voir ton TN ça aurait été intéressant de pouvoir l’interpréter…
Je remets cela sur ce post nouveau car doublon
Celine
Sujet: Re: TDAH et astrologie Ven 24 Fév - 12:41
Je sors un peu du sujet désolée mais personnellement ça m'agace un peu tous ces termes TDAH, zèbre , HPI, HPE , hyper actif etc... Est ce qu'on ne pourrait pas simplement accepter que chaque personne est différente ? Sans vouloir coller une étiquette sur chaque comportement ? Pour moi même comme ça c'est entretenir quelque part une "normalisation" dans le sens où continue de coller une étiquette du genre : lui il n'agit pas comme tout le monde , mais il agit de cette façon parce qu'il est ...
Glauque
Sujet: Re: TDAH et astrologie Ven 24 Fév - 14:32
Céline
cheliel
Sujet: Re: TDAH et astrologie Ven 24 Fév - 15:08
Coucou Célestine,
Quand j’étais en primaire, il a été question d’évaluer mon QI, mes parents ont refusés. Ce n’était pas pour me porter préjudice, mais pour éviter tout sentiment de supériorité ou d’infériorité à travers ma fratrie (j’ai un an d’écart avec mon grand-frère et un an avec ma petite sœur). Il était d’ailleurs questions de me faire sauter plusieurs classes, mais mon père à estimer que ce ne serait bon ni pour moi ni pour mon grand frère. Finalement et avec le recul, je suis content qu’il n’ait pas accepté, d’ailleurs j’ai été mis au courant de cette histoire dix ans après.
On m’a reproposé le test au cours de mon adolescence, et j’ai également refusé. Cela n’aurait rien apporté, ni à moi ni aux autres, alors ça m’est apparu inutile. Je n’aurais pas été soulagé de quoi que ce soit, que le résultat soit fort ou faible. En fait, ça n’aurait contribué qu’à me mettre dans une catégorie, or, je refuse les cases, les étiquettes et les frontières qu’elles imposent.
Quand mon actuel compagnon, admiratif de ma polyvalence et de ma capacité à suivre plusieurs courants de pensées simultanés m’a suggéré que j’étais probablement surdoué, je lui ai répondu qu’on s’en fichait. En ce qui me concerne, ce n’est pas ça qui est important, mais la qualité de ce que nous partageons. On s’adapte et c’est cool.
S’il est vrai que l’on m’a souvent fait remarquer que j’étais quelqu’un de mature, j’estime cependant que mes façons d’interagir et de m’exprimer ont certainement trompé mon monde. En effet, je pense qu’il y a différents types de maturités (intellectuelle, émotionnelle, comportementale…) et qu’on peut paraître très mature tout en étant immature sur des plans insoupçonnés. Pour ma part, et par exemple, cela fait seulement quelques années que la maturité émotionnelle pointe le bout de son nez.
Je suis peut-être HPI, je ne le suis peut-être pas et finalement, le savoir ou l’ignorer ne change rien à ma situation d’être humain. Je ne souhaite pas être identifié à travers un quotient, je ne désire pas que des personnes se sentent rabaissées en mon contact par l’éventualité d’un haut potentiel, et j’estime que l’intelligence est multiforme, qu’elle n’est pas toujours mesurable à travers des standards socioculturels.
Je pense que si on m’avait diagnostiqué durant l’enfance, j’aurais fait comme ton fils, je l’aurais caché comme une tâche dans mon parcours. Ma manière d’être était déjà hors norme, mes façons d’agir et de penser sortaient des sentiers battus et rajouter dessus quelque chose qui aurait confirmé médicalement ma différence, je pense que ça m’aurait coupé davantage des autres.
À mon époque, on ne parlait pas vraiment de TDAH, c’est venu d’outre-Atlantique et ça s’est démocratisé plus tard. En fait, on disait seulement hyperactivité. Enfin, des hyperlatifs on m’en a d’ailleurs collés pas mal : hypersensible, hyperémotif, hyper-féminin, etc… et en vérité, la seule chose que ça me révélait, c’est que j’étais surtout hyper-chiant . Cela dit, si on m’avait décelé une intelligence hors norme, ça ne m’aurait pas empêché d’être un gros bêta quand même (clin d’œil à ma fraise tagada préférée qui est surement hyper plus intelligente) .
Alors certains disent que ça aide de mettre des mots sur des capacités ou des troubles. Il est question d’adapter ensuite la manière de traiter ces potentiels. C’est probablement vrai dans une certaine mesure, mais pas toujours et le plus souvent, ça ne change pas forcément les choses pour un mieux-être. Car, il est possible que ça isole, que ça mette des frontières là ou ce n’est pas nécessaire. On est tous différents, la norme est une vue de l’esprit, une moyenne qui ne signifie rien à l’échelle individuelle de nos vies. Notre valeur d’être ne s’estime pas à l’aune de cette moyenne, et se retrouver au-dessus ou en dessous n’apporte que des complexes, de la mise en concurrence déloyale et des sentiments de supériorité ou d’infériorité qui occultent l’évolutivité de tout un chacun.
Tout ça pour dire que je suis d’accord avec toi, Céline. Je me suis intéressé au TDAH parce qu’ayant vécu des symptômes difficiles à accepter pour les autres, cela m’a permis de saisir une partie de mes fonctionnements. Mon neveu étant également touché par cette façon de se construire, cela m’a ouvert à de nouvelles prises de conscience pour savoir comment m’adapter spécifiquement à lui. Toutefois, cela ne nous définit ni l’un ni l’autre en tant que personnes. Ça ne nous donne pas une valeur, seulement des pistes d’évolution et des pièges à éviter, sachant que de toutes façons, les conditions de vie et les spécificités de chacun rendent les expériences uniques.
PS : Célestine, mon TN est dans mon profil et je viens de tester, il est toujours visible.
Célestine
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 0:27
Cheliel tu as tout à fait le point de vue de mon fils, je comprends à travers ta réponse ce qu’il ne me dit pas, ce qu’il me reproche, ce qu’il m’accorde, ce n’est pas simple d’être parent, on veut le meilleur pour son enfant pour son bien être mais on ne fait pas toujours pour le mieux, on apprend… Tu as aussi sextile comme Erebe et mon fils … une piste…
Simple Demoiselle
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 2:48
Maldoror
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 4:31
Juste un truc en passant.
On nous emmerde aujourd'hui à fond les ballons avec la "cancel culture" dit aussi "woke" etc. Le TDAH est exactement de la même mouture calibré par les mêmes officines US, un peu comme cette vogue HP, intéressante en soi mais qui dans un monde où le chambardement total se fait par voie "économique", le "garde fou" de ce capitalisme intrusif, son côté "jésuite" si on veut c'est d'un coup s'intéresser à tous les "damnés de la terre" que son système a occasionné. Je veux dire par là, "t'en fais pas mon pti loup si ça a foiré pour toi, c'est que tu n'as pas été bien compris etc." alors , et c'est ça la perversion, TOUT a été mis en branle depuis les premiers rouages de l'éducation pour que les "originaux" restent sur le carreau.
Fatalement puisque la formation passe par le "formatage". C'est d'ailleurs la raison pour laquelle "nos" élites sont quasi toutes des planches pourries.
Moi, j'ai passé un jour des tests dans un centre "PMS (psychomédicosociaux) ça a duré une demi journée. J'ai pris ces tests par dessus la jambe.
Je vivais chez mon oncle qui était prof de maths pour les supérieurs, les futures scientifiques, ceux qui se destinaient à la FAC, à devenir ingénieurs, à travailler pour Alstom (Villa) ahaha etc.
Moi, j'étais une demi merde en math. Et il m'a dit après mes tests, que je devrais normalement être un cador... En fait, même en ayant pris ces tests par dessus la jambe, il ressortais que j'étais ... un visionnaire (sic) ou pas loin, ça me faisait une belle jambe car à 18 ans, doué pour le dessin mais sans option artistique (quand tu habites la campagne, c'est comme ça), je suis allé en latin-grec (et je ne le regrette pas, ça m'a bien aidé tout de même)
Bref, j'ai passé un examen pas piqué des hannetons dans une école artistique pointue, l'INSAS , institut national des arts et des spectacles pour être "réalisateur de films", j'ai évidemment échoué à l'examen d'entrée car je n'avais pas la base de connaissances culturelles et autres, en sortant d'humanités pour rentrer là.
J'aurais pu remettre le couvert l'année suivante mais je ne le sentais pas trop... Bref, en plus, je venais de la campagne et je retournais à la ville (Bruxelles) chez ma mère qui en plus était une étrangère, donc après encore une année de fac que j'ai subis (en science humaine pour ensuite m'atteler au journalisme), je ne voulais qu'une chose, bosser pour sortir de cette ville, être indépendant et retourner dans ma campagne. Bon, j'ai refait plus tard des études de "publicité-marketing" pour avoir un petit diplôme à la con. Et un peu travailler comme publiciste et puis j'ai eu une illumination et j'ai arrêté. Et suis devenu irrécupérable.
D'après mon ex, j'avais tous les troubles du TDAH mais elle m'aimait beaucoup, elle a même cru que j'étais "asperger" à un moment (elle s'intéressait à tout ça car elle passait de formation en formation) mais j'étais évidemment rien de tout ça. Juste un type profondément "marginal" parce qu'il n'avait pas été "reconnu" par son père et sans doute placé trop tôt à droite et à gauche. Voilà.
Après ça, il ne te reste que deux solutions, ou t'écraser dans une longue descente aux enfers alcoolisées et opiacisées ou devenir Vladimir Poutine ou les deux...
En passant d'autres "tests" par curiosité, MENSA me proposait de faire un test plus abouti et je me suis abstenu. Mais j'ai compris un truc, c'est que comme nombre apparemment de QIE (émotionnel), j'avais un esprit en arborescence. Je t'explique.
Quand tu parles, ton discours ouvre plein de portes dans lequel, bavard, tu t'engouffres, ton interlocuteur est pantois désarçonné (où veut-il en venir?), tu fais le tour du pâté de maison, en ayant parlé de la défaite de la FRance au Mundial, de l'inflation galopante et de la scarlatine en Russie et pouf tu reviens au point de départ à la question posée.
Voilà (en très shématique)
Angèle
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 6:25
Juste deux trucs en passant .
Céline a écrit:
Je sors un peu du sujet désolée mais personnellement ça m'agace un peu tous ces termes TDAH, zèbre , HPI, HPE , hyper actif etc... Est ce qu'on ne pourrait pas simplement accepter que chaque personne est différente ? Sans vouloir coller une étiquette sur chaque comportement ? Pour moi même comme ça c'est entretenir quelque part une "normalisation" dans le sens où continue de coller une étiquette du genre : lui il n'agit pas comme tout le monde , mais il agit de cette façon parce qu'il est ...
Je suis d'accord avec toi dans le fond Céline, nous sommes souvent tentés de et d'être catalogués, circonscrits à un périmètre, insérés dans une case, c'est tellement plus confortable pour l'intellect et l'ego. Forcément, on limiteet emprisonne.
Ceci étant dit, pouvoir poser des mots sur des maux peut être une excellente chose si et seulement si cela permet de proposer un aménagement, des moyens pour accueillir les particularités. Rien de pire que de ne pas prendre en considération les singularités je pense. Si un enfant est diagnostiqué zèbre, HPI, déficient ou que sais-je encore, on devrait pouvoir proposer comme des options en parallèle d'un cursus normalisé, voire une alternative totalement différente. Il existe des enfants pas du tout adaptés et donc très malheureux dans notre système éducatif tel qu'il existe et qui sont donc en échec scolaire. Moi, je n'ai pas envie d'un système qui gomme les différences. La nécessité est plutôt, je pense, de savoir comment intégrer la différence. Encore faut-il pouvoir la reconnaître et la prendre en considération.
A titre personnel, on m'a demandé plusieurs fois si je n'étais pas HPI (par "on" j'entends des HPI diagnostiqués et des personnes en côtoyant). Sincèrement, je ne le pense pas. J'étais très bonne élève avec une grande soif de connaissances mais mes bons résultats scolaires venaient d'un travail dur et assidu, pas de facilités particulières (mais j'aurais bien aimé, ça m'aurait facilité la vie ).
Le seul point commun avec les HPI pourrait être ce sentiment d'être un peu à part, en dehors de la norme (pas intellectuellement parlant) et de n'avoir aucune envie d'y être modelée.
En revanche, si on parle de Quotient Emotionnel, là je veux bien y réfléchir. Depuis toute petite je suis très sensible et réceptive à tout ce qui m'entoure. Je pense avoir une facilité pour comprendre les gens, ce qui se joue en eux, voir les petites manipulations, les non-dits, repérer les "sorties de l'inconscient" (actes manqués, lapsus...), les blessures et les troubles/frustrations qui se cachent derrière le masque social. Une fine observatrice de mes congénères. De ce fait, je suis devenue au fil du temps et des rencontres la confidente, celle à qui "on ne peut rien cacher" dixit une amie qui m'avait appelée son "phare dans la nuit" (cette expression m'avait beaucoup touchée). Point de vue astro, peut-être ce Mercure Verseau formant un Triangle mineur avec Neptune et Pluton tous deux angulaires et dominants.
Maldoror
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 6:39
Chez les "conditionalistes" les planètes dites transaturniennes ( ) sont si je me souviens bien dites des planètes de transcendance.
Si elles sont en dominantes dans un thème, elles amènent inévitablement le "hors norme"... Non?
Pour revenir une seconde à mon affaire (l'égocentrique parfait et l'âge ne fait rien à l'affaire ), je ne me suis jamais senti des facilités particulières, mais à ma décharge, je ne foutais rien à l'école. Juste ce qu'il fallait pour passer (et parfois c'était à la corde) MAIS j'avais une sorte de génie.
Exemples; je parvenais à tricher sur moi voisin de gauche et de droite et avec ma mémoire du cours, enfin ce qu'il en restait, je parvenais à faire une soupe de ce que je prenais à gauche et à droite et avec un peu de style , ça pouvait passer.
Ayant appris le grec, j'avais recopié des définitions mathématiques en grecs. Ainsi, lors d'une interro, ma farde de grec était à côté et je copiais allègrement au nez et à la barbe de l'enseignant qui n'y voyait que fifre... (sic)
J'étais un expert pour imiter la signature de mon oncle et ma tante, si bien qu'ils n'auraient jamais pu dire en voyant mes notes que j'avais signé à leur place. Bon, j'ai falsifié très tôt mes bulletins et ça a foiré car je me suis trompé dans la somme des points et une fois, ma gomme a troué le papier (deux avertos du dirlo) en primaire, oui...
Par contre, j'étais très bon créativement. En dessin, en musique, en rédaction (alors que je ne lisais quasi que des BD à l'époque)...Et en sports et natation mais pas du tout en gymnastique...
Parfois, je rêve encore que j'ai examens et que je ne sais rien et que je triche...
Invité
Invité
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 7:09
Citation :
Chez les "conditionalistes" les planètes dites transaturniennes ( Uranus Neptune Pluton ) sont si je me souviens bien dites des planètes de transcendance. Si elles sont en dominantes dans un thème, elles amènent inévitablement le "hors norme"... Non?
Mon fils a une dominante pluton saturne, je ne suis pas sure qu'il soit "hors norme", mais cela peut encore émerger qui sait ? C'était lui, qui me disait quand il était petit et que je l'emmenais dans "mes quatre cent coups", mais non maman tu ne vas pas faire ça !
Maldoror
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 7:32
Comme je suis cohérent et que j'ai de la fuite dans les idées, je répète que toutes ces tendances bien mâtinées par les habituels cabinets de conseils et autre spin doctors nous viennent en droite ligne des US. genre de big pharma de la psychologie pour gogos. Et évidemment comme tout ce qui se fait aux US, ça ne manque pas d'arriver chez nous.
On aurait pu aussi rajouter la vogue des pervers narcissiques, des harceleurs au quart de tour et des sodomites pour grosses femmes à verrues (la grossophobie verruqueuse) etc.
Bref, pour moi grosse part d'esbroufe dans tout ça, c'est un peu la revanche du kroumir. Comme je le disais plus haut, tout est fait pour maltraiter l'intelligence, pardon la sensibilité un poil hors norme. Du coup, grâce à ce gloubi boulga qui mélange les problèmes d'autisme, d'attention, de distraction, d'anxiété, de réaction post-traumatique avec un potentiel génie larvé que la société empêche d'exprimer car elle est par essence "formative" comme je l'ai dit plus haut, on se retrouve avec une multitude de "cas particuliers" qui finissent par devenir la norme. Et vident évidemment le concept par la force des choses de sa substance.
Malheureusement parallèlement à ça, ou en corollaire, devrais-je dire, des études sérieuses montrent que jamais en occident (par exemple) le QI n'a été aussi bas. Jamais la culture aussi pauvre et c'est prévisible, l'avènement de l'Iphone, d'instagram, twitter, de facebook et des réseaux sociaux, sans parler de l'écriture inclusive, du langage SMS n'y sont évidemment pas pour rien.
Moi même un jour, je pensais me retrouver à une réunion d'HPI, mais très vite, je me suis rendu compte que quelque chose clochait. J'étais en fait chez les alcooliques anonymes.
Invité
Invité
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 9:23
La mesure du QI, c'est français et allemand à l'origine.
Angèle a écrit:
Si un enfant est diagnostiqué zèbre, HPI, déficient ou que sais-je encore, on devrait pouvoir proposer comme des options en parallèle d'un cursus normalisé, voire une alternative totalement différente. Il existe des enfants pas du tout adaptés et donc très malheureux dans notre système éducatif tel qu'il existe et qui sont donc en échec scolaire. Moi, je n'ai pas envie d'un système qui gomme les différences. La nécessité est plutôt, je pense, de savoir comment intégrer la différence. Encore faut-il pouvoir la reconnaître et la prendre en considération.
D'accord avec cela. Faire des différences ou ne pas en faire, c'est très idéologique et politique. Certains pays peuvent faire le choix de donner plus d'opportunités aux personnes qui sont particulièrement sensibles sur un plan intellectuel. Les modes HPI etc masquent la nécessité, dans certain cas de comprendre des configurations particulières. Très souvent, les catégories ne servent à rien (Cela rejoint ce qu'a dit Céline).
Celine
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 9:45
Je suis d'accord avec toi aussi Angèle peut être que pour ces personnes concernées cela leur fait du bien de pouvoir mettre des mots sur des maux et de pouvoir être reconnus comme tels , je ne sais pas en fait je ne fais pas partie de tout cela ...
Maintenant , je me souviens d'il y a quelques années déjà , lorsque je travaillais encore en crèche et que le mot "hyperactif " commencait a se répandre . Des enfants disons qui avaient du mal avec les limites ( encore petits et donc en soi dans l'apprentissage pour moi rien de plus ) , des parents dépassés par ces enfants ... Et ils revenaient tous nous voir un beau jour avec ce même diagnostique : " non mais en fait ça y est on a compris il/elle est comme ça arce qu'il / elle est hyperactif ... ". Et moi qui pensais: non mais en fait y a un problème soit on colle une étiquette d'hyperactif a chaque enfant au caractère un peu trempé , soit tous les enfants sont bel et bien devenus hyperactifs mais dans tous les cas c'est pas normal il y a un problème quelque part
Stella F
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 9:52
Angèle a écrit:
Si un enfant est diagnostiqué zèbre, HPI, déficient ou que sais-je encore, on devrait pouvoir proposer comme des options en parallèle d'un cursus normalisé, voire une alternative totalement différente. Il existe des enfants pas du tout adaptés et donc très malheureux dans notre système éducatif tel qu'il existe et qui sont donc en échec scolaire.
Tout à fait d'accord avec toi, mais ça, c'est la situation idéale.
Angèle a écrit:
Moi, je n'ai pas envie d'un système qui gomme les différences. La nécessité est plutôt, je pense, de savoir comment intégrer la différence. Encore faut-il pouvoir la reconnaître et la prendre en considération.
Malheureusement, on n'en prend pas le chemin. Les classes spécialisées sont en voie d'extinction. Tout le monde ensemble, au même rythme, c'est ce qu'on appelle "l'inclusion". Pour les élèves qui ont des difficultés, des troubles dys, TDAH ou autres, on nomme au mieux une AESH pour 7 heures par semaine, qu'il devra partager avec d'autres enfants de l'école ou d'une autre école. L'AESH nommée (payée 600 euros par mois pour 24h de présence dans l'école) n'a bien sûr aucune formation sur les troubles présentés par l'enfant, pas plus que l'enseignante d'ailleurs. Il est devenu quasiment impossible de faire "sauter" une classe à un enfant ou de le maintenir dans le niveau. Il faut monter un dossier aussi solide que si on demandait une subvention de 100 000 euros ! Et prouver que c'est la seule solution valable et justifier du fait qu'on n'a pas réussi à faire évoluer l'enfant dans le cadre rassurant de sa classe d'âge. Car, bien sûr, l'enseignant se doit de mettre en œuvre une pédagogie différenciée qui s'adapte à chaque enfant et fait progresser chacun à son rythme, quel que soit le nombre d'élèves dans la classe..... Bref, on n'en prend pas le chemin. Tout est fait au contraire pour saper notre service public de l'éducation. Les fermetures de classes se multiplient. Bientôt malheureusement, les structures spécialisées avec du personnel formé deviendront privées, j'en ai peur. Santé à deux vitesses, éducation à deux vitesses.
Violette
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 9:55
Celine a écrit:
Des enfants disons qui avaient du mal avec les limites ( encore petits et donc en soi dans l'apprentissage pour moi rien de plus ) , des parents dépassés par ces enfants ...
limite ! tout est là...il n'y a qu'à regarder ...l'actualité. ...quand je pense que ce "brave saturne", le grand limitateur, va entrer en poissons... Quid de la "colonne vertébrale" dont nous avons besoin ?
ceyba
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 11:09
Je vous apporte mon témoignage.
Érèbe
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 13:07
Celine a écrit:
Je sors un peu du sujet désolée mais personnellement ça m'agace un peu tous ces termes TDAH, zèbre , HPI, HPE , hyper actif etc... Est ce qu'on ne pourrait pas simplement accepter que chaque personne est différente ? Sans vouloir coller une étiquette sur chaque comportement ? Pour moi même comme ça c'est entretenir quelque part une "normalisation" dans le sens où continue de coller une étiquette du genre : lui il n'agit pas comme tout le monde , mais il agit de cette façon parce qu'il est ...
Je suis entièrement d'accord avec toi Céline ! D'ailleurs, je n'ai jamais accepté de passer tous les "tests" autres par manque d'intérêt qu'on me colle "encore" une étiquette sur le dos et je n'en voyais pas l'intérêt.
CEPENDANT, il est humain de chercher sa place dans ce monde qui plus est quand pendant des années tu es rabaissé, humilié et qu'on te montre bien du doigt que tu n'es pas "normal". Quand tu grandis avec ça pendant des années et pendant toute ton enfance, voir toute ta vie, à un moment tu cherches des réponses, parce que c'est aussi une vraie souffrance.
Maldoror
Sujet: Re: TDAH et astrologie Sam 25 Fév - 15:50
Le priapisme incontrôlé est-il directement lié à un TDAH déconcentré?
J'en appelle à l'équipe...
Invité
Invité
Sujet: Re: TDAH et astrologie Dim 26 Fév - 12:20
cheliel a écrit:
Quand j’étais en primaire, il a été question d’évaluer mon QI, mes parents ont refusés. Ce n’était pas pour me porter préjudice, mais pour éviter tout sentiment de supériorité ou d’infériorité à travers ma fratrie (j’ai un an d’écart avec mon grand-frère et un an avec ma petite sœur). Il était d’ailleurs questions de me faire sauter plusieurs classes, mais mon père à estimer que ce ne serait bon ni pour moi ni pour mon grand frère. Finalement et avec le recul, je suis content qu’il n’ait pas accepté, d’ailleurs j’ai été mis au courant de cette histoire dix ans après.
Que tu n'aies pas passé de tests psychométriques pour déceler une potentielle surdouance ne modifie pas le fait que tu aies des capacités hors-normes et qu'elles s'expriment au quotidien. Le test ne rend pas surdoué.
Peut-être que sauter des classes t'aurait permis de moins te faire chier à l'école ? Je dis bien "peut-être" car je sais que cela n'est pas toujours une solution dans la mesure où le système éducatif reste inadapté pour certains enfants. Surdouance non-décelée officiellement et classes non sautées dans une volonté de maintenir l'équilibre de la fratrie, ton frère et ta sœur n'ont-ils jamais été soufflés par tes facilités ? Ne penses-tu pas que la comparaison, la plus humaine du monde, la plus naturelle chez l'enfant quand il y a une telle proximité, ne s'est jamais immiscée dans leurs réflexions, peut-être même avec de l'admiration, de l'envie, des moqueries, voire de la jalousie ?
Citation :
On m’a reproposé le test au cours de mon adolescence, et j’ai également refusé. Cela n’aurait rien apporté, ni à moi ni aux autres, alors ça m’est apparu inutile. Je n’aurais pas été soulagé de quoi que ce soit, que le résultat soit fort ou faible. En fait, ça n’aurait contribué qu’à me mettre dans une catégorie, or, je refuse les cases, les étiquettes et les frontières qu’elles imposent.
Que tu n'estimes pas nécessaire d'être décelé est un choix qui se respecte. Mais là encore, cela ne retire rien au fait que tu aies des capacités particulières et hors-normes. Il ne s'agit pas d'une intelligence en plus en terme quantitatif, mais qualitativement différente avec des spécificités au niveau de la structure cognitive et affective. Aussi, à partir de là, on peut faire la distinction entre "je suis plus intelligent" et "j'ai des capacités différentes". Je me demande si plus qu'un refus d'être mis dans une case, ce n'est pas la crainte de poser une réalité sur un vécu, qu'elle le soit officiellement ou non, je ne sais pas.
Citation :
Quand mon actuel compagnon, admiratif de ma polyvalence et de ma capacité à suivre plusieurs courants de pensées simultanés m’a suggéré que j’étais probablement surdoué, je lui ai répondu qu’on s’en fichait. En ce qui me concerne, ce n’est pas ça qui est important, mais la qualité de ce que nous partageons. On s’adapte et c’est cool.
Pourquoi s'en ficher ? Manifestement, il se posait des questions et peut-être qu'en parler ensemble, parler de tout ce que cela implique au niveau affectif notamment, car on oublie, ou plutôt on ignore qu'un être surdoué est un être affectif, cela lui aurait permis de mieux te comprendre encore, de remettre en perspective les choses que vous aviez déjà partagées. Bien-sûr que la qualité de ce que vous partager est ce qui importe et cela aurait peut-être donné un bel échange. Un peu comme lorsque tu as découvert que j'étais un zèbre. Et je ne crois pas que tu t'en sois fiché à ce moment-là... Non pas que c'était mieux/moins bien, mais ce qu'il avait autour t'avait touché ou au moins intrigué. Derrière le coté tout en ouverture, j'ai l'impression que tu verrouilles tellement...
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S’il est vrai que l’on m’a souvent fait remarquer que j’étais quelqu’un de mature, j’estime cependant que mes façons d’interagir et de m’exprimer ont certainement trompé mon monde. En effet, je pense qu’il y a différents types de maturités (intellectuelle, émotionnelle, comportementale…) et qu’on peut paraître très mature tout en étant immature sur des plans insoupçonnés. Pour ma part, et par exemple, cela fait seulement quelques années que la maturité émotionnelle pointe le bout de son nez.
M'enfin, cheliel chéri, pourquoi ne pas laisser les gens te reconnaître les qualités qu'ils décèlent dans l'instant avec leur manière de voir les choses ? Chacun perçoit et dit les choses selon ses propres moyens. Ou tu balaies, élégamment, mais tu balaies quand même, ou tu penses qu'il y a erreur d'appréciation. Oui, il y a différentes types de maturités. Mais parce que tu ne te trouvais pas mature sur le plan émotionnel, ceux qui soulignait la maturité de tes réflexions se trompait ou était trompé par tes facilités d'expressions ? Te fallait-il cocher en vert tous les types de maturité pour te reconnaître mature ?
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Je suis peut-être HPI, je ne le suis peut-être pas et finalement, le savoir ou l’ignorer ne change rien à ma situation d’être humain. Je ne souhaite pas être identifié à travers un quotient, je ne désire pas que des personnes se sentent rabaissées en mon contact par l’éventualité d’un haut potentiel, et j’estime que l’intelligence est multiforme, qu’elle n’est pas toujours mesurable à travers des standards socioculturels.
Te rabaisses-tu pour être intégré et accepté ? Comme dit plus haut, être décelé HPI ne rend pas plus intelligent. Ne pas être décelé n'empêche pas les capacités et spécificités relatives à la surefficience de s'exprimer.
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Je pense que si on m’avait diagnostiqué durant l’enfance, j’aurais fait comme ton fils, je l’aurais caché comme une tâche dans mon parcours. Ma manière d’être était déjà hors norme, mes façons d’agir et de penser sortaient des sentiers battus et rajouter dessus quelque chose qui aurait confirmé médicalement ma différence, je pense que ça m’aurait coupé davantage des autres.
Ça se cache mais, et aussi adaptable est-on, chassez le naturel...
Je n'aime pas trop le mot diagnostic, ce n'est pas une maladie au départ. Mais quand les bases narcissiques sont trop fragiles et l'accompagnement psycho-affectif insuffisant, il peut y avoir une véritable souffrance et de violente décompensation.
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À mon époque, on ne parlait pas vraiment de TDAH, c’est venu d’outre-Atlantique et ça s’est démocratisé plus tard. En fait, on disait seulement hyperactivité. Enfin, des hyperlatifs on m’en a d’ailleurs collés pas mal : hypersensible, hyperémotif, hyper-féminin, etc… et en vérité, la seule chose que ça me révélait, c’est que j’étais surtout hyper-chiant . Cela dit, si on m’avait décelé une intelligence hors norme, ça ne m’aurait pas empêché d’être un gros bêta quand même (clin d’œil à ma fraise tagada préférée qui est surement hyper plus intelligente) .
Ah y'a des étiquettes qui passent mieux que d'autres
Ça te va drôlement bien, ça me fait trop rire
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Alors certains disent que ça aide de mettre des mots sur des capacités ou des troubles. Il est question d’adapter ensuite la manière de traiter ces potentiels. C’est probablement vrai dans une certaine mesure, mais pas toujours et le plus souvent, ça ne change pas forcément les choses pour un mieux-être. Car, il est possible que ça isole, que ça mette des frontières là ou ce n’est pas nécessaire. On est tous différents, la norme est une vue de l’esprit, une moyenne qui ne signifie rien à l’échelle individuelle de nos vies. Notre valeur d’être ne s’estime pas à l’aune de cette moyenne, et se retrouver au-dessus ou en dessous n’apporte que des complexes, de la mise en concurrence déloyale et des sentiments de supériorité ou d’infériorité qui occultent l’évolutivité de tout un chacun.
Oui on est tous différent mais on se construit au milieu des autres, avec les autres. L'identification de l'enfant HPI peut être difficile car il n'y a pas vraiment d'effet miroir au niveau des occupations, des préoccupations, le mode de pensée, tout ce qui permet d'assumer sa personnalité. Cela va implicitement confirmer le sentiment d'étrangeté. Décelé ou non. Et cela peut aller jusqu’au déni de ses spécificités pour se rendre acceptable, et parfois déni du vécu et de sa souffrance.
Citation :
Tout ça pour dire que je suis d’accord avec toi, Céline. Je me suis intéressé au TDAH parce qu’ayant vécu des symptômes difficiles à accepter pour les autres, cela m’a permis de saisir une partie de mes fonctionnements. Mon neveu étant également touché par cette façon de se construire, cela m’a ouvert à de nouvelles prises de conscience pour savoir comment m’adapter spécifiquement à lui. Toutefois, cela ne nous définit ni l’un ni l’autre en tant que personnes. Ça ne nous donne pas une valeur, seulement des pistes d’évolution et des pièges à éviter, sachant que de toutes façons, les conditions de vie et les spécificités de chacun rendent les expériences uniques.