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| Transit, Schizophrénie et Art | |
| Auteur | Message |
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Glauque
| Sujet: Transit, Schizophrénie et Art Sam 25 Juin - 12:13 | |
| Bonjour le forum ! Aujourd’hui, je voulais analyser avec vous les transits Avril 1991 à Juillet 1991 de Bryan John Charnley. C’est un peintre anglais atteint de schizophrénie paranoïde, qui a décidé d’être le cobaye d’une expérience très dangereuse. Tout en réduisant, puis arrêtant sa médication, il décide de réaliser une série d’autoportrait, pour voir comment la dégradation de son étant psychique influence son art, mais aussi la perception qu’il a de lui-même. Tout ses autoportraits (a l’exception des deux dernier) son accompagné d’une description. Pour chaque jour ou un portrait est réalisé, j’y ai joint le transit du jour, ainsi que la description que Bryan Charnley à fait de son tableau (certaine description son chelou, mais il ne faut pas oublier qu’il est malade, et qu’il abandonne progressivement sa médication. ). Je n’ai malheureusement pas son ascendant, donc l’analyse ne sera pas très précise (si vous avez une idée d’ascendant, n’hésitez pas à la partager). Le bute ici est aussi de voir si les transit on influencé les symptômes de sa schizophrénie. Son Theme Natal : - Portrait du 11-16 Avril 1991:
Portrait conventionnel peint en deux séances. Est-ce une bonne ressemblance? La posologie du médicament était de deux comprimés de 3 mg de Depixol par jour plus deux comprimés de 25 mg. Tryptisol. Je dormais beaucoup. 11 au 16 avril 1991.
- Portrait du 20 Avril 1991:
Réduire à un comprimé de 3 mg de Depixol avec des comprimés de mitrazépam pour dormir un peu. Très paranoïaque. La personne à l’étage lisait dans mes pensées et me parlait pour me garder dans une sorte de crucifixion de l’ego. Je sentais que c’était parce que je déchargeais des vibrations très fortes qui pouvaient facilement être interprétées. J’ai essayé d’exprimer cela dans le tableau. La grande oreille de lapin est due au fait que j’étais confus et extrêmement sensible aux voix humaines, comme un animal sauvage. J’avais aussi l’impression d’être lu en général par E.S.P. J’avais réduit à un comprimé de Depixol le 17 avril 1991 et je commençais tout juste à ressentir les effets dramatiques d’un retrait aussi soudain.
- Portrait du 23 Avril 1991:
J’avais eu l’idée à l’origine d’une série d’autoportraits de la série de portraits de chats de Louis Wain qui a changé étrangement à mesure qu’il devenait de plus en plus psychotique. Ils semblaient montrer un ego en désintégration. Je m’attendais à quelque chose de similaire, c’est-à-dire la dépendance à une sorte de géométrie hallucinatoire, mais j’ai plutôt constaté que j’étais presque complètement incapable de me concentrer, de sorte que la peinture prend la grossièreté des mauvais graffitis. J’attribue cela au fait que Depixol renforce la concentration et donc son élimination signifie que le pouvoir de concentration se décompose. Cependant, je voudrais mentionner que cela, comme dans le cas de Louis Wain, n’était pas mon problème lorsque je suis tombé malade à l’origine, mais semble avoir résulté de la dépendance au depixol. Toujours sur un comprimé de Depixol plus somnifères. J’en étais venu à la conclusion que la plupart des gens autour de moi avaient une capacité de perception sensorielle supplémentaire qui leur donnait accès à mon esprit. À cet égard, j’étais comme un aveugle. D’où les croix sur les yeux. Ils m’ont également fait savoir verbalement ce qu’ils avaient compris de mes pensées. J’étais comme un homme stupide à cet égard et donc la croix sur la bouche. Les dates barrées sont parce que je devenais obsédé par le fait que j’avais pris deux séances plutôt qu’une sur le premier autoportrait.
- Portrait du 24 Avril 1991:
Pourquoi manquer une occasion en or de décrire à travers la peinture la désintégration mentale totale. Peintes le lendemain du dernier portrait, les cornes d’E.S.P. sont censées fonctionner comme des bouches. Le manque total de concentration signifiait à nouveau un effet graffiti. Les taches sur le cerveau de la tête sont du vrai sang pour essayer de surmonter la douleur mentale que je ressentais. Je fumais beaucoup, d’où la pipe. Pas d’yeux pour voir ce qui se passe vraiment et une bouche cousue. Le sang est le mien. J’ai poignardé la base de mon pouce. Pas le genre de chose que vous êtes capable de faire sur les tranquillisants. Toujours sur un seul comprimé de Depixol et somnifère (trémazépam) mais sachez que je ne peux pas continuer beaucoup plus longtemps.
- Portrait du 29 Avril 1991:
Les choses avaient vraiment dégénéré. Une force spirituelle étrange me faisait sentir que je ne devais pas fumer ou que j’encourrais un désastre. Cela me rendait fou car je suis normalement un gros fumeur. J’ai marché et marché, jetant ma poche de tabac. J’avais pris 15 tables de Depixol le 24 avril pour essayer de me débarrasser des exigences spirituelles qui me rendaient fou avec l’E.S.P., mais en vain. J’ai continué à prendre des doses élevées les jours suivants, mais rien n’avait d’effet et je sentais que je devais peut-être aller à l’hôpital. Quand je suis rentré à la maison après une de mes longues promenades, mon jumeau a téléphoné. Je lui ai dit ce que je ressentais et il a dit quelques mots de vérité qui ont complètement coupé à travers la situation jusqu’à l’os et ont rendu les forces spirituelles heureusement impuissantes. J’ai écrit, pour compléter « Love hurts » du 23.4.91, « Love is Strange » parce que c’était la première aide réelle qu’on m’avait donnée dans ma maladie. Tout le monde semblait essayer de me faire sentir pire. C’est aussi une référence à la déclaration du Christ selon laquelle l’amour est la vérité. Je voulais vraiment dire que la vérité est le pouvoir, c’est la beauté, c’est l’amour, mais je l’ai laissé tel quel parce que je pense que la chanson du même nom est si grande de toute façon. Les médecins prescrivent de plus en plus de médicaments lorsque les patients trouvent quelque chose qu’il ne peut pas gérer. Ce que je trouve intéressant, c’est que les médicaments, peu importe la dose, n’ont eu aucun effet. Ce qui a fait le changement, c’est la perspicacité rationnelle, la vérité. La beauté de la vérité. Les médecins vont bien sûr marmonner que les médicaments viennent de commencer à faire effet, mais je ne le crois pas un instant. Je crois plutôt que la réponse à mon état est une perspicacité rationnelle, mais les médecins semblent réticents ou incapables de m’aider ici. Certes, de nombreuses schizophrénies différentes existent et certaines ne peuvent pas être attaquées par la perspicacité rationnelle car la raison s’est effondrée, mais pourquoi tout le monde devrait-il être mis dans le même bateau de drogue? Je suis submergé par des choses que je ne peux pas comprendre
- Portrait du 2 Mai 1991:
Après la libération mentale, la chimie des médicaments a vraiment commencé à faire effet et bien que j’aie maintenant réduit ma dose lorsque j’ai commencé, 6 mg. Depixol, 60 mg. Tryptisol, j’étais presque complètement sans énergie. C’est ce qui explique la technique du simile. Je n’avais pas l’énergie pour autre chose. Ceci est exprimé par la nymphe. L’état torpide chez les insectes. L’esprit, exprimé par un oiseau est écrasé par l’asticot. Mon complexe d’Œdipe est représenté par le phallus à capuchon. Mon conflit de pensée exprimé par l’homme à deux têtes, l’une est un nez. La corde à linge est pour dire que tous mes lavages sales, ou pensées sont exposés. Les croix fendues sont une référence à la schizophrénie étant un type de crucifixion de l’ego. L’homme au chapeau me regarde et garde tout sous son chapeau. De plus, la scission dans la croix exprime l’absence de direction réelle, d’une scission dans la volonté, comme avec l’homme avec une tête de nez.
- Portrait du 6 Mai 1991:
Je me sens comme une cible pour les remarques cruelles des peuples. Surtout les nègres. Que se passe-t-il? J’avais doucement parlé au suicide d’une fille parce que je n’avais pas de langue, pas de vraie langue, et je ne pouvais que flatter. C’est très important pour expliquer pourquoi je suis malade. L’ongle dans la bouche exprime cela. Les gens autour de moi ne peuvent pas comprendre comment j’étais si stupide et ne peuvent pas me pardonner. Je peux seulement dire que je ne peux pas socialiser du tout à cause de ma faiblesse verbale et cela a été, produit une tragédie. Je suis donc une cible. Les ongles dans mes yeux expriment que je ne peux pas voir alors que d’autres personnes semblent avoir une perception sensorielle supplémentaire et je suis aveugle à cet égard. L’amour fait mal. Je me tiens bien maintenant des femmes sur les conseils de mon psychiatre. Sur deux comprimés de Depixol plus deux comprimés d’antidépresseurs, Tryptisol.
- Portrait du 14 Mai 1991:
L’ego se divise comme une cellule cancéreuse alors qu’il est attaqué, un désordre sanglant. La jambe des soldats romains exprime ma crainte de la mafia qui maintient sa tyrannie en attachant une grande importance au caractère sacré de la bonne santé et de la bonne réputation d’une femme et met ainsi un pied dans la porte du meurtre et du crime organisé. J’ai aussi l’impression que Rome a été le véritable décideur et a en fait crucifié le Christ. Mon ego est en train d’être crucifié. Mes sentiments, mon complexe d’Œdipe se résument à la jambe d’un Italien. Les Italiens sont très attachés à leurs filles et j’en ai blessé une par ignorance des mœurs sociales. La fille, qui s’est cassé le dos lors d’une tentative de suicide, n’était pas italienne mais si elle l’avait été, je m’attends à ce que j’aie été traitée brutalement et efficacement Ainsi la jambe romaine génère de l’anxiété. Je suis de toute façon du mauvais côté et je ne peux espérer autre chose qu’une défaite totale car la vache sacrée ne doit jamais mourir. Je suis une cible sans espoir de victoire, mais seulement une humiliation totale. J’acquiesce complètement à cela, mais je suis toujours profondément blessé tout le temps.
- Portrait du 18 Mai 1991:
À partir du 10 mai, j’avais réduit à un antidépresseur (tryptisol) et je ne dormais donc pas autant. Mon esprit semblait être pensé à diffuser très sévèrement et il était au-delà de ma volonté de faire quoi que ce soit à ce sujet. J’ai résumé cela en peignant mon cerveau comme une énorme bouche, agissant indépendamment de moi. Le problème m’a semblé à tort ou à raison, provenir d’un cœur brisé à ma gauche, alors j’ai peint une grande masse de gore là pour exprimer cela. Le pied qui se connecte à cela pousse la bouche ouverte pour que les pensées soient diffusées. J’ai l’impression d’être toujours divisé contre moi-même par moi-même. Encore une fois, le clou dans la bouche exprime mon incompétence sociale et ma capacité à socialiser, ce qui fait de moi une cible. Pourtant, j’ai l’impression de dégager de fortes vibrations de personnalité, d’où les lignes ondulées émanant de ma tête.
- Portrait du 23 Mai 1991:
Je me lasse vraiment d’avoir à expliquer mes peintures. C’est vraiment ma tragédie que les gens ne puissent pas comprendre l’utilisation poétique directe des symboles que j’emploie. Le bleu du portrait est là parce que je me sentais déprimé en réduisant les antidépresseurs. Les lignes ondulées sont parce que tout comme je me sentais en sécurité, une voix de la rue m’a éviscéré émotionnellement par son E.S.P. de mon état. (Je me sentais fier de la peinture et il a montré qu’il le savait de manière suffisamment convaincante pour me convaincre que je devais émettre des messages de pensée très forts ou des vibrations d’une sorte lisible). J’étais heureux d’avoir pu exprimer un concept aussi purement mental que la diffusion de la pensée par le simple dispositif de transformation du cerveau en une bouche que je peignais à nouveau. On est très confronté à la tâche presque impossible de décrire dans la peinture ce qui est essentiellement totalement invisible. Les symboles viennent à être employés et le approprié doit être trouvé, aussi il devrait avoir une charge poétique attachée à elle. Pourtant, les gens sont encore trop ignorants pour voir. À ce stade, ma principale préoccupation était la radiodiffusion de pensée. Cela passerait au fur et à mesure que j’acquérais des connaissances et que les effets du sevrage de la drogue s’estompaient. J’étais très inquiète pour la radio et la télévision parce que je semblais m’entrelacer avec leurs ondes diffusées et m’exposer complètement, ce que je trouvais humiliant. Les gens se moquaient de moi quand cela se produisait ou me faisaient savoir que c’était pour de vrai par des remarques aiguës. J’ai continué ma retraite du contact social.
- Portrait du 29 Mai 1991:
Peut-être qu’un cœur brisé est la cause de tout cela. Certes, ça fait mal. Ceci est exprimé du mieux que je peux sur le côté gauche. Les pattes d’araignées à droite expriment mes inhibitions et le sentiment qui me vient au-dessus lorsque mes pensées font surface et se diffusent. Effrayant. Je sens tout le temps maintenant que je me rapproche d’une expression plus aiguë de ma schizophrénie. À partir du 19 mai 1991, j’avais réduit à 1 1/2 comprimés de Depixol plus un comprimé de 25 mg. de Tryptisol.
- Portrait du 8 Juin 1991:
Les pattes d’araignées semblent être ma condition centrale. J’ai essayé de suggérer qu’ils irradiaient et devenaient moins puissants à mesure qu’ils quittaient mon cerveau. J’ai trouvé que cette idée qu’ils se dissipaient en quelque sorte à mesure qu’ils se retiraient du noyau réconfortant. Les fléchettes enflammées d’E.S.P. ont rendu vocal et juste le point de la naissance de la pensée aussi dans ce cas. Les parties blanches représentent mes pensées. Les triangles se rencontrent pour produire la décharge d’une pensée rationnelle qui ressemble à la vérité et une fléchette enflammée de quelqu’un la transperce au début. Les pattes d’araignées représentent l’inhibition, sociale et autre. Est-ce la vérité de mon état ? Je devais découvrir le contraire, mais cela faisait certainement partie de la vérité.
- Portrait du 13 Juin 1991:
Les gens se serrent le cou pour essayer d’apprécier la technique, s’extasiant sur Picasso qui est une décharge poétique via des symboles. Ils avalent un chameau pour forcer un moucheron et disent que je ne peux pas peindre, que ma technique est au service de mon imagination. Peut-être que ce devrait être l’inverse, mais alors je trouve Picasso particulièrement fade dépouillé de sa technique. Eh bien les peintures ultérieures en tout cas. Il n’y a rien de mal avec ma technique, sauf quand je dois essayer trop fort à cause des exigences de l’imagerie. Les gens me gardent dans la misère parce qu’ils continuent à venir me voir avec des ragots sur mon passé et je ne sais rien du leur. Les œufs ont été vidés comme une tête dépouillée de son contenu. Il n’y a plus rien dedans, plus de secrets, ils sont allés satisfaire l’appétit de quelqu’un, un corps qui a du pouvoir sur moi. Ils ont apprécié chaque bouchée savoureuse. Deux œufs? C’était la même chose hier. Inutile de dire que je me sens suicidaire, alors j’ai peint dans les corbeaux de Van Gogh à partir de sa dernière image suicidaire du champ de blé. Des cornes D’E.S.P., des voix comme des bouches qui sourient. Les oiseaux viennent des œufs, donc les corbeaux peuvent aussi être comme mes pensées qui s’envolent. Tout ce genre de commérages augmente mes craintes de télépathie et est la principale raison pour laquelle je me sens suicidaire. Toujours sur 1 1/2 comprimés de Depixol (3 mg.chacun). Le 24 mai, éliminez complètement l’antidépresseur Tryptisol.
- Portrait du 19 Juin 1991:
Veulent-ils juste faire la fête? Une intrusion dans ma vie intérieure mentale, comme si tout le monde avait un pied dans la porte. Bouche clouée et langue attachées, je n’ai pas de réponse efficace à eux.
- Portrait du 27 Juin 1991:
Une image extrêmement compliquée car j’ai l’impression de me rapprocher de l’image essentielle de ma schizophrénie. Je suis d’abord transparent. Faites des tentatives folles pour une sorte de contrôle sur ce qui est devenu une situation impossible (l’homme avec le bâton de contrôle). Mon cerveau, mon ego est transfiguré par des clous comme le Christ qui ne pouvait pas se déplacer librement sur la croix sans douleur intense. Mon moi respecte mon ego mes sentiments à mon égard sont crucifiés comme le Christ. À partir de là, l’illumination de ma condition s’insinue et l’imagerie devient encore plus difficile à trouver. Je me suis rendu compte que la peur causée par la colère (symbolisée par la bête nouée rouge, muselée parce que la colère surgit en ne pouvant pas répondre aux abus qui m’ont été infligés) cette peur me fait halluciner la télépathie et l’E.S.P. qui n’est pas là. Ou pas là quand je n’ai plus peur. Je l’exprime du mieux que je peux à travers la bouche au bout des énormes sourcils pliés. Mes sens sont pliés par la peur en hallucinations. Comme les cils, c’est quelque chose à propos de la flexion qui a lieu à la périphérie de ma vue. C’est pourquoi je me sentais aveugle tout le temps. La colère, « Il est en colère contre vous, il est fou », est une cause de peur, la colère étant dans un état latent et inconscient, mais donnant lieu à une paranoïa qui à son tour donne lieu à des hallucinations et des symptômes schizophréniques caractéristiques. Mais je suis toujours très désavantagé socialement. Cela peut-il changer un jour ou la colère restera-t-elle toujours ? J’ai l’intention d’enregistrer mes progrès avec plus d’autoportraits à additionner lorsqu’ils seront tous réunis en tant que document important quant à la vie, à la fin du XXe siècle. « Autoportrait » énoncera avec profondeur ce que c’est que d’être humain et schizophrène. Un 1 1/4 comprimés de Depixol (3 mg. chacun) du 22 juin 1991
- Portrait du 12 Juin 1991:
Pas de description
- Portrait du 19 Juillet 1991:
Pas de description, Bryan Charnley est retrouvé mort près de ce tableau, il s’est suicidé.
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| | | Maldoror
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Sam 25 Juin - 12:33 | |
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| | | Glauque
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Sam 25 Juin - 12:44 | |
| Pas trop de compliment, sinon mes chevilles vont être aussi jupitérienne que mon ascendant J'ai hésité a faire se post a cause du coté "interdisciplinaire", je me suis dit que ça allait plus barber les gens qu'autre chose (j'aime me torturer la tête ) Je recherche encore son ascendant (enfin, je recherche surtout son acte de naissance) car je suis frustré de ne pas l'avoir . Déja, j'ai l'intime conviction que sa est en ... |
| | | Maldoror
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Sam 25 Juin - 12:48 | |
| En fait, oui c'est une histoire bien Glauque, en effet... Ça se tient... Ascendant voire à tout hasard... Question, comment as-tu fait pour remonter les transits et les faire correspondre à un dessin à une date précise (avec textes de l'auteur correspondant au dessin)? Ou tu as trouvé tout ça sur un site particulier? Belle idée, mais je ne m'aventure pas dans les transits (j'ai du mal avec ça) Par contre voir tout ce tropisme hors médocs déclinant, c'est impressionnant car c'est un peu comme si on assistait aux derniers temps de quelqu'un qui se condamne sans doute à mort et tient un journal de bord. Comme une grève de la faim au finish... Pour les bienfaits de la "science"??? C'est beau et terrible à la fois. |
| | | Neli-moon
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Sam 25 Juin - 22:14 | |
| Tres interressant comme etude en effet...cest un sujet qui me parle vu que mon frere ainé en est atteint. Ses chutes correspondaient a des oublis(volontaires) de comprimés....et etaient assez impressionnantes. Pour revenir au sujet jaimerais bien avoir ses donnees completes pour voir si ce sucide progressif se voit en uranien. |
| | | Maldoror
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Sam 25 Juin - 23:59 | |
| Juste une petite parenthèse. David Bowie (alias David Jones), au delà du chanteur, personnage des plus intéressants, était hanté par la schizophrénie (côté , j'en sais rien). Il prétendait descendre d'une famille de schizophrènes... Sa hantise, dans certains interviews était de le devenir, lui aussi. Son demi frère ainé (qui l'a beaucoup influencé au départ) Terry Barnes s'est retrouvé interné à Canhill à Londres (le Saint-Anne londonien si on veut), il s'est évadé deux fois et s'est jeté sous un train. Ça a marqué Bowie qui s'est toujours reproché de l'avoir à un moment (de succès) laissé tomber. Et il dit quelque part, que tous ces personnages (Ziggy Stardust, Halloween Jack, the thin white duke etc.) étaient une façon d'exorciser cette schizophrénie latente en la rendant visible. Une sorte d'exorcisme créatif. Beaucoup n'ont pas pris ça au sérieux car ce type, malgré tout (assez saturnien tout de même) semblait exercer un grand contrôle sur lui-même, malgré de très mauvaises passes (drogues etc.). "Garder le contrôle", revient très très souvent dans les chansons de Bowie. Fin de la parenthèse. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Dim 26 Juin - 10:17 | |
| Outre les transits de fond durant lesquels cette expérience s'est déroulée, ce sont ceux de la Lune qui ont attiré mon attention. J'y ai vu une certaine cohérence avec ce que ses œuvres reflétaient. Ça reste subjectif. - Glauque a écrit:
- Déja, j'ai l'intime conviction que sa est en ...
Qu'est-ce qui te fait dire ça ? |
| | | Glauque
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Dim 26 Juin - 15:05 | |
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| | | Glauque
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Dim 26 Juin - 15:10 | |
| " mais j’ai plutôt constaté que j’étais presque complètement incapable de me concentrer, de sorte que la peinture prend la grossièreté des mauvais graffitis." tableau du 23 Avril 1991 (et aussi du 24 Avril), , or c'est une planete qui rentre beaucoup en compte dans le processus artistique. Il était, et aussi en maque de sa médication, mais ça reste le tableau le moins "techniquement" aboutis. Il était suicidaire au moment du 13 juin par exemple, mais ça ne l'a pas empêché de peindre malgré son malaise. D'où mon hypothèse de dans la partit "technique" et de ses problèmes de concentration qui l'empêche d'aboutir le tableau. était en plus en rétrograde |
| | | Craie
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Dim 26 Juin - 17:10 | |
| Les Noeuds étaient au Carré de choses intéressantes. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Dim 26 Juin - 19:03 | |
| - Glauque a écrit:
- "mais j’ai plutôt constaté que j’étais presque complètement incapable de me concentrer, de sorte que la peinture prend la grossièreté des mauvais graffitis."
tableau du 23 Avril 1991 (et aussi du 24 Avril), , or c'est une planete qui rentre beaucoup en compte dans le processus artistique. Il était, et aussi en maque de sa médication, mais ça reste le tableau le moins "techniquement" aboutis. Il était suicidaire au moment du 13 juin par exemple, mais ça ne l'a pas empêché de peindre malgré son malaise.
D'où mon hypothèse de dans la partit "technique" et de ses problèmes de concentration qui l'empêche d'aboutir le tableau.
était en plus en rétrograde
3 jours avant, il y avait ces lignes ondulantes qui s'échappaient de visage. En fond, une scission apparente avec un côté droit à dominante gris anthracite (oreille de lapin qui symbolise son hypersensibilité) et le gauche bleu électrique, ajouté à des lignes cassées. Conj Lune/Mars en Cancer en aspects tendus à son NN/LN Bélier – Mercure/Neptune/NS. Le dessin du 23/04 est moins technique, plus élémentaire. Fond blanc, couleurs plus chaudes (sauf le visage). À gauche, un angle (avec au-dedans une ondulation) dont la pointe vient toucher/percer un visage fermé. À droite, une large ligne verticale qui semble soutenir sa tête et renforce l'idée de tension dans son espace psychique. La partie inférieure est dominée par des coups de pinceaux épais et appuyés (assise disloquée), tandis que lignes droites et quadrillage occupent le haut. On peut aussi y voir le cloisonnement Bryan/les autres. La représentation de son visage reste plus élaborée que le reste, avec toutefois une partie supérieure plus chargée. Pour celui-ci, on serait sur un retour lunaire, donc un cycle qui démarre. En plus de ce que tu as souligné, Mercure C réactive l'oppo Bélier/Balance. Pour les perceptions sensorielles/rapport aux autres, je trouve que le carré exact de Saturne C/Vénus N fait sens. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Dim 26 Juin - 20:11 | |
| - Nanouille a écrit:
- 3 jours avant, il y avait ces lignes ondulantes qui s'échappaient de visage. En fond, une scission apparente avec un côté droit à dominante gris anthracite (oreille de lapin qui symbolise son hypersensibilité) et le gauche bleu électrique, ajouté à des lignes cassées.
Haaa, c'te nouille, j'ai encore inversé gauche/droite... J'ai tellement fait attention |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Dim 26 Juin - 21:55 | |
| Belle découverte ! Merci Glauque *edit j'aime beaucoup ce qu'il peint alors que c'est pas mon style à la base En naviguant un peu quelques infos glanées ça et là. Et notamment ici : https://faroutmagazine.co.uk/the-final-self-portraits-of-schizophrenic-artist-bryan-charnley-abstract/ Date du suicide, la même que Van Gogh 29 juillet, personne ne sait évidemment si cela est une coïncidence ou non. Quand il parle des abus qu’il a subit on peut imaginer qu’il fait référence à (entre autres peut-être) l'électroconvulsivothérapie (ECT ). En tout cas ils les mentionnent. Je ne sais pas où en est avec les électrochocs aujourd'hui, même si sur le lot il y a eu des cas de mieux être. Quand il parle des ESP cela fait référence aux « extrasensory perception ». En français perception extrasensorielle (PES) ce qui m’amène à faire une remarque toute subjective. J’ai été proche, très proche de personnes ayant été « diagnostiqué » schizophrène et j’ai assisté à des bouffées de délires et autres décompensations très effrayantes et parfois dangereuses. Bref ces 3 personnes que j’ai côtoyé de près et de très près durant plusieurs années (entre 5 et 10 ans), j'avais entre 15 et 25 ans ont toutes de mon point de vue un point commun (on ne peut tirer de conclusion sur un panel de trois personnes certes) une grande sensibilité et les 3 ont des dispositions artistiques indéniables avant et après la déclaration de la maladie (dessin, peinture arts plastiques en général, sensibilité à la poésie). Je fais partie de ces gens, je le reconnais, que l’engouement face aux notions de douance et d’hypersensibilité agace. Peut-être parce que je ne me sens pas concernée mais surtout parce que souvent je ne trouve pas le sujet amené de manière intéressante et que la posture du "à part", même si elle existe, a bon dos pour justifier parfois un non-effort à l’intégration (ou alors tu pars à la recherche de tes « pairs », ce qui est valable pour n’importe quelle "appétence" particulière ou sentiment de différence qu'on ne peut partager qu’avec la communauté qui y répondra ..(et comme tout est lié à un degré ou un autre cela rejoint un peu l’échange sur la déresponsabilisation et la victimisation qui est faite parfois via l'astro) Bref, mon point, est juste de faire remarquer que mis de côté certaines personnes que je connais et qui brandissent l’hypersensibilité comme on se collerait une vignette à l’arrière de sa voiture stipulant "bébé à bord", bon c’est vrai j’ai plus de scrupule à coller aux fesses une voiture portant cette mention c’est nul mais c’est un fait;)) ce qui est moins vrai de l’étiquette hypersensible qui au mieux me fait lever les yeux au ciel. Hypersensible c’est avant tout percevoir de manière plus exacerbée via les sens les stimulis et là je dois reconnaître que les 3 personnes auxquels je fais référence avaient quelque chose de cette ordre là en plus d’une grande finesse en générale. Un peu aussi comme on décrirait les angles d’un thème comme des antennes, et bien ils avaient des antennes très sensibles. (je dis « avaient » car je ne les côtoie plus). Et c'est vrai que quand on perçoit, entend, sent (odorat, toucher)...ça facilite pas la "gestion" des émotions peut-être et ça peut fragiliser... Et même si cette maladie est génétique et qu’en général elle se déclenche entre 18 et 25 ans et que la prise de drogues auraient des effets déclencheurs de cette possible « latence », je trouve qu’il y avait chez ces personnes quelque chose d’un peu éthérée. Et je me suis fais la remarque que parfois la réalité vécue comme douloureuse par ces personnes avait « trouvé » parfois un moyen d’être fuit. Bien que le « remède-fuite » a l’air d’être pire que la réalité. Bon évidemment c'est inconscient et qui plus est de l'ordre de la symbolique. Mais qu’en sais-je sinon que l’une entre-elle se souvenait très bien après ses bouffées de délire toutes les horreurs dites alors. Et que la souffrance liée à cette mémoire de ces délires, que je n’aurais cru pas fonctionner dans ces cas là, était horrible. ----------------------------------------------------------- Quelques extraits que j'ai trouvé intéressants dans l'article ci-dessus "Remarquablement, dans cette mêlée de tourments évidents, on trouve les paroles de Bob Dylan : "Les cartes que je tiens ne sont pas bonnes / À moins qu'elles ne viennent d'un autre monde", extrait du morceau pirate "Series of Dreams". Ultimately, perhaps Bryan’s last ever diary entry is the most telling; as he wrote: “I find myself in some strange subterranean world ruled by loved.” Even still, with the darkness that tormentingly howled around him, there were glinting flickers of deliverance in art and the love that he received, as he once said himself, “The only answer to madness I know / see the stars through the scars.” En fin de compte, c'est peut-être la dernière entrée (écriture) du journal intime de Bryan qui est la plus révélatrice ; comme il l'a écrit : "Je me trouve dans un étrange monde souterrain régi par l'amour". Malgré les ténèbres qui hurlaient autour de lui, il y avait des lueurs de délivrance dans l'art et l'amour qu'il recevait, comme il l'a dit lui-même : "La seule réponse à la folie que je connaisse / voir les étoiles à travers les cicatrices"."De plus en plus, je me suis rendu compte que mes peintures n'avaient aucun rapport avec les aspects les plus sombres de ma vie qui menaçaient de me submerger... J'ai découvert l'idée de l'art comme une forme d'exorcisme et la théorie selon laquelle les peintures rupestres des premiers hommes étaient peintes pour prendre le contrôle des animaux représentés... J'ai vu que peindre mes bouleversements intérieurs, c'était peut-être prendre un certain contrôle sur eux." “Increasingly I became aware that my paintings had no bearing on the darker aspects of my life which threatened to overwhelm me… I came across the idea of art as a form of exorcism and the theory that the cave paintings of early man were painted to gain control over the animals portrayed… I saw that painting my inner upheavals was perhaps to gain some measure of control over them.” ----------------------------------------------------------- Perso je suis fascinée par les synesthètes.(La synesthésie est la rare capacité d'un individu à percevoir les stimuli sensoriels comme des impulsions capables de stimuler un sens différent du sens initial. Par exemple, on parle de synesthésie quand on peut percevoir l'odeur des mots, le son des couleurs, les couleurs des sons, le goût des formes, etc. Selon les scientifiques, une seule personne en 2000 peut posséder cette capacité.) |
| | | Glauque
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Lun 27 Juin - 12:42 | |
| - Navane a écrit:
- Glauque a écrit:
- "mais j’ai plutôt constaté que j’étais presque complètement incapable de me concentrer, de sorte que la peinture prend la grossièreté des mauvais graffitis."
tableau du 23 Avril 1991 (et aussi du 24 Avril), , or c'est une planete qui rentre beaucoup en compte dans le processus artistique. Il était, et aussi en maque de sa médication, mais ça reste le tableau le moins "techniquement" aboutis. Il était suicidaire au moment du 13 juin par exemple, mais ça ne l'a pas empêché de peindre malgré son malaise.
D'où mon hypothèse de dans la partit "technique" et de ses problèmes de concentration qui l'empêche d'aboutir le tableau.
était en plus en rétrograde
3 jours avant, il y avait ces lignes ondulantes qui s'échappaient de visage. En fond, une scission apparente avec un côté droit à dominante gris anthracite (oreille de lapin qui symbolise son hypersensibilité) et le gauche bleu électrique, ajouté à des lignes cassées.
Conj Lune/Mars en Cancer en aspects tendus à son NN/LN Bélier – Mercure/Neptune/NS.
Le dessin du 23/04 est moins technique, plus élémentaire. Fond blanc, couleurs plus chaudes (sauf le visage). À gauche, un angle (avec au-dedans une ondulation) dont la pointe vient toucher/percer un visage fermé. À droite, une large ligne verticale qui semble soutenir sa tête et renforce l'idée de tension dans son espace psychique. La partie inférieure est dominée par des coups de pinceaux épais et appuyés (assise disloquée), tandis que lignes droites et quadrillage occupent le haut. On peut aussi y voir le cloisonnement Bryan/les autres. La représentation de son visage reste plus élaborée que le reste, avec toutefois une partie supérieure plus chargée.
Pour celui-ci, on serait sur un retour lunaire, donc un cycle qui démarre. En plus de ce que tu as souligné, Mercure C réactive l'oppo Bélier/Balance. Pour les perceptions sensorielles/rapport aux autres, je trouve que le carré exact de Saturne C/Vénus N fait sens. |
| | | Glauque
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Lun 27 Juin - 12:46 | |
| Perso, me me pose des question sur le tableau du 24 Avril 1991 (blaissur itentioel et sang sur la toile), et de celui du 19 Juillet 1991 (suicide) quel transite peut amener a faire mal à son corp ? en VIII ? maitre de l'ascendant (dans l'hypothese d'un par exemble) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Mer 29 Juin - 9:36 | |
| - Glauque a écrit:
- Perso, me me pose des question sur le tableau du 24 Avril 1991 (blaissur itentioel et sang sur la toile), et de celui du 19 Juillet 1991 (suicide)
quel transite peut amener a faire mal à son corp ? en VIII ? maitre de l'ascendant (dans l'hypothese d'un par exemble) L'arrêt de son traitement médicamenteux alors qu'il était schizophrène ? Il y a un terrain. L'atteinte à l'intégrité physique est l'arbre qui cache la forêt. Mais très très basiquement et sans vouloir faire de généralité, négation du corps (aspect à Vénus, via Mars? LN?) et perception troublée (Neptune/Uranus ?), contrôle (lien Pluton/Saturne à Mercure ?), autodestruction et toute puissante (lien Pluton aux luminaires et/ou à Mars/Vénus ?). Le 24/04 :L'aspect Soleil/Jupiter C appuie le Mars N et réactive le carré à Vénus. Lune Vierge qui se place sur Saturne N. À noter qu'au natal Lune et Saturne sont férales. Avec en toile de fond, le carré Saturnien, Uranus/Neptune C – planètes en Balance. Il dévissait complètement. Le visage est scindé en deux par une ligne horizontale au niveau du regard. Il écrivait "Pas d’yeux pour voir ce qui se passe vraiment et une bouche cousue". La blessure infligée était peut-être une façon de s'éprouver ? De la figurer alors qu'il franchissait un seuil dans la déréalisation ? Un mécanisme de défense "du vrai sang pour essayer de surmonter la douleur mentale que je ressentais" avec peut-être l'idée de contrôle ; voir son propre sang s'écouler sur une toile dont il est maître, le faire perler sur la partie supérieure du visage alors que son psychisme se désintègre ? Autodestruction et toute-puissance (arrêt des médocs + automutilation). Dans le texte, il y a une sorte de satisfaction morbide. La jouissance psy est palpable "Pourquoi manquer une occasion en or de décrire à travers la peinture la désintégration mentale totale [...] Pas le genre de chose que vous êtes capable de faire sur les tranquillisants". Je me suis demandée si la date n'avait pas été inscrite au sang mais le rouge est trop vif. Par contre, c'est la seule œuvre où la date est en rouge. |
| | | Joc
| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art Mer 29 Juin - 13:23 | |
| Dans son thème natal, la et priape (son opposé) en aux noeuds lunaires et priape dans la + le entre les régents karmiques et ... attirent l'attention... C'est un sujet qui fait penser à Van gogh, à sa maladie mentale et à ses 46 autoportraits... https://www.astrotheme.fr/astrologie/Vincent_van_Gogh Le peintre du sujet et Van Gogh ont en commun et , les régents karmiques en aspect (dans le thème de Van Gogh, ils sont en et dans le thème du peintre du sujet ils sont donc en ) et la dans le thème de Van Gogh est en étroite à alors qu'elle est donc en à (puisqu'en à priape) dans le thème du peintre du sujet... |
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| Sujet: Re: Transit, Schizophrénie et Art
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| | | | Transit, Schizophrénie et Art | |
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