Je n'ai aucune connaissance technique en musique mais un profond amour et grande sensibilité pour elle. Une sensibilité aux sons/bruits d'ailleurs et y'a pas toujours de l'amour
Bref, avec des écouteurs, j'ai entendu la différence dès la première écoute entre Mozart/432Hz et Mozart/440Hz. Sur cette dernière, on dirait que les écouteurs sont d'une moindre qualité. Le son est moins propre, moins clair. Ça reste en effet très subtil. Je ne réussirai pas à déterminer la fréquence sur d'autres morceaux et sans moyen de comparaison.
Je ne parlais pas de la différence de qualité, mais de la différence de tonalité (c'est-à-dire : plus grave ou plus aigu), la fréquence règle la tonalité. Les deux interprétations sont différentes aussi et ça n'a rien à voir avec la fréquence. Sinon, j'avais trouvé plus de brillance au son du 440hz, (qui dépend peut-être de l'interprétation, ou de l'enregistrement) mais je ne le préfère pas.
432 HZ est le point Zéro dont parle Gregg BRADEN , je pense , c'est comme ça qu'on m'a montré qu'il s'agit d'un alignement entre les chakras terrestres ou matériels sur celui du coeur ... le 2 ème est celui du sacré (relation et émotions) , le 3ème est celui du plexus (volonté et égo), le 4ème est celui du coeur (guide intérieur et centre galactique)... si on prend dans l'autre sens : le 2 est la relation, la dualité qui est géré par le sacré, le niveau 3 est celui de la communication qui est organisée par la gorge reliée au plexus (on se positionne selon l'opinion qu'on a construit de sa valeur), la niveau 4 est encore celui du coeur , qui nous donne un sentiment de sécurité intérieure si on a réussi son alignement avec tous les centres (soi, terre, solaire, centre galactique) ... REMARQUE : c'est l'unique fréquence qui constitue une suite de nombre 4/3/2 (2/3/4) comme un escalier ...
--------------------------- Les équations à résoudre dans le destin sont : les évènements à vivre, la souffrance à comprendre, la connaissance à acquérir l'important est, cependant, de bien vivre le présent...
pourquoi pas... ce sont des constructions intellectuelles, mais le ressenti énergétique de nos centres est a expérimenter soi-même, ressenti, visualisations...si possible sans rajouter du mental
c'est marrant, mais j'ai un autre son de cloche pour les centres énergétiques qui tournent plus ou moins vite, et la vitesse augmente du premier (rouge) vers le dernier physique (indigo)... vu les approches anciennes entre le son et les centres énergétiques, il doit y avoir rapport... bols tibétains, diapasons...etc
"Durant l’Antiquité, la musique était adiastématique, c’est-à-dire qu’on ne s’intéressait pas à reproduire d’une représentation à l’autre un même son de référence. Pour le musicologue Romain Estorc, «il faut attendre le début du XIe siècle de notre ère pour que Gui d’Arezzo, dans son ouvrage Micrologus, aux alentours de 1026, développe la théorie de la solmisation, avec les noms que l’on connaît (do ré mi fa sol la si) et avance l’idée d’une note égale en tout temps à une même hauteur».
Ainsi, au fil du temps, se dessine l’idée de créer une note précise, immuable, sur laquelle s’accorder. Mais quelle fréquence choisir? Cela dépend des instruments, de la nature des matériaux utilisés, et aussi du régionalisme et des époques. Romain Estorc poursuit:
«Pour la musique du XVIe siècle, on utilise le la 466 Hz, pour le baroque vénitien (du temps de Vivaldi), c’est le la 440 Hz, pour le baroque allemand (du temps de Telemann, de Jean-Sébastien Bach…), c’est le la 415 Hz, pour le baroque français (Couperin, Marais, Charpentier…) on s’accorde sur le la 392 Hz! Il existe différents diapasons comme le diapason Haendel, 423 Hz, le diapason Mozart 422 Hz, celui de l’opéra de Paris, dit Berlioz, 449 Hz, celui des pianos Steinway aux USA, 457 Hz.»
Il y a donc pléthore de fréquences, multitude d’accordements différents et avec la démocratisation de la musique, l’industrialisation de masse des instruments et l’augmentation de l’enseignement va naître l’idée d’uniformiser tout ce petit monde, de lui trouver une sorte de règle acoustique pour ne pas courir au suicide économique qu’aurait provoqué un trop grand nombre de tonalités différentes sur le marché.
Les prémices de cette rationalisation apparaissent en 1884, comme le souligne Amaury Cambuzat, «quand le compositeur Giuseppe Verdi obtient de la commission musicale du gouvernement italien un décret de loi normalisant le diapason à un la à 432 vibrations par seconde. Ce décret est exposé au conservatoire Giuseppe-Verdi de Milan. Il fut approuvé à l’unanimité par la commission des musiciens italiens».
Grâce à Verdi, le 432 Hz fait donc son apparition comme référence à la fin du XIXe siècle. En 1939, changement de braquet: la Fédération internationale des associations nationales de standardisation, organisme aujourd’hui connu sous le nom d’Organisation internationale de normalisation, décide d’un diapason étalon-mètre à 440 Hz. Cette décision sera entérinée quelques années plus tard, lors d’une conférence internationale à Londres en 1953, malgré les protestations des Italiens et des Français, attachés au la 432 Hz de Verdi. Enfin, en janvier 1975, le diapason la 440 Hz devient une norme (ISO 16:1975), ce qui définit par la suite son utilisation dans tous les conservatoires de musique. La fréquence 440 Hz a donc gagné la bataille institutionnelle, s’érigeant en standard international.
Je ne parlais pas de la différence de qualité, mais de la différence de tonalité (c'est-à-dire : plus grave ou plus aigu), la fréquence règle la tonalité. Les deux interprétations sont différentes aussi et ça n'a rien à voir avec la fréquence. Sinon, j'avais trouvé plus de brillance au son du 440hz, (qui dépend peut-être de l'interprétation, ou de l'enregistrement) mais je ne le préfère pas.
Tu sais, Sogu, je disais mes ressentis de cette expérience avec mes mots de profane. Je ne me serais pas permise de répondre à ta technicité et connaissances, que ce soit d'y abonder ou encore de nuancer, etc. Comme toi, j'ai trouvé qu'il y avait une différence subtile et j'ai rebondi dessus, sur ce mot. Sans toutefois réussir à expliquer à quel niveau je l'ai perçue. J'ai comparé ça à des écouteurs de moins bonne qualité. En tout cas, c'est intéressant car sur cet exemple, j'ai davantage apprécié la version en 432Hz.
Oui, le ressenti est personnel aussi, et on n'a pas besoin d'analyser la musique en détails ou de manière technique pour avoir un ressenti. Ce que j'en disais, c'était par rapport au sujet évoqué qui portait sur les fréquences, qui est un des aspects de la musique, mais il y a de nombreux autres facteurs qui entrent en jeu pour apprécier la musique. Écouter en "live" dans une situation acoustique particulière, ce ne sera jamais pareil qu'un enregistrement, par exemple. Et le ressenti peut varier aussi d'un moment à un autre pour la même personne (au cas théorique où on puisse reproduire une expérience auditive exactement similaire plusieurs fois), vaste et complexe sujet, donc.