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| Sujet: Re: Astéoides-Latitudes Sam 8 Sep 2012 - 13:13 | |
| - Latitudes a écrit:
- Bon ben j'ai étai attiré par ma part de fortune calcule en nocturne (naissance nocturne) et je vois que l'astéroide Quaoar s'y trouve en
et son histoire:
Quaoar le chorégraphe céleste
Quaoar est 100 000 fois moins brillant que la moins brillante des étoiles visibles à l'oeil nu. C’est une énorme boule de glace et de roche qui ressemble, par sa composition, à une comète, mais dont le volume est plusieurs millions de fois supérieur. En 2002, Quaoar devenait le plus gros objet céleste de notre système solaire qu’on avait découvert depuis Pluton en 1930 et son satellite Charon en 1978. ...
Un vestige du système solaire primitif
Les astronomes étudient ces petits astres afin de leur permettre de reconstituer l’histoire de la formation du système solaire, tout comme les paléontologistes utilisent les fossiles pour reconstituer le processus de l’évolution de la vie sur la Terre.
Ils ont découvert que ces petits corps, que l’on observe aujourd’hui, sont probablement demeurés intacts depuis la formation de notre système planétaire. Ils sont des « reliques glacées », des VESTIGES du système solaire PRIMITIF, et ils ont enregistré dans leurs propriétés tous les évènements ayant influencé l’évolution du système solaire depuis sa formation. Ils seraient les manifestations d’agglomérations de la matière qui se rapprochent le plus de la substance primaire et permanente de l’univers émanant de la source unique. Ils symbolisent ainsi le sentiment de se sentir en communion avec La Source Divine.
Analogiquement, on peut percevoir que ces astres peuvent représenter notre mémoire et notre inconscient collectif. Ils sont les TRACES de la connaissance, des traditions et des rituels des civilisations anciennes, toutes races confondues. La découverte de ces astres équivaut à l’émergence et à la redécouverte de « connaissances » aussi vieilles que l'humanité elle-même.;(Titre)La culture et l'histoire du peuple Tongva
Le nom de cet objet céleste est inspiré de la mythologie amérindienne d’un peuple que l’on appelle « Tongva », ce qui signifie « les gens de la terre ». Afin de mieux percevoir et définir l’essence de Quaoar, examinons sommairement la culture et l’histoire de ce peuple.
Le peuple tongva (Gabrielinos)
Avant l'arrivée des Espagnols et des autres européens, ce peuple vivait en paix sur leur Terre ancestrale qui longeait la côte de l’océan Pacifique. Le peuple Tongva habitait toute la région de l’actuel état de la Californie qui se situe dans le comté de Los Angeles, ainsi que dans la partie située au nord du comté d’Orange. Les archéologues ont dénombré dans ces régions environ 31 sites pouvant avoir été des villages tongva, chacun constitué d’environ 400 à 500 huttes. Chacun des villages était dirigé par un chef héréditaire qui possédait la presque totalité du pouvoir de diriger le village. La médecine et la guérison étaient sous la responsabilité des « sorciers guérisseurs ».
Les jeunes garçons Tongva passaient le stade les amenant à devenir un homme en subissant une série d’épreuves d’endurance physique et mentale : jeûne, rituels hallucinogènes et effort physique. Ces épreuves leur permettaient de découvrir leur nature spirituelle en recherchant la vision de leurs animaux protecteurs. Les garçons devaient également démontrer leur courage en affrontant les épreuves du feu, du fouet et celle de s’étendre sur une fourmilière. Les garçons qui échouaient à ces épreuves étaient considérés comme des faibles et des lâches. Ce qui constituait, pour ce peuple, la plus haute marque de déshonneur. Par la suite, un ancien les initiait aux légendes de l’origine et de l’évolution de l’humanité.
Le premier contact du peuple tongva avec la civilisation européenne fut en 1542 lors de l’arrivée sur leur côte de l’explorateur espagnol Juan Rodriguez Cabrillo. Ils allèrent à la rencontre de ces nouveaux venus en canoé et offrirent l’hospitalité à Cabrillo et ses hommes. Invitation que Cabrillo déclina.
Les Tongvas ne croyaient pas aux forces maléfiques ou diaboliques, ni en l’enfer et aux diables. Ainsi, la guerre, le pillage, le meurtre, et l’inceste étaient presque inconnus des Tongvas. Ce sont les missionnaires espagnols qui ont introduit les notions de péché et d’enfer.
Avec l’établissement en 1771 de la Mission de San Gabriel, la communauté et la culture tongva déclinèrent rapidement. Leur nom original fut rapidement perdu par l’assimilation aux cultures espagnole et mexicaine. Il fut remplacé par celui de Gabrielinos, puisque ce peuple était étroitement associé à la Mission San Gabriel. À la suite de leur conversion, plusieurs Tongvas joignirent la mission et furent forcés d’abandonner leurs villages et leur culture.
Lorsque les premiers colons espagnols arrivèrent en 1781, la population tongva était estimée à seulement 5000 habitants environ. Au moment où les premiers colons américains s’établirent dans cette région en 1841, le peuple tongva était éparpillé sur toutes les terres appartenant aux Mexicains et ils ne travaillaient que pour assurer leur survivance. Par la suite, les maladies contribuèrent à décimer ce peuple. Aujourd’hui, le peuple tongva n’est constitué que de quelques milliers, voire quelques centaines d’individus, qui résident toujours dans le sud de la Californie et qui se préoccupent considérablement de la condition de leur Terre ancestrale ainsi que de leurs sites sacrés qui recèlent leur héritage.
Les anthropologues ont constaté que les croyances et coutumes spirituelles amérindiennes sont relativement semblables d'un peuple à un autre, comportant néanmoins des variantes régionales. Ils ont également constaté que les Amérindiens considéraient la vie comme si c’était un grand cercle à l’intérieur duquel toutes vies sont liées ensemble dans une relation d'interdépendance, et tout manquement aux lois naturelles vient perturber l'harmonie de ce cercle, ainsi que des êtres qui le composent. Les cérémonies religieuses des Tongvas se déroulaient à l’intérieur d’une structure circulaire que l’on retrouvait dans le village. Seuls des hommes privilégiés et occupant un haut rang au sein de la communauté, ainsi que les femmes « chanteuses », étaient autorisés à pénétrer l’enceinte sacrée. Également, lors de la tenue d’une cérémonie funéraire, les proches parents du défunt étaient admis à l’intérieur du sanctuaire.
Les anthropologues attirent également notre attention sur le fait que les Amérindiens croient eux aussi en un Dieu créateur qui possède souvent une panoplie de divinités secondaires qui l'aident dans son travail auprès des humains.
La mythologie tongva possède plusieurs légendes parlant du Créateur. L’une d’elle est la légende de Quaoar. Il est la grande force de la création qui chante et danse pour permettre l’incarnation des Très-Hauts, des Divinités. Quaoar n’a ni forme ni sexe défini, mais on se réfère généralement à lui sous une appellation masculine. Selon la légende, Quaoar descendit des cieux et, après avoir mis de l’ordre là où le chaos primordial régnait, il disposa le monde sur les dos de sept géants. Il créa d’abord les animaux et ensuite l’homme et la femme. Les Tongvas croyaient que les humains provenaient de la région du nord, là où l’Être Suprême demeurait. Ils croyaient également que c’était l’Être Suprême lui-même qui guida les anciens vers leur terre située dans le sud de la Californie.
Ainsi au début du mythe cosmologique,Quaoar danse et chante pour permettre à Weywot de devenir le Ciel Père. Ensemble, ils chantent et dansent pour amener à la vie Chehooit dans la Terre Mère. Le trio se réunit et chante alors pour que vive Tamit le Grand-Père Soleil. Au fur et à mesure qu’une divinité s’ajoute et se joint au chant, à la danse et à la création, l’hymne lyrique et la chorégraphie se complexifient. S’ajoutent, tour à tour, la Grand-Mère Lune, Moar, qui est une déité très complexe ; la déesse de la mer, Pamit ; le Seigneur des rêves et des visions, Manit ; le pourvoyeur de nourriture et des récoltes, Manisar ; le Coyote céleste, Tukupar Itar, qui est aussi le héros principal de ce peuple ; la déesse de Shishongna, domaine souterrain des enfers, Tolmalok ; les sept géants qui soutiennent le monde.
Dans leur mythe de la grande plongée, qui entraîna la création de la terre, les Très-Hauts sont aidés tour à tour par l’Aigle, le Canard, l’Ours et la Grenouille. « La terre » est d’abord remontée des profondeurs sombres de la mer par la Grenouille, et, ensemble, les quatre animaux vont s’unir dans la danse, et c’est par un piétinement de plain-pied qu’ils vont façonner une vaste terre plate.
source:
[url]http://www.lalyreduquebec.com/articles.php?lng=fr&pg=119[url] Bonjour,j'ai pu voir que la ou ce trouve la Part de fortune (signe et maison) c'est là,que la personne ,lors de problèmes quelconque va se réfugié et trouver le moyen de ce ressourcer,c'est comme un jardin secret.Et donc,je suppose que toi ,c'est la danse,je pense que même le Taïchi-chuan et aussi une danse si l'on veut.Bonne journée |
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