Si ton intuition est juste Plume, tu tombes toi même dans le propre travers que tu révèles par l'intermédiaire du doute exprimé. Tu vois encore des personnages dans les maisons, ce qui est l'une des trompeuses déductions qui guidaient les analogies datant des fondateurs de la tradition.

Le régime était patriarcal, la puissance était donc un caractère d'essence masculine. Parce que donner la vie, ce n'est pas puissant, d'ailleurs tout le monde sait que c'est un acte d'une grande passivité. La dérive du masculin et du féminin dans un thème généthliaque à donc pris pour principes, des visions de caricatures culturelles. Jusqu'à preuve du contraire, il ne me semble pas que les planètes soient sexuées... Quant au père et à la mère qui en fondent les premiers piliers (mâle et femelle), ils ont été crédité avec la même ignorance que celle de l'homme décidant du rôle de la femme pour rassurer son égo.

@Fifou25

Le truc des ancêtres où bagage karmique me parle beaucoup beaucoup !
Je sais que je me transporte des profondes blessures venant de là (relation homme/Père) avec des peurs, des colères etc j'y travaille dessus depuis quelques temps mais bon, c'est un peu coriace j'ai l'impression. Niveau peurs " en général " j'en ai pas mal aussi. Des phobies par exemple...

C'est vrai que niveau Maison 12 et je remercie @Maellou pour son analyse fort intéressante, j'avoue que j'ai du mal à la saisir, elle me reste mystérieuse et je ne sais pas toujours ni la comprendre, ni comment l'interpréter. je sais qu'on a tendance un peu à la diaboliser mais comme tout dans la vie, rien n'est tout noir où tout blanc, donc je pense qu'elle a ses côtés problématiques comme ses côtés lumineux ( tout comme la 8 d'ailleurs.). Pour moi, c'est un peu la maison du Karma, de la fin de cycle, de ce qu'il faut comprendre et transcender, donc peut-être que j'ai quelque chose à comprendre sur l'amour où les relations, je ne sais pas. Où à expier.

Ce qui interpelle je trouve, c'est que tout à droite de mon thème j'ai conjoint à / + une en maison 8 donc on est vraiment dans quelque chose de sombre, lié au pouvoir, à la peur de manquer de quelque chose, à l'obsession de s'accrocher, de s'attirer des personnes de pouvoirs bref c'est lourd et c'est un peu flippant et tout à gauche, on a une Vénus en verseau, le verseau qui est quand même le signe de celui qui vit de façon indépendant et s'est dépouillé de tout ce qui n'est pas léger et libre (je le vois comme ça du moins), c'est aussi un signe tourné vers les autres, l'extérieur, l'humanitaire (la lumière?) Vénus en Verseau dans une maison immatérielle, au contraire de la 8, qui représente l'immatériel dans les peurs, les possessions, le côté instinctif/ occulte des choses mais transformateur et la 12, l'achèvement, l'accomplissement, la compréhension. Donc je ne sais pas si le but est de passer de " droite " à " gauche " mais bon parfois je me demande lol

J'ai un père très silencieux, d'abord absent (il était chef d'entreprise et artisan, et cela lui prenait beaucoup de temps) craint par mes frères, pas par moi. Ce qui fait que nous avons eu bien des différents qui ne se sont pas toujours terminés paisiblement (comprendre, dans la violence). Très autoritaire et dur avec mes aînés, plus petite mes frères me jalousaient car ils considéraient qu'il l'était moins avec moi et que j'étais l'épargnée du trio (on a de grands écarts d'âge). Ce qui s'est révélé totalement faux, à l'adolescence j'ai commencé à avoir des opinions qui allaient à l'encontre des siennes assez poussiéreuses (notamment sur la place de la femme dans la société, et j'en passe). Comme j'étais ado, je n'avais pas vraiment envie de me taire, aussi sans doute pour compenser les années plutôt silencieuses / sages de mon enfance j'ai commencé à l'ouvrir un peu plus. Trop, faut croire.

, je pense illustre bien toute cette histoire. Plutôt que de me faire peur, son côté violent me révoltait et surtout avait brisé l'idéal (l'image que j'avais de lui). J'ai passé un long moment à le haïr, puis je me suis détestée (en tant que part de lui). J'ai exprimé ce rejet quand il m'a demandé pardon, je suis devenue très froide et pas particulièrement concernée par ce qu'il pouvait traverser.

Un mois plus tard, il apprenait qu'il avait un cancer. Toute la famille exigeait que je le soutienne, mais j'en étais incapable car toujours aussi révoltée d'être une part de lui. Je savais bien que ce n'était pas comment j'aurais dû réagir, j'en ai même parlé à une amie à l'époque en lui disant que si jamais il venait à lui arriver quelque chose je savais que je regretterais toute ma vie de ne pas lui avoir pardonné.

Avec beaucoup de distance (géographique mais pas seulement), les choses se sont apaisées. Mon père a dépassé son cancer, quelque part je pense que ça l'a changé. Il n'aura plus jamais la même image que celle que je me faisais de lui avant les violences, mais je lui ai pardonné (ça ne s'est pas fait en claquant des doigts) parce que lui en vouloir me faisait plus de mal qu'autre chose.

C'est pour cette raison que je considère que passer l'éponge même si c'est difficile, c'est important. Avec du recul, je pense mon cas peu gravissime par rapport à d'autres. Même par rapport à mes frères finalement, qui eux ont subi cette violence plus tôt que moi et donc sans aucun moyen de s'en échapper. A l'adolescence, c'est différent. Je ne dis pas que c'est mieux, mais la majorité est moins lointaine. On peut appeler des amis, squatter chez eux dans les pires moments...

On a des solutions qui ne sont pas là lorsque nous sommes enfants et dans la même situation.

Moi à l'époque (et pendant les heures les plus noires) j'ai fuis pendant un mois chez quelqu'un d'autre, puis comme il fallait trouver un stage pour l'année scolaire en cours le mois suivant, j'en ai trouvé un à l'autre bout du pays.

Et puis après, bah on fait sa vie.

Hop, la synastrie:

Voila pour l'histoire peu intéressante et assez longue maintenant que je relis.

@Fifou25

J'ai vécu avec ma mère, au début je le voyais un weekend sur deux et en grandissant, j'ai de moins en moins voulu le voir, donc pas manqué de liberté, mais parce que je n'étais pas à ses côtés, autrement oui, j'en aurais manqué, on ne pouvait rien faire avec lui, fallait être un automate.

Non je ne suis pas encore mère. Je ne sais pas si cela pourra aider, cela dépend comment ça arrivera et si ça se passera bien (notamment avec l'homme lol) mais bon pour le reste, c'est ça oui. Disons que ces carences affectives ont tendance à me donner une sorte de dépendance affective vis à vis des hommes pour lesquels je commence à ressentir des sentiments, bien qu'au jour d'aujourd'hui ça va un peu mieux contrairement à avant. Les complications affectives, à force, ont tendance à me faire devenir très méfiante vis à vis des gens oui. Je suis un peu solitaire mais bon... Peut-être réussirai-je à dépasser cela.

Le rôle de mère réparateur, tu le vois à quoi?
Le en maison 5 ?

@Lixandra je comprends ce que tu as vécu, j'ai un peu ressentis les mêmes choses. Parfois je me demande si ça m'arrivera pas un truc dans le genre aussi, du style, quelque chose de grave qui lui arrive pour que je sois confrontée à aller vers lui (où pour que lui ouvre les yeux, peut-être...). C'est vrai après que lorsqu'ils arrivent un peu à évoluer, les rapports peuvent s'arranger, moi le souci, c'est qu'on a des façons de voir la vie à l'opposé et que ça le rend très jugeant, ce que je ne supporte pas et qui ne me fait pas apprécier sa compagnie. Mais bon, l'avenir fera les choses je pense. Merci de ton retour très parlant ( et oui le en aspect à est souvent riche de sens...)

Exactement ! lol

Avec plaisir. Ce qui me questionne serait davantage la signification de ce en maison 5 tout en bas, isolé, opposé à pas mal de planètes. Toutes les planètes sont vers le haut, et il y'a que ce Jupiter tout en bas, tout seul. Disons que cette configuration m'interpelle quant à son sens.

Pour l'instant je ne travaille pas, je ne sais pas trop quoi faire de ma vie, tout est flou...

Disons que j'aspire à une vie tranquille dans la nature, au milieu d'animaux, enfants etc mais j'ai aussi l'âme où j'aimerais aider les autres, soit par toute forme d'art où de soin, bref c'est dur à dire mais je sens que j'ai besoin aussi de faire quelque chose pour les autres ( humains où animaux où les deux peut importe ) bref tout est flou dans ma vie tu sais, c'est dur de savoir où aller, quoi faire.

L'impression que mon existence est un perpétuel brouillard.

Je sais bien oui, on ne peut qu'interpréter, pas savoir à 100%. (sinon ça serait pas drôle lol) merci pour ton analyse en tout cas, elle me parle !